Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: ♪ ♪ ♪ Couture dans le mid. Avec Pierre Couture. Pierre, c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7. Et Nick Cloutier. Couture. Donc, ça va brasser. Dans le mid. Radio X. 10h01.
Couture dans le mid.
On est avec vous jusqu'à midi. Et il y a beaucoup d'actualité. Ça vient juste de tomber là, on dit qu'on a attrapé un suspect.
[00:00:41] Speaker B: Ouais.
[00:00:42] Speaker A: Pour l'assassinat politique de Charlie Kirk.
[00:00:46] Speaker B: Personne d'intérêt en tout cas, on pense.
[00:00:48] Speaker A: Bien que c'est lui. Les photos fit là, parce qu'on avait dévoilé des photos du suspect en question. Et là on aurait un nom.
Tyler Robinson, 22 ans, qui vivrait dans l'Utah. L'Utah en passant, peine de mort, hein?
[00:01:04] Speaker B: Absolument.
[00:01:04] Speaker A: Donc lui, en tout cas, on l'a arrêté. On est en train de l'interroger, le FBI est sur le dossier. C'est Donald Trump qui a dévoilé ça ce matin. Il était de passage à New York. Hier, il est allé au Yankee Stadium. Et ce matin, il était dans des talk shows, notamment Fox News, et il a dévoilé, il dit « Bon, bien, le FBI a arrêté quelqu'un. » C'est fait. On pense que c'est le bon gars. Mais là, les photos qu'on corte de... Je sais pas si t'as vu sur X. Il commence à y avoir beaucoup de photos concernant Tyler Robinson. D'intérêt, là. Personne d'intérêt dans l'assassinat de Charlie Kirk. Tu parles d'une patente, toi. Un gars de 22 ans qui tue un gars de 31 ans.
[00:01:39] Speaker B: Wow!
pour des idéologies et des... en fait, pour des idées totalement différentes.
[00:01:47] Speaker A: Ouais. Et l'ironie de tout ça, c'est que Charlie Kirk, lui, se promenait sur les campus universitaires collégiaux.
[00:01:54] Speaker B: Ah oui.
[00:01:54] Speaker A: Et ce qu'il faisait, lui, c'est qu'il confrontait les idées, hein, tes idées, mes idées. Des fois, ça finissait, c'était un peu un débat, là, de... Ouais. T'sais, comme il disait, il...
Lui, le micro, des fois, il le laissait là pis il disait « Finis ton point, ton argument pis moi je vais revenir contre-argumenter.
[00:02:13] Speaker B: » On dit que, écoute, l'information qui arrive par la messagerie, son père aurait une implication dans l'arrestation, du moins quelqu'un très proche de lui. Pis on dit que son père serait le shérif du village. Ben, du village, du comté.
[00:02:28] Speaker A: Fait qu'il a eu accès à...
[00:02:30] Speaker B: Écoute, j'ai hâte de voir le dénouement de tout ça, mais si c'est le cas... Quelle histoire!
[00:02:35] Speaker A: Non, non, c'est fourraide! C'est... Là, là, on parle plus, là... Des individus... Pis là, on a des vidéos, on le voit monter. Pis là, il s'ouvre, là, t'sais, une fois qu'il a fait... Il a tiré, regarde, tu vois, il boite parce que...
Il a sauté de haut d'un bâtiment pis d'après moi il s'est scrappé à la patte pis là il bouait de la patte pis l'arme... ben y'avait l'arme aussi cachée dans ses... regarde c'est capoté. Une chasse à l'homme comme l'Amérique aime. Tu te souviens toi, y'avait eu l'attentat au marathon de Boston là. Les deux frères.
[00:03:06] Speaker B: Moi je me rappelle.
[00:03:07] Speaker A: Pis y'était caché en dessous d'une chaloupe dans un cab... dans un banlieue de Boston.
[00:03:12] Speaker B: Ils ont trouvé.
