September 12, 2025

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La couverture médiatique du meurtre de Charlie Kirk au Québec est médiocre!

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Couture dans le mid
La couverture médiatique du meurtre de Charlie Kirk au Québec est médiocre!

Sep 12 2025 | 00:19:43

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Show Notes

Entrevue avec Jérôme Blanchet-Gravel: La violence de la gauche est DEVENUE socialement acceptable
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[00:00:00] Speaker A: La police de Lévis vient de dévoiler l'identité de la victime hier d'un meurtre gratuit à Lévis. Alain Dubois, c'est un retraité notamment de la ville de Québec. Lui, il était chez eux tout petit. Tranquille. Il était assassiné. [00:00:29] Speaker B: Ben voyons. [00:00:30] Speaker A: Oui, là on sait pas, on n'a pas idée c'est quoi le mobile du crime. On n'a pas idée qui a fait ça. C'est-tu des gangs de rue qui rentrent... [00:00:37] Speaker B: J'espère que non. [00:00:39] Speaker A: Ben là, ce gars-là... [00:00:40] Speaker B: Il parle d'une histoire. [00:00:41] Speaker A: Aucun antécédent. [00:00:42] Speaker B: Ouais. [00:00:42] Speaker A: Sur la rue des Capes dans le secteur de Saint-Romuald. Capoté, je pense. Bizarre. [00:00:48] Speaker B: Ouais. [00:00:49] Speaker A: Super en cavale. Et là, le monde commence à être inquiet. [00:00:52] Speaker B: Je comprends. [00:00:53] Speaker A: T'es chez vous, tranquille, mais à un moment donné, quelqu'un rentre chez vous comme ça, bang, bang. Capoté. Voilà. Notre invité, il est là. [00:01:00] Speaker B: Oui. [00:01:00] Speaker A: Notamment éditeur de Libre Média, Jérôme Blanchet-Gravel. Comment ça va, Jérôme? [00:01:05] Speaker C: Salut, salut. [00:01:07] Speaker A: Écoute, Jérôme. Oui, bien là, avec toutes les histoires qu'on entend, Charlie Kirk, le walkisme débridé, complètement débile. Comment tu vois ça? Comment tu analyses tout ça? Cette gauche folle qui se promène, qui, quand on n'aime pas ce qu'on entend, on tire, on veut éliminer, on veut t'effacer. [00:01:28] Speaker C: C'est le fruit quand même d'un long conditionnement. Sans attribuer trop grande part de responsabilité aux médias, il y a quand même un climat social qui est propice à ce genre d'actes. C'est le résultat de 20-30 années où la gauche finalement a eu le monopole. C'est très clair. Le wokisme est devenu extrêmement manichéen, on le sait. D'un côté, il y a les opprimés, de l'autre côté, il y a les oppresseurs, d'un côté, il y a les Blancs, d'un côté, il y a les autres, d'un côté, il y a les minorités, de l'autre côté, il y a la majorité oppressante, tyrannique. Donc, le wokisme est extrêmement manichéen. Donc, on est vraiment devant un jeu d'échecs. Et c'est ça, on a créé un climat social, médiatique, institutionnel même, qui a permis ce genre d'actes violents, ce genre d'assassinat. Donc, c'est vraiment une étape supplémentaire dans la guerre culturelle. Cette fameuse... Bon, nous, en français, on n'utilise pas vraiment ce terme-là, mais en anglais et en espagnol, c'est très fort. Donc, je sais que certains hésitent à parler de polarisation. Bon, certains disent que c'est un peu cliché, ça renvoie un peu dos à dos les deux camps. Mais quand même, on est quand même un peu dans une logique, pas pré-guerre civile, mais on est devant non plus des adversaires, mais devant des deux camps ennemis. Et honnêtement, oui, c'est très préoccupant. C'est vraiment, on est dans une escalade. [00:03:00] Speaker A: Tu parlais du rôle des médias. Encore là, dans le dernier jour, Charlie Kirk se fait assassiner. Et là, il y a des médias québécois qui parlent de Charlie Kirk, ils le décrivent comme l'extrême droite. Il y en