September 08, 2025

01:59:01

Couture dans le mid - Intégral du 08-09-2025

Couture dans le mid - Intégral du 08-09-2025
Couture dans le mid
Couture dans le mid - Intégral du 08-09-2025

Sep 08 2025 | 01:59:01

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Couture dans le mid - Intégral du 08-09-2025
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[00:00:00] Speaker A: ... de service pour le bien-être de votre animal sous le même toit. Toilettage, boutique, pension en milieu familial ou refuge éthique avec chat disponible pour adoption. Un zoo à la maison. Route Lagueux à Saint-Étienne. Unzooalamaison.ca. Madec Construction recrute des poseurs de système intérieur et des charpentiers-menuisiers, contre-maîtres, apprentis ou compagnons. On t'offre même une chance en sortant des bassins. Écrit au madecconstruction.com, section contact, Madec Construction, on élève des murs, on bâtit des carrières. [00:00:30] Speaker B: 1-800-Bonjour! [00:00:32] Speaker C: À qui je parle? [00:00:33] Speaker A: Cette semaine dans 1-800-BONJOUR! Des chefs cuisiniers veulent faire un party-piscine à l'hôtel. [00:00:44] Speaker B: Parce qu'on ferait de la raclette, fondu au fromage, breakfast au lit, mais sur le bord de la piscine. Connaissez-vous le couteau japonais? [00:00:50] Speaker D: Oh boy, ça coupe, ça. [00:00:51] Speaker B: Ça coupe en mondie, ça, là, là. [00:00:53] Speaker E: C'est avec ça qu'on coupe nos enfants. [00:00:54] Speaker B: Et nous autres, sur le bord de la piscine. [00:00:55] Speaker D: Ben... oh... Revissant. [00:00:58] Speaker B: Bonjour. [00:00:59] Speaker A: Au Radio X.com. [00:01:00] Speaker F: Et sur toutes les plateformes. [00:01:03] Speaker B: Choix. [00:01:04] Speaker F: Choix. [00:01:05] Speaker A: 98. [00:01:06] Speaker F: 98. [00:01:07] Speaker A: 1. Radio X à Québec. C'est Radio X. [00:01:15] Speaker F: Radio X. [00:01:18] Speaker A: C'est vous. Votre propre opinion. [00:01:21] Speaker F: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:01:41] Speaker A: Dans le mythe. [00:01:42] Speaker F: Avec Pierre Couture. [00:01:44] Speaker A: Pierre, c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7. [00:01:46] Speaker F: Et Nick Cloutier. [00:01:47] Speaker A: Proposant Couture. Donc ça va brasser dans le mythe. Radio-X. [00:01:55] Speaker D: 10H02. [00:02:00] Speaker A: Couture dans le mythe jusqu'à midi. Oui, ça va brasser. Beaucoup d'actualités. On vous a concocté une poutine McSnick. [00:02:12] Speaker B: Salut! [00:02:13] Speaker A: Ça va? [00:02:13] Speaker B: Ça va très bien. [00:02:15] Speaker A: T'as survécu au Rouge et Or? [00:02:16] Speaker B: J'ai survécu au Rouge et Or. J'étais à l'hôtel Gate hier, évidemment organisé par Radio X au Rouge et Or. T'avais Arouette, que c'est le fun. J'ai rencontré des auditeurs. Il y avait une famille, je pense. Salutations à Mickaël et sa famille. Ils arrivaient de Mascouche, eux autres. [00:02:29] Speaker A: Hein? [00:02:30] Speaker B: Masse couche! Pis on entendait parler des Tailgate à Chouin, fait qu'on est venus voir ça. Ils ont tripé ben raide. Ils ont rencontré des gens de Victoriaville aussi, qui ont dormi à Québec la veille. Pour vrai, là, c'est tout le temps le fun. [00:02:43] Speaker A: Ah ouais, le setup, t'es écoeurant. [00:02:45] Speaker B: Tout le temps. [00:02:45] Speaker A: Mais le parking est ben plein, c'est ça. Moi, t'sais, j'y étais la semaine dernière. Et puis, tu sais, les tailgates que j'avais dans mon... parce qu'on a fait l'année passée, on a fait de l'A2H. Tu sais, à l'époque, quand j'étais étudiant à l'Université Laval, c'était des petits tailgates, là. C'était pas des grosses affaires, là, tu sais. Puis après ça, il y a eu... Ça a monté, mais là, c'est rendu gros, là. [00:03:05] Speaker B: C'est malade. [00:03:05] Speaker A: Là, il y a plein d'entreprises. Il y a du corporate en masse, les étudiants. Il y a plein de... des compagnies qui font aussi, ils donnent des filles, ils font venir leurs clients, puis leurs employés, puis ils récompensent avec un tailgate. [00:03:20] Speaker B: Il y a des gens pour qui, c'est encore méconnu à Québec, hier j'ai invité mon cousin qui s'ablonde, il était jamais venu. [00:03:24] Speaker A: Non, non, c'est ça. [00:03:24] Speaker B: Quand t'es arrivé au tailgate, en fait, attends un peu là, il se passe de quoi ici? [00:03:27] Speaker A: Ben oui, c'est ça, il faut que t'aies fait au moins un tailgate, puis quand tu vas dans la NFL, pour en avoir fait plusieurs, tu sais, les tailgates de la NFL à Pittsburgh, à New York, Toutes les villes, tous les matchs d'avant-match de la NFL, il y a des gros gros gars. [00:03:43] Speaker B: J'ai jamais vécu encore un tailgate de la NFL, mais c'est sur la bucket list. Un jour. [00:03:48] Speaker A: Ah non, écoute, c'est quelque chose. Nous autres, on était à New York une fois, pis t'sais, il y a des revendeurs de calottes, pis là, le gars, il se faisait courir par la police. Pis il nous a garroché un sac rempli de calottes, des jets, pis des tucs. Pis là, il s'est sauvé. Il a passé devant notre gang, il a garroché ça, pis il s'est sauvé. La police court en plein. [00:04:10] Speaker B: Bonne place au bon moment. [00:04:12] Speaker A: Nous autres, on s'est tous ramassés avec des calottes, des jets, des tucs. Il s'est sauvé de la police. [00:04:18] Speaker B: Malade. [00:04:19] Speaker A: Lui, il vendait ça, genre c'est de la merch illégale. [00:04:23] Speaker B: Je comprends. [00:04:24] Speaker A: C'est tous des produits façonnés à la bonne franquette. [00:04:27] Speaker B: Il paraît que le plus gros tailgate de la NFL, c'est Buffalo. [00:04:30] Speaker A: Buffalo, je n'y suis jamais allé. [00:04:32] Speaker B: Un jour. [00:04:32] Speaker A: Mais à Buffalo, la descente de la. [00:04:35] Speaker B: Table... Oui, c'est commun, celle-là. [00:04:37] Speaker A: Ils mettent une table pliante. [00:04:39] Speaker B: Oui, des tables avec des pattes en métal que tu déplies. [00:04:43] Speaker A: Puis là, le trip, c'est de monter le plus haut possible. [00:04:45] Speaker B: Puis de sauter là-dessus. [00:04:46] Speaker A: Puis de sauter là-dessus en descente du coude. Puis oui, il serait bon là-dessus. [00:04:50] Speaker B: Ben oui, c'est comme la lutte. [00:04:51] Speaker A: Mais il y a du monde qui se défonce... Ben j'imagine que t'as pas la technique, là. Voilà. Hé, météo, il va faire beau toute la semaine? [00:05:01] Speaker B: Ben, c'est parfait. [00:05:02] Speaker A: Là, je regarde, il n'y a pas de pluie à l'horizon. Il a mouillé un petit peu en fin de semaine, mais ça a fait du bien, là. Hé, je regardais la rivière Saint-Charles, les Tatares. [00:05:10] Speaker B: Oui, la Chaudière aussi, pas loin de chez nous, la barouette. [00:05:14] Speaker A: Ben non, on va avoir besoin d'eau, là. Mais peut-être pas cette semaine parce qu'il n'y en a pas. Il y a le Grand Prix cycliste aussi qui s'en vient. La gang d'Israël, la Premier Tech vont être là. Ça, c'est très controversé parce qu'en Europe, eux autres, la semaine dernière, il y a des manifestants pro-Palestine, pro-Hamas, j'imagine, qui ont essayé de... Boycotter le... Non, non, mais ils ont essayé de sauter chez les coureurs. Ils ont essayé de les bloquer. Pendant qu'eux autres couraient dans la rue, là, t'sais, pis là, on va-tu avoir ça ici à Québec, là? [00:05:45] Speaker B: Faut qu'on les arrête, là. À un moment donné, ça fait. [00:05:47] Speaker A: Parce que là, le Grand Prix cycliste, ça en vient, c'est vendredi, je pense, à Québec, pis samedi, à Montréal. Et là, je sais que les services policiers sont sénères, là. Parce que là, on le sait pas, le parcours, là, c'est grand. Il peut arriver du monde, d'une gang de pas propres, là, qui vont essayer de sauter ces cyclistes. [00:06:04] Speaker B: Habituellement, d'année en année, le Grand Prix cycliste, c'est toujours bien sécuritaire. C'est bien rodé, tout ça. [00:06:10] Speaker A: C'est pareil. [00:06:11] Speaker B: Je comprends. [00:06:12] Speaker A: Le parcours est assez long. Il n'y a rien qui empêche. [00:06:14] Speaker B: Il ne faut pas avoir une chaîne de policiers partout, tout le long du parcours non plus. [00:06:19] Speaker A: Ça va vite, parce que le peloton, puis après ça, tu as toutes les autos qui suivent avec les bikes, les basics de remplacement. [00:06:28] Speaker B: Les équipes. [00:06:28] Speaker A: Oui, c'est ça. Ça va vite. Imagine s'il y en a un, je ne sais pas, il y a une gang qui essaie de sauter sur des cyclistes. Puis le peloton va vite, là. [00:06:36] Speaker B: Oui, c'est ça. [00:06:37] Speaker A: Il y a des Québécois dans cette équipe-là. C'est Premier Tech de Rivière-du-Loup qui commande l'histoire de l'équipe Israël-Premier Tech. Là, on demande. Je sais qu'il y a de la pression pour qu'on enlève le mot Israël sur les chandails de l'équipe. Ça va-tu se faire? Même, il y a de la pression pour que l'équipe se retire du Grand Prix. [00:06:55] Speaker B: Ouais, c'est ça, je t'arrête là. Il y a des commentaires pas mal, là. Grand piscicliste vendredi, ouais, OK. Non, j'ai hâte de voir comment on va opérer la sécurité, puis on va. [00:07:05] Speaker A: Souhaiter que... Bien, on souhaite, un, que l'équipe se retire pas, là. Puis deux, s'il y a des tatans qui essayent d'attaquer, bien, j'espère que la police va être aux aguets. Il va falloir à surveiller. NFL hier, wow. [00:07:20] Speaker B: Beaucoup de matchs. Très plaisant. [00:07:22] Speaker A: Les Browns ont perdu par un point. [00:07:24] Speaker B: Oui, mais ça a passé proche. [00:07:25] Speaker A: Je t'ai montré notre kicker. Non, je ne sais pas que notre kicker est dehors, là. [00:07:29] Speaker B: Oui, Christy. [00:07:31] Speaker A: Pendant les parties pré-saison, notre botteur a été mis dehors. On en avait un. Il a été mis dehors pour ramener ce gars-là. Puis hier, lui, il manque un botté de précision après un coup touché. Donc on a perdu la game 17-16. Et il a manqué un 3 points juste avant la fin du match. [00:07:47] Speaker B: Mais là, lui... C'est pas grave si tu portais la pression, votre botteur. [00:07:51] Speaker A: Tu mets ça dehors, c'est fini. [00:07:52] Speaker B: Pas le choix, hein? [00:07:53] Speaker A: Faudrait aller chercher Tucker, qui était avec le Ravens. Lui, il s'est fait pogner pour des histoires d'attouchements. [00:07:58] Speaker B: OK, mais vous autres, ça vous dérange pas, Cleveland? [00:08:00] Speaker A: On est habitués avec Cleveland. Avec notre carrière mauvaise. [00:08:05] Speaker B: Y'a pas de problème. [00:08:07] Speaker A: Mais Flaco a bien fait. Regarde, il y a plein d'équipes qui ont perdu. D'ailleurs, les Ravens hier, sur le dernier jeu, il restait deux secondes. Les Bills ont botté. [00:08:18] Speaker B: Quelle remontée des Bills. [00:08:20] Speaker A: Incroyable. [00:08:21] Speaker B: Ça va être une équipe dure à battre. [00:08:23] Speaker A: Mais les Bills ont fait la même affaire aux Ravens lors des séries. Oui. Après ça, les Chiefs les ont sortis. [00:08:29] Speaker B: Absolument. Mais ils ont failli gagner contre les Chiefs. [00:08:31] Speaker A: En plus. Mais là, les Chiefs sont maganés. [00:08:35] Speaker B: C'est tough. Au niveau de la réception de passes à date, c'est tough. [00:08:40] Speaker A: Les jets à Dan aussi sont faits battre par Aaron Rodgers, qui est rendu avec les Steelers. Puis Rogers retournait à New York contre les anciens Jets, contre son ancienne équipe. Non, non, c'était du gros football. [00:08:51] Speaker B: Quelqu'un qui dit qu'il est fan des Chiefs, justement, puis ça a l'air qu'ils ont tout un tailgate à Kansas City. [00:08:56] Speaker A: Moi aussi. Un jour, je vais y aller également. Non, non, écoute, mais les équipes mettent le paquet. Comme je te dis, moi, je n'ai fait à Pittsburgh, je n'ai fait à Cleveland, je n'ai fait à New York Jets, j'ai fait à Washington Redskins. Puis quand tu vas dans Intel Games aussi, qu'est-ce qui est trippant, c'est que t'as... T'sais, ils te donnent des... mettons, tu veux avoir une carte de crédit. [00:09:18] Speaker B: Ouais. [00:09:19] Speaker A: Les émetteurs de cartes de crédit. [00:09:20] Speaker B: Ah, ok, ils sont là. [00:09:21] Speaker A: Ils sont tous là. Fait que là, toi, t'arrives là, t'es un Canadien, ça marche pas, c'est pour le marché US. Ouais. Fait que là, tu remplis ta demande. Puis là, ils te donnent tout le temps une calotte ou une serviette. [00:09:29] Speaker B: Mais tu sais que t'auras pas ta carte. [00:09:31] Speaker A: Ben, c'est ça. Parce que eux autres, ils regardent ça puis ils se disent « C'est Canadien », mais ils te le donnent pareil. Fait que là, tu te ramasses une calotte. [00:09:36] Speaker B: Ok, c'est ça. La merge gratuite. [00:09:38] Speaker A: La merge gratuite. [00:09:40] Speaker B: J'ai vu ça hier sur le terrain. Au géant, ma blonde est partie avec mon cousin et sa blonde. Moi, je suis resté avec les auditeurs pour jaser. Ils sont revenus avec des bières gratuites. Vous avez pris ça où, vous autres? Ils se promenaient. Ils ramassaient. [00:09:51] Speaker A: Oui, non, mais il y en a. Il y a des gens qui font le tour, comme ça. Oui. Mais imagine, c'est Rouge et Or. À l'NFL, il y a des beaux cadeaux. [00:09:59] Speaker B: Oui, j'imagine. [00:10:00] Speaker A: Voilà. On va plonger. [00:10:03] Speaker B: Plongeons. [00:10:04] Speaker A: RTC, c'est réglé? [00:10:05] Speaker B: Oui. Ça s'est probablement réglé dans la nuit de vendredi à samedi. [00:10:10] Speaker A: Ça s'est réglé vendredi après-midi. [00:10:11] Speaker B: Bon. [00:10:12] Speaker A: On n'était pas en honte. Quand on est en honte, vendredi, on annonçait un vote. On a fait une rencontre avec les gens du RTC. Finalement, on a accepté l'offre. Et en fin de semaine, les autobus roulaient. Vendredi, il n'y en avait pas. Mais en fin de semaine, ça a roulé. Mais c'était très chaotique. Je sais qu'il y a des gens qui ont essayé de prendre certains autobus et le chauffeur n'était pas là. Il manquait des chauffeurs. Fait que, regarde, on a réglé ça, mais le nerf de la gage, je pense, puis on l'a posé la question vendredi, il va falloir que le service d'autobus soit un service essentiel, reconnu. [00:10:47] Speaker B: Puis... Je comprends pas pourquoi on veut pas aller là. [00:10:49] Speaker A: Bien, à Montréal, ça l'est. [00:10:49] Speaker B: Je le sais. Ça devrait être la même chose à Québec. [00:10:52] Speaker A: Parce que ça, ça veut dire que le matin, le midi, le soir, il y a pas des autobus à la journée longue, mais sur les heures de point, pour que les gens travaillent... Matin. [00:10:59] Speaker B: Et soir, là, oui. [00:11:00] Speaker A: Bien, je veux dire, là, à un moment donné, je sais pas, là, mais il va falloir aller là et je sais pas comment on va arranger ça. Mais les problèmes comme ça, le gouvernement de Legault, ça va pas aller... Non, ça... Ça les atteint pas, ça. [00:11:14] Speaker B: Clairement pas. [00:11:15] Speaker A: On est ailleurs. [00:11:17] Speaker B: Mais il va falloir qu'on fasse quelque chose. [00:11:18] Speaker A: Oui, oui, non, non, c'est sûr qu'il faut que le service d'autobus devienne un service essentiel. Il y a pas de doute, là. Parce qu'en revivre tout ça, là, t'es dégoûté, puis là, c'est un mécanicien. Là, les chauffeurs vont signer un mandat de... Oui, oui. Là, tu comprends, là, on va augmenter les moyens de pression tout le temps. [00:11:34] Speaker B: C'est aux deux ans, là, quasiment. [00:11:36] Speaker A: Oui. Il y avait-tu quelque chose que tu disais? [00:11:38] Speaker B: Oui, c'est parce qu'au niveau du Grand Prix cycliste, l'équipe Israël Premier Tech, je viens de voir ça sur le Facebook de Dan Gravel, ils ont retiré la mention Israël sur les maillots. Fait que ça va être juste écrit premier texte, j'imagine, là. Fait que ça va peut-être... Parce que oui, t'as le Grand Prix cycliste de Québec, mais t'avais également la portion Montréal, où là, ça aurait pu aussi être beaucoup plus problématique qu'ici. [00:12:03] Speaker A: Non, non, mais je pense que le journal La Presse qui a fait un espèce de texte pour inviter les gens à sauter ses cyclistes. Non, non, mais c'était quasiment ça, là. C'était quasiment un texte pour dire, les manifestants, ça va être gros, les gens qui veulent se défouler sur Israël, là. C'était quasiment ça, c'était quasiment une invitation à se défouler sur... T'sais, c'est un moment donné, il faut faire attention. On est en train de perdre carrément nos repères. C'est quand même Israël qui s'est fait attaquer par le Hamas. Oui. À la base, qui a provoqué ça? Qu'est-ce qui a provoqué ce déferlement? Ils sont écœurés, eux autres, de se faire menacer tout le temps par des poseurs de bons. [00:12:44] Speaker B: Qui