Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: Hey Gary, comment ça va?
[00:00:00] Speaker B: Ça va bien, c'est la fin du cyclisme aujourd'hui, puis on est à Radio X, la radio des cyclistes.
[00:00:07] Speaker A: Toi, tu dois être énervé, là.
[00:00:08] Speaker B: Un peu plus que toi.
[00:00:09] Speaker A: À 11h?
[00:00:10] Speaker B: Ben, il y a quand même un enjeu, moi. JC sera pas là ce midi, donc avec Patricia et Maxime, on va faire l'émission du midi.
[00:00:16] Speaker A: Oh, JC pas là?
[00:00:17] Speaker B: Mais on aura quand même un oeil en direction de TVA Sports. Parce que bon, le fameux Grand Prix de Québec sera diffusé en direct à partir de 11h le départ, jusqu'à 4h80 en fait l'arrivée, là c'est ce qu'on a prévu aujourd'hui.
[00:00:30] Speaker A: Ok, c'est bon. Ayla, t'es là pour me donner de la cote!
[00:00:32] Speaker B: Oh que oui!
[00:00:33] Speaker A: Donne-moi de la cote!
[00:00:33] Speaker B: J'en ai des bonnes cette semaine, faut quand même le dire. Il y a eu un, comme on dit, un remaniement. Et puis on a eu une belle tournée médiatique de François Legault. Tournée médiatique qu'on n'avait pas... En fait, on n'avait pas entendu François Legault depuis longtemps dans les médias de Québec. J'ai fait entendre un extrait de l'émission de Radio-Canada la matinale.
[00:00:48] Speaker C: Ça veut dire que ça va faire sept ans qu'on vous a eus à notre micro. J'ai envie de vous demander comment ça se fait que vous avez pris autant de temps avant de revenir voir les gens de Québec alors que ce sont les gens de Québec qui ont permis à votre parti politique de prendre son envol.
[00:01:03] Speaker D: Bon, d'abord, je pense que les gens de Montréal diraient la même chose. J'ai pas fait beaucoup de médias depuis que je suis premier ministre. C'est peut-être une mauvaise habitude que j'ai prise, mais bon, je me concentre à essayer de gérer Québec, puis quand on regarde les crises qu'on a vécues depuis 7 ans, il y en a eu de la pandémie au coût de la vie, à l'immigration, puis maintenant, M. Trump. Mais je pense que je vais essayer de prendre l'habitude de venir vous voir plus souvent.
[00:01:32] Speaker B: Pierre, est-ce qu'il est bienvenu, M. Legault, dans ton show?
[00:01:34] Speaker A: Legault complètement absent, là. Encore une fois. Le gars, il n'est même plus dans les médias. Il était ici à Radio-Ix, il est venu ici à Twijo, quasiment. À l'époque 2018. Le pouvoir, ça change les choses. Moi, c'est ce que je reproche aux politiciens et je les ai couverts longtemps de... En distant, j'étais journaliste économique.
[00:01:49] Speaker B: À l'écrit.
[00:01:50] Speaker A: Donc moi, je les voyais, tu sais. les Claude Béchard dans L'Opposition, les François Bonnardel qui nous appelaient à quasiment tous les jours pour faire des articles aux.
[00:01:57] Speaker B: Deux jours, aux trois jours. Éric Kerr aussi, on peut rajouter Éric Kerr à la liste.
[00:01:59] Speaker A: Éric Kerr, j'ai pas d'élèves ou quoi.
[00:02:00] Speaker B: OK, mais ils venaient souvent ici quand même.
[00:02:02] Speaker A: Mais ces gens-là, quand ils tombent au pouvoir, ils deviennent comme... tu peux plus leur parler, tu peux plus les approcher, ils t'appellent plus. sont poignés dans un agenda de décision, pis y oublient toute leur passé.
[00:02:15] Speaker B: Est-ce que c'est de leur propre chef ou c'est leur entourage qui leur fait prescrire de pas venir dans les vilaines radios de Québec?
[00:02:21] Speaker A: Non, non, ben Legault là, il était politicien avant d'être chef de la CAQ, il savait comment ça marche. Le goût, là, c'est le... Vous avez le portrait type d'un politicien qui, quand il est au pouvoir, il fait des gros fingers au monde, mais il l'a d'en face. Hé, 7 ans à Radio-Canada. Nous autres, ça fait quoi, 7 ans.
[00:02:36] Speaker B: Qu'Il est pas là? Ben oui, depuis la dernière fois qu'il est venu voir Daniel, ça fait 7 ans.
[00:02:38] Speaker A: Et il avait promis à Daniel... « Je vais revenir... » Là, les élections ont lieu.