[00:03:12] Speaker A: Ça a pris du temps mais ils ont trouvé. Pis l'histoire aussi à New York, le gars de United Health Un des PDG d'une division de United Airs, lui il s'en allait à l'Assemblée des actionnaires un matin, il sort de son hôtel à New York. Il s'est fait descendre à bout portant par un individu aussi. Comme ça, le gars était cagoulé pis bizarre, ils l'ont repogné. Ça a pas pris de temps.
[00:03:37] Speaker B: Ce serait Tyler Robinson, 22 ans. J'arrête de lire sur les différents panels américains, voir s'il n'y a pas plus de détails.
[00:03:47] Speaker A: Non, non. Écoute, le FBI, les photos concordent de ce qu'on a parce qu'il y avait.
[00:03:52] Speaker B: Hier... Regarde sur le toit.
[00:03:53] Speaker A: Ouais, c'est ça.
[00:03:54] Speaker B: Il a sauté d'un toit sur le campus. Il saute quand même de haut, effectivement.
[00:04:01] Speaker A: Après ça, il part. Donc voilà, c'est ce qu'on a comme de plus précis comme nouvelles. Et là, il y a des points de presse. Ça va débouler, l'information qu'il y a.
[00:04:08] Speaker B: Oui, oui, c'est ça. Ça va aller vite.
[00:04:09] Speaker A: Avec les caméras, là, c'est parce que moi, j'ai vu des caméras aussi devant une résidence d'une personne dans ce coin-là, puis je le vois passer avec le gun dans les pantalons pour dissimuler son... son arme à feu. Bon là c'est le Grand Prix cycliste aujourd'hui à partir d'11h. Je regarde le trafic, ça a l'air pas pire pour Québec.
[00:04:28] Speaker B: C'est sûr que c'est le Grand Prix cycliste, donc plein d'endroits à Québec qui sont barrés.
[00:04:34] Speaker A: Ici c'est barré, moi je suis venu par le contour des autoroutes, j'ai fait Capital, Robert Bourassault, par Laurier. J'ai fait l'inverse puis j'aurais été busté dans le Vieux-Québec.
[00:04:45] Speaker B: C'est ça, c'est parce que là, Le parcours du Grand Prix cycliste passe par Grande Allée, va aller sur Cartier aussi, je le connais pas par cœur, je vais te le dire. Cartier, puis je sais qu'on va sur Champlain aussi.
[00:04:56] Speaker A: Ouais, on se promène beaucoup. Donc à partir de 11h, on va voir ça. Est-ce qu'il va y avoir des manifestations pro-Palestine, anti-Israël? En passant, l'équipe Primer Tech Israël, eux autres, c'est des Québécois. Des Québécois. Fait que là, c'est des Québécois qui vont empêcher des Québécois de courir, sais-tu ça?
[00:05:15] Speaker B: Ben j'espère que non, parce que nous...
[00:05:17] Speaker A: Ben non, j'espère que non, moi non plus, là, tu sais. Donc voilà, on est là-dedans. Capital, ce soir. Les Capital sont de retour à Québec. La série est égale 1 à 1. Et ce soir, demain soir et dimanche soir, je pense, c'est un 3 de 5. Finalement, ça va être un 2 de 3, parce que c'est 1-1 dans la série. Capital au stade municipal, ce soir, partir de quoi? 19h? 19h05, c'est à peu près ça. Le Rouge et Or joue ce soir aussi contre les Carabins.
[00:05:40] Speaker B: À Montréal?
[00:05:41] Speaker A: Oui. Et en fin de semaine, gros combat de...
[00:05:46] Speaker B: Boxe.
[00:05:48] Speaker A: C'est un mec qui aime la boxe. Christian Mbili, le Québécois d'adoption. Mais Christian Mbili, il est rendu Québécois, selon moi. Il va se battre, mais il ne se battra pas dans la carte principale. Canelo Alvarez contre Terence Crawford, ça va être sûr. J'ai vu ça sur Netflix. Si vous êtes abonné à Netflix, tout est là, la carte de boxe. Là, c'est plus du fake. Parce que Netflix est accusé d'avoir les combats avec... Comment il s'appelle? Jake Paul, c'est ça? Ouais, pis... Non, mais là, les gars se couchent pis c'était Mike Tyson contre.