sont... qui sont camouflés dans la population. On ne vous apprend rien. [00:12:50] Speaker A: Donc voilà, on va enlever peut-être le... pas peut-être, on va enlever le mot Israël des dossards de l'équipe Premier Tech, qui est une compagnie de Rivière-du-Loup, et qui a beaucoup de Québécois à l'intérieur. Donc Hugo Houlle. [00:13:02] Speaker B: Oui. [00:13:03] Speaker A: À suivre, Académie Saint-Louis. [00:13:06] Speaker B: Oui. Ben écoute, les chiens-là ont gagné, c'est le même que ça. [00:13:09] Speaker A: Les chiens-là ont gagné, il y a eu un référendum. et il y a eu 101 citoyens qui ont exercé leur droit de vote, 76 ont voté contre le changement de règlement. Mais tu sais, à la base, là, puis là, je le vois, là, les politiciens qui essayent de... de se penser meilleur, là, tu sais, il aurait fallu que les politiciens prennent leur décision avant. On a laissé aller, on a laissé traîner un dossier, puis là, on en arrive à ça. Fait que finalement, c'est 76 personnes sur 101 qui ont décidé qu'eux autres, le bruit n'aurait pas... n'aurait pas... [00:13:41] Speaker B: Mais là, je veux dire, la Ville de Québec peut quand même aller de l'avant puis prendre des décisions à ce niveau-là. [00:13:47] Speaker A: Oui, mais la Ville de Québec avant qu'elle décidait avant, ils ont laissé aller les affaires. Ils ont laissé aller les affaires, le même marchand n'a pas voulu s'en mêler, puis il a dit « Ah, je vais remettre ça » de la manière qu'il travaille. Il remet toujours ça dans les mains des autres. Mais là, il l'a d'en face. Là, il dit « Je vais agir ». Il aurait fallu que tu agisses avant. [00:14:06] Speaker B: C'est parce qu'encore une fois, c'est une minorité qui pénalise une gang de jeunes qui veulent juste jouer au football avec un peu d'ambiance. [00:14:12] Speaker A: Pour 8-10 games, 8-10 jours dans l'année. Pis t'sais, veux-tu pas encadrer ça, le bruit, là? T'es pas obligé d'avoir les speakers dans. [00:14:18] Speaker B: Le prélore, t'es pas... Ben non, exactement. [00:14:21] Speaker A: L'Université Laval, ils notent du bruit, là, pis ils demandent auto, ils font avec. [00:14:24] Speaker B: Pis t'sais, à un moment donné, je veux pas nécessairement... faire la promotion d'aller contre les règlements, mais t'sais, je veux dire, c'est un règlement de la ville. Fait que qu'est-ce qui va arriver si tu le fais quand même? Tu vas avoir des plaintes. Après ça, ben, c'est au service de police à aller s'occuper des plaintes. Y a-tu moyen... T'sais, je veux pas insister nécessairement à aller contre le règlement, mais tu comprends ce que je veux dire, là. [00:14:45] Speaker A: Mais moi, je pense qu'on a fait de pas exprès du côté de la ville. Parce qu'on le savait que tout ça allait déborder pendant la campagne électorale. Et là, on se fait du capital politique sur le dos d'une cause qu'on aurait dû régler bien depuis un certain temps, selon moi. Parce que là, on va se poser en sauveur. Watch bien ça, là. Là, t'as le même marchand qui va dire « Ah ben finalement, on va changer les règlements. On va adopter un nouveau règlement au conseil de l'État. [00:15:06] Speaker B: » C'est ce qu'ils veulent faire le 16 septembre. [00:15:08] Speaker A: Ben oui, mais il aurait fallu que tu fasses ça avant. [00:15:11] Speaker B: Je suis d'accord avec toi. [00:15:12] Speaker A: Pour ne pas se rendre là, puis diviser encore les gens l'un contre l'autre, parce que c'est ce qui arrive actuellement. Là, on divise encore des citoyens une gang contre une autre gang, alors que les policiers, prenez vos décisions, puis mettez vos culottes, puis allez de l'avant là-dedans. [00:15:27] Speaker B: Mais tu sais, tu ne peux pas. plaire à tout le monde quand tu diriges une ville. Des fois, il faut que tu prennes des décisions qui vont peut-être choquer une minorité de citoyens. [00:15:37] Speaker A: Ah oui, mais là, tu choques pas grand monde. Tu choques une gang dans un coin de chialeux... [00:15:41] Speaker B: Pour huit games, dix games. [00:15:42] Speaker A: Gang de... je sais pas. Les autres, ils savaient quand ils ont acheté le condo qu'ils allaient avoir ça. [00:15:47] Speaker B: Il est là le problème. Il est là le litige, en fait. Je pense que c'est après la construction qu'on a installé le terrain de football. Là, j'y vais de mémoire, mais il y avait une histoire de même. [00:15:57] Speaker A: Mais quand même, c'est aux policiers à prendre le culotte. Mettre le culotte pis de prendre la décision, pis that's it, on passe à autre chose. C'est pas normal qu'on en soit rendu là. [00:16:06] Speaker B: J'aimerais te faire une vérification parce que là, la 20 ouest à la hauteur de Lagueux, c'est complètement fermé. Il y a eu un accident un peu plus tôt ce matin. Je me demande si c'est pas en lien avec ça. Mais 20 ouest à la hauteur de route Lagueux, c'est complètement fermé. Vous allez être déviés vers la 132 probablement. [00:16:25] Speaker A: Restez à l'écoute. Dans quelques minutes, on va jaser avec les gens du Commerce au détail, notamment toutes les vols, l'explosion des vols, le vol à l'étalage. On va parler avec Michel Rochette, qui est le porte-parole du Conseil canadien du Commerce au détail, 10h40. Luc Ouellet, on va parler du remaniement d'ailleurs. François Legault parle de remaniement. Fin de semaine, on a brassé des cartes. et 11h20 Max Truman. On va parler de tout ce qui se passe. Le Canadien, c'est le camp des recrues qui commence. On va parler de tout ça notamment. Et d'ailleurs, remaniement de Legault. Là, écoute, l'idée tombe pas à peu près. Quand tu dis le bateau se vide, là je vais employer un terme poli. Le bateau se vide. Sauf qu'il peut. Semaine dernière, on a vu André Laforêt quitter. de façon assez directe. Non, moi je quitte, je suis ministre, je quitte, je m'en vais à la mairie. En tout cas, à la course à la mairie au Saguenay. Vendredi, comment il s'appelle le gars de l'habitib... l'habitibi là? [00:17:26] Speaker B: Pierre... Dufour! [00:17:29] Speaker A: Oui, c'est fait de lui montrer la porte parce qu'il osait critiquer le fait qu'il n'y ait aucun élu. [00:17:34] Speaker B: Il a parlé avec Maurice ce matin et il disait qu'elle est restée indépendante, qu'elle a fini son mandat et qu'elle n'a pas nécessairement se présenté à la mairie de Val-d'Or, qu'il va respecter le mandat que les citoyens lui ont donné, mais à l'heure où on se parle, il n'a pas l'air à vouloir changer de plateforme. [00:17:48] Speaker A: Non mais attends, c'est parce que la mairie de Val-d'Or, c'est là. Les élections, c'est dans un mois et demi, là. [00:17:52] Speaker B: Je pense qu'il y va pas. À moins qu'il change d'idée dernière minute. [00:17:55] Speaker A: Puis ils ont fait changer d'idée, d'après moi. Parce que lui, il déclencherait une partielle s'il quitte, là. André Léforêt va déclencher une partielle. [00:18:01] Speaker B: Oui, oui, je comprends. [00:18:02] Speaker A: Lui, il déclenche une partielle en Ébitibi. C'est deux volets que le gars mange, là. [00:18:05] Speaker B: Ouais. C'est exact dehors, puis il a réussi, ça le convainc, de rester. [00:18:11] Speaker A: Ben voyons. Ils sont de même, la CAQ. [00:18:12] Speaker B: Il y a eu du tordage de bras. Ah, ça a l'air. [00:18:14] Speaker A: André Lamontagne, qui est ministre actuellement. Suzanne Roy, qui est ministre. Eux autres ont dit, en fin de semaine, viennent de dire, là, Nous autres, on va quitter, mais on veut plus être ministre. Donc, Legault, fais ce que tu veux. Ça, c'en est deux autres qui décident qu'ils quittent. Ça fait une gang qui s'en vont. [00:18:31] Speaker B: On dit par la messagerie que si tu brasses un tas de bouette, ça va rester le même tas de bouette. [00:18:36] Speaker A: C'est la même patente. Legault, mercredi, va nous annoncer que finalement, il a brassé un tas de bouette. Il va nous amener du sang neuf. [00:18:45] Speaker B: Voici le nouveau Todd Boyd. [00:18:47] Speaker A: Jolin Barrette. Après ça, tu vas avoir qui, là? Benoît Charette, avec ses lunettes Gucci. [00:18:53] Speaker B: Oui. [00:18:54] Speaker A: Lui, là, il va prendre du galon, il va s'en aller au transport, il va aller brasser la bouette à Geneviève. [00:18:58] Speaker B: Ouais, mais tu penses? [00:18:59] Speaker A: Ben, voyons. [00:19:00] Speaker B: Geneviève s'en va où? Ben, je sais pas. Reste-t-elle ministre et reste-t-elle vice-première ministre? [00:19:06] Speaker A: Ben là, c'est ça. [00:19:06] Speaker B: François Bonnardel, lui? [00:19:08] Speaker A: Ben là, moi, je te le dis, le drama queen commence, là. La zone dramatique va commencer dans pas long. Parce que là, on va avoir, mercredi, idée qui va danser avec le go, qui dansera pas. Et dans le cas de Geneviève Guilbeault, d'après moi, elle, elle n'a ramassé de la marde. Elle l'avait dit au transport. Elle a dit, moi je vais, vous me donnez ça, je vais faire le nettoyage de la soue. Puis ça s'est retourné contre elle. Là, si elle perd son poste de vice-première ministre, elle perd son poste au transport, elle s'en va où? [00:19:42] Speaker B: Très bonne question. [00:19:43] Speaker A: S'il donne l'environnement? L'environnement, c'est une démotion. [00:19:46] Speaker B: Je sais pas. [00:19:47] Speaker A: Pour Geneviève Guilbeault, c'est une démotion. [00:19:48] Speaker B: Ben oui, je suis d'accord avec toi. [00:19:49] Speaker A: Qu'est-ce que tu vas faire là? Tu sais, elle parlait de fougère et de plantes vertes. [00:19:53] Speaker B: Ben, on va s'occuper de ça. Je sais pas s'ils vont changer de place, parce que la stratégie pourrait être de dire «Ah mais vous savez, vous savez là, Geneviève qui est beau, le transport, il y a des projets qui. [00:20:06] Speaker A: Sont en cours là...» On peut pas laisser la fille... La fille est amnésique avec le Bonnardel, deux amnésiques de premier ordre là. [00:20:15] Speaker B: On va trouver une twist pour les laisser là. [00:20:16] Speaker A: Tu penses? [00:20:17] Speaker B: Je pense que oui. [00:20:18] Speaker A: Mais non. En tout cas, on va en parler avec Luc Ouellet autour de 10h40. Luc va nous donner son point de vue parce que lui en a fait des compositions. Il va nous expliquer comment ça marche aussi. C'est ça qu'on va demander à Luc. Luc a travaillé de près avec des politiciens. Comment on compose un remandement ministériel? Comment ça se fait? À niveau de la mécanique, qui t'appelle qui? Le gars, il l'a dit deux mois d'avance. Habituellement, c'est un joker dans le jeu. Pour un politicien, tu annonces un remaniement à la dernière minute pour faire un spin et essayer de rebrasser les cartes rapidement. Voilà, notre invité est là. Michel Rochette du Conseil canadien du commerce au détail. Comment allez-vous? [00:21:00] Speaker D: Bonjour, ça va bien, merci. [00:21:02] Speaker A: Ça va, ça bronce pas mal dans le commerce au détail. Je regarde les vols à l'étalage, j'ai devenu un fléau. [00:21:09] Speaker D: Oui, on l'avait déjà dit, tout ce qu'on ne règle pas finit par devenir pire. [00:21:13] Speaker A: Oui, mais tout ce qui se traîne, c'est celui-là. [00:21:15] Speaker D: Ça fait déjà quelques années. On le sait, vous le savez déjà, dès qu'on vend dans un magasin, c'est hyper facile de revendre en ligne. Il y a tellement de sites maintenant, des marketplaces qui permettent de revendre facilement. se faire attraper, c'est difficile, parce qu'effectivement, la police, c'est pas dans le top de ses priorités. Pas parce qu'ils veulent pas, mais quand ils arrêtent quelqu'un, généralement, quand on arrive devant un juge, 99 % du temps, la personne s'en sort avec un dossier vierge, parce qu'il y a du vol. Puis le 2, bien, il manque d'effectifs, puis c'est pas une priorité priorité. Donc quand vous êtes un commerçant, vous avez un vol qui se produit, vous appelez la police, puis souvent, contrairement, ils viendront pas ou ils vont venir en fin de journée, ça fait que ça se règle pas. Ça fait des années et ça continue d'augmenter. Le problème, c'est qu'étant donné que c'est payant et que c'est facile de ne pas se faire attraper, le crime organisé a compris et est de plus en plus présent. Ça amène un paquet de nouveaux problèmes. [00:22:06] Speaker A: Ça commence à être violent aussi parce que des agressions, on ne voyait pas ça dans le commerce au détail avant. Tu ne peux pas partir après un voleur parce que tu ne sais pas s'il y a un gun, un couteau ou n'importe quoi. [00:22:17] Speaker D: Exactement. Auparavant, on imaginait toujours le vol à l'étalage comme étant quelqu'un qui met quelque chose dans son manteau, puis il s'en va subtilement, mais c'est vraiment autre chose maintenant. Ça fait que c'est trois, quatre personnes qui rentrent dans un magasin avec une liste claire de ce qu'ils ont besoin, quelqu'un qui fait de la distraction auprès d'un employé, l'autre qui se cache des caméras. Pendant ce temps-là, quelqu'un s'occupe de la caissière, puis ensuite, quelqu'un sort. C'est beaucoup plus structuré qu'avant, puis on reconnaît en plus certains individus dans le monde du détail. On sait qu'il y en a qui vont revenir. C'est tout ça qui est problématique. On est rendu à un niveau... En 5 ans, ça a doublé la valeur. Juste en coût des produits volés, on est rendu à 9 milliards de dollars pour tout le pays, à peu près 2 milliards pour le Québec. Ça, c'est en perte de matériel. On parle pas de tout ce que ça coûte ensuite pour investir en caméras, en gardes de sécurité, puis tout ça. Donc, c'est énorme comme problème. Ça a doublé en 5 ans. [00:23:09] Speaker A: Et là, qu'est-ce qu'on peut déduire de tout ça? Parce que là, on a eu des peines bonbons aussi au niveau fédéral. Là, ça fait en sorte qu'il y a des gens qui se font arrêter, ils se font relâcher. Quand on les attrape, quand on les a attrapés, vous dites qu'il y a des réseaux bien spécialisés. On essaie de leur mettre la main là-dessus, mais ils sont très bien... ils sont capables d'échapper aux policiers. [00:23:32] Speaker D: Exactement. C'est ce qu'on essaie de demander aux gouvernants depuis un bon moment. Donc on collabore avec les corps policiers. On trouve moyen d'asseoir les gens autour des tables. Le défi, c'est ça. C'est d'abord, est-ce qu'on peut renforcer les systèmes de justice? Ça, c'est une demande de base. De deux, est-ce qu'on peut renforcer les corps policiers, leur donner plus de ressources, puis surtout la capacité, puis les modèles pour agir? Là, comme ça, on va être capable de... Rappelez-vous le vol des voitures. Il y a deux ans, on a décidé d'en faire un enjeu national. Je pense que c'est de 40 % que ça a chuté, parce que tout le monde en a fait une priorité. Il faut le comprendre. Une voiture, quand vous faites voler, c'est le citoyen qui se fait voler. Quand le McAvery se fait voler, ce n'est pas le citoyen directement. Je comprends que les politiciens ont d'abord eu le réflexe de protéger les gens, mais là, il faut protéger les commerçants parce qu'on est tous des victimes de ça. Puis éventuellement, par écochet, c'est le prix des produits qui augmente, des commerces qui doivent fermer parce que la valeur des fois marchande de ce qui est volé, ça peut des fois aller jusqu'à 20 % de votre stock. Dans une année qui est perdue, 20 %, c'est votre marge de profit complicitée. Il ne va pas être profitable après ça. Donc, vous avez des commerces pour plusieurs, si on ne le gère pas, ils vont devoir fermer leurs portes et ça, c'est un gros problème. [00:24:36] Speaker A: C'est quoi les objets les plus volés? Parce qu'à un moment donné, Il y a quelques années, c'était peut-être l'électronique, mais là, je pense qu'à cette heure, c'est l'alcool puis la bouffe. [00:24:45] Speaker D: De tout, de tout, de tout. Même pour la nourriture, en passant, on en a vu. Je comprends qu'il y en a qui volent pour soi-même. Il y en a toujours, mais il y a des pièces de vente de viande qui valent très cher. Et ça, on a trouvé aussi qu'il y a des réseaux également de revente. [00:24:58] Speaker A: Oui, il y a des magasins spécialisés. Tout le monde a ça un peu, on a vu ça. Si tu veux de quoi, viens nous voir. Là, t'arrives là, c'est une caverne de Libaba, il y a plein d'affaires. [00:25:09] Speaker D: Exactement. Non, c'est de tout, honnêtement. Évidemment, les bijoux, c'est facile. D'abord parce que la valeur de revente est immense. La valeur de l'or a explosé depuis un an. Ça a doublé. Les produits électroniques, parce que ça se cache bien, c'est une bonne valeur de revente. Mais à peu près de tout, des vêtements, l'alimentation, tout passe au... Tout y passe, soit qu'ils revendent ou par réseau, par groupe individuel. Mais encore une fois, le problème, c'est qu'il faut envoyer le signal qu'à partir de maintenant, il y a des risques que vous allez