September 05, 2025

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Couture dans le mid - Intégral du 05-09-2025

Couture dans le mid - Intégral du 05-09-2025
Couture dans le mid
Couture dans le mid - Intégral du 05-09-2025

Sep 05 2025 | 01:59:01

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Couture dans le mid - Intégral du 05-09-2025
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[00:00:00] Speaker A: Avec l'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:00:15] Speaker B: Couture dans le Mitch Rémédié. Ah, il y a du stock. Il y a du stock. Il y a beaucoup d'actualité. On va essayer de vous faire un beau petit condensé, Nick. Ça va? [00:00:38] Speaker C: Ça va très bien. [00:00:39] Speaker B: Là, 10h40, on va jaser avec Renaud Brossard. Là, ça vient de sortir, mais à 11h ce matin, Mark Kearney va annoncer qu'il recule sur les véhicules électriques. L'imposition au Canada de quotas de vente, notamment en 2026, il y avait un quota... Les concessionnaires et les fabricants de voitures électriques devaient vendre pour au moins 20 % des ventes de véhicules zéro émission. Et ça allait jusqu'à 2030. 60 % et 2035, 100 %. Là, ce que le gouvernement de Mark Carney va annoncer ou annonce dans les prochaines minutes, c'est qu'il recule. Parce qu'il y a eu une grosse rencontre avec les fabricants de l'industrie automobile. Il y a quelques mois, Ottawa et eux autres ont été clairs, ça ne marche pas. On ne peut pas arriver, on ne pourra pas arriver à produire et à respecter vos quotas, déjà avec les tarifs et tout ce qui se passe avec Trump. Très compliqué, l'industrie automobile est une grosse industrie au Canada. [00:01:35] Speaker C: Effectivement. [00:01:36] Speaker B: Là, lui, il n'a pas le choix. Donc, il va annoncer qu'il recule sur ces impositions-là. Le gouvernement du Québec va-tu comprendre aussi? [00:01:44] Speaker C: Est-ce que le gouvernement du Québec n'aura pas le choix également de voir ses cibles? [00:01:49] Speaker B: Moi je vis au Canada. Je comprends pas que le Québec c'est une province, mais là il va falloir qu'ils révisent. En passant, le parti québécois s'il vient au pouvoir, lui c'est 2030, 100% de voitures électriques. [00:02:01] Speaker C: En même temps, si les fabricants suivent pas, je veux dire à un moment donné... [00:02:04] Speaker B: Ils vont payer des amendes. Il y a des amendes liées à ça pour les fabricants de voitures. [00:02:09] Speaker C: Fait que là, ils vont-tu dire, ben bon, mais nous, tant qu'à payer des amendes, on va reculer et on vendra plus au Québec? On va se ramasser avec un fabricant de voitures électriques québécois? [00:02:18] Speaker B: Lada. [00:02:20] Speaker C: Ça va être bleu, les voitures bleues. [00:02:22] Speaker B: Tout va être bleu. Non, mais je veux dire, ça marche pas, là. On vit sur une planète, on n'est pas tout seul. Donc ça va être annoncé, on va en parler avec Renaud Brossard de l'Institut économique de Montréal à 10h40. 10h20, Gary va débarquer avec ses cas de la semaine comme on le fait à chaque semaine. Gary est en feu. Tout à l'heure on l'a vu tout feu de flanc. Et 11h20, on va parler de la NFL. Jean Carrier du Soleil va débarquer. Jean est un expert NFL. Il est même un coach, lui, au football. Il connaît la game, là. Il connaît pas mal sa game et la game. On va parler des forces en présence pour la saison. Hier, match Cowboys. Les Eagles à JC ont gagné, mais c'était serré. [00:03:08] Speaker C: Début de saison aussi. [00:03:10] Speaker B: J'ai trouvé les Cowboys très bons. Ils m'ont pressionné d'acte. Ils étaient en feu, pas à peu près. [00:03:16] Speaker C: Ils vont-ils rester en santé, c'est sûr. [00:03:17] Speaker B: L'année passée, ils étaient blessés une bonne partie de la saison. Le quart arrière des Eagles a fait, écoute, un sans faute. Quoique, le match a été retardé aussi. Il y a eu une interruption d'une soixantaine de minutes. Troisième quart, si on veut. [00:03:34] Speaker C: C'est long. [00:03:35] Speaker B: Victoire des Eagles, 24-20. Mais très bon match de foot. [00:03:40] Speaker C: Puis Barkley aussi. Il m'énerve. Il m'énerve. [00:03:43] Speaker B: Il l'a eu. [00:03:45] Speaker C: Il est excellent. C'est pour ça que je l'ai eu. [00:03:47] Speaker B: Il va battre des records encore cette année. [00:03:49] Speaker C: Je le sais. [00:03:49] Speaker B: Il bat des records. [00:03:50] Speaker C: Il est très bon. [00:03:51] Speaker B: Les autres, ils ont ramassé ça des Giants. Quel Oben qui ont ramassé les Eagles. Voilà, fait que la NFL est partie, on va en parler à 11h20. Ce soir, Félix Auger-Aliassime a la chance d'atteindre la finale du US Open. Il avait déjà atteint la demi-finale il y a quelques années, je pense. On regarde un peu l'historique. [00:04:13] Speaker C: C'est pas évident. [00:04:14] Speaker B: Hey! Sinner. Donc, hier, je regardais, il y avait des matchs de femmes aussi. Sabalenka n'est pas assez facile. Perdu le premier set, t'es allé aux toilettes, t'es revenu, puis paf, paf, paf, paf, paf. Terminé. Donc voilà, Félix Auger. Puis là, on va avoir aussi Alcaraz contre Djokovic. Ça aussi, ça va être un très bon match. Ça va être en après-midi au US Open. Et ce soir, le Québécois va être sur le tarmac. C'est quand même un stade impressionnant. Je pense qu'il y a 23 000 places. Tu joues au tennis? [00:04:47] Speaker C: Hey, il y a du monde. C'est la pression aussi, hein? [00:04:50] Speaker B: Ah oui, non, mais écoute, tout est là. Le stade Arthur Ashe à New York, ils l'ont rénové, puis on met un toit. Ils ont pensé à ça. Eux autres, ils avaient toujours des problèmes de la pluie, puis tout ça. Ça fait que... Hey, 23 000 places. Pense à ça, là. Tu joues au tennis, t'as 23 000 personnes. Là, t'es à New York, il y a des vedettes. Tu vois, les vedettes sont partout. C'est capoté, bien raide. Donc, ce soir, gros match pour Félix Auger-Aliassime. Il l'a déjà battu. Il a déjà battu en 2022 Sener, mais Sener montait, parce que Sener, il montait assez vite. D'ailleurs, soupçon de dopage aussi autour de Sener, l'Italien. Il a été suspendu. Il avait trouvé des... Comment t'appelles-tu ça? Des résidus. [00:05:36] Speaker C: OK. [00:05:36] Speaker B: Oui. Puis lui, il a dit, ben, c'était pour mes cheveux. C'était-tu ça? C'était, ah, mes cheveux. Je perdais mes cheveux. [00:05:43] Speaker C: Oui, oui, oui, je me rappelle de ça, oui. Hé là là. [00:05:47] Speaker B: C'était... c'était quoi? C'était José Todor qui avait dit ça aussi? [00:05:50] Speaker C: Oui, les cheveux. [00:05:51] Speaker B: Il disait qu'il perdait ses cheveux puis il avait trouvé des traces de substances. Mais là, dans le cas de Sennheiser, écoute, le gars, il montait tellement vite. Beaucoup de questionnements sur le dopage. Est-ce qu'il y a du dopage aux tenues? Je pense que oui. [00:06:03] Speaker C: Bien, je pense qu'il y en a dans malheureusement tous les sports. [00:06:07] Speaker B: Oh oui, tu sais, tu regardes le hockey, les gars, ils sont testés pour certains types de produits, là. Mais, tu sais, il n'y a rien qui empêche de prendre beaucoup de produits masquants. Puis... Écoute, c'est des athlètes, là. [00:06:21] Speaker C: Oui, oui. [00:06:22] Speaker B: Au tennis, t'es tout seul, hein? T'es tout seul contre toi-même, là. T'es seul contre l'adversaire. Au vélo, c'est ça aussi, là. Tu peux être en équipe aussi. [00:06:29] Speaker C: Au vélo aussi, il y a des... Je connais moins ça, là, mais ce que j'ai entendu, c'est qu'il y a des stratagèmes, là. [00:06:36] Speaker B: Il y a du travail d'équipe aussi. Dans le cas du vélo, là, ça devient très compliqué. C'est des globules blancs, des globules rouges, puis là, de l'oxygène, puis ça va loin, là. [00:06:46] Speaker C: On change de sang, là, puis écoute... [00:06:48] Speaker B: Oui, oui, on t'injecte du sang avec. [00:06:50] Speaker C: Des... Des globules éros, en tout cas. [00:06:52] Speaker B: Un espèce de... Un sang boosté, là. [00:06:55] Speaker C: C'est quasiment en montagne, je pense. [00:06:59] Speaker B: Entre autres. [00:06:59] Speaker C: Surtout de réserve, OK. [00:07:01] Speaker B: On l'avait vu avec Lance Armstrong. Lui, il avait eu des traitements bleu-cancer. Donc lui, il était comme... Puis après ça, je pense qu'il a eu des histoires de dopage aussi confirmées. Voilà, donc... Ben, Sennher, moi, j'invente rien. Sennher, il avait été pogné, il a été pris dans cette histoire de dopage. Puis ça remet en question son ascension rapide. Le gars est passé de je sais pas trop combien à numéro 1. Mais il est gros, il est grand, puis il frappe la balle, là. Donc voilà, ça va être à suivre ce soir. Là, on a la confirmation. À Lisbonne, le funiculaire, là, qui a dérapé, là, puis qui a... [00:07:35] Speaker C: Méchant accident, là. [00:07:36] Speaker B: C'est affalé, c'est empalé en bas, là. Bien, il y aurait deux Canadiens, dont une franco-canadienne. [00:07:42] Speaker C: Oh! [00:07:43] Speaker B: Ça, ça vient de la France. Parce que là, le gouvernement du Canada dit rien. On a... c'est comme le reste, là. [00:07:49] Speaker C: En retard. [00:07:50] Speaker B: En retard, c'est la nouvelle, là. En retard de... Pas nouveau. Mais la nouvelle vient de la France. C'est un des ministres français qui aurait dit il y a des... il y a une franco-canadienne parmi les victimes. Est-ce qu'il y a deux franco-canadiens? Est-ce que c'est deux Québécois? On le sait pas, là. On va avoir les... parce que là, ils doivent avoir rejoint les familles aussi, là. Mais moi, j'étais allé à Lisbonne, je l'ai vu. J'étais allé là-dedans, dans ce funiculaire-là, puis ça descend pas à peu près, là. C'est une côte à pics de même. Et ça a lâché. Écoute, là, on remet en question l'entretien. Les câbles, là-dedans, c'était vieux. C'est très, très vieux. Mal entretenu ou... Bien, mal entretenu. J'ai vu bien le funiculaire ici, à Québec, aussi, qui avait débarqué. Donc, voilà, ça va être à suivre, cette histoire-là de peut-être Québécois On est des franco-canadiens du nord de l'est de l'Ontario. [00:08:39] Speaker C: Vous êtes québécois? [00:08:41] Speaker B: On est des franco-franco- québécois, canado-canadiens. [00:08:45] Speaker C: Québécois, canadiens, canadiens de l'oeil, françaises. [00:08:49] Speaker B: Ça ressemble à ça pas mal. Bon, regarde, on va suivre ça. Hey, RTC! À matin, moi, mon fils... Ah, pas d'autobus. Mon fils est revenu hier du show de System of a Down de Toronto. [00:09:00] Speaker C: OK. [00:09:00] Speaker B: À un morceau. [00:09:01] Speaker C: Ouais, il est tout revenu. Bon, c'est bon. [00:09:03] Speaker B: Un grand pèlerinage. Là, il y avait du cégep à matin. [00:09:09] Speaker C: Oh, pas d'autobus. [00:09:10] Speaker B: Pas d'autobus, fait qu'il est parti deux heures avant. [00:09:11] Speaker C: Puis c'est un méchant problème pour tous ceux qui travaillent également le week-end, qui n'ont pas nécessairement de voiture. Bien, aujourd'hui. Bien, aujourd'hui et en fin de semaine. [00:09:20] Speaker B: Là, en fait, là, ce qu'on comprend, c'est que le syndicat Des employés d'entretien ont une rencontre à 9h30 ce matin. On va présenter l'offre. On va-tu voter? Parce que si on vote, on a un vote favorable. [00:09:32] Speaker C: La grève est supposée être finie. [00:09:33] Speaker B: La grève tombe. Là, je sais pas si t'as vu, le STM aussi, à Montréal, ils se donnent le go pour le mois de septembre. [00:09:39] Speaker C: Un autre mandat de grève. [00:09:40] Speaker B: Fait que, écoute, tout est organisé. D'ailleurs, on va poser des questions. [00:09:45] Speaker C: Oui. [00:09:45] Speaker B: Les questions que t'as. [00:09:47] Speaker C: Moi, j'les ai. J'les ai notés pour être heureux. [00:09:49] Speaker B: D'ailleurs, pourquoi c'est pas un service essentiel, ça? [00:09:51] Speaker C: Bien, de un, c'est-tu normal que... Quoi? C'est quelques centaines d'employés, la RTC, au niveau de l'entretien? [00:09:57] Speaker B: À peu près. [00:09:57] Speaker C: Mais oui. [00:09:58] Speaker B: Quelques centaines d'employés qui monopolisent le reste. [00:09:59] Speaker C: C'est-tu normal qu'une centaine d'employés puissent paralyser l'ensemble de la Ville de Québec au niveau du transport en commun? Puis est-ce que les services publics comme le transport en commun ne devraient pas être considérés comme essentiels à l'avenir? [00:10:13] Speaker B: Oui. Parce qu'ils ne l'étaient pas, hein, essentiels. [00:10:17] Speaker C: Tu sais, est-ce que le gouvernement puis le RTC devraient avoir plus de pouvoir pour imposer un retour au travail? Ils sont ici, là. [00:10:24] Speaker B: Il y a tout ça dans l'équation parce que la dernière fois, c'est pendant le festival d'été. [00:10:28] Speaker C: Oui. [00:10:28] Speaker B: Ça a été dix jours, c'est ça? Plusieurs jours. [00:10:31] Speaker C: C'était dix jours. Finalement, les gens se sont quand même... Ils sont quand même organisés. [00:10:38] Speaker B: Ils ont fait chier tout le monde en ville. [00:10:43] Speaker D: Moi, un moment donné, je veux bien. [00:10:44] Speaker B: Que les gens du RTC gagnent des 100 000$ par année. Moi, ça ne me dérange pas. Vous êtes payés par des fonds publics. Mais un moment donné, c'est parce que là, vous paralysez du monde qui ne gagne pas 100 000$. [00:10:55] Speaker C: En effet. [00:10:56] Speaker B: Des petits travailleurs, puis du monde poigné pour aller prendre l'autobus parce qu'eux autres n'ont pas les moyens de s'acheter un char. [00:11:02] Speaker C: Ben là, ça va être Uber, taxi, vélo, covoiturage. [00:11:06] Speaker B: Taxi, tu peux pas payer de taxi comme ça, de même, je monte à la job en taxi. [00:11:10] Speaker C: Ben non. [00:11:11] Speaker B: Là, je sais que les avélos, ça marche un peu, là, mais t'sais, je veux dire, il y a plein de moyens. [00:11:15] Speaker C: Ça dépend. Je sais pas si t'habites à Val-Belaire, tu travailles dans, je sais pas moi, dans Vanier, ton avélo, là. [00:11:23] Speaker B: En plus, t'as une demi-heure pour te rendre à vélo. T'as une durée limitée. [00:11:28] Speaker C: Tu fais? [00:11:28] Speaker B: Ben oui. Il faut que tu remettes le vélo. [00:11:30] Speaker C: Sinon, tu payes plus? [00:11:31] Speaker B: T'as une pénalité, mais je pense qu'après 2-3 strikes, c'est « you're out ». [00:11:35] Speaker C: Ben voyons. [00:11:35] Speaker B: Oui, ils veulent pas que le monde se promène des heures avec ça. Tu vois, un point A, un point B. Là, il faut que tu changes de vélo, si tu veux faire un autre ride, il faut que tu reparges un autre ride. Oui, oui, il y a une durée limitée. [00:11:47] Speaker C: Je pensais que tu payais moins le nombre d'heures que tu l'utilisais. [00:11:50] Speaker B: C'est parce que tout le monde parait le vélo, je m'en vais à la maison deux heures, je m'étire, je repars. Parce que t'as des forfaits, tu peux prendre un abonnement au mois ou à deux mois, trois mois, même pour l'été. Je pense que ça coûtait 169 piastres l'abonnement pour l'année au complet, l'été au complet. Donc voilà, t'sais c'est... on est pogné là-dedans. RTC, baby. Aïe, le go. [00:12:15] Speaker C: Ouf. [00:12:16] Speaker B: La caque. Là c'est pas à peu près, là. Hier c'est la ministre Laforêt, André Laforêt, qui a annoncé son départ. De ce qu'on comprend, c'est qu'elle avait pas dit à personne qu'elle partait. Le gars, il l'avait rencontré dans les derniers jours, puis il avait offert d'autres ministères. Puis elle, elle avait pas dit à la gang de la CAQ, parce que la gang de la CAQ, quand tu dis que tu t'en vas, c'est des rencontres de café, puis c'est viens, viens, on va jaser. Mais voyons, reste avec nous autres encore, voyons. Fait qu'elle, elle a annoncé clairement qu'elle quittait hier. Et ça a été un onde de choc auprès des autres députés, mais surtout ministre. Elle était ministre, celle-là, André Laforêt. Elle s'en va à la course à la mairie. au Saguenay. Et là, ce matin, ce qu'on entend, c'est qu'il y aurait un autre élu, Pierre Dufault. Lui, il est du côté de l'Abitibi. Lui, il menace le gouvernement. Lui, c'est l'ex-ministre des Forêts. Il avait perdu son poste de ministre. T'sais, la fonderie Orne, là, ça rouine. [00:13:14] Speaker C: Ça brasse beaucoup, là, aussi. [00:13:17] Speaker B: Lui, il dit s'il n'y a pas une représentation meilleure des régions, notamment de l'Abitibi, moi, je chaque mon cas. Donc là, ça commence à... Là, le goût est dans le trop pas, à peu près. Parce que là, il y a une partielle qui va avoir lieu à Saguenay. D'ici... c'est six mois, après la démission d'un député. Donc, il va une partieller pour avoir une partielle en Abitibi. Non, non, là, ça tire de partout. Puis là, ce qu'on nous dit, c'est qu'il y aurait d'autres départs potentiels à Québec. Région de Québec. [00:13:45] Speaker C: Jonathan Julien? [00:13:46] Speaker B: Non, non, non, pas Jonathan Julien. Ah non? [00:13:48] Speaker C: Ben je sais pas, moi je regarde les ministres de la région de Québec. [00:13:50] Speaker B: Ben je te dis plus la Rive-Sud, là. Je parle de la grande région de Québec. [00:13:53] Speaker E: OK. [00:13:53] Speaker C: Bernard-Andréville? [00:13:53] Speaker B: Non. [00:13:56] Speaker C: Il va y avoir ma députée, là. [00:13:58] Speaker B: Hein? [00:13:58] Speaker C: Il y a... Comment elle s'appelle, là? [00:13:59] Speaker B: Il y a beaucoup, beaucoup de gens à la CAQ qui sont frustrés, là. Comment est-ce qu'il s'appelait la chose? Ils citent l'ancien préfet de la MRC, là, dans Beauce, là. [00:14:09] Speaker C: Luc Provençal? [00:14:10] Speaker B: Ben peut-être. [00:14:10] Speaker C: Ouais? [00:14:12] Speaker B: Il est dans Bellechasse, aussi. [00:14:14] Speaker C: J'essaie de voir les ministres de la région de Québec. [00:14:17] Speaker B: Mais du monde! Comment qu'il s'appelle? Geneviève Guilbeault? [00:14:20] Speaker C: Geneviève. [00:14:20] Speaker B: Est-ce qu'elle va rester là? [00:14:22] Speaker C: Ouais. [00:14:22] Speaker B: S'il enlève son titre de vice-première ministre? Je te le dis, sa grenouille, là, c'est parti. Les rumeurs sont