[00:06:20] Speaker B: Jake Paul pis... Ouais, ouais, c'est ça.
[00:06:21] Speaker A: C'était jambon pas mal, là. Mais là, il y a pas de jambon à soir.
[00:06:25] Speaker B: Jake Paul, Mike Tyson, c'était sur Netflix, effectivement, mais là, c'est un vrai combat.
[00:06:29] Speaker A: Non, non, là, on rentre dans le vif du sujet, là. Canelo Alvarez... Canelo Alvarez, c'est le champion. Et lui, là, il choisit ses contenders, il va choisir les aspirants. Et Mbili, ça fait longtemps qu'il attend, là.
et MBilly va être dans la carte et il va je pense deux combats avant d'après moi on va peut-être voir ce qu'on va voir ce soir si demain soir si Alvarez gagne son combat mais MBilly pourrait être un prétendant sérieux là à la ceinture donc c'est ceux qui aiment la boxe demain soir sur Netflix doit aller être comblé par peu près et MBilly va être la carte c'est à Vegas le combat les autobus Lyon ça va bien.
[00:07:11] Speaker B: Oui, ça va très bien.
[00:07:14] Speaker A: Là, vous avez vu, je pense avant hier à Montréal, il y a un autobus Lyon qui a pris en feu. Écoute, le feu a pris pas à peu près, c'est carbonisé complètement. Et là, ce que le gouvernement du Québec a fait, il a fait la bonne chose avec le ministère de l'Éducation notamment. On a demandé une inspection sur les 1200 autobus scolaires de Lyon Électrique qui sont encore en circulation. Cette compagnie-là est en faillite. Elle a été rachetée.
Ça va pas bien pour eux autres là.
Là, écoute, les problèmes, c'est des problèmes sérieux. Vous avez vu ça flamber. T'avais un autobus complet, rempli, pis le feu peint en avant pis en arrière. Les flots restent poignelés, imagine-tu.
[00:07:54] Speaker B: Ben non, c'est hyper dangereux. Mais t'sais, là, qu'on annonce, on dit « OK, les 1200 autobus Lyon qui ne rouleront pas ce matin, pis regarde, on va fermer les écoles.
[00:08:05] Speaker A: » Ben là, c'est le bordel.
[00:08:05] Speaker B: J'iris, mais c'est pas drôle.
[00:08:06] Speaker A: Ben c'est parce qu'il y a des propriétaires d'autobus. En passant, le gouvernement du Québec, Jusqu'à tout récemment, ils obligeaient les propriétaires de flottes d'autobus scolaires d'acheter des autobus électriques. C'était une obligation. Là, ils viennent de lever ça, heureusement. Mais c'était l'obligation et ça a forcé des transporteurs, comme je pense Auger. M. Auger, il racontait ça. Il y a plusieurs autobus scolaires à Lyon. Pis il dit « qu'est-ce que je vais faire avec ça, là? » Là, elles sont toutes à l'arrêt. Fait que la matin, ça a été le bordel des écoles. Il y a des commissaires scolaires qui ont suspendu les cours.
[00:08:41] Speaker B: Il y a des parents qui l'ont appris ce matin, là.
[00:08:42] Speaker A: Oui, parce que ça a sorti la soirée.
[00:08:44] Speaker B: Tout ça à cause des autobus Lyon.
[00:08:47] Speaker A: Oui, c'est ça.
[00:08:48] Speaker B: Colin, qu'on est pas bon.
[00:08:50] Speaker A: Ben, on n'est pas bons.
[00:08:51] Speaker B: Je veux dire, le gouvernement qui oblige les transporteurs à se tourner vers l'électrique, puis qui est un seul vendeur, dont le gouvernement a mis de l'argent dedans, qui n'est pas bon.
