Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: ♪ ♪ ♪ Couture dans le mid.
[00:00:07] Speaker B: Avec Pierre Couture. Pierre, c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7. Et Nick Cloutier. Pas reposant. Couture. Donc, ça va brasser. Dans le mid. Radio X. 10 heures. Couture dans le mid, je t'aimais dit.
Ah, il y a du stock, il y a du stock, il y a beaucoup d'actualité. On va essayer de vous faire un beau petit condensé, Nick, ça va?
[00:00:35] Speaker A: Ça va très bien.
[00:00:37] Speaker B: Là, 10h40, on va jaser avec Renaud Brossard. Là, ça vient de sortir, mais à 11h ce matin, Mark Kearney va annoncer qu'il recule sur les véhicules électriques. L'imposition au Canada de quotas de vente, notamment en 2026, il y avait un quota...
Les concessionnaires et les fabricants de voitures électriques devaient vendre pour au moins 20% des ventes de véhicules zéro émission. Et ça allait jusqu'à 2030. 60% et 2035, 100%. Là, ce que le gouvernement de Mark Carney va annoncer ou annonce dans les prochaines minutes, c'est qu'il recule. Parce qu'il y a eu une grosse rencontre avec les fabricants de l'industrie automobile.
Il y a quelques mois, Ottawa et eux autres ont été clairs. Ça marche pas, là. On peut pas arriver, on pourra pas arriver à produire et à respecter vos quotas, déjà avec les tarifs et tout ce qui se passe avec Trump. Très compliqué, l'industrie automobile est une grosse industrie au Canada.
[00:01:33] Speaker A: Effectivement.
[00:01:34] Speaker B: Là, lui, il n'y a pas le choix. Donc, il va annoncer qu'il recule sur ces impositions-là. Le gouvernement du Québec va-tu comprendre aussi, là?
[00:01:42] Speaker A: Ben, j'imagine que... Est-ce que le gouvernement du Québec aura pas le choix également de voir ses... ses cibles?
[00:01:47] Speaker B: Ben là, c'est parce que moi je vis au Canada, là.
[00:01:50] Speaker A: Ouais?
[00:01:50] Speaker B: J'comprends que le Québec c'est une province, là, mais là va falloir qu'ils révisent. En passant, le parti québécois, s'il vient au pouvoir, là, lui c'est 2030, 100% de voitures électriques.
[00:01:59] Speaker A: Oui, mais en même temps, si les fabricants suivent pas, je veux dire, à.
[00:02:02] Speaker B: Un moment donné... Oui, mais ils vont payer des amendes. Y'a des amendes liées à ça pour les fabricants de voitures.
[00:02:06] Speaker A: Fait que là, ils vont-tu dire « Ben bon, mais nous, tant qu'à payer des amendes, on va reculer pis on vendra plus au Québec. On va se ramasser avec un fabricant de voitures électriques québécois.
[00:02:16] Speaker B: » Lada.
[00:02:17] Speaker A: Ça va être bleu, les voitures bleues.
[00:02:20] Speaker B: Tout va être bleu. Non, mais je veux dire, ça marche pas là. On vit sur une planète, on est pas tout seul. Donc ça va être annoncé, on va en parler avec Renaud Brossard de l'Institut économique de Montréal à 10h40. 10h20, Gary va débarquer avec ses cas de la semaine comme on le fait chaque semaine. Gary est en feu là. Tout à l'heure on l'a vu, tout feu, tout flambe.
Et 11h20, on va parler de la NFL. Jean Carrier du Soleil va débarquer. Jean est un expert NFL. Il est même un coach, lui, au football. Il connaît la game, là. Il connaît pas mal sa game et la game. On va parler des forces en présence pour la saison. Hier, match Cowboys. Eagles, les Eagles à JC ont gagné, mais c'était serré là.
[00:03:06] Speaker A: Ouais, début de saison aussi là.
[00:03:08] Speaker B: Ouais, mais j'ai trouvé les Cowboys très bons. Mon pressionné Dak Prescott est en feu, pas à peu près.
[00:03:13] Speaker A: Ils vont-tu le rester en santé, c'est sûr.
[00:03:15] Speaker B: Ben c'est ça, l'année passée il était blessé pas mal une bonne partie de la saison. Puis Hearst, Le quart arrière des Eagles a fait... Écoute.
[00:03:23] Speaker A: Ah ben là.
[00:03:24] Speaker B: Un sans faute.
[00:03:24] Speaker A: Ben oui.
[00:03:25] Speaker B: Quoique...
[00:03:26] Speaker A: Une machine.
[00:03:26] Speaker B: Le match a été retardé aussi. Il y a eu une interruption d'une soixantaine de minutes. Troisième quart, ils sont venus.
[00:03:32] Speaker A: C'est long.
[00:03:33] Speaker B: Victoire des Eagles, 24-20. Mais très bon match de foot.
[00:03:38] Speaker A: Puis Barkley aussi. Il m'énerve. Il m'énerve à l'affaire. Il est excellent. C'est pour ça que je l'haïs.
[00:03:45] Speaker B: Il va battre des records encore cette année.
[00:03:46] Speaker A: Je le sais.
[00:03:47] Speaker B: Il bat des records.
[00:03:48] Speaker A: Très bon.
[00:03:48] Speaker B: Ah non. Les autres, ils ont ramassé ça des Giants. Quel Oben qu'ils ont ramassé, les Eagles. Voilà, fait que la NFL est partie, on va en parler à 11h20. Ce soir, Félix Auger-Aliassime a la chance d'atteindre la finale du US Open. Il avait déjà atteint la demi-finale il y a quelques années, je pense. On regarde un peu l'historique.