parties. Et là, même pas un mot couvert, c'est Pierre Dufault. Lui, il est allé dans les médias. Ça vient juste de sortir. Il dit, moi, je regarde toutes les options. Je pourrais être indépendant. Je pourrais rester indépendant. Il pourrait peut-être se joindre aux partis québécois. PQ a le vent dans les voiles, pas à peu près. Je sais pas si t'as vu s'il y avait une élection où ce qu'André Laforêt, c'est le Saguenay. Le PQ rentre à 51%. [00:14:51] Speaker C: C'est sûr qu'il va arriver. Habituellement, Saguenay, Lac-Saint-Jean, ça a toujours été pas mal péquiste. [00:14:58] Speaker B: Et dans le cas de Pierre Dufault, lui, il dit, je veux une meilleure représentation, notamment du côté de la B-T-B, au Conseil des ministres, pis il dit, c'est pas une menace, on n'est même pas là. On n'est même pas là, on n'est même pas à la table des décisions. Ça, ça avait été tout un coup de jarnac de... [00:15:13] Speaker C: C'est Biron que je cherchais, le ministre Biron. Bon, elle va rester, hein? [00:15:16] Speaker B: Bon, elle... Ben c'est parce que t'sais. [00:15:18] Speaker C: Je regarde qui pourrait démissionner là. [00:15:20] Speaker B: Ben y'a plein de monde, nique! [00:15:21] Speaker C: Ben non, mais vont-tu le faire? [00:15:23] Speaker B: Ça fait deux là. Ça fait deux là, je t'en ai... [00:15:24] Speaker C: Dans la région de Québec... André Laforêt, Pierre Dufault. [00:15:26] Speaker B: Non, non, mais je te parle de La Beauce, là. [00:15:28] Speaker C: Ouais, La Beauce, ça se pourrait. Luc Provençal. [00:15:29] Speaker B: Ben c'est la grande région de Québec, La Beauce. [00:15:31] Speaker C: Ah ben le Chasse aussi, là. Lachance, qu'est-ce qu'elle s'appelle, elle? [00:15:34] Speaker B: Madame Lachance, oui. [00:15:35] Speaker C: Ouais, ça se pourrait. [00:15:37] Speaker B: Mais t'sais, encore là, ils vont attendre jusqu'au but, là. Tu vois bien que la CAQ est en train de se désintégrer, là. C'est pas drôle, là. C'est pas drôle, ce qui se passe. [00:15:43] Speaker C: Ben non, mais t'sais, les gens voient ce qui se passe, pis ils disent, moi, je vais me tendre plus, là. [00:15:47] Speaker B: Ben, Sam, est-ce que Legault... Moi, t'sais, à la limite, Legault doit-il démissionner? [00:15:52] Speaker C: La question que je me posais ce matin quand je regardais l'actualité, là, il dit qu'il veut faire le ménage dans la fonction publique, là, pis il veut améliorer l'efficacité de l'État. Christy, pourquoi ça fait... T'es supposé avoir fait ça depuis huit ans. Il va dire, ah, c'est ben une pandémie. Ben, pourquoi depuis 2022, tu travailles pas là-dessus? [00:16:09] Speaker B: Non, non, ben, Legault, il dit, je veux m'attaquer à la bureaucratie. On le tient à cote quand il dit que les trois premières années, on fait ça comme ça. Quand on arrive à la quatrième année, on arrive là, c'est la quatrième année. Là, on commence à jaser. Ça veut dire que lui, ça classe ça à clic. Ils ont-tu l'air d'une gang de mêlés. Hier, Koskinen a mis de quoi en ligne sur l'affaire de notre vote. Il se fait ramasser, le monde. Gagne de pourris. Vous êtes même pas, quand on l'a vu, vous avez jamais de souvenirs. Vous êtes toute une gang d'amnésiques. Tout ce que vous voulez, c'est on vous a confié notre argent, puis vous êtes même pas capables de la gérer. C'est vrai pareil. On les a vus aller à la commission. Les galants sont tous arrivés. Ils nous disaient qu'ils ne se souvenaient plus de rien. Puis là, tu te fais confiance à ce monde-là après ça. On l'a dit à la Côte-de-Louis? Non, on a quatre ans, donc bon. Les deux premières années, même les trois premières, là, on va faire ce qu'on pense qui est bon. Puis la quatrième année, bien là, on commencera à se soucier des sondages. On a dit ça. Bien, d'après moi, les sondages, ils étaient à zéro, là. [00:17:12] Speaker C: Tu sais, de faire le ménage en bureaucratie, là, il aurait dû s'attaquer à ça depuis le début. Parce qu'il le disait. Ça faisait partie des promesses de 2018. Rappelle-toi, on va faire le ménage dans la fonction publique. [00:17:25] Speaker B: Là, écoute, la CAQ. Là, il dit qu'il va revenir à la base. Mais ta base, elle est plus là. Ils sont partis. T'avais 6 ans pour les convaincre et tu l'as pas faite. On va souhaiter bonne chance à M. Legault. En fin de semaine, il y a des téléphones qui vont se faire. Parce que quand il y a un remaniement, il brasse des cartes. Là, je suis pas sûr que tout le monde est au courant de comment ça va aboutir. Là, Pierre Dufault qui sort, je suis pas sûr que lui, il va être ministre. Pis lui il dit moi que je sois là ou je suis pas là, je m'en fous. Mais je veux que la région soit représentée au Conseil des ministres, ce qui n'est plus le cas là. Ou à tout le moins. Donc là, ça vient de partout, la fronte vient de partout. [00:18:06] Speaker C: Ça va assurément grenouiller. [00:18:09] Speaker B: Puis là, c'est parce que ces gens-là ont fait confiance à François Legault. Legault, ben oui, je vais m'occuper de vous, je vais vous donner des hausses de salaire. Puis toi, Nick, tu vas être sur un comité, hein? [00:18:19] Speaker C: Oui, ah oui, j'aimerais ça. [00:18:21] Speaker B: C'est le comité où vous faites le tour de la planète, vous allez voir. [00:18:24] Speaker C: Ah oui, ça, ce serait le fun. Un compte de dépenses aussi? [00:18:27] Speaker B: Oui. Tu m'as parlé que tu voulais le parlementarisme francophone. [00:18:31] Speaker C: Ah oui, ça, ça me tient à coeur beaucoup. [00:18:33] Speaker B: Parfait. Fait qu'on va te donner ça. Tu vas fermer ta gueule, par exemple. [00:18:37] Speaker C: Ah! Bon ben c'est beau. [00:18:40] Speaker B: Tu me le donnes. Mais là, tu seras pas réélu, là. [00:18:42] Speaker C: Hein? [00:18:43] Speaker B: T'as vu les chiffres, là? [00:18:44] Speaker C: Je vais-tu avoir ma pension? [00:18:46] Speaker B: Je sais pas. Ça te tente-tu de nérobattre avec nous autres? [00:18:49] Speaker C: Ça me tente plus! La caque, c'est de la chnoute! [00:18:53] Speaker B: Regarde, on va en entendre de tous les couleurs. D'après moi, les langues se délient. Pour les journalistes à la colline parlementaire, c'est merveilleux. Hey, le tunnel du boulevard Laurier, c'est le tunnel que le ministère des Transports est en train de construire pour les autobus. [00:19:07] Speaker C: Oui. [00:19:08] Speaker B: Ben là, écoute, parce que la rumeur voulait qu'il n'y ait pas d'autobus qui passent dans le tunnel. [00:19:13] Speaker C: Mais voyons donc. [00:19:14] Speaker B: Des autobus qui se rencontrent l'un en face de l'autre. Là, ils ont fait venir deux camions. Ils disent que on rassure la population. La rumeur est fausse. Le futur tunnel réservé aux transports en commun, c'est sur le boulevard Laurier. [00:19:28] Speaker C: Oui, tu arrêtes de le construire. Je passe là tous les jours. [00:19:30] Speaker B: Il y a de l'argent là. [00:19:31] Speaker C: Il y a beaucoup d'argent là. [00:19:33] Speaker B: D'après moi, on va blower le budget. De ce que je comprends, ça ne coûtera pas ce que ça devait coûter. [00:19:40] Speaker C: Mais là, il y a-tu quelqu'un qui est surpris? C'est fait de même au Québec. [00:19:43] Speaker B: Mais l'argument, c'était qu'il n'y a pas deux autobus qui puissent passer soit en face de l'autre ou côte à côte. [00:19:49] Speaker C: En tout cas, j'ai pas vu les photos, là. Bien, je vois là, mais je veux dire... [00:19:53] Speaker B: On a mis deux camions, là. [00:19:54] Speaker C: Tu sais, quand je pense près, c'est quand même assez large. [00:19:58] Speaker B: C'est ça. Mais la rumeur étant que... Ben là, ça va marcher. Pourquoi on fait un tunnel? C'est quoi l'histoire du tunnel? [00:20:04] Speaker C: On veut que les autobus qui arrivent de la Rive-Sud, entre autres, passent directement pour éviter de la congestion. C'est ce que j'avais compris à l'époque quand on a présenté ça. Fait que les autobus vont passer sous l'oreiller pendant un bout quand même. [00:20:19] Speaker B: Pour justement... Ressortir sur l'Orient un petit peu plus loin. [00:20:22] Speaker C: Oui, oui, plus loin que de l'église. J'imagine que c'est pour... Tout ça, c'est dans tout le plan de travail concernant la restructure du pont de Québec, pont La Porte. Tous les échangeurs près du pont, l'aquarium, tout ça qu'on est en train de faire, ça fait partie du projet sur l'avenue des hôtels et tout ça. On veut permettre aux autobus qui arrivent du pont de Québec de passer en dessous, carrément. [00:20:43] Speaker B: Donc le MTQ qui a fait une sortie pour rassurer tout le monde. Tout va bien aller. Inquiétez-vous pas, on a le contrôle de tout ça. Autre affaire qui fait beaucoup jaser, c'est les détaillants qu'ils ont. On dit qu'il y a de plus en plus de crimes organisés dans les magasins. Des crimes, en fait, des vols en réseau. Ils débarquent dans un petit commerce ou encore dans une grande surface. Ils ont plusieurs opérants en même temps. Des gangs organisés. On vole la marchandise. Et là, c'est les détaillants québécois qui sortent pour dire « Écoutez, là, c'est devenu une problématique importante. » Nous, là, c'est parce que là, toi, t'es tenté de courir après ce monde-là? [00:21:26] Speaker C: Non. [00:21:27] Speaker B: Moi, je me souviens, je travaillais chez HMV, j'étais dans les disques. Mais on le savait, nous autres, quand le premier du mois arrivait. Il y avait des vols, t'sais, parce que quand les gens sortaient avec des... [00:21:37] Speaker C: Ben oui, on les watchait, là. [00:21:39] Speaker B: Ben ça sonnait. Ti-ti-ti-ti. Fait que là, moi, je partais après ce monde-là. Un moment donné, mon boss, il s'est dit « Hey, laisse ça aller, là ». [00:21:45] Speaker C: Mais à l'intérieur de nous, moi aussi, je fais de la même, là. [00:21:48] Speaker B: J'ai le goût... [00:21:48] Speaker C: J'aurais le goût de courir après avec des ponys. [00:21:50] Speaker B: Ben oui. [00:21:50] Speaker C: Mais c'est parce que là, il y a un enjeu de sécurité. [00:21:53] Speaker B: Ben je sais pas si t'as vu, là, dans un commerce au détail comme ça, il y a un employé qui est parti après un voleur. Le gars sortit un gun pis il a tiré dessus. [00:21:59] Speaker C: Non, mais c'est ça l'affaire, là. [00:22:00] Speaker B: Le gars, il est rendu paraplégique, là. [00:22:02] Speaker C: T'sais, il y a un enjeu de sécurité. T'as bien beau vouloir être le héros, là, mais laisse faire ça, là. [00:22:06] Speaker B: Les gars, à ce temps-là, c'est des commandes de crime organisé. Et puis, ils t'envoyent, t'sais, je veux dire, le gars, un gun ou un couteau, il peut... Ah oui, il peut. [00:22:15] Speaker C: T'Arriver, fait que... Faut laisser aller, mais là, ça devient un fléau majeur. [00:22:20] Speaker B: Les autres disent que là, ça commence à être... ça dépasse les bornes, là. Mais c'était le cas aux États-Unis, pis ça, on le voyait pas au Canada tant que ça, mais là, ça a dépassé les frontières. Et là, on voit dans les épiceries, la boisson, les aliments, la viande, les appareils électroniques, les électroménagers, chaussures, accessoires, santé, beauté, les parfums. [00:22:41] Speaker C: Tu sais ce que ça démontre? Ça démontre deux choses. Les gens ont de plus en plus faim, dans le sens où les mondes n'ont plus d'argent et on n'est pas capable, du côté policier, d'avoir assez d'effectifs pour contrer ça pis ils le savent très bien. [00:22:57] Speaker B: Ben ils le savent très bien, je sais pas si t'as vu, la police de Québec qui répond plus aux appels de vol de vélo, entre autres, mais pour le vol à l'étalage là. [00:23:05] Speaker C: Ben quand c'est ça qu'il faut pas pogner là. [00:23:07] Speaker B: Tu présentes ça encore les policiers? Non mais je veux dire là, c'est vraiment un problème. À Québec là, la police, on le levait encore récemment, c'est le chef de police qui est sorti pour dire ben nous on y va avec la priorité. [00:23:19] Speaker C: Ouais, ouais, je comprends, mais mettons que t'as un appel pour du vol à l'étalage. Normalement, ça devient assez prioritaire, là. [00:23:26] Speaker B: Oui, mais ça semble être pas prioritaire pour la police, là. Là, c'est rendu que les détaillants, ils disent là, on sait plus quoi faire. On engage des gardiens de sécurité, mais le monde est armé. Moi, mon gardien de sécurité est pas armé, là. [00:23:38] Speaker C: Non, pis tu veux pas jouer avec ça, là. [00:23:40] Speaker B: Tu veux sortir un taser dans le cou devant tout le monde, comment tu veux... Tu sais, tu veux pas arriver à l'altercation. [00:23:46] Speaker C: Ben non. [00:23:48] Speaker B: C'est capoté, là. [00:23:49] Speaker C: Je sais, mais c'est... Tu sais, ça démontre pas qu'on s'en va dans la bonne voie. [00:23:54] Speaker B: Ça démontre aussi que la police... Tu sais, defund the police. Il y a des municipalités qui commencent à investir dans la police. [00:24:01] Speaker C: Il n'y a pas le choix. [00:24:02] Speaker B: La police de Québec, c'est rendu un fléau. Tu te fais voler ton vélo, ils viennent même plus. Organise-toi. [00:24:08] Speaker C: Il y a des gens qui me racontaient hier sur la messagerie, hier ou avant-hier, quand on parlait de ça, que... Ils autres se sont fait voler des vélos quand même d'une bonne valeur. [00:24:17] Speaker B: Plusieurs milliers de dollars. 5000 piastres un vélo, il y a rien là. [00:24:20] Speaker C: Pis ils se sont fait dire non, on enquêtera pas là. Appelle tes assurances. [00:24:24] Speaker B: Ils rappellent même pas. [00:24:26] Speaker C: Don't call us, we'll call you. Faut. [00:24:29] Speaker B: Que t'ailles au poste de police faire une déposition. Pis là tu remplis une feuille. [00:24:33] Speaker C: Ça sert à rien. [00:24:34] Speaker B: Appelle tes assurances. Ouais mais je veux dire, m'en donner. [00:24:37] Speaker C: Ça va avec le reste Pierre, malheureusement, le service diminue partout. [00:24:42] Speaker B: Même la protection. On vient d'avoir un nouveau poste de police là. Ça a coûté des millions. [00:24:47] Speaker C: Je sais. [00:24:47] Speaker B: Voilà. [00:24:48] Speaker F: Il n'y a rien de plus payant qu'un vélo volé. C'est un 100 % de profit. Le crime n'est pas puni. Puis il n'y a pas d'immatriculation. [00:24:56] Speaker B: Toi, Gary, ça va bien? [00:24:57] Speaker F: Ça va bien. Tu m'as un peu révolté. [00:24:59] Speaker B: Moi, j'ai travaillé dans le monde du vélo. [00:25:01] Speaker F: Oui, presque 25 ans. [00:25:02] Speaker B: Des vols de vélos. Mais dans les dernières années, les gens disent, on appelle, on se fait voler nos vélos. [00:25:05] Speaker F: C'est une catastrophe. [00:25:06] Speaker B: Il n'y a personne qui vient. [00:25:07] Speaker F: Non, puis la valeur des vélos a augmenté beaucoup. Donc, pour se tâcher des pilules à 5 $, tu voles 2-3 bicycles, puis t'es correct pour un Christie's de bottes. en recel, c'est devenu un des items les plus faciles à refiler. Oui, il y a un numéro de série toujours au boîtier de pédalier, mais c'est facile de maquiller les vélos, c'est facile de les faire changer de ville, puis il n'y a pas de préoccupation policière, t'as raison de le dire. Ça prend de la violence dans le vol pour que la police débarque. [00:25:29] Speaker B: Ah ouais, mais même ça, vas-tu te faire tuer parce que t'as un vélo électrique, là? [00:25:32] Speaker F: Non, puis t'sais, c'est des vols de cabanon la nuit, je veux dire, OK, il n'y a pas vraiment de violence derrière tout ça. [00:25:37] Speaker B: Le cabanon, moi, j'ai un limo à loup, là. Laisse pas ton vélo dehors. Tu te le fais défoncer. D'après moi, ça prend une nuit. Il est plus là, ton vélo. [00:25:46] Speaker F: Moi, je trouve que t'es vraiment optimiste. Une heure, en fait, dans certains quartiers de Québec. Il n'y a pas de cadenas qui sont miraculeux. [00:25:53] Speaker B: Ils ont des espèces de grosses pinces, des cutters. Ça prend deux minutes. [00:25:57] Speaker F: Même le plus difficile à couper, c'est le Kryptonite. Le modèle, c'est le New York Lock. C'est un cadenas qui se vend à plus de 150 $. C'est un cadenas qui est jaune, qui est tout petit. Même lui, il y a des possibilités de le couper. [00:26:09] Speaker B: Mettre de l'acide? Mettre quoi? [00:26:10] Speaker F: Non, c'est avec des grinders. Ça va être très long de le couper. Mais il n'y a aucun cadenas dans l'industrie qui peut vous garantir à 100% que votre vélo est sécuritaire. Tu peux en mettre 2-3. À chaque fois, tu rajoutes du temps. Puis souvent, les voleurs, c'est des lâches. Donc, ils vont choisir le vélo le plus facile à voler. Puis celui qui est le plus facile à voler, c'est pas lui qui a trois cadenas. Donc, même si vous mettez votre vélo... [00:26:31] Speaker B: C'est lui qui n'est pas attaché. [00:26:32] Speaker F: C'est lui qui est pas attaché. Ou qui est attaché avec des cadenas qui ont l'air d'un lacet. [00:26:36] Speaker B: Oui! [00:26:37] Speaker F: Tu sais, ça se coupe avec un cutter. [00:26:38] Speaker B: Ah oui, il y a rien de gueule sans ça. [00:26:40] Speaker F: Tu sais, des sécateurs de jardiniers. Donc, des histoires de vélos volés, mon gars. J'en ai des milliers à te raconter. Mais on n'aura pas le temps aujourd'hui parce qu'il y a plein de choses à dire. Aujourd'hui, c'est le FestiCode. C'est un rendez-vous du vendredi avec Pierre Couture et Nico, les deux réactifs de l'antenne ici. Donc moi, j'ai sélectionné des moments précieux que j'ai distillés pour vous. Et la messagerie, je vous invite à... [00:26:58] Speaker B: Est-ce que tu les as jouxtés? [00:27:00] Speaker F: Je les ai tous jouxtés. de participer à la discussion avec Pierre, Nick et Gary Épi aujourd'hui. Parce qu'on a des codes vraiment qui valent la peine d'être... d'être commentés. On va commencer peut-être avec... Bon, là, M. Économie est devant moi, là, Pierre Couture, ça va de soi, là. Je vais te faire entendre Mark Carney, qui nous a parlé, en fait, du fameux budget, là, qui est jamais arrivé, là, depuis l'élection du gouvernement libéral actuel. On nous a promis un budget fédéral depuis des semaines, en fait, des mois. [00:27:27] Speaker