[00:02:43] Speaker B: Deux, trois mois après.
[00:02:44] Speaker A: « Je vais revenir dans les semaines prochaines. » Il est jamais, jamais.
[00:02:47] Speaker B: Daniel est toujours en honte et il attend toujours la visite du PM.
[00:02:50] Speaker A: Non, non, c'est ça. Non, je te dis... François Legault, là, n'a qu'à lui ablamer. Pis là, je sais pas si t'as vu, Yorick Chassin dit qu'il doute de son virage à droite. Là, t'as Maïté Péman... Maïté, comment qu'elle.
[00:03:01] Speaker B: S'Appelle l'ancienne... Maïté Péman, là.
[00:03:02] Speaker A: Non, l'autre. L'ancienne ministre des Ressources naturelles qui a été évincée, là. Elle, c'est Rimouski, là. Maïté Vizina...
Elle a dit qu'elle pourrait quitter la CAQ aussi. Non, c'est pas fini la grogne. Legault est complètement dans le vinaigre. Moi, si j'étais François Legault, je pogne mes clics puis je m'en vais. C'est terminé.
[00:03:19] Speaker E: Au fait, là... Ça n'arrivera pas.
[00:03:21] Speaker B: Dans la tournée média que M. Legault a faite hier, il a même visité ta sœur à TVA, il y avait plusieurs comme ça, aveux en fait d'erreur qui ont été faits, notamment la visite des Kings à Québec. On se souvient de ce triste épisode, ou du moins de l'épisode qui a plu à certains.
[00:03:34] Speaker D: Pour parler des Kings de Los Angeles. J'ai beau aimer ou souhaiter le retour des Nordiques, il faut faire attention. Donc, il y a des erreurs qu'il faut corriger.
[00:03:44] Speaker C: Vous êtes prêts à dire que c'est une erreur, finalement, les Kings?
[00:03:45] Speaker D: Oui, c'est une erreur. C'est une erreur parce que les gens n'ont vraiment pas apprécié qu'on mette 5-6 millions pour faire venir les Kings de Los Angeles à Québec pour montrer notre super amphithéâtre. Donc, je pense que c'est une erreur, oui.
[00:04:03] Speaker A: Le gars, t'sais, il reconnaît ses erreurs, mais après coup. T'sais, l'orgueil, là, en politique, c'est ça que ça fait. T'es trop gros, t'es trop big. Ah, ben là, finalement, là, on t'a 11 %. C'est quoi la cote unique qu'on a?
[00:04:15] Speaker E: T'es un peu, là... Non, mais je.
[00:04:16] Speaker A: Veux dire, c'est ça pareil.
[00:04:17] Speaker B: Le classique des classiques.
[00:04:18] Speaker E: C'est là, là.
[00:04:18] Speaker D: Quand on est dans l'opposition, il faut se correr à tous les jours. Là, on a quatre ans, donc bon, les deux premières années, même les trois premières, on va faire ce qu'on pense qui est bon. Puis la quatrième année, ben là, on commencera à se soucier des sondages.
[00:04:33] Speaker A: C'est ça, c'est carrément ça nous prendre des valises.
[00:04:39] Speaker B: C'est assez étonnant quand même qu'il ait dit ça. Je sais que ça a été dit aux Francs-Tireurs il y a quelques années, mais cette cote-là, je veux dire, c'est de l'or.
[00:04:46] Speaker A: Moi, ma job, c'est de la ramener à tous les jours. Mettre dans la face. C'est ça, notre job.
[00:04:51] Speaker B: Une petite dernière de logo ou on passe à un autre sujet?
[00:04:53] Speaker A: Une petite dernière de logo.
[00:04:54] Speaker B: Ton chum Jonathan Julien, devenu ministre des.
[00:04:57] Speaker A: Transports, en fait, c'est quand même une.
[00:04:59] Speaker B: Promotion, puis c'est une promotion qu'on n'avait pas vu venir, je pense que M. Julien...
[00:05:03] Speaker A: Le ministère des Transports que personne veut, là, où ça sent... La soue à cochon là? Hey Jonathan, toi t'es-tu bon là-dedans à ramasser la soue à cochon? Jonathan Julien va le faire!
[00:05:13] Speaker B: Ben écoute, une chose est sûre, c'est que selon François Legault, rapidement un troisième lien avec Jonathan.
[00:05:18] Speaker D: Mais on souhaite, tout le monde à la CAQ, avoir un troisième lien. On pense que c'est nécessaire. Il y a juste un pont actuellement qui peut accueillir les camions. Pour des questions de sécurité économique, on est convaincus que ça prend ce troisième lien. Puis on va aller de l'avant le plus vite possible. Il est déjà sur les rails. La mission de Jonathan Julien, c'est de le faire avancer le plus vite possible.