a même un, je l'ai vu, il dit que Charlie Kirk tentait de réhabiliter Hitler. Là, à un moment donné, les mots ont-ils un sens? Parce qu'extrême droite, Hitler, Si tu dis d'une personne d'extrême droite et tu le compares ou tu l'associes à Hitler, il n'y a pas ça le point Godwin, mais en même temps, tu viens d'éliminer toute forme de discussion possible alors que le gars, t'es pas d'extrême droite. [00:03:39] Speaker C: Non, les médias, les grands médias, les médias traditionnels, subventionnés, frappent vraiment leur Waterloo avec la couverture de l'assassinat de Charlie Kirk. C'est honteux. Je ne pensais même pas qu'on pouvait se rendre là. Donc, effectivement, toute une panoplie de médias, mais aussi d'agences. Ici, je pense à l'AFP. dont on récupère les dépêches, c'est-à-dire qu'il y a vraiment une espèce de... On s'emploie, ces médias-là, dans ces agences, à minimiser forcément cet assassinat. La violence politique de la gauche est socialement plus acceptable. dans leur perspective, et c'est honteux. Et au Québec, ça prend des proportions caricaturales, un peu comme d'habitude, mais c'est un autre niveau. Honnêtement, non seulement les billets sont énormes, c'est-à-dire que c'est devenu obscène comme participerie, c'est une espèce de pornographie moralisatrice sans aucune limite, Et il y a une médiocrité aussi, une pauvreté dans l'analyse. Au Québec, on ne retiendra probablement seulement le fait que c'est un défenseur des armes à feu qui a été abattu par armes à feu, donc il y a des gens qui vont s'inviter. [00:04:53] Speaker A: Le segment qu'on a vu circuler dans les médias québécois là-dessus, On l'a fait jouer, nous, ici, à Radio-X hier, mais il dit pas ça, là, parce qu'il explique. On a fait jouer 10 secondes de l'extrait, mais le segment, il dure quasiment 2-3 minutes. Et il explique pourquoi il défendait, notamment, le second amendement, là. Mais c'est pas lié. C'est pas lié au... Alors quoi on veut? [00:05:14] Speaker C: La question n'est pas là. Ça s'inscrit dans un contexte beaucoup plus large. La circulation des armes à feu aux États-Unis, on sait que c'est un problème. Il y en a 300 millions en circulation. Pour le dire poliment, ça fait pas mal de gonne au pied carré. C'est presque un américain. Il y aurait presque un fusil paraméricain. Donc oui, il y a une facilité peut-être à accéder à une arme à feu. Mais dans un autre pays, quand il y a des assassinats politiques, récemment en Colombie, il y a un sénateur qui a été assassiné un peu de la même façon. Et c'est pas le débat sur les armes à feu qui refait surface. C'est-à-dire, c'est pas parce que vous défendez le port d'armes à feu que vous êtes pour le meurtre avec armes à feu. Juste avoir à rappeler ça est quand même un peu étonnant. Donc écoute, on est dans une médiocrité du nouveau médiatique. Honnêtement, c'est trop. Je ne peux pas croire même que les grands médias vont survivre à ce genre de couverture-là, à ce genre de participer. Et le Québec, j'ajouterais, n'est pas à l'abri. Nous, on se croit en marge des méchants des États-Unis. Les Américains sont des colons. Ils aiment les armes à feu. Ça peut pas arriver chez nous, mais en fait... C'est déjà arrivé, là. [00:06:21] Speaker A: Pauline Marois s'est fait tirer. [00:06:23] Speaker C: Exactement. Très bon exemple. Donc, on n'est pas à l'abri. Et écoutez, moi, je pense à... des personnalités connues à plus à droite qui, maintenant, sont exposées à ce genre d'événements-là. C'est-à-dire, écoutez, un bas-côté a déjà été entarté dans une librairie sur la rue Cartier, à Québec. Bon, c'est un geste qui, évidemment, n'a pas la même violence, mais c'est quand même une certaine violence symbolique. C'est-à-dire qu'on connaît des personnalités de droite