C: On va dire ça comme ça. [00:27:31] Speaker F: C'est la première fois où à peu près qu'il nous faisait en fait miroiter l'avenue qu'il souhaite emprunter pour le prochain budget et il a sorti un mot de son chapeau, un mot qui a vraiment une résonance particulière au Québec, le mot austérité. [00:27:45] Speaker A: Que ce sera un budget d'austérité. [00:27:47] Speaker B: C'est un budget d'austérité et d'investissement en même temps. [00:27:53] Speaker G: Et c'est possible si on a une discipline. [00:27:57] Speaker B: Il faut avoir une discipline sur les dépenses et c'est nécessaire. On doit cesser cette manière de gestion. à l'échelle fédérale. Mais alors ça c'est responsable, austérité si vous voulez. [00:28:19] Speaker F: Responsable, austérité. [00:28:20] Speaker B: Ben, même qu'un an en campagne, il a fait le même coup. Pis les gens disaient, il est donc ben génial. Il va couper, mais il a pas parlé beaucoup de compression en campagne électorale. Il dit d'investissement, pis il dit de saine gestion des fonds publics. Là, il veut rien dire, là. Je veux dire, on va avoir 100 milliards de déficit pareil, là. [00:28:37] Speaker F: Faut quand même même qu'on optimiserait l'investi, là. [00:28:40] Speaker B: On s'enligne sur un 100 milliards de déficit cette année à Ottawa, là. 100 milliards! Dans le trou. Essaye ça, là. [00:28:46] Speaker F: Non, t'entends pas pantoute. [00:28:47] Speaker B: D'après moi, tu t'offreras pas la game longtemps. [00:28:49] Speaker F: Est-ce que tu penses que la lune de miel, en fait, avec Mark Carney et les Canadiens, principalement les Québécois et Québécoises, est-ce que c'est quelque chose qui achève? [00:28:59] Speaker B: Non. [00:28:59] Speaker F: Où ça va durer encore, passer Noël. On est-tu encore dans les vaps de la Carné Nation, les coudes bien bandés? [00:29:06] Speaker C: Ah oui? [00:29:06] Speaker B: Ah oui. [00:29:07] Speaker F: Tu penses-tu les elbows up, ça va-tu rester encore longtemps? [00:29:10] Speaker B: Ben là, je regarde les sondages. [00:29:11] Speaker F: Ah, regardons ça, les sondages, Pierre. [00:29:13] Speaker B: Puis ça commence à brailler, ça commence à crier. [00:29:17] Speaker C: Ah oui? [00:29:17] Speaker B: Ah oui, le monde commence à pas trouver drôle. Je sais pas si t'as vu le chômage aussi qui monte aujourd'hui. [00:29:22] Speaker F: Ouais, pas pire. [00:29:23] Speaker B: Non, non, là, il va falloir que elbows up se réveillent. [00:29:27] Speaker F: Est-ce que t'as envie d'entendre ton premier ministre, François Legault, qui, on est à, je pense, 14 mois de l'élection générale, a quand même paru, la semaine a été longue, là, mais, est quand même apparue cette semaine à la commission Gallant pour faire un témoignage marquant. C'était mardi, il y a déjà quatre jours, et il est arrivé avec un mot, en fait, qu'on a presque pas entendu en huit ans de caquisme au Québec, le mot imputabilité. [00:29:47] Speaker B: Pour moi, là, c'est important l'imputabilité, puis c'est important qu'il y ait des conséquences pour ces personnes-là. Puis une conséquence, c'est pas de transférer une personne dans un autre poste. Puis je comprends que c'est pas simple au gouvernement, là, avec la sécurité d'emploi, mais il devrait y avoir des conséquences. Les Québécois s'attendent à ce qu'il y ait des conséquences. [00:30:11] Speaker F: Est-ce que Pierre s'attend à ce qu'il y ait des conséquences? [00:30:13] Speaker B: Des conséquences, ça veut dire quoi? Il va mettre Guilbeault puis Bonnardel dehors? [00:30:16] Speaker C: Non, il est en train de parler des fonctionnaires. [00:30:18] Speaker F: Oui, des fonctionnaires, mais aussi peut-être son cabinet. [00:30:20] Speaker B: Non, c'est la gang de ministres d'endormi qui ont amnésique. [00:30:22] Speaker C: Non, non, pas de leur faute. [00:30:24] Speaker B: Hé, sérieux, là. Ils ont tout eu de la... Hé, j'ai regardé Koskinen, il était sur les réseaux sociaux, là. Il parlait de NordVault, puis là, je sais pas trop, il y a un article qui disait que le risque était... [00:30:33] Speaker C: Calculé. [00:30:33] Speaker B: Calculé, là. Hé, il se fait ramasser. Vous êtes toutes une gang d'amnésiques, vous avez l'air d'une gang de clowns. On vous a confié notre argent, vous êtes même pas capables de gérer... Ça. [00:30:45] Speaker F: Va être tough la remontée de la CAQ. [00:30:46] Speaker C: Mais là, oublie ça. [00:30:48] Speaker B: Mais regarde, Gary, Anger Sweet, tout à l'heure on parlait d'un sondage Anger Sweet, donc regarde, les conservateurs sont en avant, là. Anger Sweet, c'est pas une firme, c'est pas, mettons, Abacus Data, là. [00:30:58] Speaker F: Non. Ça me fait rire trop bien. [00:31:01] Speaker B: Fait que moi, je pense que les conservateurs montent tranquillement dans un sondage. Mais même ça, Legault, c'est mort, là. [00:31:06] Speaker F: Il y a rien à faire? [00:31:07] Speaker B: Ben, c'est terminé. Puis, Luc Ouellet... [00:31:09] Speaker F: C'est un zombie politique, là. Vraiment, un mort vivant, là. Il se promène, puis... Ça va être dur. [00:31:14] Speaker B: La prochaine année, il va être terré pour son égo, là. Mais tu sais, ils vivent dans une bulle, hein. Ils ont des limousines, puis ils font semblant. Tout le monde, tous les courtisans, les courbettes devant eux, là. Ben oui, M. Legault. [00:31:24] Speaker C: Puis tout l'entourage, les bureaux, les cabinets, tout va bien, tout va bien. [00:31:28] Speaker F: Je vois bien que le slogan de la CAQ, ça va bien aller, là. [00:31:30] Speaker C: Contre Simon aussi. [00:31:31] Speaker B: Non, non, écoute, c'est pas drôle. C'est une fin de régime atroce qui attend Legault dans les prochains mois. À moins qu'il marche dans la neige en décembre, puis en janvier, je quitte, j'annonce mon départ, puis on a une course à la chefferie, suivie d'une élection. [00:31:47] Speaker F: Moi je vois ça dans le radar, ça prendrait un super méga scandale péquiste. Ça prendrait vraiment une débâcle péquiste atroce pour qu'on puisse considérer de revenir à la CAQ pour une troisième... Non, non, ça c'est fini. Ça prendrait une catastrophe péquiste, ce qui est très difficile à envisager parce qu'ils ont le vent dans les voiles. [00:32:06] Speaker B: Le PQ dit rien. [00:32:08] Speaker F: Puis ça gagne. [00:32:08] Speaker B: Puis la CAQ se s'auto-détruit devant nous autres comme c'est un spectacle... La politique, c'est ça. Souvenez-vous, les libéraux à l'époque de Jean Chrétien, c'était ça aussi, se manger entre eux autres. [00:32:20] Speaker F: Oui, se cannibaliser. [00:32:21] Speaker B: Là, je pense que la CAQ est en train de se manger entre elles. [00:32:24] Speaker F: Celui qui a succédé à Fitz, ton chum, Christine Fréchette, est revenue, en fait, sur la débarque de Nordvolt. Je vous rappelle qu'on a appris la nouvelle qu'on tirait de la plaque de Nordvolt en même temps que le premier ministre François Legault était à la commission. C'est quoi la part de hasard? [00:32:39] Speaker B: Non, non, il n'y en a pas. C'est ça, c'est un éclipse médiatique. [00:32:42] Speaker F: C'est un éclipse médiatique. Donc, c'est un sujet qui est arrivé en dessous de la pile. Je vous fais entendre Mme Christine Fréchette qui dit que le risque zéro, ça n'existe pas. [00:32:50] Speaker A: Politique de développement économique sans risque. [00:32:53] Speaker B: Ça n'existe pas. C'est sûr qu'on n'a pas la fin. [00:32:56] Speaker A: Qu'On avait souhaitée pour le projet Northvolt Amérique du Nord. [00:32:59] Speaker B: Maintenant, on va continuer à développer la. [00:33:00] Speaker A: Filière batterie parce qu'il y a des retombées importantes pour le Québec. [00:33:04] Speaker F: On continue de développer la filière batterie, Pierre. [00:33:06] Speaker B: Oui, on fonce. [00:33:07] Speaker F: Continuons. [00:33:08] Speaker B: Ben oui, il y a un mur. [00:33:10] Speaker F: Je me demande de quoi il parle, parce que concrètement, qu'est-ce qu'il reste de la filière batterie? [00:33:13] Speaker B: Il y a des investissements. Je regarde le Bécanco, il y a Popco, il y a Pomco, il y a GM, je pense. Il y a d'autres projets, mais c'est tough. Ah non, c'est tough. [00:33:23] Speaker G: Pis là, je sais pas si t'as. [00:33:23] Speaker B: Vu, Carnet annonce un recul. Ça va être annoncé à 11h sur les quotas de vente de voitures électriques. Ça, ça veut dire que tous ces joueurs-là qui étaient venus dans l'espoir d'avoir des quotas augmentés d'année en année au Canada, ça vient de tomber. [00:33:37] Speaker F: Est-ce qu'il nous reste un peu de temps, mon Nico? [00:33:38] Speaker C: Deux minutes. [00:33:39] Speaker F: Je vais te faire entendre Éric Duhem. Hier, je suis allé à l'Assemblée nationale ou plutôt à la tribune de la presse parce qu'Éric Duhem n'est pas élu. Donc, il ne peut pas vraiment aller à l'Assemblée nationale même pour tenir une conférence de presse. Donc, il est condamné au building juste à côté. [00:33:52] Speaker B: La tribune de la presse. [00:33:53] Speaker F: De la presse. Donc, durant ce point de presse-là, évidemment, il nous a proposé l'idée que, pour la première fois, en fait, de l'histoire du Québec, on pourrait se passer de la SAAC. Mais il y avait aussi le variat des questions. Puis j'ai osé poser une question sur ce qui se passe à Montréal. On sait qu'il y a des prières de rue à la basilique Notre-Dame. Et j'avais envie d'entendre Éric Duhem sur le sujet. J'ai posé une question comme ça. Je pense que ces propos ont été rapportés dans d'autres médias. On l'écoute. [00:34:17] Speaker B: Des prières de rue devant la basilique Notre-Dame à Montréal. Je crois avoir été le premier politicien au Québec à être sorti publiquement pour dénoncer ça sur les réseaux sociaux. Pour nous, c'est inacceptable. Puis on parle pas de religion tant qu'à moi ici. Je connais bien le monde arabo-musulman. J'ai habité dans deux pays arabo-musulmans pendant quelques années dans ma vie. Et ce qu'on voit là, c'est pas de la religion, c'est de la politique. Il faut pas être naïf, là. C'est de la provocation, c'est l'islam politique, c'est une dynamique conquérante. Et il faut avoir une réponse forte par rapport à ça. [00:34:48] Speaker F: Qu'est-ce que t'en penses, mon père? [00:34:49] Speaker B: Il a tout à fait raison. On est un État laïc. On a décidé que la religion sortait de tous nos symboles et de nos décisions étatiques. [00:34:59] Speaker F: En fait, la séparation de l'État et de l'Église, c'est fait. [00:35:02] Speaker B: C'est terminé. On a passé à autre chose. Ceux qui n'ont pas eu le mémo, les prières de rue, non. Il y a une mosquée pour ça. Restez dans votre mosquée. Moi, on va pas vous écoeurer, vous avez droit à votre religion. [00:35:13] Speaker F: Parce qu'il y a deux avis. Isabelle Haché dans la presse disait cette semaine, c'est à côté du métro, c'est du monde pacifique. Oui, oui, ils en veulent. En fait, ils sont épris de la cause palestinienne, mais quand même, il faut résumer la situation. Ce sont des gens qui sont pacifiques. [00:35:24] Speaker B: Isabelle Haché est complètement déploguée. [00:35:27] Speaker F: De l'autre côté, tu as des gens qui disent, comme Éric Duhem, c'est de la provocation, c'est l'islam politique radical. Ils sont pas là juste pour prier, ils sont là aussi pour nous faire chier. [00:35:35] Speaker B: Ah non mais non, moi c'est pas ça. Moi je jugerais pas l'islam radical. Si tu veux aller là, on va se défendre là. Mais, non, non, tu pries dans ta mosquée. C'est comme ça ici. Tu viens ici, on t'accepte comme immigrant, tu t'intègres à nos valeurs. Nos valeurs, c'est que l'État et la religion, on a séparé ça, là. La rue appartient à tout le monde. Y'a pas d'histoire, je mets mon tapis ici, pis là, je fais ma prière, là. Non, non, va prier chez vous. Y'a des lieux pour ça. La mosquée, nous autres, c'est l'Église catholique, c'est quoi? C'est la bonne, t'sais. [00:36:06] Speaker C: L'Église. L'Église, pis les bouddhas, ben oui, pis... T'es baptisé, Nick? Ouais. [00:36:11] Speaker F: T'as l'air de te tendrer une très bonne affaire. [00:36:13] Speaker C: Ça sert à rien que je le sois. Tu comprends? [00:36:15] Speaker F: Mais t'iras pas en enfer? [00:36:16] Speaker C: Ben non. [00:36:17] Speaker B: T'as des valeurs chrétiennes? [00:36:20] Speaker C: Ben j'ai des valeurs chrétiennes. J'ai des valeurs. Oui, quand j'ai fait mon primaire, j'avais l'enseignement religieux pour le secondaire aussi. [00:36:29] Speaker B: Mais j'y crois pas en tout. Toi, les valeurs musulmanes, ça t'enjoint ça? [00:36:35] Speaker C: Non, non, non, ça m'enjoint pas. Moi, j'suis athée. Athée, ça fait tu? [00:36:39] Speaker B: Oui, tu peux être athée, pis c'est bien correct. Mais t'sais, pourquoi on va chercher des immigrants au Maghreb? [00:36:45] Speaker F: Parce qu'ils sont francophones. [00:36:46] Speaker B: Oui, pourquoi on va chercher des musulmans? Pourquoi on va pas chercher des latino-américains qui sont beaucoup plus proches de nos valeurs? [00:36:51] Speaker F: C'est probablement l'Espagnol. [00:36:52] Speaker B: Non, non, mais c'est pas long. L'Espagnol pis le français c'est pas mal proche. [00:36:55] Speaker F: Au clair au caissier. [00:36:56] Speaker B: Fait que là, moi je pense qu'on devrait aussi tout réviser. nos valeurs d'immigration, là. Je veux dire, à un moment donné, là, on le voit, là. Moi, si t'es pour venir ici pis prier dans la rue, là, ça marchera pas, là. [00:37:08] Speaker C: Bien non, pis t'sais, on essaie d'avoir une société laïque aussi, là. [00:37:11] Speaker B: Bien, c'est ça qu'on a dit. [00:37:12] Speaker C: Oui, oui. [00:37:12] Speaker B: Fait que, regarde, essaye de te battre de tous les bords, là. Puis des imams radicaux dans la rue qui prêchent pour l'extermination des juifs. [00:37:19] Speaker F: C'est pas le Québec, ça. [00:37:20] Speaker B: Ça, là, c'est out, là. [00:37:21] Speaker F: En terminant, juste vous dire que c'est XP, Saint-Roch-XP, qui débute ce soir, en fait, avec Jérôme 50, entre autres. En fait, c'est débuté hier soir. C'était Fred Fortin hier soir. Et ce soir, c'est Jérôme 50. Ça coûte 20 $ au Grizzly Fuzz. Mais il y a d'autres spectacles aussi. Jay Scott, ce samedi soir, oui. Vendredi soir, oui. Élie Sapi aussi qui va être là. Donc, un petit festival, là. C'est comme un side project de la gang du Festival d'été de Québec. Si vous avez le goût d'aller faire un tour en ville en fin de semaine, il y a plein de choses. Mais pas Merci Gary. [00:37:46] Speaker C: Oui, dernière heure. [00:37:47] Speaker B: Oui, ça vient juste de tomber par rapport à la CAQ là. [00:37:49] Speaker C: Ben là c'est le bordel, tu le disais tantôt, Pierre Dufour qui lui exigeait qu'un député de la région de Val-d'Or soit au conseil des ministres pis il lançait un ultimatum à Legault. Legault lui a dit... Ben bye mon homme, on t'exclue du conseil des ministres. Sac ton camp. [00:38:05] Speaker B: Ben ça, ça veut dire qu'il démissionne. [00:38:06] Speaker C: C'est sûr qu'il va démissionner. [00:38:07] Speaker B: Il va avoir un autre partiel. [00:38:07] Speaker C: Il va avoir un autre partiel. [00:38:08] Speaker B: Ben ça dépend, il va peut-être siéger comme indépendant. [00:38:10] Speaker F: Ah il peut. [00:38:11] Speaker C: C'est vrai. Et peut-être changer de camp. [00:38:13] Speaker B: Ben là. [00:38:14] Speaker C: Oh, ben lui il disait qu'il voulait briguer la mairie de Val-d'Or. [00:38:17] Speaker B: Ben c'est ça, il s'en va. Deux partiels, deux claques sa gueule. Le PQ va rentrer dans les deux barres au Saguenay. [00:38:24] Speaker C: Exact. [00:38:25] Speaker B: Puis à la B2B. [00:38:26] Speaker F: Là, c'est les dominos, là, ça commence. [00:38:27] Speaker B: Hey, le go, là! Shame on you! [00:38:29] Speaker C: Ah, pis c'est pas fini, là, le conseil. Une marème animée pas faite. [00:38:32] Speaker B: Hé! Bravo! [00:38:34] Speaker F: Ça va bien aller. [00:38:35] Speaker B: Après la pause, qui débarque dans le show? [00:38:38] Speaker E: Qui? [00:38:38] Speaker B: Je sais pas. [00:38:39] Speaker F: C'est elle, là! [00:38:40] Speaker C: Renaud Brossard. [00:38:41] Speaker B: Renaud Brossard. [00:38:44] Speaker A: Téléphone, texto, 418-670-9098. [00:38:49] Speaker B: C'est ça. [00:38:50] Speaker H: Radio X, le retour de Radio X. Ah, les ours noirs! [00:38:56] Speaker B: Ah oui! Deux fois, je suis arrivé une bête avec mes chaudières. [00:38:58] Speaker C: Là, ils te regardent, ils te claquent des dents. Cococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococococ. [00:39:11] Speaker B: Lundi. [00:39:22] Speaker A: Au vendredi, 15h. [00:39:39] Speaker F: Ça s'en vient ? [00:39:40] Speaker C: Réservez votre party des fêtes chez Dooley's avant le 19 octobre pour une soirée entre le 1er et le 16 novembre et profitez du billard à 50% ! [00:39:48] Speaker B: On organise votre party à votre goût ! [00:39:54] Speaker I: Ça n'arrive qu'une fois par année. La super vente de déstockage sous la tente Trivi, directement dans le magasin Trivi de Québec et sous la grande tente installée à l'extérieur du magasin. Notre magasin et la gigantesque tente se transforment en une véritable foire aux aubaines pour trois jours seulement. Aujourd'hui jusqu'à 21h, demain et dimanche. Quantité limitée, premier arrivé, premier servi, piscine creusée, piscine en béton, piscine hors terre, spa et spa de nage. Profitez de rabais exceptionnels et d'installations dès cet automne. Vous préparez déjà l'été prochain ? Réservez votre projet pour 2026 et obtenez dès maintenant le plus bas prix garanti de l'année. Mais ce n'est pas tout. 