s'attraper. Puis le système de justice va être plus sévère, mais ça, c'est les élus, c'est les politiciens qui doivent entendre le message et comprendre que quand on est rendu à 9 milliards, il faudrait peut-être qu'on fasse de quoi. [00:25:49] Speaker A: Oui, mais ils veulent-tu faire de quoi? Parce que je regarde du côté de San Francisco, on avait passé une loi au conseil municipal, puis en bas de 8 ou 900 $, les policiers se déplaçaient même plus. [00:25:59] Speaker D: Oui, ça, ça a été un peu démenti par la suite. J'avais vu la même nouvelle, mais quand on a fouillé un peu plus, ça, c'était peut-être pas exact, exact, mais l'idée était... [00:26:07] Speaker A: Mais c'est parce que moi, j'étais allé à Saint-François, il m'a donné, puis j'étais dans une pharmacie, puis tout était barré, puis c'était 800 $ plus 1. Donc le gars, il dit, ça va coûter 800 $ plus 1, mais mec, t'arrives à la caisse, je vais enlever le 800 $. [00:26:19] Speaker D: Oui, c'est ça. Mais des affiches comme ça, on en a vu, c'est-à-dire que vous avez raison, c'est-à-dire qu'il... pour faire peur un peu, Les commerçants, quand ils sont laissés à eux-mêmes, il leur reste quoi? D'abord, oui, des gardiens de sécurité, mais ça coûte cher. Il y a la disposition du magasin qui fait différence, donc de mettre, par exemple, vos produits les plus chers au plus loin dans le fond du magasin. Dans certains cas, comme vous l'avez dit, des fois, on bloque, il y a des porceaux de vitrine qui sont barrés pour certains produits. Mais un des gros problèmes qu'on a au Québec, et on est la seule province à être comme ça, ça fait moins d'un an, c'est une situation unique au Canada, Vous savez qu'il y a des caméras de reconnaissance faciale. Quand vous connaissez le voleur, quand vous savez c'est qui, puis là vous venez d'un grand magasin, c'est pas vrai qu'il y a des gardiens de sécurité qui se promènent avec des photos sur eux pour reconnaître les individus. Il y a des caméras qui font déjà ça grâce à l'intelligence artificielle. Or, le Québec a décidé de bannir ça. Donc, c'est plus légal depuis septembre 2024. On ne peut plus utiliser de caméra pour reconnaître des récidivismes. [00:27:14] Speaker A: Des réseaux? Ah oui, c'est ça, exactement. [00:27:16] Speaker D: Donc, le reste du Canada peut encore retrouver des récidivismes. Mais le Québec, depuis 2024, il faut carrément demander la permission aux voleurs d'utiliser son image. [00:27:24] Speaker A: Mais voyons! [00:27:25] Speaker D: Ça, c'est une gracieuseté nouvelle qu'on n'avait pas avant, mais qu'on a maintenant depuis moins d'un an. [00:27:29] Speaker A: Non mais ça c'est grave parce que à un moment donné ces gars et filles là sont dans un réseau et c'est organisé et les autres ils passent d'un commerce à un autre. [00:27:39] Speaker D: C'est pour ça qu'on appelle ça des caméras de reconnaissance faciale, parce qu'on reconnaît des visages qu'on connaît déjà. C'est des récidivismes. Et ça, au Québec, on n'a plus le droit de... Il faudrait vraiment qu'ils nous donnent le droit de les interpeller, ce que, je vous confirme, ils ne font pas. Donc, on n'a pas le droit. [00:27:52] Speaker B: Puis même, il y a des policiers qui nous écrivent en ce moment qui disent qu'on les arrête parfois, mais les procureurs de la Couronne ne veulent même plus porter d'accusations parce que c'est des dossiers qu'ils trouvent probablement qu'ils ont moins de temps puis que ça engorge le système de justice. [00:28:04] Speaker A: C'est quelque chose. [00:28:05] Speaker D: On collabore avec eux, mais ils nous le disent. Ils font beaucoup d'efforts, puis dès qu'ils arrêtent quelqu'un, ils se retrouvent en auto. Parfois, on a l'impression qu'il faut voler vraiment souvent, se faire arrêter vraiment souvent pour peut-être se retrouver avec un casier. Ça, c'est pas normal. Il faut vraiment changer la donne. [00:28:20] Speaker A: Ben là, il y a des détaillants qui prennent l'autoroute par les cornes. Je n'aimerais pas des détaillants, mais il y a des détaillants à Star, il y a des agents de sécurité, et on fiche les voleurs, puis on leur demande, on leur impose une amende. On leur donne une lettre comme de quoi, si vous remettez les pieds ici, vous devez nous payer 100 piastres là, puis si vous remettez les pieds ici, on va à la police. [00:28:40] Speaker D: Tout à fait. La limite qu'on a avec les gardiens de sécurité, c'est que c'est pas les policiers. Dans d'autres mots, quand vous êtes un. [00:28:45] Speaker C: Gardien, vous arrêtez et vous interpellez quelqu'un. [00:28:47] Speaker D: Tout ce que vous pouvez faire, c'est appeler la police puis attendre que la police vienne. Mais si la police ne vient pas, vous êtes obligés de le relâcher. Fait que les gardiens de sécurité, c'est valable pour dissuader, mais une fois que l'on a les pris et que vous avez attrapé quelqu'un, ils peuvent rien faire d'autre que d'espérer que la police réponde à l'appel. [00:29:01] Speaker A: Oui. Mais là, comment les détaillants peuvent s'organiser? Là, je regarde... On peut pas afficher les récidivistes, on peut pas les filmer. Gardien de sécurité, ça a une limite dispositive anti-vol. Bien là, peux-tu mettre un taxe sur chaque produit que tu as à vendre? Ça coûte une fortune? [00:29:15] Speaker D: Bien là, on fait des efforts. Le Conseil canadien du commerce de l'État, avec des corps policiers au Québec, on le fait. On le fait encore et il va y en avoir d'autres. Et on le fait dans le reste du Canada. On prévoit des blitz policiers. On décide pendant 2-3 jours dans certaines régions. On parle à la fois aux détaillants et aux policiers en disant pendant ces 2-3 jours-là, dès qu'il y a un appel, vous y allez tout de suite. puis la couronne est dans l'eau, puis ils font les choses un peu plus rapidement. Mais ça, on le fait 2-3 fois par année. Ça ne défait pas tous les réseaux, mais ça permet de retrouver des résidivistes. L'année dernière, ça a permis de saisir 121 armes, ce qui n'est pas rien. On a trouvé... bien, il devrait l'être juste pour ça. [00:29:50] Speaker A: Hé, mais c'est capoté, hein. C'est parce que là, c'est du vol à l'étalage, puis les gens sont armés. [00:29:55] Speaker D: Oh oui, tout à fait. [00:29:57] Speaker A: T'es... mettons que t'es un commis, toi, puis tu te dis, moi, je vais partir après, mais que je le vois, là, tu peux te faire descendre, là. [00:30:02] Speaker D: Qu'On ne peut pas faire ça. Il n'y a aucun état qui va demander à ses employés d'interagir. C'est pour ça que, parce qu'on n'est pas les policiers, il y a encore moins d'employés, on ne peut pas mettre personne à risque. Donc c'est pour ça qu'on a vraiment besoin de l'oreille des gouvernements. fédéral pour renforcer le système de justice, provincial également. Puis au niveau provincial, bien s'assurer que tout ce qui s'appelle sécurité publique, bien qu'on renforce ce travail-là parce que littéralement, au-delà du fait que le crime organisé s'intéresse au vol, c'est qu'on génère et on crée du crime organisé, littéralement. Ça veut dire que les gens comprennent que C'est un nouveau champ d'expertise et d'activité en quelque sorte. Trop peu punis. Littéralement, c'est comme si on créait une maternelle du crime qui grandit très rapidement parce qu'on ne s'en occupe pas trop peu. Et les commerçants, personne ne s'occupe d'eux à eux. C'est ce qu'on fait pour essayer de les aider, mais c'est trop peu. [00:30:48] Speaker B: C'est sûr que le mot se parle, centre criminel. Il n'y en a pas de poursuite. Donc, c'est un milieu qui est facile, qui est en explosion. Voilà. [00:30:57] Speaker D: C'est ça. Mais là, nous, on fait quand même des efforts. Par exemple, le 3 octobre prochain, on réunit la Sûreté du Québec, la Sûreté de la police de Montréal, des compagnies qui sont experts en technologie, en caméra. Il y a également des avocats pour parler des limites qu'on a avec tout ça. On fait des événements comme ça où à la fois des détaillants, des policiers, des experts se réunissent. Mais c'est un travail de longue haleine, mais il faut vraiment que les élus tendent l'oreille et acceptent de reconnaître que c'est un gros problème. [00:31:23] Speaker A: C'est un gros problème. Les primes d'assurance aussi, pour ces détaillants-là, ça doit coûter une fortune maintenant, s'assurer, parce qu'on comprend qu'il y a peut-être une partie qui est compensée par les assurances, mais sachant que tout le monde se pogne le beigne au taux, C'est-à-dire les forces de l'ordre, dans la mesure où ils sont pas capables de venir, où ils viennent, mais ils interviennent. Les procureurs qui sont pas capables ou ils veulent pas porter des accusations. Un moment donné, il va falloir que tout le monde s'assoie puis qu'ils se parlent. [00:31:46] Speaker C: Et les compagnies d'assurance... [00:31:48] Speaker A: Dans le cas des autos, des vols d'autos, c'est les compagnies d'assurance aussi qui ont comme fait virer le mot de bord. Parce qu'ils ont dit à un moment donné, les primes vont augmenter. [00:31:58] Speaker D: Tout à fait. La voiture, c'est simple, parce que chaque voiture est liée au régime d'assurance. Par contre, le produit sur l'étagère, d'abord, ce n'est pas vrai que vous avez un pan réel qui a été volé. Comment vous le prouvez qu'il était volé? Après, pour un détaillant, c'est pas facile de faire la démarche de récupérer. Surtout qu'en bas d'un certain montant, est-ce que ça vaut la peine que mes assurances augmentent? C'est malheureusement tout ça qui est malheureux. L'idée, c'est est-ce qu'on peut tout faire pour dissuader le crime, envoyer le signal au criminel que non, non, cette fois-ci, si vous le faites, vous risquez de vous faire attraper et ça va laisser... Vous allez vous faire prendre et ça va laisser une grande tâche sur votre dossier, vous pourrez plus rien faire après. qu'on envoie le signal que c'est plus un crime impuni. C'est pas égal partout. C'est pas égal partout. Donc, les oreilles se tendent. Les changements reviennent pas rapidement, rapidement. Dans certaines provinces, oui. Pour que vous cherchiez, par exemple, le Manitoba, eux autres, ils ont pris le cheval, ils ont pris le taureau par les cornes. Ils étaient en mode écoute, ils ont travaillé, ils ont maintenant une équipe, une escouade tactique spécialisée dans le vol au détail. Ils ont ajouté des procureurs autour de la table, des policiers, des détaillants. Mais c'est pas toutes les provinces qui sont à ce niveau-là. Au Québec, on a encore un travail à faire, malheureusement. [00:33:12] Speaker A: Est-ce qu'on pourrait avoir ça au Québec, une espèce d'escouade par ville? [00:33:14] Speaker D: C'est ce qu'on veut, c'est ce qu'on souhaite. [00:33:15] Speaker A: C'est-à-dire que les camps policiers ici, le SPVQ à Québec, le SPVM à Montréal, une équipe dédiée au vol, parce que ça devient fléau. Puis là, les citoyens, les autres, écoute, à un moment donné, es-tu en sécurité dans un commerce où il rentre une gang puis il vide les étalages? [00:33:31] Speaker D: Mais on a parlé déjà de tout ça au gouvernement. Ça va prendre encore un peu. Des fois, ça peut prendre. Quand les mesures nous aident à faire comprendre à quel point c'est un problème qu'il doit être, on ne peut plus prétendre qu'on ne le savait pas. Une entrevue comme ce matin, puis n'importe quelle mention des attaques va aider les détaillants à faire entendre leur voix. Merci en passant, mais il va falloir qu'on répète ça souvent pour que l'on va donner une politique de dire, OK, OK, j'entends l'appel, je vais faire de quoi. [00:33:54] Speaker A: Bien, on l'espère que ça sera entendu, Michel Rochette du Conseil canadien du commerce au deux-temps. Merci beaucoup et au plaisir de l'avoir parlé. Merci à vous. Bye-bye. [00:34:00] Speaker B: À bientôt. [00:34:01] Speaker D: Au revoir. [00:34:01] Speaker A: C'est un fléau. Moi, je travaillais à l'éventable. Je travaillais chez HMV. [00:34:05] Speaker B: Oui. [00:34:05] Speaker A: Il n'y a pas plus les cibles. [00:34:08] Speaker B: Tu travaillais là, moi aussi. [00:34:08] Speaker A: Des CD, ça en faisait-tu voler? [00:34:10] Speaker B: Des cassettes, des CD, des DVD. [00:34:12] Speaker A: Moi, je partais Kamikaze Day, quand c'était le premier du mois. J'appelais ça le Kamikaze Day. [00:34:17] Speaker B: Tu m'étais à la porte, tu checkais. [00:34:19] Speaker A: J'étais en fleurs de lys. [00:34:20] Speaker B: Kamikaze Day. [00:34:22] Speaker A: Puis là, on partait. Un moment donné, moi, j'ai coulé. Je l'ai vu là, le voleur, il a passé, il est sorti, il a fait le tour du cirque dans le stationnement, moi je le suivais, il était en hiver. Tu sais, là je l'ai repogné, il est rentré dans un autre sorti, j'ai dit « Hey, toi viens ici ». Puis là, il y avait à peu près 10 CD, 10 cassettes. Là, il faut que tu te pognes, il faut que tu t'en retournes avec au magasin. Là, j'ai perdu à peu près... Là, t'appelles la police. Ça a pris... Ils sont venus, ça a pris une demi-heure. Là, moi je suis dans le backstore. Là j'ai tout le stock volé pis c'est quoi qu'il a fait pendant qu'il était dans le backstore pis j'étais avec là. Il a re-volé du stock. Fait que la police a refouillé le gars, il avait rempli ses poches dans le backstore. C'est un jeu de fou. [00:35:01] Speaker B: Mais tu sais, il y a une époque où il y avait dans les grandes chaînes de magasins, parce qu'eux autres ils avaient moyen de se payer ça, des détectives de magasins comme chez Sears, mettons. [00:35:07] Speaker A: Simon's a ça, ils ont tout. [00:35:09] Speaker B: Exactement. Ils avaient pas moyen de mettre, je sais pas, je comprends que... [00:35:12] Speaker A: À ce temps-là, elles donnent des amendes. Tu te fais pogner pour un vol à l'étalage, l'agent il t'amène dans un bureau puis il dit là, on te poursuit. Là, ils poursuivent le gars avec un montant, puis ils disent si tu te refais pogner, c'est la police. [00:35:25] Speaker B: Oui, c'est ça. Mais c'est pas tous les commerces qui sont capables, qui ont les moyens de payer une escouade comme ça. [00:35:32] Speaker A: Ça coûte une fortune, mais quand tu dis, il s'est rendu 9,2 milliards à l'échelle du pays. [00:35:37] Speaker B: Pouvoir à table. [00:35:37] Speaker A: Parce que là, je comprends qu'il y a des assurances, mais les primes d'assurance explosent. Là, ça se répercute dans le prix de tout ce qu'on paye. [00:35:44] Speaker B: On dit que maintenant, le vol d'essence pourrait devenir une épidémie aussi. [00:35:49] Speaker A: Ben oui, le vol d'essence. Il y a des stations-service que tu peux plus payer d'avance. En fait, il faut que tu payes d'avance avec ta carte de crédit ou tu vas payer en dedans. Par exemple, si je mets 40$, il te pique dans la gueule. [00:36:03] Speaker B: Ça va devenir comme ça partout maintenant. Tu vas être obligé de payer d'avance. À un moment donné, c'est sûr qu'il va arriver. [00:36:09] Speaker A: Le vol de gaz, ils se font voler partout. T'appelles la police, ils viennent pas. Ou s'ils viennent, ils prennent une demi-heure, trois quarts d'heure parce qu'ils ont d'autres choses à faire. Pour les vélos, ils viennent même plus. Pis là c'est un vélo de 5000 qui s'est fait voler là. Imagine-tu pour une affaire un CED, ben il n'a plus de CED là, mais je sais pas moi, des bonbons ou je sais pas quoi. Ils viennent pas. [00:36:31] Speaker B: En bout de ligne c'est nous autres qui payent. [00:36:32] Speaker A: Parce qu'après ça, la police elle a rempli son rapport pis elle s'en va voir le procureur ou des PSP pis. [00:36:37] Speaker B: Là... Ouais, pas trop bonne accusation. [00:36:38] Speaker A: Des PCP. [00:36:41] Speaker B: Les autres, ils disent que ça donne rien. On n'emporte pas d'accusation, c'est un dossier qu'on va travailler dans le vide. [00:36:47] Speaker A: Donc, regarde, c'est ça, la réalité. Puis en plus, l'histoire, je savais pas ça au Québec. [00:36:52] Speaker B: T'es obligé de demander pour diffuser sa photo. [00:36:54] Speaker A: Excuse-moi. [00:36:55] Speaker B: Excuse, t'as volé. Ça te dérangeait-tu qu'on mette ta face dans le commerce? Ouais, non, ça me dérange. OK, c'est beau. Bonne journée, là. [00:37:02] Speaker A: Parce qu'ils se vendent des logiciels de reconnaissance faciale, parce que vous le savez pas, quand vous rentrez dans un commerce moindrement structuré, il y a un gars aux vidéos Lui, là, il va à des écrans, puis il va de face, là, à ressort. Si vous êtes fait pogner dans une gang, dans une histoire de vol de commerce, de vol d'installage, bien, il va de face à ressort. [00:37:20] Speaker B: Bien oui, parfait. [00:37:21] Speaker A: Puis là, il vient de te voir, puis il vient de te dire «Excusez, on vous demanderait de quitter». [00:37:25] Speaker