[00:05:44] Speaker A: Il n'est pas à la bonne place.
[00:05:45] Speaker B: C'est-tu une mission qui se peut, ça?
[00:05:47] Speaker A: Il n'est pas à la bonne place. Y'a pas d'affaire là?
[00:05:49] Speaker B: Y'a pas d'affaire dans le bois de Coulonge.
[00:05:50] Speaker A: Hey, le monde de Sillery, ils vont dynamiter à Sillery. La gang de Sillery, ils vont-tu capoter?
[00:05:54] Speaker B: Non mais ça passe quasiment en dessous de la station, t'sais. En avant du bois de Coulonge, ils pourraient avoir une sortie Batman pour Danny Hall qui arrive la Rive-Sud ou J.C. qui arrive de Bellechasse, direct dans le parking de Radio X.
[00:06:03] Speaker A: C'est un plan de casse.
[00:06:04] Speaker E: Ça serait bon, ça.
[00:06:05] Speaker B: Ça arrivera jamais.
[00:06:06] Speaker A: Oubliez ça, c'est un projet, y'a pas... Faut que ça aille au bout. L'île d'Orléans, au bout de l'île, là. avec une jetée là, pis après ça, quand on arrive après le... la pointe.
[00:06:16] Speaker B: C'Est quoi, c'est Saint... Saint-Pétrenil-la-Péteuse?
[00:06:19] Speaker A: Ouais, en avant. Saint-Pétrenil, ça? Non, c'est l'autre bord. Saint-Pétrenil, c'est l'autre bord. Je te parle d'ici, devant Québec.
[00:06:24] Speaker B: Ouais.
[00:06:25] Speaker A: C'est pas Saint... C'est Saint-Pétrenil?
[00:06:27] Speaker E: Ouais, ouais, c'est ça.
[00:06:28] Speaker A: Bon, ben là, tu pars un pont.
[00:06:30] Speaker E: Mais oui, juste sur le bout de l'île.
[00:06:33] Speaker B: Non mais c'est la scillerie de l'île d'Orléans, là. C'est des anciens sénateurs, des anciens politiciens, des anciens maires du monde qui sont friqués à l'os.
[00:06:39] Speaker A: Non mais le pont, c'est beau, là. Je suis allé à Tampa Bay, là, dans la baie de Tampa, là. C'est merveilleux, le pont.
[00:06:43] Speaker E: Non mais les autres, ils croient pas ça.
[00:06:44] Speaker B: Le pont, c'est beau, Pierre, c'est beau, j'ai compris.
[00:06:46] Speaker A: Non, non, mais au Québec, on peut plus rien faire, c'est la décroissance.
[00:06:48] Speaker E: Et voilà.
[00:06:49] Speaker A: Un pont.
Explique ça à n'importe qui dans le monde, on a un pont, on veut pas de pont.
[00:06:53] Speaker B: Non mais toi t'es de la droite, tu veux un pont, c'est bien ça.
[00:06:55] Speaker A: Non non, moi je veux la croissance. On va être un million de population dans pas longtemps.
[00:06:59] Speaker B: Occupation territoriale.
[00:06:59] Speaker E: Oui mais l'environnement, Pierre, regarde le pont de l'île d'Orléans, tout est arrêté parce que les rondelles là.
[00:07:06] Speaker A: Non mais écoute, on peut plus rien faire.
[00:07:07] Speaker B: On est dans le mid, on est avec Pierre Couture, la référence en économie ici à Radio X. J'aimerais te faire entendre Éric Girard, le ministre des Finances, qui a gardé son poste quand même. Et sais-tu quoi? On a un bon plan. Vous savez, il y a eu une pandémie. Maintenant, il y a une guerre tarifaire. Alors, on a un bon plan.
[00:07:33] Speaker A: Ah oui, c'est ça.
[00:07:33] Speaker B: C'est quoi le plan, ben ton, Pierre, là? Ça serait quoi le plan de la CAQ?
[00:07:36] Speaker A: Le plan de la CAQ, là, c'est de dépenser le plus possible encore, c'est ça?
[00:07:40] Speaker B: OK.
[00:07:40] Speaker A: Non, non, la CAQ est finie.
[00:07:41] Speaker B: C'est quoi le plan du ministre des Nordiques, M. Éric Girard?
[00:07:44] Speaker A: C'est fini. Éric Girard, c'est fini.
[00:07:46] Speaker B: Y'a pas de plan.
[00:07:46] Speaker A: C'est terminé.