qui pourraient devenir, tout d'un coup, des cibles. C'est-à-dire que c'est quand même ça, le constat qu'on peut faire. Donc, qui est le prochain sur la liste? Est-il Québécois? Est-il Français? Éric Zemmour en France. On peut multiplier les exemples. Il ne s'agit pas de vivre dans un climat de peur, un climat de paranoïa. Mais moi, j'ai reçu des messages, par exemple, en me disant... Moi, je ne suis pas une cible, vous comprenez, mais... En fait, tout le monde peut devenir une cible à droite aujourd'hui. C'est ça, quand même, la conclusion de ce gouvernement-là. [00:07:15] Speaker A: Et ça semble être décom... Oui, mais c'est décomplexé. On dirait que c'est comme normal. Puis, il n'y a pas de problème, là. On va cibler puis on va faire taire les gens. [00:07:23] Speaker C: Mais de toute façon, on le mérite. On le mérite, nous autres, parce que nous, c'est la droite. Nous, on est du côté de la haine, eux sont du côté, évidemment, de l'amour. C'est quand même incroyable, cet amour qui tue. Donc, la droite l'a cherché. Alors que la gauche continue à se croire l'ultime dépositaire du bien commun, alors qu'elle a sombré dans une violence manifeste. Heureusement, il y a encore des voix responsables à gauche aux États-Unis. On a vu des députés, comme Mme Ocasio-Cortez, qui a dit qu'il fallait arrêter la violence politique parce que les États-Unis ont une londe historique de violence politique. Mais il y a quelque chose dans le wokisme qui est déchaîné actuellement. Et l'homme blanc, en tant que tel, est devenu le symbole du mal. Non seulement c'est le symbole du racisme, mais c'est aussi le symbole de la destruction de la nature, parce qu'on sait l'Occident qui a fait de l'industrialisation, etc. Donc, l'homme blanc en particulier est le symbole du mal dans cette nouvelle mythologie wok. Et il va falloir mettre un frein à ça, parce que ça va vraiment trop loin. [00:08:26] Speaker A: J'ai pas entendu aucun politicien québécois parler de ça. Étonnamment, je sais pas, j'ai pas vu, j'ai pas entendu des politiciens dire, bien, on déploie ça, puis il va falloir mettre fin peut-être à cette haine qui sépare la gauche de la droite. Mais rien de ça. Silence Radio-Québec, comme si on n'était pas concerné par ça. Comment tu analyses ça, que nos politiciens n'en parlent pas du tout? [00:08:53] Speaker C: Écoute, le Québec est de plus en plus déconnecté, honnêtement, c'est incroyable. On n'a parlé que du remaniement cette semaine. Une bonne partie de mon travail consiste à suivre ce que les autres médias font. Souvent, c'est un peu amusant. Cet été, on a eu toute une panoplie d'animaux. Rappelez-vous les goélands qui ont attaqué des facteurs en Gaspésie. Ça a fait les manchettes. L'année passée, c'était un chat violent à Roqueforest qui a terrorisé tout un quartier. On a tout un bestiaire au Québec. [00:09:24] Speaker A: D'Animaux Les requins, les requins blancs à Gaspésie aussi. [00:09:28] Speaker C: Oui, les requins aussi. Il y a eu des cochons aussi en cavale récemment en Mauricie, je pense. Donc écoute, le Québec a une déconnexion incroyable. Honnêtement, on s'enfonce. Ça s'améliore pas. Donc il ne s'agit pas de canceller évidemment les chroniqueurs qui font des erreurs graves. On peut penser à Francis Gosselin. Mais ça serait quand même le fun d'avoir des bons animateurs de radio. La radio X en avait. Mais vous comprenez, il y a une déconnexion, il y a une médiacrité qui s'empire au Québec du côté des médias. Il faut redresser la barre, ça n'a aucun sens. Comment vivre autant à la marge mentalement? C'est vraiment un summum en termes de dôme. Donc ça ne m'étonne pas que les politiciens ne réagissent pas parce que Ils sont, eux aussi, évidemment, ils baignent dans cette atmosphère