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Un événement d'humour avec un brin de bon sens et quelques blagues sur notre ville. Procure-toi tes billets gratuits au radioix.com, section événements ou texte SPECTACLE au 88 670 9098. On t'attend ce samedi pour la représentation de 16h au 19h30. [00:41:49] Speaker H: Jusqu'à samedi, c'est la méga-vente sous l'attente chez Kia Laurier Station. On liquide le plus gros inventaire d'occasion et démo en stock. Venez économiser gros, on rachète votre véhicule au meilleur prix, c'est la vente à ne pas manquer. On vous attend maintenant à la méga-vente sous l'attente chez Kia Laurier Station. Salut, moi c'est Martin. J'ai une hernie discale. C'est tellement douloureux que je multiplie les visites à l'urgence, les absences au travail, puis je peux même plus jouer au hockey comme avant. Mettons que je trouve le temps long. [00:42:17] Speaker B: Martin était bien découragé. Mais l'espoir est revenu depuis qu'il a consulté les professionnels du Centre de correction vertébrale. Grâce à la décompression discale, Martin a repris sa vie là où il l'avait laissée. [00:42:28] Speaker H: Croyez-moi, le Centre de correction vertébrale, c'est la clé pour votre santé. [00:42:32] Speaker B: À Sainte-Foy-Lévis-Pont-Rouge et au centre cvq.com. [00:42:36] Speaker H: C'est la grande vente à yoye chez Super C. On est complètement tombés sur la tête. Cette semaine, l'emballage de 30 capsules café vanoute est à 19,88. Puis les céréales K-Dogs, format sélectionné, sont à 3,87. [00:42:48] Speaker B: Ah! [00:42:48] Speaker H: Puis le boeuf à chimie maigre, format écono, est à 4,77. Le lait, il vaut 10,52 le kilo. [00:42:53] Speaker B: C'est pas mal, hein? [00:42:54] Speaker H: On a tellement coupé les prix que c'est rendu des confettis. Mais ce qui est vraiment capoté, c'est que la grande vente ailleurs, ben, ça dure pas juste une journée. Ici, Super Super C. Valide jusqu'au 10 septembre en magasin et en ligne. Pour le match contre le vert et or de Sherbrooke, ce dimanche 7 septembre. Pour 45 $ plus taxe, le forfait comprend ton billet pour le match, une bière de Ralboch, une pointe de pizza de Stratos Pizzeria, un hot dog offert par Rêves Sportifs, un demi-sandwich smoked meat de Bryn Smoked Meat, un morceau de poulet frit d'Ixili, une bouchée sucrée d'Équilibre Traiteur et une dégustation de la tessierie Stadacone. Achetez votre forfait au boutique.radioix.com. Faites vite, quantité limitée. Une collaboration en tirouille Crown. Trouve le centre le plus près au crown.com. [00:43:55] Speaker F: C'est encore jour de grève aujourd'hui et probablement toute la fin de semaine au RTC, le réseau de transport de la capitale, les employés d'entretien voteront cet après-midi pour le prolongement de la grève samedi et dimanche. Ainsi, il se peut qu'aucun autobus ne circule dans les rues de Québec avant lundi, ce qui laisse les 42 000 usagers du transport en commun dans l'embarras. Seule consolation, le service à vélo et flexibus demeure disponible. Les Grands Prix cyclistes de Québec et Montréal prévus vendredi et dimanche prochain inquiètent les autorités québécoises depuis les événements violents des derniers jours à Bilbao, en marge du parcours, dans le cadre de la Vuelta, l'équivalent du Tour de France pour l'Espagne. L'équipe Israël Premier Tech, au centre de la controverse, est dorénavant ciblée par les manifestants pro-palestiniens qui font tout pour saboter la course de vélo en bloquant la route et qui exigent que l'équipe Israël Premier Tech soit bannie par l'UCI. [00:44:47] Speaker C: Use audio Une présentation de Astral Déménagement, une entreprise familiale au service de votre tranquillité. Emballage, déballage, entreposage, tout est pris en charge. Pour un déménagement sans stress, faites confiance à Astral Déménagement. [00:45:02] Speaker B: Plus qu'une entreprise, une famille qui bouge. [00:45:07] Speaker A: ! [00:45:21] Speaker B: Qui est pas parfait. [00:45:22] Speaker H: Dans le mid. [00:45:23] Speaker F: C'est l'homme de la situation, à ce qu'on m'a dit. [00:45:25] Speaker A: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [00:45:28] Speaker B: Radio X. Aïe, aïe, aïe. La caque est en train d'imploser. [00:45:37] Speaker C: L'implosion. [00:45:38] Speaker B: Écoute, là c'est député de l'Abitibi, Pierre Dufour, qui vient d'être exclu du caucus de la CAQ. Le gars dit, c'est pas le temps de contester le choix du chef. [00:45:52] Speaker C: Fait que là, lui, il va s'en aller. [00:45:54] Speaker B: Non, mais lui, il veut aller à la mairie de... c'est Rouen, la mairie. [00:45:58] Speaker C: De... Ben lui, ce qu'il avait dit, là, dans le fond, C'est pas normal que dans le Conseil des ministres, il n'y ait pas de député de la région, de l'Habitibio de Val-d'Or qui ne soit pas dans le remaniement nommé. comme ministre. [00:46:13] Speaker B: Il dit c'est pas moi, il y en a d'autres. [00:46:14] Speaker C: Il dit ben si le premier ministre nomme pas un député de la région dans le conseil des ministres, moi je m'en vais à la mairie de Val-d'Or. [00:46:22] Speaker B: C'est qui qui s'occupe de la bitibi dans le conseil des ministres? Je pense que c'est même pas quelqu'un. Ça se peut-tu que c'est Jonathan Juliet? [00:46:28] Speaker C: Non, elle n'est pas représentée au tour de la table des décisions depuis 2022. [00:46:32] Speaker B: Oui oui c'est ça. Mais c'est qui? Je pense qu'il y a quelqu'un qui parle pour eux autres, c'est même pas quelqu'un de la place. C'est quelqu'un de Montréal qui fait un run, puis qui s'en va là, puis qui revient, puis qui fait un run. [00:46:43] Speaker C: Lui, il a fait planer la menace. Il a dit là, si tu nommes pas un député de la région... Ben oui. ... dans le Conseil des ministres, moi, je suis chaque montquin. [00:46:50] Speaker B: Ben voyons. [00:46:51] Speaker C: Mais là, on vient de l'exclure, lui. [00:46:52] Speaker B: Ah non, lui, il s'en va. Lui, il dit qu'il veut briguer la mairie. [00:46:54] Speaker C: Du Conseil des ministres. [00:46:55] Speaker B: Oui, mais il veut briguer la mairie de Val-d'Or. [00:46:57] Speaker C: Ben voilà. [00:46:58] Speaker B: Ben, c'est encore là, voyons. Hé, ça commence bien. [00:47:00] Speaker C: On l'exclut du caucus, fait que... [00:47:01] Speaker B: Voilà. Notre invité, il est là. Renaud Brossard, de l'Institut économique de Montréal. Comment vas-tu, Renaud? [00:47:08] Speaker E: Ça va super bien, vous autres? [00:47:09] Speaker B: Oui, ça va bien. Renaud, tu veux nous parler? Parce qu'à 11 h ou dans les prochaines minutes, Mark Carney va annoncer qu'on recule, notamment sur l'imposition de quotas de vente de voitures électriques au Canada. [00:47:21] Speaker E: Absolument. C'est une super bonne nouvelle. Puis bon, il va falloir voir c'est quoi l'annonce quand va être faite. [00:47:26] Speaker C: Oui. [00:47:27] Speaker E: Mais ce que CTV News nous apprenait donc hier, c'est que le premier ministre a une grosse annonce qu'il va faire sur des mesures en environnement. Il y a plusieurs idées qui ont été énoncées de ce que ça pourrait être. Ce qui a l'air d'être très clair, c'est que le mandat qui impose la vente de véhicules électriques uniquement à partir de 2035, donc on a un mandat au provincial, on a un mandat au fédéral également, celui du fédéral risque d'être mis sur pause et d'être revu. C'est vraiment une bonne nouvelle pour les consommateurs. Pour ceux qui ne connaissent pas toute la mécanique qui est en arrière de ça, parce que, bon, on dit, écoutez, il n'y a plus aucun véhicule neuf à essence, venteur 2045. [00:48:08] Speaker B: Les 35, ça a l'air loin, mais c'est ça. Renaud, il y avait des quotas, là. À partir de 2026, il fallait imposer quoi? C'était 20 % de vente de voitures sans émission, là. [00:48:18] Speaker E: Mais c'est exactement ça. Puis on parle... Quand on parle de 2026, ici, on ne parle pas de l'année 2026, on parle de l'année de modèle 2026. Quand vous regardez pour vous acheter une auto, Écoutez, la Honda Civic 2026, elle rentre dans ces quotas-là. Je pense que le gouvernement fédéral a regardé, a vu les statistiques et est venu exactement à la même conclusion que tous les autres Canadiens. C'est qu'on n'aura pas ce 20 % de vente et que cette idée de commencer à imposer des sanctions qui valent 20 000 $ par véhicule aux entreprises du secteur automobile, ça ne serait pas une très, très bonne façon de maintenir ces entreprises en activité. mais aussi deux, de s'assurer que les produits restent abordables pour les Canadiens. Si on regarde les dernières données de vente, donc au Canada, le mois de juin, 7,9 % des véhicules vendus ont été des véhicules électriques ou des véhicules hybrides rechargeables. Donc, on est très, très, très loin. C'est 20 % que ça a atteint. Essentiellement, il aurait fallu à peu près avoir deux fois et demi plus de ventes de véhicules électriques dans les nouveaux modèles à partir de maintenant pour réussir à atteindre cet objectif-là, je pense que c'est une bonne chose que le gouvernement fédéral réalise que ça ne va pas arriver. C'est une bonne chose qui mette cause sur ce mandat-là. Mais la prochaine étape logique, c'est de réaliser que cette idée d'interdire la vente de véhicules à essence en 2035, comme les Canadiens le disent, ce n'est pas réaliste. Ce mandat-là devrait tomber. Il ne devrait pas juste être revu, il devrait tomber. [00:49:52] Speaker B: Mais pas juste les Canadiens. J'en regarde l'industrie. Il y a eu une rencontre en mois de mai entre Mark Carney et les grands, grands patrons de l'industrie automobile. Et le message a été assez clair. C'est parce que nous autres, si tu veux nous imposer des quotas comme ça, nous autres, on va sacrer notre camp du Canada. [00:50:06] Speaker E: Effectivement. Et même au niveau des consommateurs canadiens, quand on pose la question aux gens, Pourquoi est-ce qu'ils... Est-ce qu'ils considèrent s'acheter un véhicule électrique ou non? On voit qu'il y a beaucoup de gens qui considèrent s'acheter un véhicule électrique, mais on est loin de 100 %, on est loin même de 50 % des gens. Et les gens nous disent que c'est des préoccupations qui sont parfaitement raisonnables. Ils ont des craintes au niveau des infrastructures de recharge. Est-ce qu'ils vont pouvoir trouver une bonne quand ils en ont besoin? Est-ce qu'ils vont être pris à avoir leur auto à plat en plein milieu de l'autoroute? Ensuite, est-ce que... est-ce que le prix d'acquisition est raisonnable? Parce qu'on le sait, quand on regarde le prix d'un véhicule électrique, bien, pour une berline, on paye autour de 6-7 000 $ de plus. Pour un VUS, c'est plus autour de 11 000 $ de plus. En moyenne, pour l'achat d'un véhicule électrique versus un véhicule conventionnel, bien, c'est quelque chose qui fait mal. C'est pas tout le monde qui a nécessairement l'argent pour dépenser tout cet argent additionnel d'un coup. Donc les gens ont des craintes à ce niveau-là. Puis ensuite, il y a toute la question aussi de la disponibilité de l'électricité. On a publié quelque chose là-dessus au mois de janvier... au mois de février, excusez-moi. On s'était penché donc sur la question pour voir est-ce qu'on a de l'énergie nécessaire au Canada pour faire ce virage, justement, vers l'Arctique. Et ce qu'on voit, c'est que non, on n'a pas de l'énergie nécessaire. Donc premièrement, en termes de production, de puissance de production, on ne l'a pas. Il va falloir qu'on bâtisse beaucoup de nouvelles centrales. On ne l'a pas non plus au niveau du réseau de distribution. C'est tout ce qui est les films électriques qui se rendent jusqu'à chez vous, les films électriques aussi qui passent des centrales jusque dans les grandes villes. Essentiellement, on parle d'un investissement nécessaire de plus de 200 milliards de dollars pour essayer de... d'avoir l'énergie nécessaire, des infrastructures nécessaires pour... [00:51:59] Speaker B: C'est bien trop vite, là. [00:52:00] Speaker E: C'est ça. Et essentiellement, on va dépenser 294 milliards $ avec les essais que ça risque d'avoir sur les prix de l'électricité des consommateurs. Et ça, en l'espace de 10 ans, je pense que c'est clair que c'est pas réaliste. [00:52:14] Speaker B: Oui, puis les Québécois vont le voir. Hydro-Québec a annoncé des investissements de quoi? 200 milliards à peu près, là? 150-200 milliards. Mais la facture d'électricité va exploser dans les prochaines années. [00:52:24] Speaker E: C'est quelque chose qu'on risque de voir. Hydro-Québec elle-même le disait, chaque nouvel approvisionnement qu'elle met en ligne lui coûte plus cher que ses anciens. C'est un peu normal aussi. On a bâti les grands barrages des années 70. On a choisi les sites qui étaient les plus rentables. Mais tous les sites les plus rentables sont déjà exploités. Même chose au niveau des éoliennes. On a choisi les sites les plus rentables, mais ces sites-là sont déjà exploités. qu'il faut pas plus de courant. Je pense qu'il faut plus d'énergie, mais il faut au moins être sûr qu'on a cette conversation à mettre. Et peut-être que dans ce contexte aussi de pénurie d'électricité ou de... de frein des sorties d'électricité qui sont au Québec, peut-être que c'est pas le temps non plus de dire qu'on va prendre tout le pack automobile du Québec et essayer de le brancher dans les... et essayer de le brancher demain matin. [00:53:15] Speaker B: Non, non, non. Écoute, c'est complètement débile. À un moment donné, ils nous disaient... Ils, au Québec, nous disaient, on va prendre l'électricité emmagasinée des batteries des voitures électriques, on va la remettre sur le réseau, puis à 4 h du matin, on va la remplir. Moi, je vais accepter de me faire vider ma batterie comme ça, sachant qu'est-ce qui se passe quand tu vites puis tu remplis une batterie de char électrique. [00:53:35] Speaker E: Oh, bien, plus loin que ça, je veux te dire, c'est aussi toute cette idée que... Sans nécessairement qu'on soit d'accord ou qu'on soit au courant, pour être puisé dans cette énergie dont on a besoin. Je veux pas être plate, mais quand tu pars ton auto le matin, t'as pas le goût de voir essentiellement que ta batterie est à moitié à plat parce qu'Hydro-Québec en a eu besoin. La nuit a été un peu trop occupée, là. Donc c'est vraiment... Ce sont genre de projets qui ont pas de sens. Ça veut pas dire que l'auto électrique a pas de potentiel. Ça a du potentiel, mais il faut que l'adoption se fasse au rythme des consommateurs. Il faut que ce soit traité par l'innovation, pour que ce soit traité par le désir des consommateurs. Il faut surtout pas que ce soit dicté par la loi. [00:54:16] Speaker C: Puis on a également de la difficulté à entretenir notre réseau routier. Les véhicules électriques sont plus pesants. On n'est pas au bout de nos peines. [00:54:24] Speaker E: Effectivement. Et je pense que... Autant à Québec qu'à Ottawa, c'est-à-dire avoir un mandat interdisant la vente de véhicules à essence, c'est ce genre de choses qui ont été consacrées en disant que ça va être le fun, on va pouvoir avoir un beau communiqué de presse bien positif. mais où il y a vraiment eu un manque d'analyse au niveau de ce que ça nécessitait. Je vous parlais de la question des infrastructures électriques, donc c'est 214 milliards de plus qu'il faudrait dépenser depuis 2035. L'autre aspect dont il faut parler aussi, c'est toutes les infrastructures de recharge. Parce que bon, quand on prend une voiture à étage, une voiture conventionnelle, bien, on a besoin d'avoir de l'énergie. Qu'est-ce qu'on fait? On s'en va à la station-service, puis on... on met du gaz, puis après ça, on peut partir. Bien, avec l'électricité, il faut avoir un équivalent, on a des bornes. Bien, pour avoir le nombre de bornes publiques, donc le nombre de bornes qui sont disponibles et accessibles à tous, nécessaires pour avoir un parc automobile 100 % électrique, il faudrait qu'on en ait à peu près 680 000 au pays d'ici 2040. [00:55:25] Speaker B: Combien? [00:55:26] Speaker E: 680 000. [00:55:27] Speaker B: 680 000 bornes. [00:55:29] Speaker E: Pour atteindre ça, il faudrait qu'on en mette 40 000 de plus à chaque année en ligne. Vous pensez qu'on en a mis combien en ligne l'an passé? [00:55:39] Speaker B: 25 000. [00:55:43] Speaker E: À peu près 6 700. [00:55:45] Speaker B: Bon, c'est ça. Tu vois, c'est encore des chiffres irréalistes du monde qui pompe des communiqués irréalistes avec des politiciens qui veulent juste avoir des votes puis bien paraître. [00:55:58] Speaker E: C'est une bonne nouvelle, aujourd'hui, que le premier ministre soit en ligne pour mettre ce mandat-là sur poste. C'est une bonne nouvelle. Il y a eu une révision à Québec où, maintenant, on considère les véhicules zéro émission, les hybrides non rechargeables. Donc, il essaie de détendre la définition. mais je pense que c'est le temps de les écouter. Ce mandat-là, cette interdiction-là, n'a jamais été réaliste. C'est pas en essayant de modifier les définitions à la marge, de faire des petites réformes par-ci, par-là, changer un petit peu les deadlines, qu'on va réussir à avoir quelque chose de bien. Il faudrait vraiment autant à Québec qu'à Ottawa, ôter ces mandats-là, puis encore une fois, faire confiance aux consommateurs canadiens. Parce que quand on achète une auto, on l'achète en connaissance de cause, en disant, Voici combien ça va nous coûter à l'achat. Voici combien ça va nous coûter en entretien. Voici combien ça va nous coûter en case. Puis on regarde c'est quoi qui répond le mieux à nos besoins. Mais il y a des gens là-dedans qui font le choix d'aller vers l'électrique parce que ça répond mieux à leurs besoins. Il y en a d'autres qui font le choix d'aller vers une auto conventionnelle parce que ça répond bien à leurs besoins. Il faudrait que les policiers commencent à respecter ça. [00:57:02] Speaker B: Ouais, mais tu sais, c'est la logique aussi. Tu peux pas devancer. On a essayé de rentrer de la pâte à dents dans un tube, là, tu sais. Et on le voit, là. Regarde, Northvolt, là. Ça en était un, ça, une espèce de fleuron, là. C'est une start-up suédoise. Nemascolitia, même affaire, on est rendu à un milliard d'investissements là-dedans. Puis ça, c'est à risque, là. Donc, les gouvernements qui ont planté des milliards dans filières batteries, là, on est en train de voir que tout ça est en train de prendre l'eau. [00:57:29] Speaker E: Ça, je