[00:07:47] Speaker B: Il dit qu'il y a un plan, mais y'a pas de plan.
[00:07:49] Speaker A: Non, leur plan c'est de revenir au pouvoir. C'est ça leur plan, là. Ils pensent qu'ils vont se faire élire.
[00:07:53] Speaker E: Ben oui, c'est exactement ça.
[00:07:54] Speaker A: Les autres pensent que c'est ça, là. Ils sont dessus, c'est lunaire. C'est lunaire. Comme dirait Benjamin Tremblay, c'est lunaire!
[00:08:03] Speaker B: Parlant de lune, Ruba Ghazal cette semaine s'est exprimée sur la nomination de Bernard Drinville au poste de ministre de l'Environnement. Je sais pas si t'as entendu Mme Gazal, mais elle, elle est scandalous.
[00:08:13] Speaker A: Je trouve ça extrêmement scandaleux qu'un Bernard Drainville soit nommé à l'environnement alors qu'il a dit « lâchez-moi avec les GES » et qu'il pleure parce qu'il veut absolument un troisième lien.
[00:08:27] Speaker E: Ben oui.
[00:08:27] Speaker A: Rubas, là.
[00:08:28] Speaker B: Toi, t'as-tu pleuré quand Bernard pleurait pour le troisième lien?
[00:08:31] Speaker E: Un peu.
[00:08:31] Speaker A: Moi, je trouve ça scandaleux qu'un Rubas Gazal soit chef des GES. Bon, bon, bon. Écoute, Drainville, j'espère qu'il va faire un ménage, là. L'histoire des chars électriques, là. Non, non, on porte ça, là. Ben voyons, 2035, le Québec en électrique au complet. Ça va être la misère d'avoir du courant à Bordeaux-Québec.
[00:08:51] Speaker B: Fait qu'on se disait, on se déconnecte du pacte avec la Californie.
[00:08:53] Speaker A: Non, on va se reconnecter sur le Canada, là. Carnet, il a dit que c'est fini.
[00:08:57] Speaker B: La bourse du carbone, on flush ça.
[00:08:59] Speaker A: Non, non, non, ils vont venir chercher de l'argent, inquiète-toi pas. Mais ça, encore là, la bourse carbone, il va faire quoi, le gars, là? Je sais pas si t'as vu, les camionneurs du Québec font le plein en Ontario, au Nouveau-Brunswick, ces temps-ci. Ils évitent le Québec. Pour certaines entreprises, des firmes de camionnage, c'est 15 000 $ par semaine de frais de gaz de plus au Québec quand ils vont se pomper en Ontario ou au Nouveau-Brunswick. C'est incroyable!
[00:09:23] Speaker B: Petite dernière pour la route, dans le regard de Nick, je vois que le temps filme.
[00:09:26] Speaker E: Deux minutes max.
[00:09:27] Speaker B: Une de nos préférées à Pierre et moi, Geneviève Guilbault, en fait, qui a perdu, oui, la vice-présidence.
[00:09:32] Speaker A: Ça, c'est bizarre, hein, pourquoi... Pas la.
[00:09:34] Speaker B: Vice-Présidence, mais le statut de vice-première ministre, pardon. Mais elle a comme été tassée des transports pour s'occuper des affaires... Non, qui.
[00:09:41] Speaker A: Va sous des transports?
[00:09:42] Speaker B: Elle est arrivée à bien en princesse Léa au Conseil des ministres, elle était radieuse, elle était de bonne humeur. Et elle, ce qu'elle voulait en fait aujourd'hui, ou plutôt cette semaine, laisser passer comme message, c'est qu'il y a rien de plus important que les électeurs de Louis-Hébert. Vous avez demandé quand même de quitter les transports. Est-ce que c'est un soulagement pour vous.
[00:09:58] Speaker A: De quitter un dossier qui n'a pas.
[00:10:00] Speaker B: Été facile, on va se le dire?
[00:10:01] Speaker F: Je vous dirais que ma première fonction dans la vie, c'est d'être députée de Louis-Hébert.
Et ça, je le prends très au sérieux. Je mets tout mon énergie pour mes citoyens de Louis-Hébert. Et une autre façon de les servir que j'ai eu la chance d'avoir, c'est d'être ministre. Et c'est la décision du premier ministre. Donc, on va suivre la cérémonie tout à l'heure, puis ça me fera plaisir de vous en reparler un peu plus tard. Merci.
[00:10:23] Speaker A: Ouais, bien, elle aurait pu dire ça avant de prendre la job, là. Elle aurait pu refuser.
[00:10:28] Speaker B: Elle l'a échappé belle, quand même, hein?