B: Mais tu sais, il y en a des commerces qui affichent les photos, là. En théorie, ce serait illégal, mais penses-tu que le voleur va retourner là pour dire « Ouais, enlève donc ma face », là? [00:37:33] Speaker A: Bien, ils reviennent avec des masques. Souvent, ils reviennent avec des... Tu sais, ils voient, ils ont des calottes sur la tête, puis là, ils ont des... un hoodie, là, puis une... Voilà. Bien, écoute, ça fait beaucoup, beaucoup parler, justement. En effet, après la pause, une autre affaire qui fait beaucoup parler, c'est le remaniement de François Legault. Qu'est-ce qui va arriver? Comment on fait un remaniement? On en parle avec Luc Ouellet. Coup dur. [00:37:54] Speaker F: Petite pause. On revient dans pas longtemps. [00:37:57] Speaker A: Dans le mid. [00:37:58] Speaker D: Ouais. [00:37:58] Speaker A: Radio X. Le Carbo. [00:38:01] Speaker F: Carbo. [00:38:02] Speaker C: Chaud. [00:38:03] Speaker F: Chaud. Avec Carbo. [00:38:06] Speaker B: Oui, avec Carbo. [00:38:07] Speaker F: Lundi au jeudi, 18h. [00:38:09] Speaker A: Radio. [00:38:11] Speaker B: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. Un vrai clé en main pour les entrepreneurs en construction. Avec nos formations bilingues et hybrides, en classe ou en ligne, outillez-vous pour obtenir votre licence RBQ avec des horaires flexibles, conciliés études, travail et vie de famille. GroupeGSC.com. Votre avenir en construction commence ici. À Laval, Brossard, Gatineau et Québec, au 1995, Franck Carrel, Groupe GSC, formés pour bâtir. [00:38:44] Speaker F: Qu'On vous reconnaisse au quotidien par votre regard captivant, votre sourire éclatant ou votre style extravagant. Votre identité est unique et elle vous permet d'accéder aux services en ligne du gouvernement du Québec en quelques clics. Le service d'authentification gouvernementale. C'est simple, rapide et sécuritaire. Créez votre compte dès maintenant au québec.ca baroblique authentification gouvernementale. Un message du gouvernement du Québec. [00:39:11] Speaker A: S'il y avait un camp de recrutement pour devenir véhicule certifié d'occasion Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan, il y aurait beaucoup d'appelés et peu d'élus. Car ce n'est pas n'importe quel véhicule qui peut entrer dans la famille. L'équipe les teste, les inspecte et garantit qu'ils donnent encore leur 100 % en tout temps. Profitez du financement à partir de 2,99 % et des plus, dont le programme. [00:39:32] Speaker B: De changement de la vie. [00:39:33] Speaker A: Vous verrez que même d'occasion, votre Nissan du groupe Paquette est encore au sommet de sa forme. Détails chez Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan. [00:39:41] Speaker F: Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière. 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[00:42:48] Speaker A: Alors que le suspense demeure concernant le remaniement ministériel promis en juin dernier et prévu ce mercredi par le premier ministre François Legault, la ministre de la Famille, Suzanne Roy, et le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, André Lamontagne, ont annoncé durant la fin de semaine qu'ils ne se présenteront pas à la prochaine élection et qu'ils céderont leur ministère, tout en terminant leur mandat pour éviter le déclenchement d'élections partielles avant la générale du 5 octobre 2026. Le voisinage a tranché. Il n'y aura pas de bruit lors des 15 matchs de football annuels de l'Académie Saint-Louis. C'est le résultat d'un référendum fait auprès de 101 résidents du secteur qui ont voté en faveur du maintien du règlement dans une proportion de 75 %, ce qui veut dire que l'utilisation d'un système d'amplification et autres sources de bruit demeure interdite. Déçu du résultat, le maire marchand proposera une motion spéciale le 16 septembre pour permettre que les enfants continuent de jouer au football. Use. [00:43:45] Speaker F: Adieu. [00:43:47] Speaker B: Présenté par la liquidation totale des modèles 2025 chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. Le Rogue, la Sentra et le Kicks sont offerts à 0 % d'intérêt à l'achat sur 48 mois. À ce prix-là, c'est le temps de changer. [00:44:00] Speaker F: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79 $ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:44:15] Speaker B: Couture. [00:44:16] Speaker A: Attendez-vous que vous ayez tout sur table. Dans le Myd. [00:44:19] Speaker F: Avec Pierre Couture. [00:44:20] Speaker A: Ouais. [00:44:21] Speaker F: Et Nick Cloutier. [00:44:22] Speaker A: Ouais, ouais. Radio X. Ça a débloqué sur l'autoroute. [00:44:29] Speaker B: Il y a deux affaires. Premièrement, l'autoroute 20 était fermée à la hauteur de route Lagueux. Autoroute 20 ouest en raison d'un accident qui est survenu beaucoup plus tôt ce matin. Ce serait un signaler ou un travailleur de la construction qui aurait été happé dans ce coin-là vers 5h40 ce matin. On semble avoir rouvert l'autoroute 20 à cet endroit-là. Par contre, autoroute 20 ouest, vers un peu avant Chemin des îles, là, c'est le bordel parce qu'on a eu dans les dernières heures, les dernières minutes, une perte de chargement. La voie droite qui est bloquée sur l'autoroute 20, on dit perte de chargement, ramassage en cours à la hauteur de Chemin des îles. Fait que... [00:45:02] Speaker D: Voilà. [00:45:02] Speaker A: Mais il faut être patient dans ce coin-là, hein? [00:45:04] Speaker B: Oui. [00:45:05] Speaker A: C'est-tu le bordel? [00:45:06] Speaker B: Ils étaient supposés faire trois voies, mais ils le feront pas. parce qu'ils n'ont plus d'argent. [00:45:10] Speaker A: C'est vraiment le bordel dans ce coin-là. C'est un des coins les plus bordéliques. [00:45:14] Speaker B: Avec... Avec la 73. [00:45:16] Speaker A: Oui, puis avec Capitale-Laurentienne. Quand Laurentienne descend, les gens arrivent vers la Capitale. [00:45:23] Speaker B: C'est le fun, on fait des travaux. [00:45:25] Speaker A: Oui, mais c'est complètement bordel. Voilà, il est là, notre chroniqueur Luc Ouellet. Luc, comment vas-tu? [00:45:31] Speaker C: Ça va très bien et vous? [00:45:33] Speaker A: Oui, ça va bien. Écoute, comment va François Legault ce matin? [00:45:37] Speaker C: C'Est incroyable. J'ai vu... On en a parlé, puis là, j'ai jamais vu. Premièrement, il annonce son remaniement à l'avance. Là, il y en a... Ça permet à des députés comme Pierre Dufour de dire dans notre région aux après-ministres. Il exclut Dufour du caucus. Ça va de mal en pied. Là, il rencontre ses ministres, puis il dit... C'est Ménès qui dit que je ne me représente pas. Bien, il n'est pas au conseil des Ménès. Alors, il est dans une dynamique où la stratégie est claire, pour moi, Pierre, c'est bien clair. Lui, il dit que les Québécois, ils veulent du changement. En procédant à un méga remaniement, le gouvernement veut démontrer qu'il peut être celui qui incarne ce changement-là. Et c'est ça, lui, sa pensée magique. Il se dit, je vais faire un remaniement, je vais avoir plein de nouvelles aux visages. Puis il est dans une dynamique où ça s'appelle un peu gérer une défaite. Il dit, si ça continue comme ça, je vais avoir zéro député. Je peux-tu continuer avec la CAQ, puis en garder 10, 15, 20 peut-être, et de rester en vie? Parce que de la façon dont il s'en va là, le résultat de la prochaine élection, il faut se dire la vérité, ça ressemble à zéro député. [00:47:02] Speaker A: Alors, c'est épouvantable. Mais est-ce que ça peut être une stratégie en deux temps? C'est-à-dire que, oui, un remaniement où on amène des visages complètement nouveaux à tout le monde, on essaie d'incarner le changement, mais si jamais, au fait, ça pogne pas, bien là, c'est le chef qui part. [00:47:18] Speaker C: Bien, t'sais, moi, il se conduit comme quelqu'un qui veut rester, mais je suis d'accord avec toi, là. À un moment donné, il va évaluer ça pendant les fêtes, si ça n'a pas bougé, parce que la vérité, là, moi, j'ai participé, j'ai analysé ça et remaniement, là, c'est jamais un game changer. Ça peut aider, mais ça ne fait pas changer l'aiguille. Ils ne prendront pas 10 points demain matin dans le prochain sondage. Alors, c'est une possibilité que ça soit il y a deux temps. Ils analysent ça. Puis il dit, ben après les fêtes, pendant les fêtes, je pense à ça, puis je m'en vais. Parce que c'est la seule façon de les garder en vie. Puis c'est la seule façon pour lui de sortir honorablement. Parce que là, c'est une comédie, mauvaise gestion du gouvernement, mauvaise gestion du Conseil des ministres, mauvaise gestion du caucus. [00:48:11] Speaker A: Parce que là, ce qu'on voit, c'est une implosion interne. Là, on est en train d'exploser par l'intérieur. Et ça, c'est dommageable. Écoute, le gars de la B-T-B, puis ça s'invente pas, il y a personne de la B-T-B qui représente la B-T-B au Conseil des ministres. [00:48:25] Speaker C: Il a raison. Lui, là, il dit... En plus de ça, il l'expose sur le coup de la colère. Si tu écoutes M. Dufour, il dit, on l'aurait pu se parler. La seule chose que j'ai dit, ça sera bon dans le prochain remaniement, puis il a pas dit que lui, il s'est pas nommé lui. qu'il y ait quelqu'un au conseil des menaces, c'est légitime. Quand t'es en crise, là, tu prends ta pelule, tu prends une gorgée d'eau, tu ravales, puis tu vas discuter avec le gars, tu l'expules pas du caucus, parce que là, là, il est pas en position pour exercer... C'est une dictature. Ça va mal, ça pète de partout. Puis le remaniement, c'est vrai, c'est une occasion en or de rentrer des nouveaux visages. Je pense en région de Québec, là. J'ai jamais compris pourquoi un gars comme Jean-François Timor, un jeune dynamique député, jamais de coche mal taillée, qui a été ministre d'État sur le gouvernement du Parti québécois, il nomme pas ministre dans la région de Québec, il l'a pas nommé sur une occasion. Moi, je pense qu'il va le monter. Il va peut-être monter Poulain-Lambeau, peut-être Lévesque-Chapeleau. Il va rajeunir son conseil des ministres, mais ça sera pas assez. [00:49:38] Speaker A: Est-ce que Geneviève Guilbeault et Bonnardel vont être tassés à tout le moins? [00:49:43] Speaker C: Parce qu'on va... Oh! OK. OK. [00:50:00] Speaker A: Est-ce qu'elle va perdre son titre de vice-première ministre parce que ça aussi, ça peut faire mal? [00:50:06] Speaker C: Il est dans une situation délicate, mais je pense que s'il veut jouer le tout pour le tout, puis démontrer qu'il incarne le changement, il va être obligé de lui enlever ce titre-là pour le permettre de le nommer à quelqu'un d'autre, puis de donner un visage qui n'a pas eu de problème au cours des derniers mois dans aucun dossier. Alors c'est une possibilité. On parle de Mme Lebel, on parle de Mme Fréchette. On pourra même y aller... à l'extérieur aussi de Québec. Là, j'ai hâte de voir qu'est-ce qui va se passer. [00:50:40] Speaker A: Parce que Mme Fréchette a pas mal fait. Elle a pris la relève de Fitzgibbon, elle a ramassé la soie à cochon, là, puis il y en avait une grosse, là. Mais tu sais, tu vois, il y a pas de faux pas, là. Elle a annoncé la semaine dernière à la Nord Vault, là, mais à date, elle fait bien ça, là. Il y a pas de dérapage, là. [00:50:56] Speaker C: C'est intéressant ce que tu dis, Pierre. Au cours des derniers jours, depuis l'annonce d'HonorVote, tout le monde qui l'a vu en entrevue trouve qu'elle s'est très bien sortie d'affaire. Elle répond aux questions, elle a de l'aplomb. [00:51:14] Speaker A: Elle essaie pas de t'embobiner la cassette comme d'autres font, et qu'ils parlent, puis qu'ils parlent, puis qu'ils parlent, puis qu'ils parlent, puis qu'ils parlent, puis qu'ils parlent, parlent, puis qu'ils parlent, parlent, puis qu'ils. [00:51:20] Speaker C: Parlent, puis absolument, qu'ils parlent, t'as raison. Puis elle a démontré sa capacité de communiquer puis clairement, puis pas avec une cassette, en répondant très clairement aux questions. Puis tu l'as dit aussi, là, elle ramasse des dossiers merdiques, là, où on investit beaucoup d'argent, les Québécois. Elle est allée défendre nos votes. Elle va dire qu'on va se concentrer pour récupérer l'argent du terrain, même si c'est un trou de 500 millions en bout de ligne, là, dans... dans le bodelang des Québécois, mais elle a fait face à la musique. Elle est stratégiquement aussi, comme on l'a dit, ils ont annoncé ça la journée où le premier ministre passait à la commission Galland, là, ça mêlait un peu, ça enlevait un peu de chaleur sur ce dossier-là, mais elle a très bien fait ça, tu as tout à fait raison. [00:52:10] Speaker A: T'as participé à des compositions de remaniement ministériel par ton travail dans le passé. Comment ça se fait? Comment on procède? Parce qu'on doit y aller avec doigté, mais aussi on doit aller rapidement. Là, le gars, il l'a annoncé deux mois d'avance. Ça, c'est une autre affaire. Mais normalement, tu fais ça comment? Parce qu'un remaniement, normalement, c'est un joker dans ton jeu. [00:52:30] Speaker C: Exact. Normalement, comment ça se passe? Tu penses à faire un remaniement le jeudi ou le vendredi. tu te rencontres un petit groupe très restreint avec le premier ministre le samedi, et le premier ministre arrive avec sa liste. Voici qui j'ai l'intention de nommer, puis où. Avez-vous des commentaires? Qu'est-ce que vous pensez de ça? OK? Puis c'est un exercice très périlleux. Il n'y a pas un premier ministre qui aime ça, parce que savez-vous pourquoi? Quand t'es au pouvoir, t'es majoritaire, tu fais plus de mécontent que de content. Là, on parle de 82 députés, on va en rentrer 28. Ça veut dire qu'il va en rester plus que 60, qui n'auront rien. Fait que là, on procède, puis on se dit, je vais nommer tel dossier majeur qui s'en vient au gouvernement, j'ai besoin de quelqu'un de solide, qui a de l'expertise dans tel et tel dossier. Le dimanche matin, ils commencent à rencontrer dans un hôtel, très rapidement, un après l'autre, et Ménès se dit, j'ai l'intention de te nommer à tel poste. Tu vas passer à côté, tu vas rencontrer mon chef de cabinet et son équipe. On va te dire qui va être ton chef de cabinet, puis comment... quels sont les dossiers majeurs sur lesquels il faut que tu travailles. Et le lundi matin, il s'en va à l'Assemblée nationale, puis la composition. Ça se fait dans un très court laps de temps, avec pas beaucoup de personnes. Et comme je le dis, J'ai même participé, Pierre, sans nommer le premier ministre, là. Et il fait un remaniement ministériel. On se réunit le samedi, il nous explique tout ça. On se reparle le dimanche. Dimanche soir, il nous appelle Jean Fapu. Et si je vais faire trop de mécontents, je décide de pas en faire. [00:54:16] Speaker A: OK, il avait été sentir l'odeur, là, hein? Il a jaugé... [00:54:20] Speaker C: Exact. [00:54:21] Speaker D: Exactement. [00:54:21] Speaker A: Il a jaugé la grogne potentielle dans son parti. Dans le cas de Legault, là, c'est mercredi qu'on nous annonce le remaniement potentiel. D'après toi, il a rencontré son monde, là? [00:54:32] Speaker C: Il a déjà rencontré. Il les a peut-être pas rencontrés pour leur dire où il allait nommer, mais il les a rencontrés pour savoir si les minesses actuelles se représentaient. Parce qu'à un an de l'élection, si ton ministre se représente pas, c'est une opportunité de faire rentrer quelqu'un d'autre puis donner une visibilité pour la prochaine campagne électorale. Parce que ça va y prendre des stars, là. Écoute, ça brille pas beaucoup pour l'instant. Ça va prendre des jeunes, ça va prendre du monde en campagne électorale. Puis au cours de la prochaine année, qu'ils vont se démarquer, qu'ils vont arriver avec une nouvelle philosophie. Puis oublie pas, là, on proroge la session. fait qu'on va revenir avec des nouveaux projets de loi, un discours d'ouverture avec des nouvelles priorités. Alors j'ai hâte de voir comment ça va se passer, sur quoi il va... Il est obligé d'aller dans des mesures, Pierre Pinay, qui sont grand public, qu'on appelle adhésion. Ça veut dire que quand il va sortir telle chose, il y aura pas d'opposition. Tout le monde va dire que c'est une bonne idée. Je pense à une idée, là. son histoire des véhicules électriques. Est-ce qu'il pourrait repousser la possibilité? Parce qu'il y a eu beaucoup de contestations là-dessus. Il faut qu'il fasse le ménage pour se présenter à la prochaine campagne électorale avec pas de dossiers épineux. puis des dossiers où le monde va avoir de l'adhésion, puis ils vont supporter ces projets de loi-là, puis ces nouvelles priorités. Pas facile à faire, mais c'est la seule chose qu'il peut essayer. [00:56:07] Speaker B: En même temps, à tout près d'un an des élections, Luc, vont-ils