pense que, écoutez, les gouvernements nous disent, bon, écoutez, c'était un bon investissement à l'époque. Ça n'a jamais été un bon investissement. Il faut voir que le gouvernement, quand il investit, il le fait pas sur les mêmes critères que toi et moi, que tout le monde qui écoute. Je veux dire, quand je place mon argent, quand vous placez votre argent, vous le faites parce que, bien, vous savez que, oui, vous pouvez avoir un retour potentiellement, mais si jamais vous le placez en quelque chose de trop risqué, c'est vous autres qui assumez la perte. Le problème avec le gouvernement, c'est que quand lui place notre argent, C'est pas le fonctionnaire qui décide d'envoyer un couple de millions à telle ou telle compagnie qui perd de l'argent. C'est pas le ministre non plus qui perd de l'argent. C'est nous tous, les Québécois, qui perds de l'argent. Et malheureusement, ça déresponsabilise les fonctionnaires, ça déresponsabilise les ministres par rapport à ça. Ce qui fait que généralement, on a des décisions qui sont prises pas en fonction du rendement financier de quelque chose, Mais plutôt du fait que, bon, ça va permettre de bien paraître, d'en faire des belles photos. Il y aura des rubans qui vont pouvoir être coupés, qui vont pouvoir dire qu'ils développent le Québec. Finalement, quelques années après, quand on se rend compte que c'est un flop, c'est quelqu'un d'autre qui est pris avec. C'est quelqu'un d'autre qui est pris avec la patate chaude dans les mains. [00:58:41] Speaker B: Oui, puis on le levait avec sa clique, la commission Galant. Je ne sais pas si tu le sais, Renaud, mais les dépassements de coûts, ça n'avait l'air à ne pas intéresser personne. Aucun, ils ne se souvenaient plus de rien des amnésiques. Puis après ça, ils viennent nous donner des leçons sur les chars électriques. Ça va être correct. [00:58:56] Speaker E: Exactement. Et d'ailleurs, il faut mentionner aussi que c'est l'autre chose qui manque toujours dans toute la conversation sur les subventions. [00:59:04] Speaker J: L'Économie de l'Ontario. [00:59:04] Speaker E: C'est une bonne nouvelle pour Les ministres vont toujours nous présenter le côté positif. On investit tant. Ensuite, ça va créer tant de milliers d'emplois. de ces dépenses du gouvernement en subventions, c'est pas mal zéro ou c'est nul, mais quand on considère aussi que cet argent-là aurait pu, s'il était laissé dans les poches incontribuables, créer d'autres emplois aussi, créer de nouvelles entreprises, c'est là qu'on voit que les subventions, c'est quelque chose qui a un rendement qui est négatif. Il faudrait vraiment que les policiers arrêtent de voir cette idée que la raison pour laquelle les subventions ne fonctionnent pas, c'est que c'est pas la bonne personne qui est en charge et qui réalise que la raison pour laquelle les subventions ne fonctionnent pas. et que le gouvernement n'est pas bon pour le faire. [00:59:55] Speaker B: Non, ça, c'est une très bonne fin d'entrevue. Renaud Brossard de l'IEDM, merci beaucoup de tes lumières. Puis on se reparle prochainement. Salut. [01:00:04] Speaker E: Absolument. [01:00:05] Speaker J: Toujours un plaisir. [01:00:06] Speaker B: Bye-bye. [01:00:06] Speaker E: À bientôt. [01:00:07] Speaker B: Voilà. C'est ça, hein? Nos gouvernements qui me pompent du fric. [01:00:11] Speaker C: Pas très bon. [01:00:12] Speaker B: Là, on s'en va en élection d'ici un an, là. Là, dans le fond... [01:00:15] Speaker C: Il y aura plusieurs partiels, je pense, d'ici là. [01:00:17] Speaker B: Hein? Ça va nous coûter cher, ça, une partielle? C'est rendu quoi? 700 000? [01:00:20] Speaker C: À peu près. [01:00:21] Speaker B: C'était 600 000 une couple d'années. D'après moi, c'est 600-800 000. À peu près, là. [01:00:26] Speaker C: Grosso modo, oui. [01:00:27] Speaker B: On ouvre les lignes après la pause. [01:00:30] Speaker C: Ben oui, présentement, à Québec, il n'y a pas d'autobus, Pierre. [01:00:33] Speaker B: Non? Je ne comprends pas. [01:00:34] Speaker C: C'est la grève. [01:00:35] Speaker B: Ah ouais? [01:00:36] Speaker C: C'est la grève. Non, non, c'est pas les chauffeurs. C'est le personnel d'entretien. [01:00:41] Speaker B: Ils sont combien, les autres? Ils sont combien? [01:00:43] Speaker C: Quelques centaines. [01:00:44] Speaker B: Quelques centaines ou une centaine? [01:00:46] Speaker C: Je ne sais pas le nombre exact. [01:00:47] Speaker B: Mais eux, pour aller sur tout le réseau. [01:00:49] Speaker C: Oui, mais eux autres, ils ne sont pas de bonne humeur. Les négociations n'avancent pas. Puis les moyens de pression des syndicats, vous les connaissez, c'est vous prendre en otage. [01:00:56] Speaker B: À la rentrée scolaire, après ça c'est pendant le festival d'été, quand c'est achalandé, quand on a besoin d'eux, mais la question? [01:01:05] Speaker C: Est-ce que c'est normal d'un, qu'une centaine d'employés mécontents puissent paralyser toute une ville, en se posant cette question-là, on se dit est-ce que... Les services publics comme le transport en commun ne devraient pas être considérés comme essentiels. [01:01:20] Speaker B: Oui, je pense que c'est ça la clé. Ils devraient assumer au moins un minimum parce qu'il y a du monde qui n'a pas d'auto, des gens qui font 25 000 $ par année, 30 000 $ par année. et qui ont besoin d'un transport en commun pour se déplacer. [01:01:33] Speaker C: Absolument. Donc, est-ce qu'un service comme le RTC devrait être, finalement, sélectionné et dire « Ça, c'est un service essentiel, on n'a pas le choix de l'offrir ». [01:01:41] Speaker B: Oui, et je ne comprends pas que le ministre ne mette pas ses culottes non plus. [01:01:44] Speaker C: 88609098. [01:01:47] Speaker B: Oui, on revient après la pause. [01:01:48] Speaker H: Couture dans le mid. Radio X, la trame sonore de ta fin de semaine. [01:01:56] Speaker B: C'est Légendes du rock. Avec Pee-wee. Pee-wee. [01:02:04] Speaker J: Pee-wee, on Radiohead. Let's go. [01:02:09] Speaker D: Les Hordes du rock. [01:02:11] Speaker A: Samedi et dimanche, 9h. [01:02:14] Speaker H: Radio. [01:02:16] Speaker B: Présenté par Multiconfort FP. Les subventions n'ont jamais été aussi élevées. C'est le temps de vous procurer votre nouvelle thermopompe Lenox. Confort en hiver, fraîcheur en été et des économies toute l'année. Multiconfort FP à Québec et Victoriaville. [01:02:34] Speaker A: Ce soir à 19h30, Soirée Quiz. Une émission spéciale avec vos personnalités préférées de Télé-Québec. À 20h, Curieux Bégin. [01:02:42] Speaker B: Et à 21h, Les Temps Fous avec. [01:02:47] Speaker A: Guy Jaudoin, Marie-Échelle et Lévi-Doré. Ce soir dès 19h30, Télé-Québec va au-delà des générations. [01:02:57] Speaker H: Monster Spectacular débarque en Beauce. Le spectacle familial par excellence sera à l'Autodrome Chaudière à Vallée-Jonction le samedi 13 septembre en après-midi. Six Monster Trucks incluant la légende Jim Culler et Avengers. Aussi, Freestyle Motocross avec le Mill-O-Land et courses de VTT. Pieds en vente sur lepointdevente.com. Monster Spectacular Vallée-Jonction le 13 septembre prochain. [01:03:29] Speaker A: La différence entre « j'ai vendu ma maison » et « j'ai vendu ma maison », c'est des milliers de dollars de plus grâce à l'expertise de l'équipe Gagnon Courtier Immobilier. Profitez de leur service de homestaging sans frais supplémentaires et vendez votre propriété 8, 10, voire 12 % de plus. Pour un effet époustouflant, Confiez votre maison à Rémi Gagnon et son équipe. 418-841-4141. Gagny à être bien entouré avec équipegagnon.ca. 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[01:05:42] Speaker B: Oui, aussi. Mais t'sais, si vous êtes touché par ça, comment... c'est quoi l'alternative? Moi, je pense qu'on y va aussi. On y va. [01:05:49] Speaker C: Oui, allô, Radio X. Oui, bonjour. [01:05:52] Speaker B: On vous écoute, on vous écoute. [01:05:53] Speaker J: Ah oui? [01:06:00] Speaker E: Ah oui. [01:06:01] Speaker J: Moi, j'étais chauffeur, là, pendant 27 ans. Puis chaque fois qu'on faisait une grève. [01:06:07] Speaker E: Il y avait le service obligatoire de 6h à 9h, puis 3h à 6h. Je ne sais pas quel est le. [01:06:14] Speaker J: Vaisseau, mais les syndicats du RTC sont capables de vivre avec ces services essentiels-là. Je ne comprends pas comment ça se. [01:06:24] Speaker E: Fait qu'il n'y a pas de services essentiels. [01:06:27] Speaker J: Il y en a à Montréal. C'est pourquoi qu'il n'y en a pas. [01:06:30] Speaker E: À Québec, qu'il y a quelqu'un qui parle du Québec. [01:06:31] Speaker B: Puis là, la STM parle encore d'une grève généralisée des transports, mais ils vont être obligés d'offrir un service essentiel aux Montréalais. Pourquoi les gens de Québec n'ont pas droit à ça? [01:06:40] Speaker J: Il faut demander au... T'as gagné de. [01:06:44] Speaker E: Crêpes, pas qu'ils se retrouvent au pouvoir. Je sais pas qui c'est qui... Ouais. [01:06:47] Speaker C: Merci beaucoup. [01:06:48] Speaker B: Merci. [01:06:49] Speaker J: Bonne journée. [01:06:49] Speaker B: Bonne journée. [01:06:49] Speaker J: Bye-bye. [01:06:50] Speaker B: Voilà. [01:06:51] Speaker C: Pourquoi Québec est exclu de ça, c'est. [01:06:54] Speaker B: Une bonne question aussi. C'est parce que là, de plus en plus de gens dépendent du transport en commun aussi. [01:06:57] Speaker C: Absolument. Allô, Radio-X? [01:07:00] Speaker J: Oui, salut. [01:07:01] Speaker C: Allô! [01:07:01] Speaker B: On vous écoute. [01:07:02] Speaker J: Oui, ça devrait être un service essentiel, ça, c'est sûr. [01:07:06] Speaker E: Puis arrête pas de chialer que le. [01:07:07] Speaker J: Monde prenne leur voiture, fait que... raison de plus. [01:07:10] Speaker C: Oui. [01:07:11] Speaker B: Mais c'est parce que là, c'est... c'est parce que nous autres, on veut un service de transport. Si tu veux que je prenne l'autobus, bien, rends ça fiable. [01:07:18] Speaker C: Rassure-moi, service. Oui, exactement. [01:07:19] Speaker J: Puis deuxièmement, vous parliez tantôt, tu sais, des vols, les polices font plus rien. [01:07:23] Speaker E: À moitié, puis tout, là. [01:07:25] Speaker J: Ils savent pas qu'ils sont en train de déclencher, hein, parce que moi, je sais bien que le lendemain matin, là... T'sais, j'suis pas un gars viennant pantoute, là. Y'a le gars qui vient me voler chez nous, là. C'est pas la police que je vais appeler, là. [01:07:35] Speaker E: C'est eux, ça reprend, là. [01:07:36] Speaker J: Ça va être l'ambulance, là. [01:07:38] Speaker B: Non, mais c'est ça, là. [01:07:38] Speaker C: Faut pas se rendre là, c'est ça, là. [01:07:40] Speaker J: Non, je sais, je sais, faut pas se rendre là. [01:07:42] Speaker E: C'est ça que je te dis. [01:07:42] Speaker J: On dirait qu'ils s'en mangent pour qu'on se rende là. [01:07:45] Speaker B: C'est parce que là, moi, si tu me dis que la police vient plus, que quelqu'un vole, là, je veux dire, moi... Non, mais tu comprends, le message que t'envoies, c'est « Défendez-vous par vous-mêmes », c'est ça? [01:07:53] Speaker J: Exactement. C'est exactement ça qu'ils sont en train d'envoyer, là. Puis là, après ça, ils vont se plaindre qu'ils ont des cas de violence, puis tout. [01:08:00] Speaker E: Ils ont couru après, là. [01:08:02] Speaker B: Non, non, on crée de la haine entre les citoyens, là. [01:08:05] Speaker J: T'sais, moi, j'ai vécu ça. Il y a un gars que je connais, il s'est arrivé il y a quelques années, il se faisait voler, puis. [01:08:09] Speaker E: La police faisait rien. [01:08:11] Speaker J: Un gars, il a volé, puis il l'a pogné. Il a tiré dessus. [01:08:15] Speaker B: Il a donné le volet. [01:08:16] Speaker J: Ah non, il a tiré la carabine dessus, là. Il l'a blessé, là. [01:08:19] Speaker C: Ouais, là... [01:08:20] Speaker J: Il a eu du comme défait, là. Je savais pas c'était qui, mais il me défendait. [01:08:23] Speaker E: Pis ça a passé, là. [01:08:24] Speaker C: OK. [01:08:25] Speaker B: Hé, c'est bon. [01:08:26] Speaker C: Ben là, faut pas qu'on se rende là. Hé, merci beaucoup. [01:08:28] Speaker B: Merci. [01:08:28] Speaker C: Salut, bye. [01:08:29] Speaker J: OK, salut. [01:08:29] Speaker B: Bye. Alors, c'est sûr, là, on... [01:08:31] Speaker C: On peut pas se rendre à... Comment ça, se tirer entre nous autres? [01:08:34] Speaker B: Moi, je sais bien, mais t'sais, c'est parce que là, moi, si la police. [01:08:35] Speaker C: Vient pas, là... Non, je comprends que tu veux protéger tes affaires. À quel prix, à un moment donné, là? [01:08:41] Speaker B: Ça part avec des chars. Ça parle des vols de vélos, puis après ça, ça parle de chars, puis après ça, c'est des vols de scie, des vols de scie, des chars. À un moment donné, la police n'aime même plus non plus, là. Là, le fléau a été un peu contrôlé, les autos, là. [01:08:55] Speaker C: Allô, Radio X? [01:08:57] Speaker E: Salut, ça va? [01:08:58] Speaker B: Oui, on vous écoute. [01:08:59] Speaker J: Tu vois, moi, ce que j'aime pas, là, nous autres... Moi, je travaille pour une compagnie, UPS, OK, à Québec. Puis nous, on vient d'accepter une offre, puis on l'a payée. parce que là, on avait un mandat de grève. On est tombé en grève probablement comme Postes Canada ou on a vu quelques autres qui ont fait. Sauf que nous autres, c'est du privé. Ça fait qu'on peut bien négocier les contrats qu'on veut, OK? On a signé 4 ans, 5 ans à une moyenne de 17,5 %. Puis j'ai... Nous, on n'avait pas eu, pendant la 2020, nous, on travaillait comme des déchaînés, comme les autres aussi, pendant la pandémie, parce que là, c'était tout le monde à commander des gants et une bière sur le rameau, puis il voulait se. [01:09:41] Speaker E: Livrer un camion parce que tu peux. [01:09:42] Speaker J: Pas aller t'acheter par appel. [01:09:44] Speaker C: Oui, oui, oui. [01:09:45] Speaker J: Bon, mais nous autres, on avait signé notre contrat avant. Ça fait qu'on a près 5 ans, ça fait que t'sais, il y en a qui sont doublement... Oui, oui, non. [01:09:53] Speaker B: Non, c'est parce que... [01:09:54] Speaker J: Doublement en 2021, ceux qui ont signé une entente collective, parce que si elles autres ont du 22-23 % sur le kit à côté, à côté, puis là, ils veulent encore la même affaire quatre ans après. Parce qu'elles autres, elles ont des termes de quatre ans, nous autres, c'est cinq ans. [01:10:08] Speaker B: Voilà, c'est double dip, là. Ils veulent tout l'argent, le beurre, l'argent du beurre. [01:10:11] Speaker J: Nous autres, on est privés, puis on a accepté quand même 17 %, puis ça a passé à 68... à 71 %. Ça, je te parle pour le Canada au complet. Ça s'est fait la semaine passée. Fait que des fois, quand je vois que dans le public, c'est comme si c'était un bar ouvert. [01:10:28] Speaker E: Il y a du cash, il y a du cash, il y a du cash. [01:10:31] Speaker J: Ça se gauche 21, 23, 26 %. [01:10:33] Speaker E: On peut pas se détonner que ça coûte cher. [01:10:35] Speaker B: Mais là-dessus, le maire Bruno Marchand tient son bout sur le RTC. Je sais pas comment ça va finir. On dit qu'on a une entente de règlement qui a été déposée. [01:10:42] Speaker J: Il tient son bout parce qu'il y. [01:10:42] Speaker E: A pas le cash. [01:10:43] Speaker J: C'est ça l'affaire. [01:10:44] Speaker B: Mais c'est pas son cash. C'est notre cash, en passant. [01:10:47] Speaker J: Non, je comprends, mais il l'a pas plus. [01:10:48] Speaker B: Il a des budgets. [01:10:49] Speaker J: Il peut pas faire des déficits. Mais en comparaison, ils sont pas supposés. Mais la loi dit que non. À moins que je me trompe, là. [01:10:57] Speaker B: Mais tu peux surtaxer tes citoyens aussi, là. [01:11:00] Speaker J: Tout ce que je dis, c'est que moi, je suis dans le monde syndicaliste, puis j'aime le syndicalisme aussi pour X raisons. Dans le privé, mon public, c'est toujours un bar ouvert. 28, 25. [01:11:11] Speaker B: Mais toi, serais-tu pour une loi service essentiel? [01:11:16] Speaker J: Pour ça? [01:11:17] Speaker B: Que le RTC devienne un service essentiel? [01:11:19] Speaker J: Nous autres, on l'a été pendant l'instantiel. La COVID, on livrait des vaccins. Mais en tout cas, on en reparlera. Mais oui, on devrait le faire parce. [01:11:32] Speaker E: Qu'Il y a du monde qui ne. [01:11:33] Speaker J: Peut pas se déplacer pour aller travailler. [01:11:34] Speaker B: Du monde qui gagne 25 000 $ et qui finance des salaires de 100 000 $. [01:11:40] Speaker J: Puis ils veulent du 21, puis ils y sont, puis ça, en tout cas. Moi, des fois, c'est... [01:11:45] Speaker B: Le fonds de pension garantie aussi, là, t'sais, t'oublies pas ça, là, au RTC, ils ont des fonds de pension garantie, là. C'est parce qu'il faut que ça arrête. [01:11:52] Speaker J: Il faut que ça arrête, c'est-à-dire 21, 22, 23, c'est quoi, après? Ah, c'est beau, t'sais, de un moment donné, c'est parce qu'il y a une capacité de payer. On fait même pas ça au privé. Puis on s'entend-tu que l'UPS ou le pyrométhane, whatever, c'est des multinationales, là, bien plus gros qu'un fucking RTC, là. Puis nous, on fait des compétitions, puis on comprend pareil. Mais nous autres, non, non, non, il faut encore qu'on y va en attache, en attache, puis... [01:12:16] Speaker B: Il y a des syndicats, là. [01:12:17] Speaker C: Merci beaucoup. [01:12:18] Speaker B: Salut! [01:12:18] Speaker C: Salut, bye! On poursuit. Allons au choix. [01:12:22] Speaker J: Oui, c'est moi? [01:12:23] Speaker B: Oui! [01:12:24] Speaker E: OK, moi, ça me touche pas vraiment. [01:12:27] Speaker J: Mais c'est le personnel d'entretien qui est en grève. Après moi, quand mon mécano, il est. [01:12:32] Speaker E: En vacances, j'arrête pas de rouler un char. [01:12:35] Speaker B: Non, mais c'est parce que la décision vient du RTC en passant, parce qu'il pourrait rouler aujourd'hui. Les chauffeurs auraient pu faire... Ils n'ont pas voulu, ils ne veulent pas que les chauffeurs fassent l'inspection. En fait, elle est obligatoire, mais le chauffeur peut faire l'inspection de son véhicule avant de partir le matin et il part avec. [01:12:51] Speaker J: Oui, oui. [01:12:53] Speaker E: C'est juste pour faire chier le monde. [01:12:55] Speaker B: De part et d'autre, je pense. [01:12:58] Speaker C: Merci beaucoup. [01:12:58] Speaker E: Je vous laisse là-dessus. [01:12:59] Speaker C: Salut, bye. [01:13:00] Speaker B: Mais ça se peut aussi que la direction du RTC veuille faire ça justement pour que ça déclenche un mouvement où ça deviendrait service essentiel. [01:13:06] Speaker C: Peut-être. En effet. On a le temps pour un dernier. [01:13:09] Speaker B: Oui. [01:13:10] Speaker C: Allô, Chouin. [01:13:11] Speaker J: Salut, la gang, ça va? [01:13:12] Speaker B: Salut, on s'écoute. [01:13:13] Speaker J: Yes, moi, je travaille à la Ville de Québec. [01:13:15] Speaker B: Oui. [01:13:15] Speaker J: Et je fais du démantèlement de camps d'itinérants. OK? Vous parliez de vélos tantôt qui se faisaient voler, là. [01:13:21] Speaker B: Oui, oui. [01:13:21] Speaker J: Moi, vous en parlez du fléau. Moi, je suis bien placé pour en parler. 