de déconnexion, de monde parallèle. Écoute, c'est vraiment une terre perdue dans le Nord, complètement. Honnêtement, ça n'a pas de sens. [00:10:25] Speaker A: Et l'autre chose, toi, tu vois la suite comment au niveau du walkisme, de la culture de la cancellation? Est-ce qu'on a atteint un point de non-retour où on va passer à autre chose éventuellement? Parce que dans le fond, ce qu'un jeune de 22 ans, il est arrêté, Ce qu'il a fait, lui, il a cancellé Charlie Kirk. Il l'a éliminé. On l'a cancellé en le tuant. [00:10:46] Speaker C: C'est la forme ultime de la cancellation, effectivement, de l'assassinat politique. Écoute, c'est dur quand même d'envisager l'avenir. Ça se pourrait quand même qu'il y ait plus de polarisation et qu'il y ait une sorte de réponse de la droite. C'est pas impossible. Puis il y a des gens à droite aussi. Puis moi, je l'étais au continent. C'est-à-dire au Québec, encore une fois, on était à l'abri. Polarisation gauche-droite au Brésil en particulier. C'est occidental, ce phénomène-là. Il y a juste au Québec qu'on pense qu'on est à l'abri de tout ça. Donc, est-ce qu'il va y avoir une escalade, un engrenage qui va être déclenché? Écoute, c'est possible. À gauche, est-ce qu'il va y avoir un examen de conscience? Honnêtement, j'en doute fortement. On est carrément rendu dans la déshumanisation de nos adversaires politiques. On a vu les tonnes de réactions de gens à gauche qui se réjouissent ouvertement de cet assassinat. Donc on est dans la déshumanisation quand même de l'adversaire. Ce camp qui prétend être le summum de la diversité, de l'ouverture, du respect, du dialogue. [00:11:49] Speaker A: Dans le fond, ils se foutent carrément. C'est leur petite personne, puis moi, moi, moi, moi, moi. Charlie Kirk était père de deux enfants. Ces enfants-là sont orphelins aujourd'hui. [00:11:59] Speaker C: Non, c'est terrible. Vraiment, c'est un traumatisme collectif qui vient de survenir. [00:12:06] Speaker A: Mais il faut douter des gens comme ça, qui à chaud réagissent à la mort de quelqu'un en saluant son décès de façon « yes ». [00:12:16] Speaker C: Ça en dit long, ça en dit long. [00:12:17] Speaker A: Ça en dit long certain, puis c'est ce que Kirk dénonçait d'ailleurs. S'il y a quelqu'un qui réagit de cette façon-là, doutez de cette personne-là de façon importante. Écoute, le temps file. Vous avez sorti sur LibreMédia également des statistiques sur les morts COVID liées à la vaccination. Je n'ai pas vu grands médias en parler. [00:12:38] Speaker C: Non, on est vraiment le seul média qui en a parlé. Donc, c'est un rapport du Centre juridique pour la liberté constitutionnelle basé à Calgary, un centre de défense des droits et libertés importants au Canada, qui a sorti un rapport de 58 pages qui fait état, effectivement, d'une surmortalité totalement anormale post-COVID. Donc, en gros, ce qu'on avait anticipé, enfin, ce que nous, on avait anticipé à LibreMédia et à Radio X aussi, les fameux dommages collatéraux du confinement, finalement, se sont avérés mortels dans plusieurs cas. Donc c'était pas difficile à prévoir, mais écoute, on a été une très petite minorité à le soulever, à l'anticiper. [00:13:13] Speaker A: Vous autres vous l'avez fait avec vos statistiques, mais nous on le disait à l'époque Radio-X, on était tapé sur les doigts pas mal, tapé sur la tête aussi. [00:13:18] Speaker C: C'est pour ça que je le soulève, je vous le donne absolument. Ça a été un des foyers de résistance important Radio-X, sinon un des seuls foyers de résistance. [00:13:26] Speaker A: Le seul, le seul. [00:13:27] Speaker C: Oui, oui. Que pignon sur rue. Ben écoute, c'était pas difficile à prévoir. Enfermer 2 millions... 