avoir le temps de changer la machine de bord, tu sais, de prendre des dossiers puis de les amener à terme? Parce que ça me semble que l'âge de temps est très court. [00:56:21] Speaker C: Nick, t'as tout à fait raison, mais j'ai appris une chose en politique. Un an, d'une éternité, t'sais. OK? Puis là, revenons au fédéral, même si c'est différent. Revenons à ce qui s'est passé. Les libéraux à terre, 15 % d'aide sondale. [00:56:38] Speaker A: Ah, Justin, tout le monde voulait la tête à Justin. [00:56:40] Speaker C: Tout le monde, hey, du mécontentement. Imaginez-vous, des députés puis des menaces qui se rencontrent pour dire qu'il faut que notre chef s'affaire. Il est le premier menace. Donc la grogne était là, là. On se souvient pas de ça, là, mais ça brassait autant chez les libéraux, sinon plus, que ça brosse à la CAQ présentement. Et abracadabra, le magicien arrive, bang! Gouvernement presque majoritaire. Alors qu'il y a... Hé! C'est de la magie. Alors, t'as raison, Nick, c'est un bon point, le temps il faut. Je pense que le lien de confiance avec la CAQ est brisé. Par contre, on sait jamais ce qui peut arriver. Oublions pas que celui qui domine dans les intentions de vote, qui ferait un référendum dans le premier mandat. [00:57:29] Speaker A: Oui, ça, c'est un peu cow-boy, là. [00:57:31] Speaker C: Peut-être que les gens vont réfléchir. Peut-être qu'il va se passer de quoi. On n'a pas vu malheureusement encore l'effet Pablo Rodriguez à date, mais honnêtement, il y a pas de... [00:57:43] Speaker A: Il y a de la misère, hein? Il y a de la misère, Pablo, là. [00:57:46] Speaker C: Il y a de la misère, puis on voit pas de résultat. Honnêtement, il est très absent, là, au lieu de... Je sais pas ce qu'il a fait cet été. Je dis pas qu'il a pas rien fait, mais il aurait dû faire une tournée du Québec en région, partout, rencontrer les médias régionaux, être omniprésent, les présidents d'associations. Un peu comme Jean Charest a fait, M. Bourassa a fait à l'époque. Bernard Landry, tous les... Hey, t'aspires à devenir premier ministre, là. Tu veux pas regarder à la télévision ce qui se passe à l'actualité. Faut que t'accrues l'actualité. [00:58:19] Speaker A: Ah oui, puis il l'a manqué, regarde, Artabasca. Il était pas là pantoute. Ils ont fini quoi? Troisième, quatrième, les libéraux? [00:58:26] Speaker B: Ils étaient loin. [00:58:27] Speaker A: Pas les libéraux, les caquistes. Oui, non, mais c'est ça. Mais les libéraux, on parle de Pablo. [00:58:32] Speaker B: Pablo, t'étais pas là du tout. [00:58:34] Speaker A: Puis dans l'histoire de la comparution à Commission Galant, c'est Montcef Derragy qui mène le show. Pablo est pas là pantoute. [00:58:41] Speaker C: Ah non, oui. Alors, c'est difficile. On sait pas ce qui va se passer. Il fait le tout pour le tout en procédant à un méga remaniement parce que tu analyses ça. La montagne, la forêt, ça part. [00:58:58] Speaker A: Mais c'est du monde qui n'avait pas dit qu'il partait, tu comprends? Là, il est obligé de... Ça, c'est du monde qui, d'après moi, dans les dernières semaines, a décidé qu'il... Tu sais, André Laforêt qui claque la porte. Là, il est pogné avec son jeu de cartes qui rétrécit. Ça va être hyper intéressant de voir comment il va se démener, puis comment il va essayer de faire en sorte que la CAQ remonte. Et selon moi, il y aura des décisions à prendre au fight. Et la marche de la neige, des fois, c'est porteur de décisions. [00:59:27] Speaker C: Mais il y a déjà la tempête, il manque juste la neige. C'est un élément important, mais très intéressant à suivre. Je vous le dis, en politique, ça change très rapidement. Je pense que le lien de confiance est brisé. Par contre, on ne sait pas ce qui va arriver. On en parle, le référendum, est-ce qu'on est encore dans une situation où ça peut faire peur à certaines personnes? au niveau économique quand on a des problèmes et qu'on a besoin de se regrouper au lieu de se diviser. Tout est sur la table. Chose certaine, cette semaine, La patinoire est à lui, puis on va voir s'il va se carrer dans son but ou bien s'il va être capable de compter un but dans le but adversaire. [01:00:13] Speaker A: Parce qu'à la commission, il y a l'air que ça va repartir dans les prochaines heures, les prochains jours aussi. Ça fait qu'on va l'apprendre là aussi. Luc Ouellet, merci beaucoup de tes lumières et au plaisir de se reparler. Bye-bye. [01:00:22] Speaker C: Merci. Bonne journée, les gars. [01:00:24] Speaker B: Pareillement. [01:00:25] Speaker A: Bye-bye. Voilà, Luc Ouellet, qui a travaillé à la composition de certains... ministères. Oui, des remaniements pour les gouvernements. [01:00:34] Speaker B: Conseil des ministres. [01:00:35] Speaker A: Oui, il travaillait notamment avec Jean Charest, Brian Mulroney aussi. Et c'est ça qu'il disait, là. Tu sais, tu jauges, puis à un moment donné, je vais faire un remaniement le samedi matin, puis le dimanche soir, tu dis, oh, oublie ça. Oublie ça, c'est la foire épaugnée. Tu veux brasser ta game, puis finalement, tu t'aperçois qu'ils veulent toute ta peau, ils veulent ta tête, ils veulent te mettre dehors. Voilà. Hé, la question. Après la pause, on ouvre les lignes. [01:00:59] Speaker B: Bien là, on ouvre ça sur l'histoire de l'Académie Saint-Louis. Hier, référendum. Résultat, c'est 76 personnes, je pense, qui sont contre. [01:01:09] Speaker A: Sur 101. [01:01:10] Speaker B: Sur 101. Donc, il n'y aura pas de bruit, normalement, lors des matchs de football à l'Académie Saint-Louis. Mais la question, c'est est-ce que l'ambiance sonore, musique, annonceurs, trompettes, tu sais, du bruit durant un match de football, est-ce que ça fait partie de l'expérience ou bien pour vous, c'est un dérangement qui est inacceptable. Est-ce que vous êtes pas au compte, en fait? [01:01:30] Speaker A: Oui, puis les politiciens se sont traînés les pieds là-dedans. Là, t'as Marchand qui dit... le même Marchand, il dit, je vais faire de quoi? Mais t'aurais peut-être pu le faire, là, deux semaines. T'as attendu qu'il y ait des élections, puis qu'on rentre en campagne électorale pour changer le règlement. T'sais? Mais en même temps, une école, un terrain de football... [01:01:47] Speaker B: Mais c'est lui qui a dit match, là. [01:01:48] Speaker A: Il y a du bruit, là, c'est sûr, là. Je veux dire, il... Ces jeunes-là jouent dans un gigue organisé. C'est incroyable. Donc on veut vous entendre. [01:01:56] Speaker B: On revient après la pause. [01:01:59] Speaker A: Couture. [01:02:00] Speaker F: Restez là, on revient dans un instant. [01:02:03] Speaker A: Dans le Myd, Radio X, Ouellet, en direct. Pas drôle, Max. Où est-il trouvé ça drôle, lui? [01:02:09] Speaker F: Je sais pas qu'est-ce qu'il a. [01:02:11] Speaker A: Il a-tu pris de la drogue? Il est arrivé tard, hein? [01:02:13] Speaker F: Non, mais il est léger, Max, à matin. Moi, je le soupçonne qu'à matin, c'est un bon été. [01:02:17] Speaker A: D'accord, on a des matins qui sont très légers. Tu penses que je suis rayonnant. Je suis léger. [01:02:23] Speaker F: Tu vois, regarde. [01:02:25] Speaker A: Il est comme incontrôlable. Ferme-tu ta boîte? [01:02:27] Speaker B: Ah oui, si vous voulez. [01:02:28] Speaker A: 1000 piastres pour le sapin, je suis femme maillot. [01:02:36] Speaker F: En voiture. [01:02:47] Speaker A: La sécurité de la famille, c'est ce qui compte le plus. Chez Charlebourg-Toyota, on vous accompagne sans tracas dans le choix d'un véhicule fiable avant, pendant, après. L'événement du mois repartait en Toyota, le BZ4XLE 2025 à partir de 99 $ semaine, location 48 mois, 16 000 km par année avec 4700 $ d'accompte, plusieurs en inventaire disponible pour livraison 24-48 heures, inclut également un incitatif de 11 000 $ à l'achat ou à location, les rabais gouvernementaux de 4000 $ ainsi que l'incitatif client de 7000 $. 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Allez au-delà des préjugés avec Une Époque Formidable, mercredi 20h à Télé-Québec. [01:04:10] Speaker F: Vous avez des points PC Optimum? Obtenez-en encore plus pour vos points pendant le super événement d'échange de points chez PharmaPrix. Du 5 au 10 septembre, obtenez jusqu'à 900 $ de rabais lorsque vous échangez jusqu'à 500 000 points PC Optimum. [01:04:23] Speaker A: Wow! [01:04:24] Speaker F: Je peux me gratter avec une foule de produits gratuits, comme des articles de beauté, des essentiels et tout plein de belles choses pour passer une super journée. Ne manquez donc pas le super événement d'échange de points seulement chez PharmaPrix, une entreprise fièrement canadienne. Des restrictions s'appliquent, achat minimum requis, détail en magasin. [01:04:40] Speaker B: C'est le meilleur temps de l'année pour réserver vos prix de 2025 chez Clôture Terriens. Sécurisez votre terrain, clôturez votre piscine ou offrez-vous enfin plus d'intimité avec une clôture à votre mesure. 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[01:05:28] Speaker A: Ouais, ben je te le dis là. VoxFest, c'est pour tout le monde. Profitez d'offres à partir de 0% et obtenez jusqu'à 1000$ en Bonnie VoxFest sur certains modèles. Faites vite, les offres se terminent le 30 septembre. Sur approbation du crédit. [01:05:42] Speaker F: Bonjour, je cherche un divan de style... moderne. [01:05:47] Speaker B: OK. Moderne style contemporain en cuir tan aux. [01:05:50] Speaker A: Lignes super épurées ou moderne style divan nuage super design dans une couleur tendance? [01:05:54] Speaker F: Je pensais moderne, comme dans mon salon en besoin d'un coup de jeune. J'ai deux ados, un chien, une iguane et un budget à respecter. [01:06:00] Speaker A: Ah, moderne style pratico-moderne avec une touche d'exotisme accessible alors. Je vous montre ça tout de suite, suivez-moi. Avec plus de 35 000 articles, on. [01:06:08] Speaker B: A le style que vous cherchez. [01:06:09] Speaker A: Tanguay, tant de beaux styles. [01:06:11] Speaker B: J'aime pas aller chez le dentiste, payer mes impôts et les embouteillages. Mais depuis que l'équipe Marie-Ève Morin dentiste s'occupe de ma bouche et de celle de ma famille, j'aime toujours pas les embouteillages, mais j'ai plus peur d'aller chez Mon le dentiste. fils Alexandre y va pour son traitement d'orthodontie, ma blonde et mon petit Paul pour leur nettoyage. Moi, le grand anxieux qui avait peur du dentiste a finalement eu son implant. L'équipe Marie-Ève Morin Dentiste, c'est vraiment différent. Une approche humaine, des explications claires, pas de pression, juste des solutions. C'est ça, l'équipe Marie-Ève Morin Dentiste. [01:06:40] Speaker F: Plancher BFC FlorDeco, fiers dépositaires de la peinture Benjamin Moore. Tous les revêtements de plancher et la décoration sont présentement en promotion. Des rabais de 10 à 50 %. Venez rencontrer nos designers au 2700 rue Jean Perrin. Plancher BFC FlorDeco, beaucoup plus que des planchers. 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Que ce soit au boulet, poisson ou végé, les tacos Béné et compagnie, c'est la nouvelle tradition. Disponible pour un temps limité. Couture dans le mid. [01:09:06] Speaker F: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [01:09:10] Speaker A: Radio X. Quand ça arrive ailleurs, on se dit bien voyons, là ça nous arrive dans notre cours, l'Académie Saint-Louis. Les matchs de football de l'Académie Saint-Louis devront être joués dans le silence. [01:09:23] Speaker B: Oui. Là, le maire dit qu'il va déposer une motion au prochain conseil municipal, mais c'est-tu trop tard? [01:09:28] Speaker A: Bien, c'est trop tard. Il va le faire, mais il aurait dû le faire avant. [01:09:30] Speaker B: Il aurait dû le faire avant. [01:09:31] Speaker A: Mais c'est-tu normal qu'en 2025, match de football, école secondaire, On se rende là, là. Le silence. T'en dis long sur notre société. [01:09:43] Speaker B: Ben mets-en. Pis t'sais, encore une fois, c'est une minorité qui fait shaker les murs du temple, là. [01:09:48] Speaker A: Ouais. Mais on voulait se rendre là parce qu'au niveau politique, on voulait rien faire avant ça. [01:09:53] Speaker B: J'comprends pas. On va laisser la liberté aux gens de s'exprimer avant. Hein? C'est ça? [01:09:59] Speaker A: Mais... [01:10:01] Speaker B: Mais c'est... Qu'est-ce qui est grave dans... Entendre un peu de bruit, là... Pendant quoi? Deux heures et demie, trois heures en match de foot là? [01:10:09] Speaker A: Ouais, des fois il y a des matchs, il y a plus qu'un match là. [01:10:11] Speaker B: Pis c'est en après-midi généralement là? [01:10:13] Speaker A: Il y a les cadets, il y a les plus jeunes. [01:10:15] Speaker B: C'est pas une journée là? [01:10:16] Speaker A: Ouais, non, c'est huit à dix journées dans l'année. [01:10:19] Speaker B: C'est si grave que ça là? [01:10:20] Speaker A: Ouais, ben c'est ça. Fait qu'on a attendu, on a laissé traîner et ce qui se traîne se salit. [01:10:27] Speaker B: Absolument. [01:10:27] Speaker A: On oublie les. [01:10:28] Speaker B: 48670909, on va le jaser avec Alex. [01:10:31] Speaker A: Allo? [01:10:32] Speaker C: Dans le fond, pour l'Académie Saint-Louis, moi, j'ai joué au football sur ce terrain-là à trois reprises. À chaque saison, je jouais pour l'école secondaire des Sentiers, le 9e. Puis je trouve que les gens en. [01:10:47] Speaker D: Ce temps-là, c'est pas pour être méchant. [01:10:49] Speaker C: Envers eux autres, mais je trouve que les boomers, je suis probablement sûr que presque 100 % de votre sondage, c'est des jeunes du Cap-Nord, ils n'ont plus de patience à rien. T'sais, le terrain de football, il était là avant vous autres, les boys. T'sais, tu vas avoir la paix dans la vie, tu vas rester en campagne, t'sais. [01:11:09] Speaker A: T'sais... t'sais... T'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... t'sais... Fait que c'est quand même... Tu vois t'sais... qu'on est divisé, là. [01:11:33] Speaker C: Oui, effectivement, mais je... T'sais, les gens. [01:11:36] Speaker D: Se sont installés autour dans les quartiers. [01:11:38] Speaker C: Autour dans... T'sais, c'est souvent des condos que là. T'sais, vous le savez, l'académie est là, ça fait des années et des années et des années. T'sais, tu vas pas t'installer une place. [01:11:47] Speaker D: Que tu es sûr qu'il va y. [01:11:48] Speaker C: Avoir du bruit 14 jours dans l'année. T'sais, je sais pas. Moi, je viens de Québec, à la. [01:11:52] Speaker D: Base, je viens de Beauport, mais à ce temps-là, je reste à Saint-Petit, au Festival Western. [01:11:56] Speaker C: Si tu n'étais pas venu m'installer ici, tu n'aurais pas les odeurs de vache. C'est quoi? t'as des choix dans la vie qui câlissent les gens. Tu peux-tu jouer au foot puis s'amuser câline de câline. [01:12:09] Speaker A: C'est juste ça mon argument. C'est bon, merci. [01:12:11] Speaker B: Salut, bye. [01:12:12] Speaker A: Moi, selon... bien, ce qu'on a compris aussi, puis c'est... c'était Évane Malençon qui nous l'avait dit, je pense qu'on construit le terrain, il n'y avait pas eu toutes les autorisations. [01:12:23] Speaker B: Oui, c'est ça, il y avait une histoire de réglementation, c'était pas clair. [01:12:26] Speaker A: Mais au niveau politique, on aurait pu régler ça en un conseil de ville, comme ça, deux minutes. On passe au téléphone. Merci, bonsoir. Là, on attend que ça se détériore, que les citoyens se divisent entre eux. T'sais, il faut s'en prendre une colonne, non? Voilà. [01:12:39] Speaker B: Allô, Chouin? [01:12:40] Speaker A: On vous écoute. [01:12:40] Speaker C: Oui, bonjour. [01:12:42] Speaker D: Moi, je suis dans la 60e, donc je suis dans le Baby Boomer 7. Et j'ai déménagé dernièrement près d'une école. [01:12:52] Speaker C: Et je ne vois pas... [01:12:53] Speaker D: Je le savais avant de déménager. [01:12:56] Speaker A: Puis ça brasse, là. On entend la cour d'école, ça sonne... [01:12:59] Speaker C: Ça crie des enfants, là, c'est ça. [01:13:02] Speaker A: C'est la vie, ça. [01:13:03] Speaker D: Mais je le savais avant de déménager. Je crois que ces gens-là ont pris pour acquis qu'ils vont s'adapter à leur vie à eux. Mais c'est ça, la vie. [01:13:13] Speaker B: Mais non, c'est ça. [01:13:15] Speaker A: Donc, selon vous, les politiciens ont-ils trop attendu avant de régler le problème? [01:13:19] Speaker C: Oui. [01:13:19] Speaker D: Ah oui, complètement. [01:13:20] Speaker A: OK. C'est bon. Merci. [01:13:21] Speaker B: Bonne journée. Bye-bye. [01:13:23] Speaker A: À l'autre choix. Oui. On vous écoute. [01:13:27] Speaker B: Je pense qu'il n'est pas là. Allô, choix. [01:13:30] Speaker C: Yes. [01:13:30] Speaker A: On vous écoute. [01:13:32] Speaker C: Salut, Égo. [01:13:32] Speaker A: Salut. [01:13:33] Speaker C: Moi, je