[00:10:29] Speaker A: Mais pourquoi elle? est nommé ministre, et Bonnardel n'est plus dans le décor, alors que Bonnardel est un des premiers à décaisser. Et là, le gars dit « je reviens à droite, je reviens au virage qu'on a pris à l'époque de l'ADQ et la CAQ ». Et là, t'as Youri Chassain qui dit « ben voyons donc ».
[00:10:47] Speaker B: François Legault a répondu, puis je paraphrase, il a dit « moi je veux des gens dans les prochains mois qui vont faire une différence dans les décisions.
[00:10:52] Speaker A: Qu'On va prendre ».
[00:10:53] Speaker B: Et ça, ça veut dire que selon son avis, M. Bonnardel n'avait pas l'étoffe pour faire la différence, alors que Mme Guilbeault l'aurait. J'ai la cote quelque part, je l'ai pas sous la main, mais tu comprends que...
[00:11:02] Speaker A: Mais ils se souviennent plus de rien. Bonnardel se souvient plus de rien.
[00:11:04] Speaker E: Tu le souviens pas.
[00:11:05] Speaker A: Geneviève Guilbeault se souvient plus de rien. Tu le souviens pas. Legault se souvient plus de rien. Tu le souviens pas. Casquinelle se souvient plus de rien. Et Yves Ouellet. C'est de l'image, pas à peu près, pour un gouvernement. Non, non, ils sont brûlés, c'est fini. Moi, j'ai passé autre chose, les boys. Finito. Le gars, d'après moi, au fait, il marche dans la neige. Et il va voir qu'il voit pas son nom. Comme la marmotte.
[00:11:25] Speaker E: Moi, je pense qu'il va avoir, il va rester là.
[00:11:27] Speaker B: Prédiction aujourd'hui, c'est Wood Van Aert qui va gagner le Grand Prix cycliste, ça a été dit à Radio-X. Je vous souhaite une bonne fin de journée, messieurs.
[00:11:33] Speaker A: Je vous souhaite Tadej.
[00:11:34] Speaker B: Tadej? À Montréal, il va probablement avoir le goût de gagner. À Québec, ça va être plus difficile. Mais on souhaite un doublé de Tadej Pogacar. Mais je te dis, Wood Van Aert a de fortes chances. Il s'est entraîné dans le Côte de Cap-Rouge, en fait, toute la semaine. Il est gros, il est puissant.
[00:11:49] Speaker A: Et là, j'espère qu'on va avoir un beau Grand Prix cycliste, pas perturbé par des manifestants.
[00:11:54] Speaker E: On a renforcé la sécurité.
[00:11:57] Speaker B: J'ai rarement vu autant de policiers. J'arrive d'un point de presse avec Gabriel Nadeau-Dubois.
[00:12:00] Speaker A: Il y a de la police.
[00:12:00] Speaker B: Il y a de la police à Québec comme vous le savez. C'est pas le temps de se promener bien chaud avec un cadavre dans le coffre.
[00:12:05] Speaker A: Ni avec un drapeau de la Palestine peut-être.
[00:12:07] Speaker E: C'est un gros vendredi ça là.
[00:12:09] Speaker A: Merci Gary. Après la pause.
[00:12:12] Speaker E: Juste avant, il y a quelques détails concernant l'arrestation du présumé tireur de Charlie Kirk parce que le FBI a fait un point de presse. Ils l'ont arrêté. Ce serait Tyler Robinson. En fait, un membre de la famille de Tyler Robinson a contacté un ami de la famille qui a ensuite appelé les autorités pour les informer que Robinson leur avait avoué ou laissé entendre son implication.
[00:12:37] Speaker A: Ah c'est capoté. La famille, qui savait ça?
[00:12:41] Speaker E: Ben qu'ils l'ont livré.
[00:12:42] Speaker A: Ben oui. Son père pas dans la police lui?
[00:12:44] Speaker E: Écoute, j'ai pas les détails là-dessus. Avant d'affirmer ça, j'essayais de trouver de l'info, justement. Je n'ai pas trouvé à date. C'est une rumeur que son père serait policier depuis plus d'une vingtaine d'années dans l'État, dans le comté.
[00:12:58] Speaker A: Lui, c'est à peine de mort.
[00:12:59] Speaker E: Oui.
[00:13:01] Speaker A: C'est ce qui l'attend. C'est la chaise électrique.
[00:13:02] Speaker E: Tyler Robinson, 22 ans.
[00:13:04] Speaker A: Voilà. Après la pause, Jérôme Blanchet-Gravel débarque dans le show. Couture dans le mid. Radio-Éclair.