[00:09:00] Speaker A: On n'est pas bons. C'est toute la suite, mais c'est un rappel normal. Quand un char prend feu comme ça, c'est sûr que le fabricant, puis là c'est Transports Canada, il oblige le transporteur à faire un rappel sur tous les modèles pour voir qu'est-ce qui n'a pas marché, qu'est-ce qui a marché.
Donc là, c'est un peu le bordel actuellement. Il y a 12 200 autobus scolaires Lyon Électrique qui ont été mis à l'arrêt. On va les inspecter, un à un. Ça peut être long, ça, là. Parce que les techniciens...
[00:09:28] Speaker B: C'est-tu sûr qu'on va faire ça en fin de semaine?
[00:09:30] Speaker A: Ouais, mais les techniciens de Lyon Électrique, là, c'est pas... Ça court pas les rues, là. Cette compagnie-là, t'es sur respirateur artificiel.
[00:09:38] Speaker B: En plus.
[00:09:39] Speaker A: Ça a été repris, là. Il y a eu des racheteurs. Il y a eu un groupe de racheteurs de... Mais regarde. C'est le Québec, c'est une autre ça.
[00:09:46] Speaker B: Mais c'est ça la fantaisie, le gouvernement met de l'argent dans un fabricant d'autobus électrique.
[00:09:51] Speaker A: Ben on a mis des...
[00:09:51] Speaker B: En se disant, ça va être la manne. Là on va obliger tous les transporteurs à se grayer. Oh oui, se grayer d'un autobus électrique.
[00:09:58] Speaker A: Comment on a mis là-dedans? On a perdu quoi? 200 millions? À peu près?
[00:10:04] Speaker B: Je sais pas le chiffre par coeur, mais...
[00:10:06] Speaker A: On s'est fait laver.
[00:10:08] Speaker B: Les autobus brûlent.
[00:10:09] Speaker A: Il y a 12 000 autobus, environ 12 000 autobus scolaires pour le transport scolaire au Québec. 1 200. C'est à peu près 10 % de la flotte.
[00:10:17] Speaker B: Ils sont cloués, on a retiré les clés. Terminés, ils ne roulent pas jusqu'à l'inspection.
[00:10:21] Speaker A: Donc voilà, ne soyez pas surpris si votre enfant n'a pas d'école. C'est sûr.
[00:10:28] Speaker B: Là c'est ça, c'est des centres de services scolaires en Beauce pour ça de chemin. J'y vais à Québec aussi, j'ai une couple.
[00:10:35] Speaker A: Ouais. L'histoire de la CEPAC, c'est pas fini ça. Ça c'est capoté. Là, il y a une poursuite contre la CEPAC d'à peu près 4 millions de dollars. C'est un couple et leurs enfants qui avaient été dans un parc de la CEPAC et qui... dans le parc national du Mont-Tremblant en 2022, l'automne 2022. Et là, eux autres disent qu'ils ont été incommodés par la fumée secondaire des feux Le feu de camp, là.
[00:11:06] Speaker B: Ok. Fait que là, eux autres ont fait un feu de camp pis y'avait trop.
[00:11:10] Speaker A: De fumée, c'est quoi? Ben, y'avait d'autres feux de camp parce que sur un camping, là, y'a pas juste eux autres.
[00:11:14] Speaker B: Incommodés, incommodés.
[00:11:16] Speaker A: Le couple, c'est Daniel Vizna et son conjoint, Pierre Perrault-Bélanger. Eux autres, ils réclament 4,2 millions à la séparation.
[00:11:22] Speaker B: Hein?
[00:11:24] Speaker A: Pour eux et leurs trois enfants dans un recours déposé le 5 septembre en course supérieure.
[00:11:28] Speaker B: De 1, c'est pas la faute de la CEPAC là s'il y a des feux de canne?
[00:11:31] Speaker A: Ben eux autres disent oui. Ben en fait, ce qu'ils disent c'est qu'ils ont été incommodés par la fumée secondaire et ça, ça fait en sorte qu'ils ont perdu du travail parce qu'ils ont été... je veux dire, ils ont été arrêtés de travailler entre autres.