8 millions de personnes pendant 2 ans ne pouvait pas être très bon pour la santé. En gros, là, t'sais, comme... Quelle surprise! [00:13:43] Speaker A: Ah non, il y a du monde qui ont viré fou, là. Il y a du monde qui ont été complètement chamboulés. [00:13:46] Speaker C: Et encore aujourd'hui... Overdose, santé mentale, oui. [00:13:49] Speaker A: Mais là encore, là, aujourd'hui, il y a des gens qui ont de la misère à revenir, là. Ils sont encore tagués, eux autres, le Netflix, là, 10 heures par jour, là, c'est le fun. [00:13:57] Speaker C: PCU, l'esprit PCU a dominé, ça a nourri beaucoup la paresse aussi. On pourrait aussi se pencher sur la productivité qui a beaucoup diminué. Donc, il y a une espèce de pays en pyjama qui n'en finit plus. [00:14:08] Speaker A: Comme une société chalet. [00:14:10] Speaker C: Oui, la société chalet, c'est bon ça. Donc, c'est rien de surprenant. Écoute, vous vous assignez à résidence de 8 millions de personnes. pendant deux ans, puis vous vous étonnez qu'il y ait des répercussions sur la santé publique. Dans le fond, le confinement a été une des politiques les moins santé de l'histoire. Évidemment, ça a été au nom de la santé, donc c'était très orwellien. Donc, il y a toutes sortes d'effets, notamment aussi le seul fait d'empêcher les personnes âgées d'aller marcher, par exemple. On sait qu'avec un chien, on pouvait le faire. Mais c'est-à-dire sur le plan de la musculation, sur le plan musculaire, l'atrophie musculaire, Donc, ça a été une politique extrêmement néfaste. C'est ça pour la santé publique, le confinement. Et les statistiques de surmortalité, donc de morts excédentaires, le montrent très clairement. Je vous invite à aller consulter l'article. Et c'est encore un tabou. C'est-à-dire, au Québec, on est encore dans le déni de cette période-là, de tous les abus qui ont été commis par le gouvernement Legault et le gouvernement fédéral. Le gouvernement Legault, actuellement, est moins populaire, mais pas pour ces raisons-là. Donc... Mais écoute, encore une fois, est-ce que c'est étonnant? Est-ce que c'est étonnant que d'avoir confiné des gens deux ans ait eu des répercussions négatives sur la santé publique? Il me semble qu'on pouvait le prédire. [00:15:26] Speaker A: Le goût de sa tournée d'excuses publiques pourrait peut-être dire que le couvre-feu, c'est une erreur aussi. Envoyer des textos le 31 au soir, puis fermer les restaurants, puis fermer tout le monde. Ça aussi, les couvre-feu, ça a été très dommageable, moralement, puis au niveau de la santé mentale des Québécois. Mais ça, il te dira pas, là. Évidemment, il va jouer dans le film Scarlett. [00:15:49] Speaker C: Tant qu'à parler des Kings, effectivement, tant qu'à ressortir les Kings à Québec, on pourrait peut-être ressortir le couvre-feu. Mais les Québécois n'en ont pas cette maturité-là, ne veulent pas l'entendre, en majorité. Puis il y a des Québécois encore nostalgiques du couvre-feu. On le voit, par exemple, avec les résidents autour de l'Académie Saint-Louis qui rêvent finalement d'un couvre-feu sonore. C'est une société qui est nostalgique. Il y a bien des Québécois Ils ont adoré être confinés, finalement, même si c'était mauvais pour leur santé. Ils ont trippé, ils se pognaient le cul toute l'année, payés en plus par le fédéral pour se pogner le cul l'année, toute l'année chez soi. En plus, c'était des héros, ces gens-là. Vous restiez chez vous à ne rien faire et vous deveniez les héros du gouvernement. C'est quand même incroyable, donc les héros étaient devenus des héros. Et on est encore englués un peu dans cet esprit-là. On va en payer le prix encore longtemps. [00:16:40] Speaker A: Héros en faisant des petites tartelettes portugaises. C'était magnifique. Jérôme Blanchet-Gravel, merci beaucoup. LibreMédia, vous