me demande, Égo, la valeur. [01:13:36] Speaker D: De ce petit référendum qu'ils ont fait. [01:13:38] Speaker C: À 100 personnes, En réalité, ça n'a aucune valeur, ça, là. [01:13:45] Speaker A: Bien, c'est une valeur. Oui, oui. La loi le permet, là. Quand il y a un règlement municipal, puis... Mais, t'sais, je veux dire, les politiciens doivent peut-être encadrer, puis y aller. Ils ont laissé aller les choses jusqu'au bout. [01:13:56] Speaker C: OK, la loi permet un référendum? [01:13:58] Speaker D: Oui, oui. [01:13:58] Speaker A: Oui, oui, oui, oui. [01:14:00] Speaker C: OK. Bien là, dans ce cas-là... Ça a. [01:14:02] Speaker A: Eu lieu, fait que... Oui. [01:14:04] Speaker C: Et dans ce cas-là, moi, je pense que... [01:14:07] Speaker D: Je vais suggérer qu'on devrait peut-être faire un référendum. [01:14:10] Speaker C: Pour séparer la région de Québec du restant du Québec. Bien, vous voyez, on pourrait régler... On pourrait, après ça, on pourrait régler nos problèmes qu'on a dans la région de Québec. Puis après ça, on pourrait régler les problèmes autour aussi. Mais on devrait commencer par se séparer. On devrait scrapper le Québec en partant. [01:14:30] Speaker A: On devrait se faire partitionner. Salut, merci. [01:14:33] Speaker B: On attend pour un dernier, Pierre. [01:14:35] Speaker A: Allô, Chouard, on vous écoute. [01:14:36] Speaker C: Tu l'as dit à jamais, ça! [01:14:39] Speaker D: Hé, moi, j'ai une question pour vous. [01:14:40] Speaker C: Autres, moi, ça n'a pas rapport à l'Académie Saint-Louis. [01:14:43] Speaker A: Ah, bien là, oui, on va aller sur l'Académie Saint-Louis. Allô? Oui, on vous écoute, on vous écoute. [01:14:48] Speaker D: Allô? [01:14:49] Speaker A: Oui, oui. [01:14:50] Speaker C: Le 15-20 ans, il s'est passé de quoi de similaire? À Saint-Hilaire et à Rougemont, les gens. [01:14:56] Speaker D: Trouvaient ça bucolique, les vergers, avec les. [01:14:59] Speaker C: Vergers en fleurs, les pommiers en fleurs, tout ça. [01:15:01] Speaker A: Oui. [01:15:02] Speaker C: Puis le monde s'est mis à se. [01:15:03] Speaker D: Bâtir tout le tour des vergers. Mais quelques années plus tard, les gars de Verger, ils sont obligés de traiter. [01:15:08] Speaker C: Les pommiers pour avoir des belles pommes. [01:15:10] Speaker A: Des insecticides. [01:15:11] Speaker C: Le monde s'est mis à se lamenter, mais les gars de Verger abattent des pommiers. À grand volume, abattent des pommiers pour. [01:15:20] Speaker D: Pas nuire aux résidents qui se sont bâtis tout le tour. [01:15:23] Speaker A: C'est ça, c'est ça. [01:15:25] Speaker C: Ça fait une vingtaine d'années de ça. [01:15:27] Speaker B: Merci beaucoup. [01:15:28] Speaker C: Ça va être. [01:15:29] Speaker A: Ça, c'est l'expansion des banlieues aussi, hein? L'Académie Saint-Louis, je pense, c'était-tu en ville, ça, avant? Ça me semble que c'était urbain, puis ça a déménagé en banlieue, comme ça. [01:15:38] Speaker B: T'sais, si t'achètes une maison en dessous du corridor où les avions vont atterrir à l'aéroport, là... Ah! [01:15:44] Speaker A: Non, non, c'est un exemple. [01:15:45] Speaker B: Pis que tu te plains sur ton perron, qu'ils ont fait trop de bruit, c'est parce que tu le savais avant, là. [01:15:48] Speaker A: Ah, non, c'est ça. Mais, t'sais, c'est une école secondaire, il y a du football. T'sais, regarde, c'est d'arrimer tout le monde, t'sais, pour qu'on se parle. T'sais, le... le quoi? Le... VVLSCV, là? [01:15:57] Speaker B: Ben oui. [01:15:58] Speaker A: Mais on a laissé ça se détériorer. Voilà. Quand même, ça fait jaser, Gaston, encore. [01:16:03] Speaker B: Je sais, mais il faut qu'on se quitte. Après la pause. [01:16:07] Speaker A: Oui, après la pause, Max Truman, on va jaser du camp des recrues du Canadien. Il y a plein d'autres choses dans le sport. Max, il va nous arriver avec ses couleurs à lui. On vient. Ok, je vous parle d'immobilier, je vous parle de l'équipe de Simon Laberge, parce que Simon Laberge, il est pas tout seul. Il a une équipe. Et si vous voulez vendre ou vous voulez acheter une maison, vous faites affaire avec l'équipe de Simon-Laberge. Il y a plusieurs intervenants, une équipe de professionnels passionnés, mais surtout, combien de maisons qu'on a vendues en 2024? C'est près de 400 maisons qu'on a vendues dans la région de Québec et on a l'intention en 2025 d'en vendre aussi. Pas mal, pas mal, pas mal. Et là, l'équipe de Simon-Laberge, c'est le temps. les taux d'intérêt, les banques du Canada, la Fed, on va baisser les taux, notamment au Canada, on va avoir une décision la semaine prochaine, et ça devrait baisser, donc ça veut dire qu'il y a des gens qui vont se qualifier pour acheter une maison. Il y a beaucoup de gens actuellement, l'inventaire est très bas, vous voulez vendre, c'est le temps, parce que vous allez aller chercher un super bon prix, ou à tout le monde, on va la mettre en valeur pour que vous alliez chercher le meilleur prix possible, donc c'est pas compliqué. Vous voulez acheter, vous voulez vendre, simonlaberge.com. Transformez votre journée en jour de casino! [01:17:34] Speaker B: Jouez au jackpot, jeux de table en direct et plus! [01:17:36] Speaker A: Découvrez les machines à sous les plus populaires comme Book of Dead et Immortal Romance. Ou jouez à la roulette, au blackjack et bien d'autres à Casino Days. [01:17:43] Speaker B: Ouvert à tous les joueurs 18 ans. 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[01:21:41] Speaker F: Et Nick Cloutier. [01:21:42] Speaker B: Ouais, ouais. [01:21:43] Speaker A: Radio X. Ouais, il se passe quoi avec Carey Price? [01:21:51] Speaker B: Ben, il est parti. [01:21:52] Speaker A: Il est plus là. [01:21:53] Speaker B: Plus là. [01:21:53] Speaker A: Il est là. Notre chroniqueur, il est là. [01:21:55] Speaker B: Voici Max Truman. [01:21:58] Speaker A: Hey Max Truman, comment ça va? Ça va bien. [01:22:07] Speaker E: C'est rare que je te dise que ça va mal. Les placements ne vont pas mal dans le dos. [01:22:13] Speaker A: Tes actions de Néo, ça ne remonte pas. [01:22:17] Speaker E: Je choisis mieux mes actions que ça, Pierre, quand même. Ça va très bien. [01:22:23] Speaker A: Bon, écoute, Carey Price est parti. Là, on a-tu de la marge de manœuvre pour bouger? [01:22:29] Speaker E: Cary Price est parti, ça c'est un fait. Puis on s'y attendait, c'est fait. Puis pourquoi? Parce qu'il y en a qui se demandent encore pourquoi on échange Cary Price. Nous, il nous menottait dans notre flexibilité pendant la saison. C'était plus compliqué pour Kent Hughes et Jeff Gorton de prendre des décisions avec le salaire de Carey Price à toujours soit rentrer normalement, soit rentrer sur la liste des blessés à long terme avec du crédit. Il fallait repousser les bonnies. Bref, c'était compliqué. Et pourquoi une équipe était intéressée au contrat de Carey Price? C'est que les Sharks risquent d'échanger des vétérans pendant l'année et le contrat de Carey Price, ils payeront pas cher en argent réel. Ça va leur permettre de dépasser le plancher salarial. C'est les équipes poches, là, dans le fond. Fait que t'sais, c'est logique pour les deux équipes. Fait que Carey Price est parti qu'est-ce qu'on va faire avec la masse? C'est sûr qu'on va aller chercher un joueur de centre numéro 2 à quelque part. Je sais juste pas si ça va être là, pendant le camp, avant le début de la saison, pendant l'année, pendant la saison, mais on a de l'espace, enfin, et on va l'utiliser, c'est sûr, à un certain moment donné. [01:23:29] Speaker A: Il y a des joueurs, il y a des noms qui circulent, mais il faut payer le prix, c'est-à-dire que ces gars-là ont des salaires, et là, ça vient rajouter des salaires sur la masse, donc il va peut-être falloir se débarrasser d'un ou deux joueurs, tu sais, en contrepartie. [01:23:42] Speaker E: Ça dépend à qui. T'sais, moi, mon scénario de rêve, pis je pense pas qu'il va arriver, pis c'est le scénario de rêve de bien du monde qui nous écoute, c'est d'aller chercher Sidney Crosby à la date limite des transactions parce qu'il bougera pas avant ça. Il veut essayer de faire les séries avec Evgeny Malkin, Chris Lethan, les pingouins, etc., mais si ça va pas du tout, les pingouins vont vouloir tinker pour essayer d'aller chercher Gavin McKenna au repêchage, et ça se peut qu'il l'échange, Sidney Crosby, mais ça sera tellement tard dans l'année que je veux même pas y penser parce que ça se fera pas avant ça, pis même là, Les probabilités sont faibles parce qu'il y a d'autres équipes comme l'Avalanche puis les équipes qui aspirent à la Coupe Stanley qui vont être avant les Canadiens, possiblement. Donc, c'est ça, c'est le scénario de rêve. Mais dans les scénarios plus possibles, il y a trois noms qu'on entend, c'est Mason McTavish, Jared McCann et Jordan Cairo. C'est trois gars qu'on entend pendant une semaine. Après ça, on n'entend plus parler. On n'entend, on n'entend plus parler. S'il y a un joueur qui pourrait se joindre aux Canadiens bientôt, ça pourrait être un titre 3, par exemple. [01:24:35] Speaker A: Parce que, McTavish, ça se peut-tu que lui est en conflit avec l'organisation? [01:24:41] Speaker E: Ben, il veut un nouveau contrat, il a besoin d'un nouveau contrat, mais il n'a pas accès à l'arbitrage, puis il n'a pas accès à l'autonomie complète. Donc, tu sais, il appartient aux docs, puis les docs peuvent être patients. Il y a beaucoup d'écarts entre ce que lui pense valoir et ce que les docs sont prêts à lui donner. Puis les docs sont prêts à lui donner quand même beaucoup d'argent, mais pas autant qu'il veut, puis pas juste sur 2-3 ans pour le négocier bientôt. Les docs, ils veulent, tu sais, ils veulent le garder, mais ce serait pour plusieurs années et pas un salaire que lui pense valoir. Donc Mectavish est chez eux en ce moment, il n'y a pas de contrat. Si le camp commence et qu'il n'y a pas de contrat, il va rejeter chez eux, comme Piqué et Subban avaient fait, comme d'autres ont fait. Donc ça pourrait mettre de la pression sur les docs d'un moment donné, dire « Hey, on va peut-être l'échanger, ce gars-là, il est vraiment bon ». Mais Mason Mectavish, il y en a plein qui nous écoutent qui ne savent pas c'est qui. C'est vraiment un excellent joueur de centre. C'est un gars qui a du caractère, c'est exactement le profil de joueur qu'on voudrait, mais lui, il va coûter cher en joueurs et en choix si on veut aller le chercher. [01:25:36] Speaker A: Parce que l'autre bas sont gourmands. Ils veulent des jeunes prospects pis ils veulent pas mal la faire. [01:25:42] Speaker E: Dans le fond, les Docs veulent des Mason McTavish. Je veux dire, ils veulent des jeunes joueurs qui vont être bons dans 3, 4, 5 ans à leur prime, qui peuvent amener peut-être la Coupe Stanley dans ça 5, 6 ans. Mason McTavish a exactement cette définition-là. C'est juste que pour l'instant, McTavish demande trop d'argent, puis les Docs se disent « Hey, on peut-tu donner autant d'argent à ce joueur-là tout de suite, qu'il n'a pas nécessairement éclos encore à son plein potentiel? » C'est ça la question. Je fais des liens avec Lionel Hudson à Montréal. Lionel Hudson, Est-ce qu'on peut y donner 8, 9, 10 millions par année quand on l'a vu jouer juste une saison? Il y en a qui vont dire oui, il y en a qui vont dire non. C'est pour ça que Lennartsen en ce moment, il va jouer sur sa dernière année de contrat et non pas avec un nouveau contrat. [01:26:19] Speaker A: Ouais, pis son père est jase, là. [01:26:22] Speaker E: Hein? [01:26:22] Speaker A: Le père à Lennartsen, c'est un jaseux, lui? [01:26:25] Speaker E: Je te le dis, prenez-le à Radio X, il ferait des bonnes chroniques. Tu le parles, tu lui envoies 2-3 questions, pis tabarouette, il donne du jus pour faire le tour des réseaux sociaux. C'est un spécial, puis... As-tu entendu le quote où il dit... L'Ayn Hudson n'a pas été invité par l'équipe américaine pour le camp, pour les Jeux olympiques. [01:26:42] Speaker A: Puis lui, il dit... [01:26:44] Speaker E: Écoute, mes fils, ils ont aussi la citoyenneté canadienne, puis ça va pas, j'ai réjoui pour le Canada. Comment mettre de la pression puis te mettre à dos une organisation au complet? Le père de l'Ayn Hudson, il est champion là-dedans. [01:26:53] Speaker A: On le prend tout de suite au Canada, avec l'équipe canadienne. [01:26:57] Speaker E: On le prend de suite, je comprends même pas pourquoi il est pas invité avec l'équipe américaine. Qu'il fasse pas l'équipe à la fin, ça se peut. Ils ont Quinn Hughes, ils ont Adam Fox, ils ont d'autres défenseurs offensifs, mais qu'il soit même pas invité dans les 16-18 joueurs, c'est un non-sens total. [01:27:10] Speaker A: Je pense qu'on règle des comptes, parce que le dernier championnat mondiaux, il est pas allé, il est après le... quand le Canadien s'est fait éliminer, il est resté ici, puis ça a mal passé, je pense, du côté des Américains. Ça se peut-tu? [01:27:25] Speaker E: Ça avait fait la même affaire avec Suzuki puis le Canada. Il n'avait pas été au Mondiaux, puis après ça, au tournoi des Quatre Nations, ils t'invitent pas. Le problème, c'est si t'es... Je sais pas moi. top 2, top 3 défenseurs ou top 6 à l'attaque, ils vont t'inviter pareil. Mais quand t'arrives dans les bubbles, dans les places où t'es pas sûr d'y faire, mais des fois ils vont privilégier les gens qui ont été joués dans les dernières compétitions internationales. Les Américains qui sont allés porter le chandail des États-Unis, les Canadiens qui sont allés porter le chandail du Canada aux mondiaux. Fait que des fois, on se donne une petite revanche en même temps. Puis Renaud Lavoie est quand même très bien plugé. a sous-entendu que le père de Lynn Hudson était peut-être pas si loin du père de Galchenyuk. Puis on se souviendra que le père de Galchenyuk était un problème. [01:28:08] Speaker A: Ça a mal fini pour Galchenyuk, là. [01:28:11] Speaker E: Ça a mal fini pour lui, puis son père a souvent été blâmé. Puis là, son père, by the way, père à Galchenyuk, coach Galchenyuk en KHL, puis il vient d'y donner le C de capitaine. C'est un peu malsain, mais pour revenir à Laine Hudson, c'est à quel point le père de Laine Hudson faisait peut-être partie des facteurs qui font que les Américains ont décidé de ne pas inviter le fils parce que le père vient avec et est un problème. C'est des questions qu'on ne se posait pas il y a un mois et que maintenant on commence à se poser. [01:28:35] Speaker A: Exact. Donc peut-être à suivre dans ce dossier-là. Là, le cas des recrues s'ouvre. Oui. Demidov va y être. Et d'ailleurs, Demidov a passé l'été à Montréal. Il y a une raison à ça, hein? Ça a peut-être pas sorti, là, mais... Lui, d'après moi, s'il retourne en Russie, ils vont le kidnapper, ça se peut-tu? Ils vont l'envoyer en Sibérie. [01:28:52] Speaker E: Comment ça fonctionne, c'est que les Russes doivent faire le service militaire, mais ils ne le font pas tous, semble-t-il. La rumeur veut... Ou la version officielle veut que c'est au hasard. Tu sais, ils pigent ton nom s'il va et ils pigent pas ton nom s'il va pas. Tu sais, semble-t-il que c'est comme ça que ça fonctionne. Et bizarrement, il ne pige jamais le nom des joueurs qui jouent dans la Cochelle. Et bizarrement, il pige souvent le nom des joueurs qui quittent la Cochelle, qui veulent quitter, qui veulent s'en aller. Donc, c'est Tony Marinaro qui a affirmé avoir entendu que Demidov savait que s'il revenait en Russie, on aurait pu l'obliger, on aurait pu lui dire qu'on lui a pigé son nom, on aurait pu l'obliger à faire le service militaire, tu sais pas combien de temps ça dure, ça se peut que tu puisses pas revenir pour le Canadien. Fait que c'était une possibilité, ça tombe bien, tu sais, il va pas, tu prends pas de chance. Mais en même temps, quand il a quitté, il a quitté avec classe, il a quitté avec respect, le school l'avait laissé partir, etc. Donc je sais pas si on aurait pigé son nom, entre parenthèses, Pierre, mais c'est sûr que c'était peut-être un risque à ne pas prendre pour Ivan Demidov. [01:29:51] Speaker A: Et c'est pour ça qu'on l'a vu cet été un peu partout. Il était dans les activités du club, il était dans les activités à Brossard, il s'est entraîné avec Lane Hudson parce que c'est deux malades de l'entraînement. [01:30:01] Speaker E: Oui, exact. Demida va passer l'été à Montréal ou près. Je pense qu'il est allé en Floride pour le mariage à Patrick Lanné, puis je pense qu'il est allé passer une semaine soit dans le sud ou en Europe, mais sinon, il a été à Montréal tout l'été, il a patiné à Brossard tout l'été. Tu sais, je me répète, c'est particulier de voir autant de joueurs des Habs patiner pendant tout l'été à Brossard. Tu