[00:11:43] Speaker B: Ouais, ben là, est-ce que je comprends lui, là? Il a comme développé un problème d'angine.
[00:11:49] Speaker A: Là, ou de... Ouais, dit Einstein, une angine vasospathique Un trouble cardiovasculaire qui provoque des douleurs thoraciques causées par des spasmes des artères coronaires. Assez compliqué là.
[00:12:02] Speaker B: Ok, il m'attends un peu là. Moi là, je suis asthmatique assez sévère. Moi je vais dans les campings tout l'été. Pis sais-tu quoi? J'ai un problème avec le cristi de bois qu'on amène dans les campings. C'est un bois qui est trente. Fait qu'à chaque fois j'essaye de faire des feux.
[00:12:16] Speaker A: Ça fait de la boucane.
[00:12:17] Speaker B: Il y a de la boucane en tabac. Moi je me mets la face dedans pour souffler, pour lui donner de l'air, pour finir par l'allumer.
[00:12:23] Speaker A: C'est étouffé ça.
[00:12:24] Speaker B: Oui, mais c'est pas bon. J'en respire de la boucane.
[00:12:30] Speaker A: Ben tu devrais poursuivre la CEPAC.
[00:12:31] Speaker B: Ben oui, ben pourquoi? J'ai pas de problème.
[00:12:34] Speaker A: Daniel Vizna, c'est lui qui avait fait une cabale un moment donné. Il voulait d'ailleurs que la CEPAC arrête ou force les campeurs à ne plus faire de feu sur les terrains de camping de la CEPAC. Pis la CEPAC avait dit « On va regarder ça ». Là, écoute, la CEPAC se défend, là.
[00:12:51] Speaker B: Nous autres, écoute... Non, non, mais c'est pas de leur faute.
[00:12:53] Speaker A: Nous, nous, écoute, là, s'il y a de la boucane sur les terrains de camping, là, à un moment donné... Non, non, là... C'est la vie, là.
[00:12:59] Speaker B: Ben oui, c'est la vie. À un moment donné, il va rester chez vous.
[00:13:03] Speaker A: Donc, on...
[00:13:04] Speaker B: La bulle, l'aseptisé... Oui, ben lui pointe.
[00:13:07] Speaker A: Vraiment la CEPAC du doigt et il poursuit la CEPAC pour 4,2 millions. Mais y'a-tu une limite, à un moment donné, à tout ça?
[00:13:14] Speaker B: Mais de vrai, en affoiré!
[00:13:16] Speaker A: Je sais pas, le 4.2 bien... Parce.
[00:13:18] Speaker B: Qu'En effet, la Sépac ne peut pas être tenue responsable. T'sais, je veux dire, s'il y a trop de fumée, tu tases, je sais pas comment... Je peux pas croire que sur l'ensemble du terrain de la Sépac, ça n'était que de la fumée de feu de camp, là.
[00:13:30] Speaker A: Ben, ça dépend. T'sais, moi, j'ai déjà été dans des campings comme ça, mettons, à Wapisagon. Ça, c'est au Parc de la Mauricie.
[00:13:37] Speaker B: Oui.
[00:13:38] Speaker A: Tu sais, il y a des soirs quand c'est très humide, pis le couvert nuageux est bas, je pense, pis tu fais un feu, pis il y a de la grosse boucane. Oui, il peut y avoir de la boucane.
[00:13:46] Speaker B: Ça se peut si j'suis à côté de toi, tu vas avoir de la boucane en masse.
[00:13:49] Speaker A: Mais à un moment donné, ça peut-tu... Est-ce que tout ça peut résulter d'une poursuite de 4,2 millions une soirée en camping ou deux, là, je suppose?
[00:13:57] Speaker B: Une fin de semaine, là.
[00:13:58] Speaker A: Ouais.
[00:13:59] Speaker B: Ben voyons donc!