7 jours sur 7, on en saisit... Ça, c'est ce qu'on pogne. On en saisit en moyenne par jour, c'est 6 à 7. Et pour vous donner un exemple encore plus concret, la semaine dernière, j'en ai vu un live péter un Canada sur la 3e avenue sur un vélo électrique qui valait au moins 5-6 000 $. J'ai dit au gars pendant qu'il volait, « Hey, t'es prêt à voler? » Évidemment, il m'a envoyé chier, puis il est parti avec le vélo. Je l'ai croyé, moi, je l'ai pas impressionné, avec ma gueule de la ville de l'école bleue. Mais... Puis je l'ai suivi. Je l'ai suivi pour savoir où est-ce qu'il allait, puis il est rentré dans un appartement. J'ai appelé le 901 puis j'ai resté en face de l'appartement. Quand le premier char de policier est arrivé, il dit « Oh, on connaît cette adresse-là », m'a appelé un de mes collègues aussi, ils sont arrivés deux chars de police, j'ai resté sur place, ça a pris 10 minutes, ils sont rentrant dedans, ils ont pris le vélo, ils ont sorti avec le vélo, ils n'ont jamais arrêté personne. J'ai demandé, j'ai dit « Crime, comment ça, vous ne les arrêtez pas ? » Ils m'ont dit « Aïe, c'est ça, on commence à les arrêter ». [01:14:16] Speaker B: Ils ne les arrêtent pas, ils ont. [01:14:19] Speaker J: Juste repris le vélo puis ils ont dit « On ne recommence plus ». Imaginez-vous donc que le gars... Puis là, il a pété le cadenas, un cadenas qui devait valoir probablement 300 $. Ça fait que c'est comme ça que. [01:14:29] Speaker E: Ça se passe à Québec maintenant. [01:14:30] Speaker B: Puis lui, il se promène avec des pinces, là? [01:14:32] Speaker J: Non, en fait, il prenait une barre de fer, puis c'était comme... Puis il vire la barre, il fait une torsion, jusqu'à temps que ça casse, là. Il a volé comme ça, puis il est parti avec le vélo. Ah, mais j'avais l'air un peu louche, là. Moi, avec mon camion vidant, je vais courir après. [01:14:44] Speaker B: Non, mais c'est incroyable, pareil, hein? [01:14:47] Speaker J: Mais non, ils n'arrêtent pas. Puis finalement, c'est la même chose. En fait, chaque matin, les policiers disent, « Hey, t'as pris ton vélo », puis ils ont toujours la même réponse. « On vient de l'acheter hier ». Oui, ils n'ont pas vendu le chargeur avec, évidemment. On les saisit tous les matins, mais il n'y a absolument rien qui se fait. Et d'ailleurs, aller sur Vélos Verts, sur la Canardière, vous allez voir qu'il y en a... 90 % des vélos volés sont tous là-bas. [01:15:10] Speaker B: Mais ça, c'est des vélos qui n'ont pas été réclamés parce que les gens sont allés voir leurs assurances, c'est ça, hein? [01:15:15] Speaker J: Bien, les gens appellent la police, puis la police dit, écoutez bien, on commencerait pas à chercher vos vélos, appelez vos assurances. Ça fait que les gens s'en rachètent tôt. Mais ces vélos-là ne sont pas réclamés. Nous autres, à la Ville, on les garde un certain temps, mais pas longtemps. On les garde quelques jours, puis on les envoie chez Vélos Verts. [01:15:27] Speaker E: Eux autres, ce qu'ils font, c'est qu'ils. [01:15:28] Speaker J: Sont obligés de les garder minimum 30 jours. Puis après 30 jours, s'ils ne sont pas réclamés, ils les vendent. Eux autres, ils l'ont, le Klamdijk. Je vais vous dire une affaire. Ils sont approvisionnés en stock depuis Ah mais c'est bon. [01:15:39] Speaker B: Bye, merci beaucoup. [01:15:40] Speaker C: Salut. [01:15:40] Speaker B: Bye. Tu vois. [01:15:42] Speaker C: C'est tout le temps qu'on a. [01:15:43] Speaker B: Vélo vert. [01:15:45] Speaker C: Qu'est-ce que tu veux que je te dise? On est rendu là, c'est triste, c'est terrible. [01:15:49] Speaker B: Les vélos, mais le RTC, on a une grève aussi. Service essentiel, je pense que c'est assez unanime. Après la pause, la NFL, on va jaser de la saison qui débute, en fait qui a débuté hier, mais qui va prendre son envol. Qui va suivre toute la saison. Mais samedi, ce soir, des matchs. [01:16:07] Speaker C: Ouais, Kansas City. Ils jouent à São Paulo, au Brésil, je pense. [01:16:11] Speaker B: Des Chargers. Et dimanche, samedi, dimanche, il va y avoir des matchs en masse. On revient après la pause. C'est facile! [01:16:41] Speaker C: Trouve ta nouvelle auto chez groupepacket.com. [01:16:43] Speaker I: VUS, berline, 4x4, plein de modèles, inspectés. [01:16:47] Speaker C: Prêts pour la route, avec financement sur place. groupepacket.com. [01:16:52] Speaker B: Grâce à notre petit bouffeur de prix IGA, profitez des prix vérifiés garantis ou. [01:16:55] Speaker C: Recevez la différence en points C de plus. [01:16:57] Speaker B: Jusqu'au 10 septembre, les côtes d'odeaux de port bâton rouge sont à 9,77 $. [01:17:02] Speaker C: IGA, vive la paix d'esprit! [01:17:04] Speaker B: Palables dans les magasins participants. Détails à IGA.net. [01:17:06] Speaker A: Promo exclusive pour vendeurs, acheteurs et investisseurs. 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[01:18:37] Speaker H: Le maître constructeur Saint-Jacques vous ouvre ses portes pour son plus gros événement de l'année. Oui, les 13 et 14 septembre à Saint-Jacques-de-Lys. On vous retrouve pour nos grandes portes ouvertes. Vous aurez l'occasion de visiter nos quatre maisons modèles et de découvrir comment nous construirons la vôtre. Passez-nous voir et repartez avec une clé qui ouvrira bien plus qu'une simple porte. Soyez des nôtres, les 13 et 14 septembre, de 10h à 16h, à Saint-Jacques-de-Lys. Ça vaut le déplacement. Le Maître Constructeur Saint-Jacques, une entreprise vraiment différente. [01:19:06] Speaker C: Des difficultés à financer votre nouvelle auto? [01:19:08] Speaker B: Contactez paquetteautocrédit.com, une équipe d'expérience dévouée à trouver des solutions adaptées à votre situation. Parce qu'on ne roule pas tous sur l'or, paquetteautocrédit.com, une auto avec l'option solution. Choua! [01:19:21] Speaker A: Choua! [01:19:23] Speaker H: 98. [01:19:25] Speaker B: 1. [01:19:26] Speaker H: Radio X à Québec. C'est Radio X. [01:19:32] Speaker A: Radio X. [01:19:35] Speaker H: C'est vous. Votre propre opinion. Couture. Dans le mythe. [01:19:43] Speaker F: C'est l'homme de la situation à ce qu'on m'a dit. [01:19:45] Speaker A: Avec Pierre Couture et Nick Loutier. [01:19:48] Speaker B: Radio X. Oh yeah, oh yeah, oh yeah, oh yeah. La saison NFL qui est partie hier. Grosse victoire des Eagles contre les Cowboys. Tu pourras en parler. Jean Carrier du Soleil, comment ça va? [01:20:02] Speaker G: Ça va très bien, vous autres? [01:20:04] Speaker C: Très bien. [01:20:04] Speaker B: Très, très bien. [01:20:05] Speaker G: Let's go. La saison de foot est commencée. Comment ça peut mal aller? [01:20:08] Speaker B: Non, non, c'est ça. Là, il était temps. Il était temps de passer à une autre étape. Exact, oui. Là, les forces en présence, on regarde aller les choses. Les Eagles vont-ils être capables de répéter l'exploit? Les Chiefs peuvent-ils revenir? Après ça, t'as les Ravens. Après ça, t'as les Bills qui sont dus. Plein, plein, plein d'interrogations. [01:20:30] Speaker G: Le meilleur alignement de la NFL, c'est les Ravens. Les Ravens sont profonds défensivement. C'est le mieux que j'ai vu depuis fort longtemps. Depuis peut-être les défenses avec Ray Lewis et Ed Reed. Ça part avec Kyle Hamilton, joueur mutant, maraudeur qui peut faire un peu tout du côté des Ravens. Offensivement, ils ont encore Lamar Jackson, mais la question qu'il faut se poser avec eux autres, c'est bien beau d'avoir des bons joueurs partout, Faut que tu pèses, là. [01:21:00] Speaker B: Faut qu'elle m'a donné. [01:21:01] Speaker G: Ils vont produire quand c'est le temps. [01:21:03] Speaker B: Parce que c'est ça qui arrive, hein. Les autres, ils ont des très bonnes saisons. Ils arrivent en série, un match, deux matchs, paf! [01:21:08] Speaker G: Puis il y a rien qui va changer, là. Ils vont avoir une très bonne saison. Est-ce qu'ils vont finalement... Ça va être leur année. Ils sont mieux équipés que jamais pour que ce soit leur année. [01:21:17] Speaker B: Ils sont bien coachés aussi, là. [01:21:18] Speaker G: Ils sont bien coachés. Au tout début... Dans les deux premières années, Lamar Jackson avait vraiment pas bien joué. Là, il a pas mal joué, mais il a encore tout le temps une petite erreur en série qui fait la différence. Fait qu'il faut juste qu'il enlève ça. Puis, t'sais, ils ont encore un gros club. Ils sont pesants, ils ont une bonne ligne à l'attaque, ils ont un porteur de ballon de premier plan, même s'ils commencent à être plus âgés avec Derrick Henry. Zé Flowers, qui est leur receveur numéro un, c'est très dominant. très, très rapide. T'sais, ils ont tout, là. Ils ont tout. Ils ont tout ce qu'il faut. Maintenant, c'est juste traverser la saison, arriver en santé, puis finalement gagner la grosse game. [01:22:00] Speaker B: Les Bills, est-ce que c'est l'année des Bills? [01:22:03] Speaker G: Moi, je pense qu'il en manque un petit peu. [01:22:05] Speaker B: Encore? [01:22:05] Speaker G: Encore? J'essaie pas. [01:22:08] Speaker C: Il était proche, l'année passée. [01:22:09] Speaker B: Ah, il était très proche, là. Un jeu, deux jeux, là? [01:22:12] Speaker G: Le fameux quatrième jeu, là, à Casey, qu'on se demandait si... qu'est-ce qu'il y en était finalement. Le ballon, maintenant, c'est plus un problème. Ça va être mesuré maintenant. Ils ont changé un petit peu la réglementation pour ça, puis ça va être plus clair et plus précis avec nos technologies modernes. En tout cas, c'est sûr que c'est Josh Allen qui va décider comment va aller la saison des Bills. Ils ont le cheval pour. Des fois, Je trouve qu'il manque un petit peu d'outils autour de lui. Défensivement, ils sont encore jeunes. Ils ont commencé à refaire, re-shaper un peu la défensive il y a deux ans. Est-ce qu'ils sont en maturité? Pas encore. Puis j'aimerais savoir qu'il y ait au moins un joueur de premier plan offensivement. Il y a James Cook, qui est le porteur de balance. J'adore, mais je parle au niveau aérien. Je trouve qu'il manque un gros morceau du côté des Bulls. [01:23:04] Speaker B: Ça, ça court pas élu, là? [01:23:05] Speaker G: Non, ça court pas les rues, malheureusement. Écoute, la meilleure division, c'est l'AFC West, c'est celle des Chiefs. C'est peut-être la première année que je penche peut-être pour pas donner la division aux Chiefs. [01:23:17] Speaker B: Ah oui, je pense que ça va. [01:23:17] Speaker C: Être une saison tough. [01:23:18] Speaker G: Ça va être une saison peut-être un petit peu plus difficile pour les Chiefs, mais je les vois en série, il y a pas de problème. Je pense que Denver va peut-être prendre la division. [01:23:27] Speaker B: Bo' Nix. [01:23:27] Speaker G: Bo' Nix, Sean Payton qui est en contrôle, l'entraîneur-chef. [01:23:33] Speaker B: Lui, il a placé ses billes. [01:23:34] Speaker G: Ah oui, il a placé ses billes. C'est vraiment une équipe qui était à l'image de Sean Payton, à l'image de ce qu'il faisait avec les Saints. Puis défensivement, c'est dans le top 3 défensif de l'NFL, les Broncos. Puis c'est dur à les jouer là. À cause de la pression de l'air. Tous les joueurs en parlent à chaque année. C'est pas facile d'aller jouer là. Je m'attends à ce que les Broncos soient vraiment, vraiment bons. Et peut-être qu'ils prennent la division cette année. [01:24:01] Speaker B: Du côté des Eagles, hier on les a vus jouer, ils sont prêts. [01:24:08] Speaker G: Offensivement, ils sont prêts. Je les trouve plus vulnérables un peu que l'an dernier. Ils ont perdu quand même des morceaux sur la ligne en attaque, je pense à Beckton, qui ont perdu Swett, l'allié défensif. Hier, il n'y avait pas tant de pression sur... sur le tag Prescott, puis il a pas eu un mauvais match non plus. Mais offensivement, vous l'avez vu, c'est un rouleau compresseur encore. C'est Kwon Barclay, c'est le meilleur porteur de l'NFL. Il a été encore très bon hier. Jalen Hurd, si tu le laisses opérer comme hier, il va te faire mal. [01:24:41] Speaker B: Mais il faut pas qu'il tombe blessé non plus, parce que je regardais 2e, puis 3e, puis 4e quart, en termes de réservistes. [01:24:49] Speaker G: C'est sûr, mais dans l'NFL, c'est ça aussi. [01:24:52] Speaker B: Ils ont tous le numéro 1. [01:24:53] Speaker G: C'est pas super arrivé souvent que tu gagnes avec un backup. Si ma mémoire est bonne, Jeff Ostedler avec les Giants, c'est la dernière fois qu'un backup a gagné. Nick Foles avec les Eagles. Nick Foles l'avait gagné, puis Ostedler avant. Ça te prend ton chef pour gagner. [01:25:11] Speaker B: Il est solide, on le voit encore hier. [01:25:14] Speaker G: Oui, puis c'est ça. Si la couverture est serrée et que tu veux jouer du homme à homme, il va courir. C'est là que ça commence à te faire mal. [01:25:23] Speaker B: Il fait mal à les dindincôtes, comme on dit. [01:25:25] Speaker G: Les gars vont être là encore. Les Lyons, il y en a qui disent qu'ils ont perdu leurs deux corps dans la terre, ça va être plus dur. Peut-être un petit peu en début de saison, mais ils ont encore un solide. [01:25:35] Speaker B: Club sur les pieds. Campbell, le coach, est capable de serrer tout ça. [01:25:38] Speaker G: L'an passé, ça a été un des clubs les plus blessés de la NFL. Ça aussi, ça rentre dans l'équation. Je pense qu'ils vont être un peu moins blessés. Pour moi, c'est la meilleure ligne à l'attaque dans le business présentement. Je trouve que les Eagles en ont perdu un petit peu, une petite affaire, pas beaucoup. Puis je pense que c'est les Lions. [01:25:53] Speaker B: Qui ont la meilleure ligne à l'attaque. [01:25:54] Speaker G: Ils vont courir la balle, ils vont être tough, ils vont être durs à jouer. Moi, je pense qu'ils vont être là à la fin aussi. Fait que Eagles... Packers. Packers, bien évidemment, t'as pas le choix d'y mettre maintenant comme contender. Tu sais, quand tu vas chercher un gars de la 30 de Mika Parsons... [01:26:10] Speaker B: Ça, comment t'expliques ça? [01:26:11] Speaker G: Entêtement mal placé de Jerry Jones. [01:26:15] Speaker B: Du propriétaire des Cowboys. [01:26:16] Speaker G: Du propriétaire qui ne voulait pas payer un gars qui... Je ne te dis pas que ces gars-là méritent cet argent-là dans la vraie vie, mais dans le milieu de l'NFL, c'est une business, c'est ça qui vaut. Puis les Packers n'ont jamais hésité, ils ont donné tout de suite l'argent. Puis eux, ça leur donne un gars qu'ils n'avaient pas dans leur line-up. Tu perds un gars que je pense qu'ils peuvent remplacer à l'intérieur. Il est pas mauvais, le gars qu'ils ont perdu. Il a quand même pas mal joué pour les Cowboys. Mais tu rajoutes un gars à l'extérieur que t'avais pas, qui est capable de mettre de la pression sur le carrière. Ça, maintenant, dans l'NFL, avec les attaques qu'ils lancent de plus en plus, t'as besoin d'un gars, d'un chasseur de corps. Là, ils ont tout ce qu'il faut. Moi, mon gros point d'interrogation des Packers, c'est le carrière. Jordan Love, pour moi, il a rien fait encore dans l'NFL. Il a pas gagné, il a pas... Tout le monde les voit très, très haut. Mais fort que Jordan Love suive la parade puis qu'il mène cette équipe-là. Puis ça, je suis pas sûr encore. [01:27:12] Speaker B: Les Niners. [01:27:14] Speaker G: Les Niners, c'est un club vieillissant. On le voit encore. Écoute CMC, qui est la pierre angulaire assurément de l'attaque. Il est encore blessé. Ils l'ont mis sur la liste des blessés hier. Blessure au mollet. Ils sont vieillissants. Ils sont vraiment vieillissants. [01:27:29] Speaker B: Ils ont perdu quelques pièces du morceau. [01:27:31] Speaker G: Le gars qui t'a signé Ayok, il sera pas prêt avant ce match parce qu'il avait été blessé l'an dernier. Ça met beaucoup de pression sur Brock Purdy. Ils ont encore des outils, mais moi, cette année, si les Cowboys, c'est pas les Cowboys. Si les Niners, ça débarque du lot. Ça va me montrer que Kyle Shanahan est vraiment un bon coach de football, parce que je trouve que ce club-là est pas si hot que ça. Puis Kyle Shanahan, pour moi, il a un petit peu une réputation un peu surfaite pour moi. C'est un bon play-carter, c'est un bon gars qui est capable, offensivement, de bien carrer la game, mais il y en a plusieurs qui le catégorisent comme génie offensif. Moi, je l'ai pas là encore. Fait que là, on va voir qu'est-ce qu'il vaut. C'est facile des fois de caler quand t'as tout dans ton équipe. Quand t'as pas tous les éléments, c'est plus dur un peu. Là, on va voir ce qu'il va faire sans CMC pour commencer l'année. J'ai hâte de voir. Moi, je pense pas que les Niners vont faire les séries. [01:28:24] Speaker B: Beaucoup de questions, là. Les Steelers? [01:28:26] Speaker G: Le bon vieux... Quel Aaron Rodgers? C'est-tu Aaron Rodgers qui a l'air... cette année du football qui se pointe là, ou c'est l'Iron Rodgers motivé qu'on voyait avec les Packers. L'image aussi qu'on a d'Iron Rodgers n'est plus la même. C'est un gars qui est encore capable de sling la balle, de lancer le ballon, excuse-moi l'anglicisme. [01:28:49] Speaker B: Avec les Jets, ça, c'était un flop total. [01:28:51] Speaker G: Parce qu'il n'est plus capable de courir. Dans pochette, son mouvement dans pochette n'est plus le même. Puis ça, t'sais, quand t'as 40 ans, je pense que 42, oui... [01:28:59] Speaker B: Tu veux peut-être éviter les coups de casse dans les côtes. [01:29:01] Speaker G: Bien oui, mais c'est aussi qu'il y a eu une grosse blessure, t'sais, une blessure au tendon d'Achille. Tu déchires dans ton Achille, t'as plus la même mobilité. Pour moi, c'est évident que c'est plus le même Aaron Rodgers. Maintenant, est-ce que les Steelers, qui est aussi un club vieillissant défensivement, est-ce qu'ils sont capables... Ils font les playoffs à chaque année. Est-ce qu'ils sont capables de faire plus? J'ai des gros doutes. [01:29:24] Speaker B: Sinon, les poissons, les dolphins. [01:29:28] Speaker G: Il y a quand même plusieurs partisans des dolphins à Québec. [01:29:30] Speaker B: Oui, c'est ça, l'on fait le tour. [01:29:32] Speaker G: Écoute, tout est sur toi. Quand Toua est en santé, c'est une bonne équipe de football, quand il est pas là, bien, c'est très ordinaire. Puis qu'est-ce qui est bizarre, c'est que le gars qui remplace Toua, il est pas capable de faire la même attaque. Il faut qu'il change d'attaque complètement quand il est pas là. C'est ça qui est comme un peu étrange. Fait que, tu sais, tu places tes billes sur un gars qui est fragile. C'est un gars qui a été blessé à chaque année quasiment depuis son carrière au college. Moi, je les ai pas en série parce qu'il y a trop de points d'interrogation. [01:30:07] Speaker B: Ben, écoute, moi, je suis un partisan des Browns. T'sais, t'es un partisan des Browns. On s'est-tu amélioré, là? Flaco revient. Il va stabiliser la barque. [01:30:17] Speaker G: Écoute, oui, mais t'sais... Ça va être tough. C'est une année pour moi qu'il faut déterminer c'est qui peut-être le carrière du futur. Elle sert à ça, cette saison-là. Faut pas que t'en manques. Évidemment, tu vas te rendre aussi loin que Flaco va pouvoir t'amener en début de saison, mais j'ai de la misère à croire que Flaco... Flaco nous avait amenés en série il y a deux ans. mais il l'avait faite à partir du moitié de l'année. [01:30:38] Speaker B: Ça s'est écrasé en série, les premiers matchs. [01:30:40] Speaker G: Il faut qu'il gère l'année au complet. C'est long une année de football. C'est-tu ça, game? [01:30:45] Speaker B: Lui, je pense qu'il est là pour passer le flambeau, clairement. [01:30:47] Speaker G: Il est là pour montrer aux jeunes comment ça se passe. [01:30:50] Speaker B: Qui tu crois, toi, des deux? Parce que Sanders est quand même impressionnant. [01:30:55] Speaker G: Oui, mais j'ai l'impression qu'il est dans le doghouse. J'ai l'impression que l'entraîneur-chef n'est pas capable de le sentir et c'est un choix du propriétaire. C'est ça que je sens du côté des Browns. Lui, il voudrait avoir Dylan Gabriel. Il y a quelque chose qui cloche. Quand l'entraîneur-chef n'aime pas... Si c'est ça que ça prend, c'est ça que ça prend. Si le propriétaire veut absolument Sanders, selon moi, il va falloir que ça passe peut-être par un congédiement. [01:31:20] Speaker B: Lui, il est sur le hot seat. [01:31:22] Speaker G: Oui, mais c'est un gars qui a gagné deux fois l'entraîneurship de l'année de l'NFL. [01:31:26] Speaker B: L'année passée, c'était médiocre, c'était pathétique, c'était une gestion minable du line-up au complet. [01:31:33] Speaker G: Je pense encore que les Browns ont une très grosse défensive. Ils sont capables de gagner des matchs. [01:31:38] Speaker B: Peut-être d'aller... Mais Myles Garrett est resté là. Il a signé. [01:31:40] Speaker G: Myles est là. [01:31:41] Speaker B: Lui, il a eu des assurances. [01:31:42] Speaker G: La pierre angulaire est là. Défensivement, ils sont très bons, les Browns. C'est offensivement le problème. [01:31:47] Speaker B: OK, les Texans. [01:31:48] Speaker G: J'adore les Texans. [01:31:49] Speaker B: Eux vont être dangereux. [01:31:50] Speaker G: Ils sont dangereux. Souvent, ta troisième année, c'est une année importante comme carrière. Ta deuxième année, souvent, t'as eu du succès à ta première. Puis là, les commentateurs défensifs t'attendent. [01:31:59] Speaker B: Puis c'est ça qui est un peu l'an passé. [01:32:00] Speaker G: Oui, ils ont les jeux. Oui, c'est ça. Ils ont eu du tape. Je pense qu'ils ont appris beaucoup CJ Stroud. Puis moi, j'adore la défensive. C'est une des très bonnes défensives de la NFL. Will Anderson et compagnie. Ils devraient faire des ravages, les Texans. Honnêtement, je m'attends à une grosse, grosse saison. Ils vont prendre leur division puis ils vont faire du chemin en série. [01:32:17] Speaker B: OK. M. Burroughs, va-tu mieux aller? [01:32:20] Speaker G: Ben, il peut pas faire mieux que l'an passé. [01:32:24] Speaker B: C'est pas de sa faute. C'était des 300 verges. Ben, ça va être ça encore. [01:32:28] Speaker G: Ça va être ça. Ils ont pas réglé leur problème. Ils ont signé Hendrickson, tant mieux. Mais défensivement, est-ce qu'ils vont être meilleurs? Si la réponse est oui, ils vont gagner des games. Si la réponse est non, ça va être encore difficile. [01:32:36] Speaker B: La question, et c'est la dernière. Qui va gagner le Super Bowl? Là, on se lance là, mais... [01:32:42] Speaker C: Le corps est dense, puis... [01:32:44] Speaker B: L'an passé, quand t'es venu, t'es revenu peut-être à la mi-saison, puis on est allé au début des séries, puis ta version changeait. [01:32:50] Speaker G: Oui, c'est sûr. [01:32:51] Speaker B: La version va changer, là. [01:32:53] Speaker G: Écoute, il y a un club que j'aime beaucoup, que je pense qu'il va être dans le corps et d'âge peut-être, c'est les Rams. Les Rams, mais il y a encore beaucoup de choses qui sont liées à Stafford. Il y a mal dans le dos. [01:33:04] Speaker B: Lui, c'est un tough, là. [01:33:06] Speaker G: Mais c'est un tough. C'est un tough, mais j'aime beaucoup le porto. Ils sont allés signer Adams comme deuxième receveur, t'as pas connu à quoi. Ils sont capables de courir la balle. Ils sont bien coachés. Moi, les Rams sont dangereux. Écoute, corps et d'âge, Rams compte... Lions. Je pense que les Rams vont surprendre les Eagles. Le final dans l'National Lions contre Rams. Lions, pour moi, sort de la conférence nationale, c'est leur année. Dans la conférence américaine, j'ai Ravens. Yeah boy. Il y a tellement de bons clubs là. C'est un paquet. Je vais y aller avec la même game qu'à l'an passé, mais en finale de conférence. Je vais y aller Buffalo contre Ravens. Puis Ravens vont finalement... [01:33:53] Speaker B: Il faut qu'ils aillent. [01:33:54] Speaker G: Oui, il faut qu'ils aillent. Puis j'ai Ravens qui gagne toutes mes équipes. [01:33:57] Speaker C: Oh, ok. C'est noté. [01:33:58] Speaker G: C'est l'année de la mort. [01:33:59] Speaker C: C'est TP. [01:34:00] Speaker B: Excellent. Merci Jean-Cahier du Soleil. Vous avez un podcast? [01:34:03] Speaker G: Oui, podcast sur le football québécois. À chaque mardi, ça sort. On l'enregistre le lundi. Même des fois, c'est disponible le lundi. Disponible sur YouTube. Dans les tranchées, chez moi et Sébastien Lajoie, on fait le tour du universitaire collégial division 1. [01:34:17] Speaker B: OGR, ça va être beau cette année. [01:34:19] Speaker G: Ils ont un très, très, très gros club. Très gros club. [01:34:21] Speaker B: On l'a vu la semaine dernière. [01:34:22] Speaker G: Écoute, il y a 19 des 24 partants qui sont de retour. T'as un carrière de cinquième année. T'as une défensive qui est hallucinante. Ils vont être très, très difficiles à battre, mais c'est encore, les gars, carabin aux géants. [01:34:35] Speaker B: Ah oui, c'est là que ça change. [01:34:36] Speaker C: Ben oui, assurément. [01:34:37] Speaker G: Assurément. [01:34:37] Speaker B: Jacques Harrier du Soleil, merci beaucoup de tes lumières. Et après la pause, on jase d'économie. [01:34:41] Speaker A: Restez là, on revient dans un instant. [01:34:45] Speaker H: Dans le mythe de Radio X, Ouellet en direct. [01:34:50] Speaker B: Pas drôle, Max. Il est trop bizarre drôle, lui. [01:34:52] Speaker A: Je sais pas qu'est-ce qu'il a. [01:34:53] Speaker B: Il a-tu pris de la drole? Il est arrivé tard, hein? [01:34:55] Speaker A: Non, mais il est léger, Max, à matin. Moi, je le soupçonne qu'à matin, c'est le bon été. [01:35:00] Speaker B: Quand on a des matins qui sont. [01:35:01] Speaker A: Gris, tu penses que je suis rayonnant. [01:35:04] Speaker C: Il est léger. [01:35:05] Speaker B: Il est comme un contrôleur. Ferme-tu ta boîte? [01:35:09] Speaker C: Oui, si vous voulez. [01:35:11] Speaker B: 1000 piastres pour le sapin que tu fais maillot. [01:35:13] Speaker C: Ouellet. [01:35:14] Speaker H: En direct. [01:35:16] Speaker A: Lundi au vendredi. [01:35:17] Speaker J: Midi. [01:35:18] Speaker H: Radio X. [01:35:19] Speaker A: Présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Pour vos Rénault meilleurs prix, on vous attend aux 9300 rue John Simons, Québec, et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. C'est ce que fait la fonderie Horn, l'un des plus grands recycleurs de matières électroniques au monde. Elle fait circuler une ressource critique pour la transition énergétique, le cuivre, en recyclant chaque année des milliers de tonnes d'appareils. Elle soutient plus de 3000 emplois au Québec, réduit ses émissions, agit pour la qualité de l'air et a généré près de 850 millions de dollars en 2023 pour notre économie. [01:35:55] Speaker B: Fondry Horn. [01:35:56] Speaker A: Solide pour l'avenir. Wal-Mart offre plus de 10 000 articles fabriqués au Canada à des bas prix de tous les jours. Comme un paquet de 24 rouleaux de papier hygiénique Cachemire pour seulement $12.97 chacun, en magasin et en ligne. Chez Walmart. [01:36:12] Speaker H: Jusqu'à samedi, c'est la méga vente sous l'attente chez Kia Laurier Station. On liquide le plus gros inventaire d'occasion et démo en stock. Venez économiser gros. On rachète votre véhicule au meilleur prix. C'est la vente à ne pas manquer. On vous attend maintenant à la méga vente sous l'attente chez Kia Laurier Station. Qui dit retour à l'école, dit retour des devoirs, des cours de piscine et des cours de danse. Entre tout ça, prenez une petite pause bien méritée. Laissez PFK s'occuper de vos repas. PFK, ce sont des produits 100% canadiens préparés sur place et frais en tout temps. De quoi régaler toute la famille. Passez-nous voir chez PFK à Sainte-Marie, Montmagny, Donnacona, Vanier-Hamel, Saint-Nicolas, Galéna-Capitale, Beauport, Secteur Saint-David et au 840 Bouvier. Pour la rentrée, passez PFK, le meilleur poulet frit au monde. [01:36:59] Speaker A: Un zoo à la maison, c'est un salon de toilettage, une boutique de confiance tenue par des passionnés formés pour bien vous conseiller et une pension en milieu familial humaine où vos compagnons seront traités aux petits oignons. Notre équipe est aussi partenaire de la SPA de Lévis. Visitez notre refuge éthique et découvrez nos chats à l'adoption. Retrouvez une foule de services pour le bien-être de votre animal sous le même toit. Un zoo à la maison. À Saint-Etienne-de-Lauzon, 418-831-0303. Un zoo à la maison. Oui, c'est ça. [01:37:29] Speaker H: Ne manquez pas la 19e édition des courses de motoneige sur l'eau du Québec, le 6 septembre à Frempton. Pourtant, mauvais temps, les courses auront lieu dès 11h. Prenez l'autoroute 73, sortie 72 et la 276 direction Saint-Ozilon. Rendez-vous le 6 septembre à Frempton en Beauce. [01:37:47] Speaker A: Couture dans le Mid, présenté par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [01:38:01] Speaker B: Couture dans le Mid. [01:38:05] Speaker A: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [01:38:17] Speaker B: Il y a de l'argent partout. [01:38:19] Speaker C: Il y a de l'argent partout. [01:38:21] Speaker B: Il y a de l'argent partout. [01:38:21] Speaker E: Il y a de l'argent partout. [01:38:22] Speaker C: Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. [01:38:24] Speaker B: Il y a de l'argent partout. [01:38:26] Speaker C: Il y a de l'argent partout. [01:38:28] Speaker B: Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. [01:38:32] Speaker E: Il y a de l'argent partout. [01:38:33] Speaker B: Il y a de l'argent partout. [01:38:34] Speaker C: Il y a de l'argent partout. [01:38:34] Speaker B: Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. Il y a de l'argent partout. [01:38:45] Speaker E: Il y a de l'argent partout. [01:38:45] Speaker B: Il y a de l'argent Mais c'est 2016. partout. Il y a de l'argent partout Il faut monter à 2016 pour avoir ces chiffres-là, au niveau économique. Donc l'économie ralentit beaucoup. Les tarifs aussi nous font... En fait, nous font rentrer dans les côtes, comme on dit. Mais l'autre chose, c'est qu'à un moment donné, il va falloir bouger. Il va falloir que les gouvernements répondent avec des stimulés ou à tout le moins une baisse de taux, le directeur. Parce que là, tu vois, aux États-Unis, création d'emplois, on a eu les chiffres Pour le mois d'août, 22 000 emplois seulement créés. Pendant le mois d'août, partout aux États-Unis, on s'attendait à au moins 75 000 emplois. Donc ça, ça a donné une douche d'eau froide au marché boursier. Et là, on s'attend à ce que la Fed, le 17 septembre, réagisse de façon assez violente. Ça va prendre une réaction violente, une réponse violente. Et ça serait quoi? Un 50 points de base, peut-être? 25 points de base, assurément, au moins 25 points de base, mais peut-être... En tout cas, c'est des scénarios qui circulent. Le chômage, bien, c'est ça, ça grimpe. Et l'emploi chez les jeunes, les jeunes sont très, très affectés. On l'avait vu, le taux de chômage qui est très élevé. Donc, je pense qu'il va falloir répondre. Et là, tu as Mark Kearney aussi, point de presse actuellement, il est en train d'annoncer qu'il recule sur les véhicules électriques. Les quotas, je n'ai pas tous les détails. La conférence de presse est en train de se produire. Ce qu'on annonce essentiellement, c'est qu'on ne suivra pas le programme, c'est-à-dire qu'on devait imposer 20 % d'achats de véhicules électriques pour 2026, alors qu'on était à peu près à 7 % des chiffres qu'on avait avec Renault tout à l'heure. Donc il faudrait tripler l'achat de véhicules électriques l'an prochain pour réussir à avoir les quotas. Sinon, les fabricants, les manufacturiers de voitures payent des pénalités très imposantes. Et eux autres, ils leur ont dit, nous autres, si vous allez là, nous autres, ce qu'on va commencer à faire, c'est qu'on va peut-être commencer à sortir du Canada. On va aller investir ailleurs. On va quitter parce qu'on ne paiera pas ces pénalités-là. C'est ce qui s'en venait, là. Les concessionnaires auto avaient des grosses pénalités aussi. Donc, là, il dit, il annonce une grosse stratégie, là, buy canadienne. [01:40:57] Speaker C: Ouais, c'est ça. Puis là, on va pas vous donner les détails, mais... C'est vraiment une offensive pour mousser le commerce canadien. [01:41:05] Speaker B: Oui, exact. Tu vois, 2030, c'était 60 % des véhicules qui devaient être électriques ou à tout moment zéro émission, sans émission. Et 2035, 100 %. Le Québec a encore ça. On est encore là-dedans. Même d'ailleurs, le Parti québécois demande, lui, 2030, 100 % de voitures Sans émission, c'est complètement débile. [01:41:28] Speaker C: Ça se pourra pas. [01:41:30] Speaker B: Le Parti québécois va falloir qu'il revienne sur la terre. On vit pas en autarcie. On est pas sur une île au Québec. [01:41:37] Speaker C: Si les cibles sont... [01:41:38] Speaker B: C'est même pas 1% de l'économie mondiale au Québec. [01:41:40] Speaker C: C'est parce que les manufacturiers d'automobiles, à un moment donné, vont dire « nous autres, on vend plus là ». [01:41:46] Speaker B: On va sortir du site. [01:41:47] Speaker C: Exact. Mais là, on va se retrouver avec quoi? [01:41:49] Speaker B: On vendra des Ladas. On va être en train de s'isoler. C'est ça qui va arriver là. Écoute, c'est Tesla qui fait jaser parce que là, programme de rémunération d'Elon Musk. Tu vois, l'action de Tesla monte de 10,57$ au moment où je vous parle. 349,10$. Hey, on pourrait offrir à Musk 1000 milliards de pays. 1000 ? Ouais, un trillion. 