sais, ce matin, on est 10 jours avant l'ouverture du camp d'entraînement du Canadien, puis il y a juste un absent, c'est Nick Suzuki. Tous les autres sont à Brossard déjà, puis Nick Suzuki, il est où? Il est à Las Vegas pour présenter le Canadien. dans un événement pour les médias, pour les diffuseurs, etc. Donc, tu sais, il n'a jamais eu autant de sérieux chez le Canadien. Il n'a jamais eu autant de cohésion, autant de chimie. Donc, c'est de bonne augure. [01:30:42] Speaker A: Là, tu me dis, Mac David, lui, il n'a pas signé encore. On m'a parlé tout à l'heure de... de Sidney Crosby, à Montréal. Mais David, lui, c'est quoi son jeu, là? Est-ce qu'il pourrait faire niaiser les haulers jusqu'à la date limite puis se faire échanger, justement, pour changer d'équipe puis aller ailleurs? [01:31:01] Speaker E: Écoute, si j'avais la réponse, je ferais du cash avec des mises sur des sites Lego ou illégaux. [01:31:07] Speaker A: Non, mais, t'sais, là, il va falloir qu'il bouge d'un bord ou de l'autre, là. Lui, il dit qu'il est pas pressé, il est pas stressé, mais le message qu'il envoie, c'est que tabarouette, je suis pas sûr si ça me tente de rester ici. [01:31:18] Speaker E: 100%, pis t'sais, y'en a qui disent qu'ils veulent quitter, pis qu'en ce moment, ils gagnent du temps pour justement, la saison commence, pis là c'est la date limite des transactions, pis tu forces les haulers à t'échanger ou à te garder pis à te perdre pour rien. C'est une version qu'on entend. [01:31:31] Speaker A: Ah non, mais tu peux pas perdre McDavid pour rien. Faut-tu le trade comme Gretzky, là, perdre des choix, pis venir, pis de l'argent, pis n'importe quoi, là, t'sais. [01:31:39] Speaker E: C'Est probablement ce qui se passerait à la date limite. Puis, by the way, je pense que c'est le 6 mars, la date limite. Fait qu'en tout cas, on reste jusqu'au 6 mars. Il y en a qui disent qu'ils veulent juste attendre d'être certains que les Hallers ont fait des moves pour qu'ils puissent aspirer à la Coupe Stanley, parce qu'ils étaient cœurés de pertes, en faisant tout en série avec Leon Dreyseit et autres, puis en regardant le reste de l'alignement en disant « ça vous tente pas de nous suivre, il manque de talent ». Il y en a qui disent que lui, il veut juste un très court terme. J'ai en signé un an, deux ans, trois ans, pour être sûr d'avoir encore des années pour aller rejoindre une équipe et gagner la coupe. Les haulers, eux autres, ils aimeraient ça locker, garder McDavid à long terme. Tu sais, ça va être intéressant de suivre parce que si la saison commence, puis McDavid est sur sa dernière année de contrat, puis il n'a pas signé de prolongation de contrat, ça va être une distraction toute la saison. Puis il y a quelqu'un, je ne me souviens pas c'est qui, Edmonton, qui a croisé McDavid cet été, McDavid a dit, je veux juste pointer une distraction pour l'équipe. Écoute, si tu te pointes au camp et que tu n'as pas de nouveau contrat, tu vas être la plus grosse distraction de la LNH. [01:32:31] Speaker A: Ça se met à mal aller, mettons, début lent, puis chance lent, parce que tout le monde n'est pas sur la grille, parce qu'on le sait que lui, il veut sacrer son camp, mettons. Ça va installer un climat vraiment malsain au sein de l'équipe. [01:32:47] Speaker E: Ça sera pas nice. Pour vrai, tu veux éviter ça. En même temps, s'il gagne, puis il gagne, puis il gagne, peut-être que ça va attirer un joueur à la date limite des transactions. Peut-être que Connor McDavid va avoir plus le goût de rester. Mais si tu commences la saison avec McDavid pas de contrat, tout peut arriver à partir de ce moment-là. Puis tu contrôles plus tout. Tandis qu'en ce moment, t'as encore du contrôle. À partir du moment où le train part, les Oilers vont danser sur un mince fil de fer. [01:33:10] Speaker A: À suivre. Merci beaucoup, Max, de tes lumières. Ça fait plaisir. [01:33:14] Speaker E: Mes lumières sont toujours disponibles, Pierre, pour toi. [01:33:17] Speaker B: C'est bon. [01:33:18] Speaker A: Salut. [01:33:18] Speaker B: Salut. [01:33:19] Speaker A: Bye-bye. [01:33:19] Speaker B: Bonne semaine. Bonne semaine. [01:33:20] Speaker A: Voilà. Max Truman. Mais c'est vrai, Mike David, lui, il joue avec le feu. [01:33:26] Speaker B: Ouais, mais en même temps, il a le poids de la balance de son bar. [01:33:31] Speaker A: Là, ça fait deux fois qu'ils vont à la coupe en finale. Ça fait deux fois qu'ils perdent. [01:33:35] Speaker B: Il va vouloir gagner, là. [01:33:36] Speaker A: C'est comme les bills de Buffalo, ça. [01:33:37] Speaker B: C'est comme les... Ouais. [01:33:38] Speaker A: Hein? [01:33:39] Speaker B: Ou comme les people leave. Mais à moins grande échelle. [01:33:41] Speaker A: Ben oui. D'ailleurs, il y a des rumeurs. Il y en a, des rumeurs. [01:33:46] Speaker B: Si Montréal développe dans les 2-3 prochaines années une équipe gagnante aspirante à la Coupe Stanley, Ça peut être un bon choix pour un McDavid. [01:34:01] Speaker A: Oui, mais t'as-tu de la place? Parce que lui c'est 15... 15-16 millions par année. [01:34:06] Speaker B: C'est une blague. Non, c'est sûr. [01:34:07] Speaker A: 7 millions par année. [01:34:08] Speaker B: C'est sûr, il a ça, il a le salaire. [01:34:09] Speaker A: C'est deux joueurs. [01:34:10] Speaker B: Faut que t'acceptes de laisser partir quelque chose de gros qui coûte cher pour aller chercher McDavid dans ton club. [01:34:16] Speaker A: Slaf! Genre... Ah oui. Tu te ferais ramasser. Voilà. Hé, après la pause, on jase d'économie. Couture dans le midi. [01:34:27] Speaker F: Téléphone texto. [01:34:28] Speaker A: T'inquiète. [01:34:28] Speaker F: 418-670-9098. [01:34:31] Speaker A: C'est ça. Radio X. Le retour de Radio X. [01:34:37] Speaker B: Moi, ça m'arrête de boire de la. [01:34:39] Speaker D: Bière avec du vin rouge. [01:34:40] Speaker A: De la bière avec du vin rouge? Ouais. [01:34:41] Speaker C: Ça fait que la dernière fois, il. [01:34:43] Speaker D: Y avait une grosse mousse dessus. [01:34:44] Speaker B: Ok. [01:34:45] Speaker D: Je peux-tu vous conter une petite blague? [01:34:47] Speaker A: Un 19 ans homosexuel, ça s'appelle ça comment? Ouais, c'est quoi? [01:34:50] Speaker D: Trépotanus. Trépotanus. [01:34:54] Speaker B: Ok, merci beaucoup. [01:34:56] Speaker A: On n'allait pas là. [01:34:59] Speaker F: Lundi au vendredi, 15h. [01:35:17] Speaker B: Davie, le plus grand chantier naval du Canada, recrute activement pour plus de 1 000 postes. Oui, oui, 1 000 postes. Des peintres, assemblants mécaniques, électriciens et contre-mètres, évidemment bien plus que ça. Et on a un carnet de commandes qui est rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail qui sont solides. Alors, ose le grandiose pour ta carrière. Je vous le répète, plus de 1 000 postes disponibles. Donc, postule à davierecrute.ca. Davy, le plus grand chantier naval du Canada, vient travailler avec nous. Le méga casse-coup de Princesse Auto se. [01:35:51] Speaker A: Déroule du 9 au 21 septembre. Préparez-vous pour l'automne avec des superbes offres sur les scieries, les fendeuses, les déchiqueteuses. [01:35:58] Speaker B: Les poêles à granulés et beaucoup plus. [01:36:00] Speaker A: Profitez des meilleures offres de la saison pour vous permettre d'en avoir plus pour votre argent. sur les outils et l'équipement qui vous. [01:36:06] Speaker B: Aident à construire, réparer ou démolir presque tout. [01:36:09] Speaker A: Ne manquez pas le Megacascoo du 9. [01:36:12] Speaker B: Au 21 septembre en magasin et en ligne à Megacascoo.ca. Princess Auto. Des idées. [01:36:18] Speaker A: Des outils. J'ai une question qui me travaille. Lors d'un jour férié, ai-je droit à un congé payé? Oui. [01:36:24] Speaker F: Par contre, si vous devez travailler lors d'un jour férié, votre employeur doit vous dédommager. Les normes du travail pour les questions qui vous travaillent. Un message de la CNESST. Promo exclusive pour vendeurs, acheteurs et investisseurs. Faites affaire avec Christian Dagenais, courtier immobilier résidentiel et commercial et profitez d'une compensation jusqu'à 1000 $ pour couvrir les frais de notaire ou d'un nouveau certificat de localisation. S'il est déjà à jour, ça s'applique pour les frais de déménagement. Le tout est payable en carte cadeau de votre choix à la signature de l'acte notarié. Pour vendre, acheter ou investir, contactez Christian Dagenais, courtier immobilier via Capital, à christiandagenais.com. [01:37:03] Speaker A: La quincaillerie Canac était là 17 ans avant le château Frontenac. On était là 44 ans avant le pont de Québec. On était là 101 ans avant le stade. On était là dix ans avant l'automobile. On était là soixante-cinq ans avant l'autre plus vieille quincaillerie. On était même là hier pour conseiller Phil de Lévis avant qu'il construise son deck. Ça s'en allait sacré le camp sur sa piscine, son affaire. Canuck, on a de pauvres depuis 150 ans. [01:37:32] Speaker F: Pendant que Ouellet et compagnie jasent d'immobiliers de sociétés d'actualité, Promutuel Assurance est là pour protéger ce que vous avez. Pour votre auto, votre condo, votre chalet et votre maison du sous-sol au grenier, vous pouvez compter sur Promutuel Assurance. Pas étonnant qu'on aime tant nous recommander. [01:37:48] Speaker A: Ta voiture est comme pas neuve, mais t'en veux une neuve? On peut reprendre ta com'neuve et même t'en trouver une neuve. Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota. Évalue ta com'neuve au comneuve.com. [01:38:03] Speaker F: Bonjour, je cherche un divan de style... moderne. [01:38:08] Speaker B: OK. Moderne style contemporain en cuir tan aux. [01:38:11] Speaker A: Lignes super épurées ou moderne style divan nuage super design dans une couleur tendance? [01:38:15] Speaker F: Je pensais moderne, comme dans mon salon en besoin d'un coup de jeune. J'ai deux ados, un chien, une iguane et un budget à respecter. [01:38:22] Speaker A: Ah, moderne style pratico moderne avec une touche d'exotisme accessible alors. Je vous montre ça tout de suite, suivez-moi. Avec plus de 35 000 articles, on. [01:38:30] Speaker B: A le style que vous cherchez. [01:38:31] Speaker A: Tanguay, tant de beaux styles. Oh, shérif! C'est une sacrée monture que t'as là. Merci, Billy. Où est-ce que t'as dégoté une monture pareille? [01:38:37] Speaker B: Chez New Look, ils sont tout pleins de montures. Ah, monture! [01:38:41] Speaker F: La deuxième paire de lunettes est gratuite à l'achat de n'importe quelle marque chez New Look. Jusqu'au 5 octobre, des conditions s'appliquent. Chantal Gravel, opticienne. [01:38:47] Speaker B: Dès maintenant, obtenez jusqu'à 900 $ de rabais lors du super événement d'échange de points chez Pharmaprix en échangeant jusqu'à 500 000 points PC optimum. Détails en magasin. [01:38:57] Speaker F: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [01:39:11] Speaker A: Couture dans le mid. [01:39:13] Speaker F: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [01:39:17] Speaker A: Radio X. Ben oui, l'argent c'est de l'argent. Oui, il y a pas mal de stock. L'économie, là, ceux qui pensent que ça dort au gaz, là, non, non, non. Là, la Fed, écoute, là, c'est l'histoire de la Fed parce que la semaine prochaine, la Fed va parler. On a eu les chiffres sur l'emploi aux États-Unis la semaine dernière. Et là, on dit, j'ai vu ce matin des analyses de grandes banques. américaine qui disent qu'il pourrait avoir trois baisses de taux d'ici la fin de l'année. [01:39:54] Speaker B: J'ai l'impression qu'il dit ça depuis deux ans. [01:39:56] Speaker A: Oui, il redote pas mal. Mais les taux d'intérêt sont très élevés aux États-Unis et au Canada aussi. Là, ils disent qu'il va falloir, parce qu'il y a eu quand même 22 000 seulement créations d'emplois, 22 000 emplois créés le mois dernier aux États-Unis, c'est très faible. Là, on dit qu'il va falloir aider les entreprises en baissant les taux d'intérêt notamment. Donc là, c'est pour ça que les marchés montent. Et c'est pour ça qu'aujourd'hui, on est dans le vert à peu près. Mais là, ce qui se passe, Trump, c'est le Wall Street Journal qui rapporte ça ce matin. Toute l'entente de libre-échange avec le Canada, le Mexique, on dit qu'on pourrait avoir des négociations rapides d'un prochain jour aux prochaines semaines. Trump voudrait régler le dossier avant le début de l'année, ou à tout le moins, parce que là, il y a des élections de mi-mandat aux États-Unis de 2026, et il voudrait régler ça rapidement. Puis tu sais comment que lui, il règle ça vite, là? [01:40:47] Speaker C: Oui, oui. [01:40:48] Speaker A: Est-ce qu'il va être capable? Fait que semble-t-il, tu sais, puis le Canada a délesté beaucoup d'affaires. On avait mis des contre-tarifs sur des produits qui étaient pas tarifés, qui étaient inclus dans le libre-échange. Ça, j'ai jamais compris l'histoire, là. Mais on a enlevé ça, on a enlevé d'autres mesures comme ça pour essayer d'atténuer, là, les indispositions américaines. Mais là, on dit que les négo pourrait partir rapidement et on aurait mis la table tranquillement des discussions avec le Canada et le Mexique. Est-ce qu'on va être capable de s'entendre là-dessus? Selon les règles de l'accord, C'est 2020, la dernière fois qu'on avait réglé cet accord-là. Notamment, six ans après, à partir du 1er janvier, six ans après, on peut commencer à négocier ou on peut rouvrir les ententes. Il faut qu'il passe par le Congrès, par exemple. C'est plus compliqué, là. [01:41:34] Speaker B: OK, oui. [01:41:35] Speaker A: Donc, il va falloir que Trump passe par le Congrès, mais il peut arriver avec un deal. Il peut dire, « We have a deal ». [01:41:41] Speaker B: « We have a deal ». [01:41:42] Speaker A: Ça va être à suivre parce que ça aussi, c'est nous autres, on est poignés là-dedans, le libre-échange. Puis là, toutes les entreprises sont sur. [01:41:47] Speaker B: Le « hold ». [01:41:49] Speaker A: Sont en retenue parce qu'il y a beaucoup d'entreprises qui ont arrêté d'investir parce que là, ils ne savent pas trop comment. Il y a beaucoup de peur là-dedans. Et là, l'histoire, est-ce qu'on ouvre le marché canadien aux voitures électriques chinoises? Ça, c'est la question. Parce qu'on en parle souvent avec le food professor, lui, quoi que oui, parce qu'il dit que là, les Chinois ont mis des mesures de rétorsion sur le canot-là. Mais l'autre chose, n'oubliez pas, là, si on s'en va en libre-échange, on pourra pas ouvrir les Chinois. [01:42:14] Speaker B: On pourra pas... Ben non, c'est ça. [01:42:15] Speaker A: Ben non. Écoute, les Américains, ils veulent qu'on reste imbriqués. Ils veulent continuer à nous vendre leurs voitures. Là, si tu t'en vas déclarant rien avec les Chinois... Parce que l'Europe le fait. On commence à avoir rentré des voitures chinoises. C'est pas 100 % de frais de douane comme nous on a ici. C'est 100 % de frais de douane, ces voitures électriques chinoises. En même temps, c'est-tu des chars fiables, les voitures chinoises? [01:42:36] Speaker B: Je sais pas. [01:42:37] Speaker A: Tu sais, nous autres, on a de la neige l'hiver. [01:42:38] Speaker B: Il y a ça. [01:42:39] Speaker A: Je vous confirme que les chars électriques, ça va bien, mais... Je sais pas, je les connais pas, moi, les Chinois. Moi, je me souviens que quand les Coréens étaient arrivés au Canada, les Hyundai Pony, Ça a pris du temps, là. Ça a pris du temps. À l'instar, les Hyundais, c'est fiable, puis il y a pas de problème. Ça a pris du temps avant de s'adapter au climat. Je sais pas si dans les voitures chinoises, c'est la même affaire. C'est-tu de la scrap? C'est-tu... [01:43:02] Speaker B: C'est une bonne question. Je sais pas où on peut pas... on les... [01:43:06] Speaker A: On n'a pas accès. [01:43:07] Speaker B: Exact. [01:43:07] Speaker A: Il y a pas de concessionnage chinois. En Europe, ils commencent à nous ouvrir, là. Nio, Xpeng Motors, il y a BYD. Plusieurs joueurs. Des gros joueurs qui sont à la bourse aussi, qui commencent à... s'implanter en Europe. Ils ont une volonté différente, eux autres, mais regardez qu'est-ce qui se passe en Europe. Volkswagen se fait rentrer dedans. Tous les fabricants européens, c'est l'hécatombe. Volkswagen, je regardais les mises à pied dans les usines. C'est parce qu'ils ont décidé d'ouvrir au chinois le char électrique. Ils se font massacrer. Donc, c'est-tu ça qu'on veut ici? Parce que nous autres, c'est surtout l'Ontario, les voitures électriques. Je pense pas qu'on va ouvrir là, mais ils commencent à avoir de la pression. Je sais qu'il y a des profs d'économie qui disent qu'il faudrait ouvrir les voitures chinoises au marché canadien. [01:43:51] Speaker B: C'est vraiment moi, je regarde, mettons, BYD