[00:13:59] Speaker A: Est-ce que ça peut collaborer? Parce que dans ce journée, mettons, t'étais là vendredi soir. Fait un samedi soir, ben le vendredi, t'sais je vous disais le samedi t'as fait des activités, l'air, t'as repris ton air. Donc lui il dit que c'était épouvantable pis que c'était au bout du bout pis qu'il a développé justement des... Des quoi? Des problèmes de santé. Me semble que tu peux plaider ça.
[00:14:21] Speaker B: Ben je sais pas, comme je te dis...
[00:14:23] Speaker A: La résultante d'une fin de semaine...
[00:14:24] Speaker B: C'est parce que là lui son médecin il mentionne que l'algène aurait pu être déclenchée par la fumée du feu de camp.
[00:14:30] Speaker A: Ben oui mais...
[00:14:31] Speaker B: Aurait pu.
[00:14:32] Speaker A: Ouais mais tu peux... ça peut arriver n'importe où.
[00:14:34] Speaker B: Ça peut arriver n'importe où, n'importe qui, n'importe quand.
[00:14:36] Speaker A: Tu sais je veux dire... Comme je.
[00:14:37] Speaker B: Te dis moi j'étais anesthétique, je me sac la face dans le feu, dans le boucan pis... Il n'est pas développé, il n'y a pas de problème.
[00:14:43] Speaker A: On dit que la CEPAC, dans ses communications, selon eux, selon la poursuite, encouragerait à allumer des feux de camp dans ses publications promotionnelles, même celles-ci que cela peut produire une grande quantité de fumée et entraîner des risques pour la santé.
[00:14:57] Speaker B: Des feux de camp sur un camping, la CEPAC. Des feux de camp, là. Des petits feux dans ton rond, là. Je n'aime pas.
J'sais pas quoi dire.
[00:15:06] Speaker A: Ben là, écoute, y'a quand même des avocats au dossier, là.
[00:15:10] Speaker B: J'comprends.
[00:15:11] Speaker A: Pis on parle d'une cause de 4.2 millions. Genre, de voir comment... Ben, le fardeau.
[00:15:14] Speaker B: De la preuve, ça va te prouver que la CEPAC a été négligente, là.
[00:15:17] Speaker A: En passant à la CEPAC, là, des affaires de même, y'en ont à tous les jours, là. Des poursuites d'un qui s'est accoté sur un chalet loué. Pis là, tu t'accotes, mettons, sur la galerie, pis le barreau de la galerie débarque. Des gars chauds qui passent par-dessus la galerie pis trois étages. Y'en a des histoires, là, dans les affaires de la CEPAC.
[00:15:35] Speaker B: Ouais, ouais, mais un bon exemple. C'est comme si tu vas chez, mettons, Red Lobster, pis tu sais pas que t'es allergique, pis là tu manges des fruits de mer, pis tu développes une allergie sévère, pis t'es poursuit.
[00:15:44] Speaker A: Mais lui, il faisait quoi, là, s'il y avait des problèmes de santé?
[00:15:47] Speaker B: Parce que... Ben, ça a l'air qu'il en avait pas avant.
[00:15:50] Speaker A: Ben voyons donc.
[00:15:51] Speaker B: Ben voyons donc! C'est sûr. Il a la même réaction que toi.
[00:15:55] Speaker A: Pis lui, pis son conjoint, pis ses enfants, ils mettent tout le monde dans la boîte, là.
[00:16:00] Speaker B: Moi, je peux-tu poursuivre, mettons, Revenu Québec parce que ça m'angoisse pis j'ai plus capable de fonctionner? T'es rendu là, là, j'exagère, faut comprendre.
[00:16:08] Speaker A: Mais quand les inspecteurs de Revenu Québec vont t'appeler, tu dis que tu t'en rappelles plus.
[00:16:12] Speaker B: Ah, OK, c'est ça. Vaguement.
[00:16:14] Speaker A: C'est ça.
[00:16:15] Speaker B: Je me souviens pas.