1000 milliards de paye, sans qu'on paye. Il y a des conditions, évidemment. Ils gardent actuellement la valeur. [01:42:25] Speaker C: 1000 milliards. [01:42:26] Speaker B: Ça, c'est assorti beaucoup avec des objectifs. Parce que Mosk, il n'y a pas de salaire. Lui, il se fait payer en stock option. Donc, on donnerait des actions à Mosk, mais selon la valeur de l'action aussi. Parce que là, dans les prochaines années, eux autres, c'est le virage robotique, c'est le virage conduite autonome, et tout, et tout, et tout. Et là, tu sais, écoute, la valeur, Boursière de... Tesla, c'est de 1000 milliards actuellement. Mais il y aurait des bonnies associées si on va chercher les 8500 milliards. Il faudrait que Tesla fasse x8 fois... Il faut que... Il faut que tu multiplies par 8 la valeur boursière de l'entreprise pour qu'ils puissent toucher, c'est des stock options, pour la valeur de 1000 milliards. [01:43:08] Speaker C: Tabard. [01:43:08] Speaker B: C'est capoté. [01:43:09] Speaker C: C'est du cash, là. [01:43:11] Speaker B: Écoute, ça fait jaser beaucoup, là. On dit que ça pourrait atteindre jusqu'à 12 % du capital actuel de l'entreprise, mais il faudrait que l'entreprise grimpe. Parce qu'il est capable de faire ça, lui, il dit que oui. Il dit que les prochaines années, des robots, parce que là, on voit venir l'intelligence artificielle et éventuellement, tu vas avoir un robot assistant dans ta maison, il va t'aider, il va faire des tâches pour les personnes âgées. qui trompent plus le domicile, ils vont rester avec le robot. [01:43:37] Speaker C: OK, le robot va tout faire. [01:43:39] Speaker B: Tu vas avoir ton assistant, puis il fait la vaisselle. [01:43:41] Speaker C: Là, tu vas l'acheter sur quoi? Sur Amazon? [01:43:45] Speaker B: Récemment, je pense que c'est le gars d'NVIDIA, il a dit « on va vendre éventuellement des robots, je pense que c'était 3500-4000$ ». [01:43:51] Speaker C: OK, là tu vas le déballer, tu vas lui donner un nom, assurément. Tu vas être comme le pré-programmé. [01:43:57] Speaker B: Fido. Regarde, on s'en va là. [01:44:00] Speaker C: Puis nous, on va faire la vaisselle. Tu vas y aller. [01:44:03] Speaker B: Est-ce qu'on va vraiment aller là? [01:44:05] Speaker C: Vas-tu en acheter un? [01:44:06] Speaker B: Bien, pas là. Parce que je ne suis pas encore à l'âge de m'acheter un robot. De plus en plus de compagnies aériennes, ce qu'elles font, c'est que les gens de sensure poids, personnes obèses, bien là, on commence à charger deux sièges. De plus en plus. C'est-à-dire que t'es trop gros pour prendre un siège, là. Tu peux prendre l'avion. [01:44:31] Speaker C: T'es obligé d'acheter deux sièges? Oui. [01:44:34] Speaker B: On commence à avoir ça, là, de plus en plus, des compagnies aériennes américaines. [01:44:38] Speaker C: Ça peut pas être la discrimination rendue, là? [01:44:39] Speaker B: Ben, là, c'est ça. Après ça, on dit qu'après ça, tu pourrais peut-être venir challenger la décision, mais sur le coup, tu vas acheter deux bancs si t'es trop gros. [01:44:46] Speaker C: C'est quoi? Faut-tu rendre ton poids dans les... Ben. [01:44:48] Speaker B: C'Est parce que là, t'arrives dans l'avion, puis là, tu t'assoies, puis finalement, la personne qui a le billet à côté de toi... [01:44:54] Speaker C: Elle a plus de place. [01:44:55] Speaker B: Ben, tu débordes dessus. [01:44:56] Speaker C: Oui. [01:44:56] Speaker B: Moi, ça m'est déjà arrivé, là. [01:44:57] Speaker C: Oui? Pis là? [01:44:59] Speaker B: Ben c'est pas le fun, un vol transatlantique avec une personne qui te défonce. [01:45:03] Speaker C: Non mais ça, ça peut pas arriver, mettre toi à l'aéroport pis avoir un gauge comme des bagages à main. Soyez-vous ici, vous rentrez pas, vous allez payer le double. [01:45:13] Speaker B: J'avais mon fils d'un an sur moi dans l'avion. Un an et demi, il était bébé. Pis Noah, il pognait la bedaine du monsieur. [01:45:23] Speaker C: Il donnait des coups de dents. [01:45:24] Speaker B: Le gars, il essayait de dormir pis tu voyais que... Et puis mon fils qui donnait des coups, c'était de toute beauté. Mais c'est ça, on s'en va là. On dit qu'éventuellement, on pourrait charger. Faites pas le saut. Et là, ça se discute. Beaucoup de gros projets. Mark Cunney va annoncer des projets, notamment dans le port de Contrecoeur, l'agrandissement du port de Contrecoeur. il y aurait pour le Québec aussi avec Terre-Neuve, il y a un gros projet hydroélectrique, donc on pourrait peut-être financer des lignes électriques avec Terre-Neuve. Et l'autre chose, ça se discute beaucoup, il y a un gazoduc qui termine ici à Lévis, et là, il y aurait un projet de le terminer vers le Nouveau-Brunswick. Donc on aurait des discussions entre le Nouveau-Brunswick, le Québec, et pour que ce gazoduc-là se rende finalement, c'est le gazoduc Trans-Québec-Maritime, il arrête à Lévis. Donc, il arrive de l'Ouest canadien, il part par les grands lacs, en haut des grands lacs, vraiment en haut, puis là, il repart, puis il revient. Et là, on dit qu'il pourrait partir de Québec et se rendre finalement à Desmaritimes. Donc, on pourrait compléter ce grand projet. Je ne savais pas, beaucoup de gens qui ignorent qu'il y a un gazoduc qui se rend jusqu'à Québec. [01:46:32] Speaker C: Ben, à cause d'Ultramor, je veux dire, c'est plus Ultramor, c'est... Ben là, c'est. [01:46:36] Speaker B: Le TC Énergie, là. C'est Trans Québec Maritime, TQA. [01:46:40] Speaker C: La raffinerie, là. [01:46:40] Speaker B: TMQ. Ben, ça n'a rien à voir avec la raffinerie, là. [01:46:43] Speaker C: Non? [01:46:43] Speaker B: Non, non. [01:46:44] Speaker C: OK. [01:46:44] Speaker B: C'est vraiment du gazoduc, gaz naturel. Et là, ils se... — Valero. — Ouais, mais c'est pas Valero qui a ça, là. — OK. [01:46:51] Speaker C: Non, non, mais je veux dire, le gaz arrive pas là. [01:46:52] Speaker B: — C'est TransCanada Énergie qui est propriétaire. [01:46:54] Speaker C: — OK. Non, mais je veux dire, le gaz doit... le pétrole doit arriver là, le gazoduc? [01:46:58] Speaker B: — Ils ont pas de... — C'est pas nécessairement... — Il y a pas d'oléoduc. Un gazoduc, c'est du gaz. [01:47:02] Speaker C: — Ouais. [01:47:02] Speaker B: — Le pétrole de Valero, il arrive par bateau. [01:47:04] Speaker C: — Oui. [01:47:05] Speaker B: — Et souvent, ça arrive par le... par bateau également de Montréal parce que les... L'oléoduc, il se termine à Montréal, il met ça sur des bateaux, il amène ça ici à la raffinerie Valero. Ça arrive par bateau de Montréal, mais c'est du pétrole de l'Ouest canadien. [01:47:20] Speaker C: Mais il y en a aussi ici dans le fleuve. En face de St-Romuald, il y en a un, l'oléoduc, qui monte jusqu'à la raffinerie. [01:47:26] Speaker B: Oui, mais je pense qu'il part de Québec, mais qu'il monte vers Montréal. Il ne vient pas de Montréal vers Québec. [01:47:32] Speaker C: Ah non, OK, ouais, peut-être. [01:47:33] Speaker B: Puis l'autre, c'est quand les bâteries vont en bas. [01:47:35] Speaker C: Oui, oui, c'est ça, ça monte jusqu'en haut. [01:47:36] Speaker B: Oui, exact. Au cuve. [01:47:38] Speaker C: Voilà. [01:47:39] Speaker B: Au cuve de... Sinon, les marchés boursiers, j'ai-tu le temps? [01:47:42] Speaker C: Oui. [01:47:43] Speaker B: C'est vert à Toronto, mais c'est rouge aux États-Unis à cause de l'emploi. Donc là, c'est sûr, c'est une réaction, mais éventuellement, la fête va baisser les taux. Donc on se dirige vers peut-être 3-4 baisses de taux. Vous voyez là, le 22 000 emplois aux États-Unis, c'est pas très bon. Donc voilà, le pétrole baisse aussi. Le bitcoin a droppé 110 734 par à peu près l'Ethereum 4982. Et l'or monte de 44-48 $. L'or et le papier. L'or et deux papiers. 3593. On revient après la pause. [01:48:17] Speaker A: C'est. [01:48:26] Speaker B: Fitzgibbon qui nous a endormis. [01:48:27] Speaker C: Ouais, moi j'ai plein de projets, j'ai du cash en masse. Ils se sont comportés comme des ivrognes au casino, c'est pas compliqué. [01:48:33] Speaker J: Ouais, un ignorant riche, quoi. Et une arrogance dans la vie personnelle. J'ai dû rencontrer une fois, il m'a donné la main, il m'a regardé au plafond pour savoir qui j'étais. Un gars qui se prend pour un ex-supérieur, il est tellement supérieur qu'il a fourré tout le monde. [01:48:55] Speaker H: X, présenté par le maître constructeur Saint-Jacques. Les 13 et 14 septembre, de 10h à 16h, assistez à nos portes ouvertes à Saint-Jacques de Leeds. Visitez notre usine et nos maisons modèles, maîtreconstructeursaintjacques.com. [01:49:07] Speaker F: Ça s'en vient? [01:49:09] Speaker C: Réservez votre party des fêtes chez Dooley's avant le 19 octobre pour une soirée entre le 1er et le 16 novembre et profitez du billard à 50%. [01:49:17] Speaker B: On organise votre party à votre goût. [01:49:22] Speaker D: Ton employé t'écrit toujours 40 heures. T'es pas certain des heures que tes employés ont écrites. Tu vois des erreurs coûteuses se glisser dans les feuilles de temps? Passe à MobilePunch pour sauver temps et argent. Dis adieu aux problèmes de feuilles de temps. MobilePunch.com. [01:49:36] Speaker H: Le maître constructeur Saint-Jacques vous ouvre ses portes pour son plus gros événement de l'année. Oui, les 13 et 14 septembre à Saint-Jacques-de-Lise. On vous retrouve pour nos grandes portes ouvertes. Vous aurez l'occasion de visiter nos quatre maisons modèles et de découvrir comment nous construirons la vôtre. Passez-nous voir et repartez avec une clé qui ouvrira bien plus qu'une simple porte. Soyez des nôtres les 13 et 14 septembre de 10h à 16h à Saint-Jacques-de-Lys. Ça vaut le déplacement. Le Maître Constructeur Saint-Jacques, une entreprise vraiment différente. [01:50:05] Speaker A: Du 27 août au 8 septembre, obtenez 20 % de rebais sur la peinture Régal Select d'intérieur de Benjamin Moore et découvrez pourquoi il s'agit de la norme d'excellence. Passez chez votre détaillant Benjamin Moore. Chaque achat aide à soutenir les collectivités du Québec. Détails en magasin. [01:50:21] Speaker C: J'aime pas aller chez le dentiste, payer mes impôts et les embouteillages. Mais depuis que l'équipe Marie-Ève Morin dentiste s'occupe de ma bouche et de celle de ma famille, j'aime toujours pas les embouteillages. Mais j'ai plus peur d'aller chez le dentiste. Mon fils Alexandre y va pour son traitement d'orthodontie, ma blonde et mon petit Paul pour leur nettoyage. Moi, le grand anxieux qui avait peur du dentiste a finalement eu son implant. L'équipe Marie-Ève Morin Dentiste, c'est vraiment différent. Une approche humaine, des explications claires, pas de pression, juste des solutions. C'est ça, l'équipe Marie-Ève Morin Dentiste. [01:51:01] Speaker I: Ça n'arrive qu'une fois par année. La super vente de déstockage sous la tente Trivi, directement dans le magasin Trivi de Québec et sous la grande tente installée à l'extérieur du magasin. Notre magasin et la gigantesque tente se transforment en une véritable foire aux aubaines pour trois jours seulement. Aujourd'hui jusqu'à 21h, demain et dimanche. Quantité limitée, premier arrivé, premier servi, piscine creusée, piscine en béton, piscine hors terre, spa et spa de nage. Profitez de rabais exceptionnels et d'installations dès cet automne. Vous préparez déjà l'été prochain ? Réservez votre projet pour 2026 et obtenez dès maintenant le plus bas prix garanti de l'année. Mais ce n'est pas tout. La super-vente de déstockage sous la tente, c'est aussi. Des rabais sur le mobilier de jardin et les pavillons outdooring. Plus de 15 millions de dollars d'inventaires à liquider. Des installations rapides en 3 jours. Et des prix chocs sur les toiles, robots, chauffe-eau, produits chimiques, parasols, balançoires, trousses de fermeture, même sur les abris d'auto. Et pour l'occasion, très vite prendre soin de vos intérêts pendant 2 ans. Ne manquez pas la super-vente de déstockage Tout l'attente Trévi, aujourd'hui jusqu'à 21 heures, demain et dimanche, à votre magasin Trévi du 909 Boulevard Pierre-Bertrand, à Québec. Trévi. Une longueur d'avance. [01:52:28] Speaker C: Besoin d'une rampe ou d'une clôture de qualité pour votre piscine? Avec Aluminium Perron, installez-les vous-même et économisez. Faites confiance à Aluminium Perron. Que ce soit pour sécuriser, embellir ou moderniser votre espace, nos produits sont conçus pour résister au temps et aux hivers d'ici. Et en ce moment, profitez d'un rabais exclusif en ligne seulement de 5 % avec le code promo RADIOX. Faites vite, c'est pour un temps limité. Pensez sécurité avec Aluminium Perron. Aluminiumperron.com. [01:52:57] Speaker H: Les manchettes sportives présentées par BPM Sport. [01:53:00] Speaker B: BPM Sport, la radio des sports au Québec. [01:53:03] Speaker D: Hey, c'est Jordan. On est dans les meilleurs moments de sport de l'année. Voici les gros événements à ne pas manquer ce week-end. Premièrement, dans le baseball de la Ligue frontière, les Capitals pourraient terminer leur série ce soir contre les Boulders et passer le tour suivant. Je vous rappelle que Québec a remporté le dernier match 11 à 4 à New York. Un match à 19h05 au Stade Canac. Ambiance électrique garantie. Deuxièmement, au football universitaire, le Rouge et Or aura la chance d'aller chercher une deuxième victoire à leur calendrier. Match à ne pas manquer ce dimanche au Stade Ténus-Université Laval contre le Vingt-Réhors de Sherbrooke. D'ailleurs, Tailgate Radio X manquait pas ça. 45$ plus taxe, billet pour la game et une panoplie de bouffe et d'alcool qui vient avec ça. Le duel débutera à 13h, le Tailgate dès 9h30. Football de l'NFL, gros match ce soir au Brésil. À São Paulo, les Chiefs et les Chargers s'affronteront pour le deuxième match du calendrier de la saison 25-26. Ça va débuter à 20 h. Et au tennis, corps et danse pour notre Canadien Félix Auger à l'ISM dès 19 h ce soir. Après avoir battu la 8e raquette mondiale, Alex Dominor place maintenant au meilleur, le numéro 1, l'Italien Yannick Sinner. Ça prend un match parfait. Let's go F.A.A. [01:54:17] Speaker B: Pour plus de sport, c'est BPM Sport. [01:54:20] Speaker A: BPM Sport. [01:54:21] Speaker H: 100.9. [01:54:23] Speaker B: Couture. Pierre a livré la marchandise. [01:54:26] Speaker H: Dans le mid. [01:54:28] Speaker A: Avec Pierre Couture. [01:54:29] Speaker G: Pierre a réussi. [01:54:30] Speaker A: Et Nick Cloutier. [01:54:31] Speaker B: Les chiffres le bouffent. [01:54:33] Speaker H: Radio X. Nick? [01:54:37] Speaker C: Oui? [01:54:38] Speaker B: Vas-tu au football en fin de semaine? [01:54:39] Speaker C: Ben, dimanche, football, Rouge et Or, Tailgate, Radio X. Il reste quelques forfaits, boutique.radiox.com. Tu vas avoir quoi là-dedans? Ton billet, ta bière de Roll Buck, ta pizza Stratos Pizzeria, ton hot dog rave sportive, demi-sandwich, brain smoked meat, morceau de poulet, dixidibouché, sucré, équilibre, traiteur, dégustation de l'alcool, distillerie, stade à conner. Ton billet dans la section 245$ plus taxe. Tu vas capoter. [01:55:03] Speaker B: Capoter. [01:55:04] Speaker C: Dépêche-toi, il n'en reste pas beaucoup. [01:55:05] Speaker B: Concours! Oui, faites aller vos connaissances. Là, on a deux forfaits familiales à faire tirer demain à Frampton. Ça se passe au bassin du club de la Relève Saint-Joseph. [01:55:15] Speaker C: Oui, des motoneiges sur l'eau. [01:55:17] Speaker B: À Frampton. C'est qui d'où ça? [01:55:19] Speaker C: Sur l'eau, c'est des malades, ça. [01:55:21] Speaker B: Ça, c'est capoté, là. Fait qu'on a deux forfaits. C'est pas compliqué, là. Motoneige, sur la messagerie. [01:55:28] Speaker C: Oui, il faut venir chercher les billets d'ici 16h. [01:55:31] Speaker B: J'ai huit billets, ça. Deux forfaits familiales de cash. [01:55:33] Speaker C: Motoneige, votre nom, votre courriel. [01:55:34] Speaker B: Voilà, merci, Nick. [01:55:35] Speaker C: Plaisir à lundi. [01:55:37] Speaker B: Ben oui, merci les auditeurs, parce que sans vous, on n'est rien. [01:55:39] Speaker C: Bonne fin de semaine. [01:55:40] Speaker B: Vous êtes en feu. Jesse, Pat, s'en viennent. [01:55:43] Speaker C: Passons-là. [01:55:44] Speaker B: Max Lacasse est là aussi. [01:55:45] Speaker C: Il est là. [01:55:46] Speaker B: Et lundi, vous allez voir, on a un gros show. On a des gros noms. [01:55:49] Speaker C: Vous allez capoter. [01:55:51] Speaker B: Ciao. [01:55:52] Speaker H: Couture dans le mid. Radio X. Couture dans le mid. [01:56:01] Speaker A: Réécoute les meilleurs moments. [01:56:03] Speaker H: Radio X.com. [01:56:05] Speaker A: L'application Radio X. [01:56:07] Speaker H: Radio. [01:56:08] Speaker A: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [01:56:29] Speaker F: C'est encore jour de grève aujourd'hui et probablement toute la fin de semaine au RTC, le réseau de transport de la capitale, les employés d'entretien voteront cet après-midi pour le prolongement de la grève samedi et dimanche. Ainsi, il se peut qu'aucun autobus ne circule dans les rues de Québec avant lundi, ce qui laisse les 42 000 usagers du transport en commun dans l'embarras. Seule consolation, le service à vélo et flexibus demeure disponible. Les Grands Prix cyclistes de Québec et Montréal prévus vendredi et dimanche prochain inquiètent les autorités québécoises depuis les événements violents des derniers jours à Bilbao, en marge du parcours, dans le cadre de la Vuelta, l'équivalent du Tour de France pour l'Espagne. L'équipe Israël Premier Tech, au centre de la controverse, est dorénavant ciblée par les manifestants pro-palestiniens qui font tout pour saboter la course de vélo en bloquant la route et qui exigent que l'équipe Israël Premier Tech soit bannie par l'UCI. [01:57:21] Speaker C: News Radio X Une présentation de Astral Déménagement, une entreprise familiale au service de votre tranquillité. Emballage, déballage, entreposage, tout est pris en charge. Pour un déménagement sans stress, faites confiance à Astral Déménagement. Plus qu'une entreprise, une famille qui bouge. [01:57:39] Speaker B: Grâce à nos petits bouffeurs de prix. [01:57:40] Speaker C: IGA, profitez des prix vérifiés garantis ou recevez la différence en poissons de plus. [01:57:44] Speaker B: Jusqu'au 10 septembre, la pizza surgelée Dr. Oetker est à 3,47$ pour 320 à 410 grammes. [01:57:50] Speaker C: IGA, vive la paix d'esprit! [01:57:54] Speaker D: Les soldes de la rentrée sont en cours chez Mathieu Performance. Économisez gros sur les vélos 2025. Tout doit sortir avant l'arrivée des vélos 2026. Routes, montagnes, électriques, le plus grand choix à Québec, mathieuperformance.com, Québec-Livie et Saint-Augustin. [01:58:09] Speaker A: Ta situation a changé et tu veux vendre ton véhicule? Va sur ventonschar.com et rapidement reçois une offre en ligne. On paie le meilleur prix du marché. Tous les détails sur ventonschar.com. [01:58:21] Speaker B: Partout où les Canadiens lèvent leurs verres, mon son est là. Pis c'est pas pour rien. Quand ça fait plus de 230 ans que t'es au Canada, t'as été partout. Dans les verres et les frigos des Canadiens, de génération en génération. Molson a une bière pour tout le monde cet été. Alors, lève ton verre ou ce dans quoi tu bois ta Molson. [01:58:38] Speaker H: Santé! [01:58:39] Speaker B: Parce que l'important, c'est pas dans quoi elle est versée, mais où elle est brassée. Canadian Export Ultra Excel. Molson. Tous ensemble. Vous devez avoir l'âge légal de consommer. [01:58:51] Speaker A: Promo exclusive pour vendeurs, acheteurs et investisseurs. Faites affaire avec Christian Dagenais, courtier immobilier résidentiel et commercial et profitez d'une.

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