travaillez sur quoi? Il y a des gros dossiers qui s'en viennent. [00:16:52] Speaker C: Ben écoutez, on a eu Charlie Kirk, toutes sortes de choses, on a eu des podcasts, on a eu de nouveaux podcasts. Moi, ce que je sors bientôt, je reviens de Saint-Domingue, de République Dominicaine. J'ai fait un grand reportage sur la crise migratoire que traverse la République Dominicaine. Il y a un million d'haïtiens. En fait, on sait que c'est le pays à l'ouest, l'Haïti. Le pays à l'est, c'est la République Dominicaine, sur l'île d'Hispaniola. Et j'ai travaillé sur, finalement, cette crise migratoire. Les Dominicains, plusieurs pensent vivre une invasion migratoire de leur pays. Donc, je suis allé donner la parole à des commentatrices. Je suis allé à la télé, quand même, moi aussi, en République dominicaine, en espagnol. C'était agréable. Et je peux vous dire qu'il y a des belles commentatrices en Amérique latine. Il faut se concentrer, quand même, honnêtement. [00:17:37] Speaker A: Il fallait rester focus, comme on dit. Jérôme, tu es salué. Merci beaucoup de tes lumières. Salut. [00:17:42] Speaker C: Merci à vous. [00:17:43] Speaker B: Bye, bon week-end. [00:17:43] Speaker A: Voilà. Jérôme Blanchet-Gravel de LibreMédia. Vous pouvez vous abonner. Ça, c'est un média indépendant qui tient le fort contre vents et marées parce que ce n'est pas évident. Je ne suis pas sûr qu'il touche des subventions comme bien du monde. [00:17:58] Speaker B: Ils sont assez indépendants. [00:17:59] Speaker A: Ils sont indépendants. Puis quand on ne touche pas de subventions, on est peut-être plus libre. [00:18:05] Speaker B: Plus libre. [00:18:06] Speaker A: Comme LibreMédia. Voilà. Voilà, on ouvre les lignes. [00:18:10] Speaker B: Oui. Écoute, c'est intéressant, l'histoire des cinq joueurs de hockey qui ont été déclarés non-coupables. L'histoire derrière Hockey Canada et de cette victime-là dont on ne connaît pas l'identité. Bref, ils ont été déclarés non-coupables et la Ligue nationale a dit qu'à partir du 1er décembre, ils pourront être mis sous contrat si jamais il y a une équipe qui veut aller les chercher. [00:18:31] Speaker A: La question, si vous êtes un DG, d'une des 32 équipes de la Ligue nationale. Est-ce que vous engagez un des joueurs pour leur talent d'abord et avant tout? [00:18:41] Speaker B: Par exemple, Carter Hart, qui est un gardien qualifique. [00:18:44] Speaker A: Est-ce que vous l'engagez? Puis là, tu sais, je veux entendre l'argumentaire par rapport à les commanditaires, les abonnés des billets de saison, parce qu'il y a des équipes qui ont de la misère à remplir leur staff. Il y a tout ça à Montréal. À Montréal, Logan Mayhew, ça n'a pas fait l'unanimité. [00:19:00] Speaker B: En effet. [00:19:01] Speaker A: Ça a été critiqué. Reviens-toi, je pense que les Blues de Boston, à un moment donné, avaient embauché un joueur comme ça, qui était très, très controversé. Les joueurs dans le vestiaire se sont levés. Patrice Bergeron, ils ont dit, nous, on ne le veut pas dans le vestiaire, ce gars-là. [00:19:14] Speaker B: Ouais, mais tu sais, comme Edmonton, par exemple, qui ont engagé un gars comme Evander Cain. [00:19:18] Speaker A: Ouais, c'est Evander Cain qu'on cherchait d'ailleurs. Oui, je sais, mais ça se peut que les joueurs de l'équipe disent, nous, on n'en veut pas, ce gars-là. [00:19:24] Speaker B: Peut-être. Qu'est-ce que vous en pensez? [00:19:25] Speaker A: Parce qu'on le veut aller, peut-être, dans la vraie vie, Peut-être que son compa... Je dis ça de même, je sais pas. [00:19:31] Speaker B: T'en pensais quoi? [00:19:31] Speaker A: Ouais. [00:19:32] Speaker B: 88-670-9098. [00:19:34] Speaker A: On revient après la pause.

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