[00:16:16] Speaker A: C'est vaguement.
[00:16:17] Speaker B: C'est vague.
[00:16:19] Speaker A: Autre chose qui fait beaucoup jaser, les hockeyilleurs de Hockey Canada, les cinq hockeyilleurs qui ont été acquittés, Ouais. Leur procès a eu lieu là, pis on l'a vu pis la fille c'est carrément... En tout cas, son témoignage était rempli de trous. Pis là ben, c'est Carter, Art, Dylan, Dylan Dubé, Michael McLeod, Alex Formanton et Callan Foote. Ben là, ces cinq là veulent jouer dans la Ligue Nationale. Ils vont pouvoir commencer à jouer le 1er décembre.
et ils pourront signer un contrat dès le 15 octobre.
[00:16:52] Speaker B: Tu te souviens, on en a parlé quand le verdict est tombé, j'ai dit regarde bien ça, ils vont tous pouvoir retourner jouer au hockey, dont Carter Hart, qui pourrait peut-être finir à Edmonton.
[00:17:01] Speaker A: Ben là, c'est peut-être lui qui a le plus de valeur, parce que les autres, c'est des joueurs, somme toute, très très ordinaires. Carter Hart était quand même le gardien numéro un des Flyers de Philadelphie à l'époque.
et quand tout ça est arrivé, bien, ils l'ont saqué dehors. Mais là, ce qu'on comprend, c'est qu'à partir du 15 octobre, les équipes de la Ligne nationale vont pouvoir les mettre sous contrat. Et à partir du 1er décembre, ils pourront revenir et ont été acquittés. Mais tu sais, c'est très touché, là, parce que là, tu te dis, il y a combien de minutes, là, Carter, Hart, mettons, t'es les haulers d'Edmonton.
Toi, t'es le DG. Stan Bowman. Toi, t'étais impliqué dans un dossier aussi sexuel à l'époque que t'étais le DG des Blackhawks. Et à un moment donné, il y a eu des gens qui ont été mis dehors. Le coach, entre autres. C'est Joel Kenville qui avait été mis dehors à l'époque de ce scandale-là parce qu'on avait ignoré des agressions sexuelles dans le vestiaire, entre autres.
Là, Stan Bowman, t'es impliqué dans ce scandale-là. Tu ramènes-tu Carter Hart devant les buts à Edmonton? Parce que la pression va venir aussi des médias, va venir des commanditaires. Comment tu joues ça, toi, Nick?
[00:18:10] Speaker B: Moi, je pense que, comme je te le disais il y a plusieurs semaines, je pense que ça se défend.
[00:18:17] Speaker A: Ça se défend?
[00:18:17] Speaker B: Oui. Je pense que oui.
[00:18:19] Speaker A: Si la moitié de tes annonceurs débarquent.
[00:18:21] Speaker B: Parce qu'ils disent... Débarqueront pas. Parce que... Oui, ils vont le mettre sur contrat, mais ils vont attendre, mettons, la saison prochaine, peut-être, pour les faire jouer.
[00:18:30] Speaker A: Ben, 1er décembre. Il peut jouer 1er décembre.
[00:18:32] Speaker B: Je comprends, mais mettons que t'es les... Moi, je pense qu'il va aboutir à Edmonton, mais ça, c'est... Ça, c'est des rumeurs. Admettons qu'Edmonton le signe le 1er décembre.
[00:18:39] Speaker A: Ouais.
[00:18:39] Speaker B: J'auras pas à... T'es en milieu de saison, là.
[00:18:42] Speaker A: Ben, oui.
[00:18:43] Speaker B: Le gars peut s'entraîner, tout ça. Mettons que tu l'amènes saison 26-27. Sans glace. dans l'alignement, je pense que ça se défend. Ah, le gars a été déclaré non-coupable. Je pense qu'avec un bon plan de com', ça se défend.
[00:18:59] Speaker A: Regarde le gain de Mayhew avec le Canadien. Comment ça a été compliqué.