en France. Une petite voiture berline, plus hatchback, c'est quand même 26 000 euros. [01:44:01] Speaker A: Ça veut dire 42 000. Ça c'est électrique. [01:44:06] Speaker B: Mais là, c'est tellement moins cher. [01:44:07] Speaker A: Y'aurait-tu accès aux subventions? Parce que l'autre affaire, c'est que tu commences à subventionner des voitures chinoises. [01:44:13] Speaker B: T'sais, VUS, 35 000 euros, là. T'es à 70 000 canadiens. [01:44:18] Speaker A: Bon, c'est pas deux pour un, là. [01:44:20] Speaker B: Non, non, je sais, mais t'es grosso modo, là. [01:44:21] Speaker A: Oui, oui, oui. Mais ça, c'est parce que, là... Ouais, non, tu parles de... Parce qu'il y a déjà... Sont moins chers, par exemple, parce qu'il y a déjà des frais en Europe. [01:44:31] Speaker D: OK. [01:44:31] Speaker A: Des espèces de frais de douane. [01:44:32] Speaker B: OK, oui, c'est peut-être ça, là. [01:44:34] Speaker A: C'est peut-être là que ça jouerait, là. Mais quand même! En égo, libre-échange, puis on ouvre les vannes aux Chinois. Je suis pas sûr... Je suis pas sûr que Donald va triper. [01:44:42] Speaker B: Ah, en effet. [01:44:43] Speaker A: Donc, à suivre. C'est pas compliqué. Hé, l'histoire de... Je sais pas si t'as vu, à Air Canada, les agents de bord ont voté l'entente de principe pour le salaire, notamment. Ils ont rejeté l'offre à 99 %. [01:44:56] Speaker B: Ben oui, ça... [01:44:57] Speaker A: Là, il faut faire attention parce que, là, avec le processus d'arbitrage qu'Ottawa a mis en place, là, justement, ils vont aller en médiation. Pour le reste, tout ce qui est normatif, je pense, c'est réglé. Ou en tout cas, ils vont régler ça. Mais au niveau du salaire, ils vont aller devant un arbitre. Donc, il n'y a pas d'histoire de grève puis de revenir. Ils pourraient peut-être revenir en grève, mais après. Il faudrait qu'ils passent devant la médiation. L'arbitrage, ça marche pas. Puis là, qu'ils puissent toutes les données comme Postes Canada a faites. Mais je pense qu'on va avoir une entente éventuellement. Mais ils l'ont rejetée à 99 %, pareil. [01:45:31] Speaker B: Oui, c'est assez majeur. Ils étaient tous d'accord. [01:45:34] Speaker A: Oui, exact. Tous d'accord contre. [01:45:36] Speaker B: C'est ça. [01:45:38] Speaker A: Je regarde les marchés boursiers. On est dans le vert aujourd'hui de record. Le S&P 500 est en record aujourd'hui. On a franchi les 6507 points. Robinhood s'envole. Robinhood a fait son entrée au S&P 500. Vendredi, c'est annoncé. Le titre de Robin Hood monte de 14,62 $, 115,90 $. Il y a Aplovin aussi qui rentre sur le S&P 500. Du côté canadien, ça brasse parce que SpaceX a ramassé un gros contrat. Notamment, ils ont acheté des spectres, des bandes de spectres cellulaires par EcoStar aux États-Unis. Puis ça, au début, c'était pas MDA Space canadien qui devait ramasser ça. Ça, c'est une compagnie canadienne qui fait des satellites en basse orbite. On envoie ça, puis on veut faire comme SpaceX. Comme Starlink. Mais finalement, les Américains ont décidé, ils ont dit « Non, ils ne seront pas canadiens. C'est SpaceX d'Elon Musk qui va rentrer. » Le titre de NDA Space, qui avait monté beaucoup, se fait laminer à la bourse. Baisse de 8,75$, 35,25$. Ça, c'est un titre qui était monté assez haut. Récemment, il était à 46. Les autres, il y a beaucoup de nos subventions là-dedans. [01:46:50] Speaker B: En plus. [01:46:51] Speaker A: Le goût, puis le fédéral, Justin, on a donné beaucoup d'argent à MDA Space. [01:46:56] Speaker B: Évidemment. [01:46:56] Speaker A: Puis là, ils viennent de se faire niquer aux États-Unis. Voilà. Le bitcoin, 112 700. On remonte tranquillement. Pas payé. 4379. Est-ce qu'on s'en va vers le bullrun? La semaine prochaine, la Fed va ouvrir les vannes. Ça, c'est bon pour les cryptos. On regarde ça aller. On revient après la pause. Couture dans le mid. Radio X, le Space... Ah voilà, voilà! ...Cast. [01:47:23] Speaker B: Ça roule chaud, là! Ça roule! [01:47:26] Speaker A: Ça roule! Le SpaceCast. [01:47:29] Speaker F: Avec G.S. [01:47:30] Speaker B: Blair. [01:47:30] Speaker C: C'est incroyable! [01:47:31] Speaker F: Et Louis Gauvin. [01:47:32] Speaker B: I am a machine! [01:47:34] Speaker C: Incroyable! [01:47:34] Speaker F: Lundi au jeudi. [01:47:36] Speaker B: Dans mes pieds. [01:47:36] Speaker F: 19H. [01:47:38] Speaker A: Radio X. [01:47:39] Speaker F: Faire circuler. Recycler. [01:47:41] Speaker C: Redonner. [01:47:42] Speaker F: C'est ce que fait la Fondry Horn, l'un des plus grands recycleurs de matières électroniques au monde. Elle fait circuler une ressource critique pour la transition énergétique, le cuivre, en recyclant chaque année des milliers de tonnes d'appareils. Elle soutient plus de 3 000 emplois au Québec, réduit ses émissions, agit pour la qualité de l'air et a généré près de 850 millions de dollars en 2023 pour notre économie. Fondry Horn, solide pour l'avenir. [01:48:08] Speaker A: Mes amis, il est temps de dire un dernier adieu aux anciennes règles de tri. [01:48:14] Speaker B: Elles emportent dans le deuil tous nos. [01:48:15] Speaker A: Doutes devant le bac de récupération. [01:48:18] Speaker F: C'est vrai que c'était mélangeant. [01:48:20] Speaker A: Maintenant, la règle, c'est contenant, emballage, imprimé. [01:48:23] Speaker F: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive? [01:48:24] Speaker A: Oui, contenant. [01:48:25] Speaker F: Mon papier d'aluminium? [01:48:27] Speaker B: Oui, emballage. [01:48:28] Speaker F: Les lettres d'amour de mon ex? [01:48:30] Speaker A: Imprimé. Dites adieu aux anciennes règles de tri. La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé. [01:48:35] Speaker F: Un message de Bac Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. [01:48:38] Speaker A: C'est la liquidation totale chez Nissan. Et c'est le moment de profiter de nos meilleures offres de l'année. Puis, on ne veut pas se vanter, là, mais cette année, on a été maintes fois récompensés pour nos véhicules. [01:48:51] Speaker B: Donc, profitez du meilleur des deux mondes. [01:48:53] Speaker A: Un financement à 0 %, en plus d'un bonnie liquidation de 500 $ sur Nissan. Les modèles sélectionnés et primés. Tous les modèles 2025 doivent partir. Rendez-vous chez Nissan dès maintenant. Sur approbation de crédit, les conditions s'appliquent. Détails chez Nissan. [01:49:07] Speaker F: Walmart offre plus de 10 000 articles fabriqués au Canada à débat prix de tous les jours. Comme un paquet de 24 rouleaux de papier hygiénique Cachemire pour seulement $12.97 chacun. En magasin et en ligne chez Walmart. [01:49:22] Speaker A: Envie de jouer? [01:49:23] Speaker B: Magasinez au sensationplus.com et découvrez nos articles. [01:49:26] Speaker A: Érotiques pour des jeux en solo avec votre partenaire. [01:49:29] Speaker F: Livraison rapide et discrète. [01:49:31] Speaker A: Sensationplus.com. [01:49:33] Speaker B: Vous voulez vendre votre maison? Simonlaberge.com. Les courtiers immobiliers numéro 1 au Québec du Palmarès via Capital. Ils ont les connaissances, l'expérience et le réseau de contact. Vous voulez vraiment vendre votre maison? Simonlaberge.com. Courtiers immobiliers via Capital. Simonlaberge.com. [01:49:49] Speaker A: Salut, moi c'est Martin. J'ai une hernie discale. C'est Tellement douloureux que je multiplie les visites à l'urgence, les absences au travail, puis je peux même plus jouer au hockey comme avant. Mettons que je trouve le temps long. Martin était bien découragé, mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée. Croyez-moi, le centre de correction vertébrale, c'est la clé pour votre santé. [01:50:15] Speaker B: À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com. Drolette-Ressort, c'est votre centre de mécanique de. [01:50:22] Speaker A: Véhicules lourds à Québec. 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[01:51:24] Speaker A: BPM Sport, la radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. On a eu un solide week-end de sport. Dans la frontière, débutons par nos capitales qui ont passé le coup de ballet aux Boulders de New York. Victoire en vendredi à Québec de 4 à 0 avec un grand match de Greg Duncan. En 7 points de manche lancée, aucun. [01:51:42] Speaker B: Point, aucun but sur balle, seulement 3. [01:51:44] Speaker A: Coups sûrs et il a retiré 10 frappeurs sur des prises. Ça, c'est du solide, mon Greg. Place maintenant à la finale de conférence. Il s'agira d'une série 3 de 5. Et les prochains adversaires, les Valley Cats. Ça débutera ce mercredi à Tri-City. Au football universitaire, le Rouge et Or a gagné hier, mais on s'attendait à une plus grosse destruction. Victoire de 28-5 contre le Varrier de Sherbrooke. Après le 3e quart, c'était 14-5 seulement et on a eu droit à beaucoup de punitions sur les unités spéciales et la concentration n'était pas à 100 %. Coach Glenn Constantin voit ça comme de l'apprentissage. Pas grave, l'important, c'est le résultat. Place à un gros défi ce vendredi. Direction l'Université de Montréal pour affronter les Carabins. Et dans la NFL, après un dimanche de fou, c'est l'heure du Monday Night Football. Un duel à Chicago entre les Bears et les Vikings du Minnesota. Impossible de battre le duel de fou entre les Bills et les Ravens 41-40 à l'avantage de Buffalo. Ou encore de Aaron Rodgers en grande forme contre ses anciens Jets de New York. Mais quand même, c'est le retour du Monday Night. Maudite bonne nouvelle. Ça débutera à 20h15. [01:52:59] Speaker F: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [01:53:02] Speaker C: Fait que... c'est ça, c'est ça. [01:53:05] Speaker A: Radio X! Tu vas à Monday Night à soir? [01:53:08] Speaker B: Yes, sir! [01:53:09] Speaker A: Les Vikings? [01:53:10] Speaker B: Vikings! [01:53:11] Speaker A: Les Bears? [01:53:13] Speaker B: Ouais, OK. [01:53:14] Speaker A: J'ai hâte de voir. Hein? Ouais. Ouais. [01:53:17] Speaker B: Gros match? C'est beau, beau beau. [01:53:19] Speaker A: Leur nouveau corps? Je sais pas si c'est le petit corps McCarty. [01:53:22] Speaker B: Petit corps. Voilà! [01:53:24] Speaker A: Qui qui s'en vient? [01:53:25] Speaker B: JC, Patricia et Max Lacasse. [01:53:29] Speaker A: Merci beaucoup les auditeurs, merci Nick. [01:53:31] Speaker B: Plaisir, à demain. [01:53:31] Speaker A: Et nous autres c'est demain. Demain encore un gros show, vous allez voir. Ça marche. Nous autres on s'allonge pas. [01:53:35] Speaker B: Jamais. [01:53:36] Speaker A: Ciao, à demain. Couture dans le mid. [01:53:40] Speaker F: Petite pause. On revient dans pas long. Hey boy. [01:53:44] Speaker A: Radio X. Couture dans le mid. [01:53:48] Speaker F: Réécoute les meilleurs moments. [01:53:50] Speaker A: Radio X.com. [01:53:51] Speaker F: L'application Radio X. [01:53:54] Speaker A: Radio. [01:53:55] Speaker F: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79 $ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [01:54:15] Speaker A: Alors que le suspense demeure concernant le remaniement ministériel promis en juin dernier et prévu ce mercredi par le premier ministre François Legault, la ministre de la Famille, Suzanne Roy, et le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, André Lamontagne, ont annoncé durant la fin de semaine qu'ils ne se présenteront pas à la prochaine élection et qu'ils cèderont leur ministère, tout en terminant leur mandat pour éviter le déclenchement d'élections partielles avant la générale du 5 octobre 2026. Le voisinage a tranché. Il n'y aura pas de bruit lors des 15 matchs de football annuel de l'Académie Saint-Louis. C'est le résultat d'un référendum fait auprès de 101 résidents du secteur qui ont voté en faveur du maintien du règlement dans une proportion de 75 %, ce qui veut dire que l'utilisation d'un système d'amplification et autres sources de bruit demeure interdite. Déçu du résultat, le maire Marchand proposera une motion spéciale le 16 septembre pour permettre que les enfants continuent de jouer au football. [01:55:12] Speaker F: News Radio X. [01:55:15] Speaker B: Présenté par la liquidation totale des modèles 2025 chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. Le Rogue, la Sentra et le Kicks sont offerts à 0% d'intérêt à l'achat sur 48 mois. À ce prix-là, c'est le temps de changer. [01:55:29] Speaker A: La confiance, c'est savoir que l'on est prêt à faire face à tout ce qui se présente. C'est ce que l'on ressent lorsqu'on entreprend une journée de travail avec Syntas. Il s'assure que vos DEA sont à jour, vos armoires de premiers soins sont approvisionnées, vos tapis sont nettoyés et livrés, et vos vêtements de travail sont beaux, agréables au toucher et fraîchement lavés grâce au programme de vêtements de Syntas. Alors, êtes-vous prêt à affronter la journée? Visitez syntas.ca baroblique fr et soyez prêt pour la journée de travail. [01:55:56] Speaker E: Voici le portrait. [01:55:58] Speaker A: Tu veux vendre ta voiture. T'en veux une neuve. [01:56:01] Speaker E: Et tu veux faire ça simple. [01:56:03] Speaker A: Seule l'est avec Kia Beauport. On fait partie du portrait. [01:56:08] Speaker B: Rejoins la famille. [01:56:09] Speaker A: Évalue ton auto au kiabeauport.com Participez au. [01:56:13] Speaker F: Concours des Grands Prix de la CNESST, dans la catégorie Innovation, qui reconnaît les projets tangibles conçus et mis en œuvre avec succès pour prévenir les accidents du travail et les maladies professionnelles, ou encore dans la catégorie Promotion de la santé, qui reconnaît les initiatives favorisant la santé physique et psychologique des travailleuses et travailleurs. Rendez-vous au grandpricenesst.com pour vous inscrire. Un message de la CNESST. [01:56:40] Speaker A: Cet automne, respectez vos échéances avec les équipements de construction Kubota, bâtis pour le Québec. Peu importe le froid et le chantier, ils sont fiables. Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0 %. Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. S'il y avait un camp de recrutement pour devenir véhicule certifié d'occasion Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan, il y aurait beaucoup d'appelés et peu d'élus. Car ce n'est pas n'importe quel véhicule qui peut entrer dans la famille. L'équipe les teste, les inspecte et garantit qu'ils donnent encore leur 100 % en tout temps. Profitez du financement à partir de 2,99 % et des plus, dont le programme. [01:57:16] Speaker B: De changement de huile à vie. [01:57:17] Speaker A: Vous verrez que même d'occasion, votre Nissan du groupe Paquette est encore au sommet de sa forme. Détails chez Paquette-Nissan et Saint-Nicolas-Nissan. [01:57:25] Speaker B: Chez Aquavila, on sait qu'une belle salle de bain, c'est bien plus qu'un luxe, c'est du confort pour toute la famille. Bain autoportant, vanité, robinet de douche, plancher chauffant, céramique et vénile, on a tout ce qu'il vous faut pour rénover sans négliger la qualité et ça, au meilleur prix du marché. Passez voir nos produits et vous inspirez à Québec, à notre succursale du carrefour Neuchâtel et à Lévis sur Wilfrid Carrier. On est là pour vous, comme une bonne entreprise de chez nous. Pour une maison qui vous ressemble, Aquavila. Votre allié en plomberie et plancher, aussi admirable qu'abordable. L'événement Prenez la route Hondé est de retour. [01:57:56] Speaker A: Cet été que vous empruntiez la 10, la 15 ou la 132, votre taux de financement sera de 0 % à l'achat d'une e-Onexis 2025. Plus, recevez jusqu'à 11 000 $ de rabais additionnels de Hondé et du gouvernement du Québec. Ou louez la version Preferred longue portée à partir de 1,99 % avec des paiements hebdomadaires de 100 $. Avec ses 581 km d'autonomie, c'est facile. [01:58:18] Speaker B: D'Électriser son été avec Hondé. [01:58:20] Speaker A: Les conditions s'appliquent, visitez hondecanada.com pour les détails. [01:58:24] Speaker F: Bonjour, c'est Cécile, propriétaire des Cliniques Viva. Je suis hyper emballée de vous annoncer qu'on vient tout juste d'acquérir la nouvelle technologie Vasculaise. C'est un appareil laser spécialisé pour traiter efficacement les varicosités, les petites veines apparentes. [01:58:36] Speaker A: Les rougeurs diffuse, autant au niveau du corps que du visage. [01:58:39] Speaker F: Les séances sont rapides, sécuritaires, donc si vous êtes concerné par tout ce qui. [01:58:43] Speaker A: Touche les petites vénules, les varicosités, c'est le traitement pour vous. [01:58:46] Speaker F: On est vraiment fiers d'être parmi les premiers à Québec à vous offrir ce nouveau traitement-là dans l'ensemble de notre réseau. Donc, pour planifier votre consultation sans frais, cliniquevivant.com.

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