[00:19:02] Speaker B: Oui, parce que t'es à Montréal.
[00:19:04] Speaker A: Ah, OK. Ben Moncton, ça brassera pas.
[00:19:08] Speaker B: Moins, je pense. Tu regardes, Logan Mayhew, on l'a changé, là. Il fait fort pas de vagues là-bas, là.
[00:19:13] Speaker A: Ben c'est ça, mais il est à Nashville.
[00:19:15] Speaker B: Ouais, mais ça fait pas de vagues.
[00:19:16] Speaker A: Mais Logan Mayhew, c'était pas une histoire d'agression sexuelle accusée, là. C'est que lui avait mis en ligne des photos de sa petite amie. En tenue légère, là. Ou tout le moins nue, là. Je sais pas trop, là. Mais c'est ça qui avait fait le scandale, là. Ce qui est très loin de ce qu'on a vu avec un procès. et tentative aussi, mais on était acquitté là. En tout cas regarde, moi je pense qu'on pourrait poser la question en ligne ouverte autour d'11h Nick.
[00:19:41] Speaker B: Seulement, est-ce que ces joueurs-là, est-ce que c'est légitime qu'ils puissent revenir dans la Ligue nationale?
[00:19:47] Speaker A: Ben, un pis deux, t'es le DG d'une de ces entreprises-là.
[00:19:51] Speaker B: Tu l'engages-tu?
[00:19:52] Speaker A: Ben, tu l'engages-tu pis t'es-tu capable de prendre la chalasse?
[00:19:54] Speaker B: Y'a ça.
[00:19:55] Speaker A: Stan Bowman a vécu ça, lui.
[00:19:56] Speaker B: Absolument.
[00:19:57] Speaker A: Lui s'était fait accuser de pas avoir vu ça, là. Le scandale sexuel chez les Blancos.
[00:20:02] Speaker B: Ouais, ouais, ouais.
[00:20:03] Speaker A: La Ligue nationale, elle niaise pas là-dessus. La Ligue nationale, elle voulait pas les réembaucher, elle.
[00:20:07] Speaker B: Ben là, clairement, ils lui permettent.
[00:20:09] Speaker A: C'est le syndicat des joueurs qui a poussé. Parce que la Ligue Nationale avec Batman, pour eux autres, ils étaient valides.
[00:20:15] Speaker B: T'es déclaré non-coupable, ok? T'es non-coupable, ça veut dire que t'as le droit de gagner ta vie, là.
[00:20:19] Speaker A: Oui, non, c'est ça.
[00:20:19] Speaker B: Tu peux réintégrer ton emploi.
[00:20:20] Speaker A: Tu peux pas empêcher un joueur de gagner ta vie.
[00:20:22] Speaker B: C'est ça.
[00:20:22] Speaker A: Mais moi, je te dis, t'es DG de... mettons, du Canadien de Montréal, tu prends-tu compte?
[00:20:27] Speaker B: À Montréal, tu peux pas faire ça.
[00:20:30] Speaker A: Un petit peu ailleurs.
[00:20:32] Speaker B: Edmonton, ils ont l'habitude. Avec des joueurs controversés, mettons.
[00:20:37] Speaker A: Il est rendu à Vancouver, là.
[00:20:40] Speaker B: Oui, oui, Christian homme échappe, là.
C'est qui?
[00:20:43] Speaker A: Dave Semenko? Non, c'est pas ça, c'est... Il joue... Regardons voir si la messagerie.
[00:20:48] Speaker B: A peut-être des... Oui, oui, ils vont le nommer.
[00:20:50] Speaker A: Il joue peut-être avec Vancouver, mais il était avec... Il s'était fait pogner à Batsam.
[00:20:56] Speaker B: Oui, oui, je le sais. Je sais de qui tu parles.
[00:20:59] Speaker A: Il était dans des paris lego, puis il misait, je pense, contre son équipe, en tout cas.
[00:21:03] Speaker B: Pete Rosen?
[00:21:04] Speaker A: Non, pas du tout.