[00:04:11] Speaker A: Ce n'est pas évident.
[00:04:12] Speaker B: Hey! Sinner. Hier, je regardais, il y avait des matchs de femmes aussi. Sabalenka n'est pas assez facile.
Perdu le premier set, est allé aux toilettes, est revenu, puis paf, paf, paf, paf, paf. Terminé. Donc voilà, Félix Auger. Puis là, on va avoir aussi Alcaraz contre Djokovic. Ça aussi, ça va être un très bon match. Ça va être en après-midi au US Open. Et ce soir, le Québécois va être sur le Tarmac. C'est quand même un stade impressionnant. Je pense qu'il y a 23 000 places. Tu joues au tennis.
[00:04:45] Speaker A: Hé, il y a du monde. C'est la pression aussi, hein?
[00:04:48] Speaker B: Ah oui, non, mais écoute, tout est là. Le stade Arthur Ashe, à New York, ils l'ont rénové, puis on met un toit. Ils ont pensé à ça. Eux autres, ils avaient toujours des problèmes de la pluie, puis tout ça. Ça fait que... Hé, 23 000 places. Pense à ça, là. Tu joues au tennis, t'as 23 000 personnes. Là, t'es à New York, il y a des vedettes. Si tu vois, les vedettes sont partout. Capoté Beret, donc, ce soir. Gros match pour Félix Auger-Aliassime. Il l'a déjà battu.
Il a déjà battu en 2022 Sener, mais Sener montait, parce que Sener, il montait assez vite, hein. D'ailleurs, soupçon de dopage aussi autour de Sener, l'Italien. Il a été suspendu, hein. Il avait trouvé des... des... Comment t'appelles-tu ça, là? Des résidus.
[00:05:34] Speaker A: Ok.
[00:05:34] Speaker B: Ouais. Lui, il a dit, ben, c'était pour mes cheveux. C'était-tu ça? C'était... Ah, mes cheveux. Je perdais mes cheveux.
[00:05:41] Speaker A: Ouais, ouais, ouais, je me rappelle de ça, ouais. Hé là là.
[00:05:44] Speaker B: C'était... c'était Josée Trudor qui avait dit ça aussi?
[00:05:48] Speaker A: Ouais, les cheveux.
[00:05:49] Speaker B: Il disait qu'il perdait ses cheveux pis il avait trouvé des traces de substance. Mais là, dans le cas de Sennheiser, écoute, le gars est monté tellement vite. Beaucoup de questionnements sur le dopage. Est-ce qu'il y a du dopage aux tenues? Je pense que oui.
[00:06:01] Speaker A: Ben, je pense qu'il y en a dans malheureusement tous les sports.
[00:06:05] Speaker B: Oh oui, tu sais, tu regardes le hockey, les gars, ils sont testés pour certains types de produits, là. Mais, tu sais, il n'y a rien qui empêche de prendre beaucoup de produits masquants. Pis... Écoute, c'est des athlètes, là.
[00:06:19] Speaker A: Oui, oui.
[00:06:20] Speaker B: Au tennis, t'es-tu seul, hein? T'es-tu seul contre toi-même, là? Tu es seul contre l'adversaire? Au vélo, c'est ça aussi, là. Tu peux être en équipe aussi.
[00:06:27] Speaker A: Au vélo aussi, il y a des... Je connais moins ça, là, mais ce que j'ai entendu, c'est qu'il y a des stratagèmes, là.
[00:06:34] Speaker B: Il y a du travail d'équipe aussi. Dans le cas du vélo, là, ça devient très compliqué. C'est des globules blancs, des globules rouges, puis là, de l'oxygène, puis ça va loin.
[00:06:43] Speaker A: On change de sang, puis écoute... Oui.
[00:06:46] Speaker B: On t'injecte du sang avec des... Des.
[00:06:48] Speaker A: Globules rouges, en tout cas.
[00:06:50] Speaker B: Une espèce de sang boosté.
[00:06:54] Speaker A: C'est quand ils vont en montagne, je pense.
[00:06:56] Speaker B: Entre autres.
[00:06:57] Speaker A: Surtout de réserve, OK?
[00:06:59] Speaker B: Ouais. Ben, on l'avait vu avec Lance Armstrong. Lui, il avait eu des traitements pour le cancer. Donc lui, il était comme... Puis après ça, je pense qu'il a eu des histoires de dopage aussi confirmées. Voilà, donc... Ben, Senor. Moi, j'invente rien, là. Senor, il avait été pogné. Il était pris dans une histoire de dopage. Puis ça remet en question son ascension rapide. Le gars est passé de je sais pas trop combien à numéro un. Ben, il est gros, il est grand, puis il frappe la balle, là.
Donc voilà, ça va être à suivre ce soir. Là, on a la confirmation. À Lisbonne, le funiculaire qu'il y a dérapé pis que...
[00:07:32] Speaker A: Méchant accident.
[00:07:34] Speaker B: C'est affalé, c'est empalé en bas, là. Ben, il y aurait deux Canadiens, dont une franco-canadienne.
[00:07:40] Speaker A: Oh.
[00:07:41] Speaker B: Ça, ça vient de la France, parce que là, le gouvernement du Canada dit rien. C'est comme le reste, là.
[00:07:47] Speaker A: Eux, en retard.
[00:07:48] Speaker B: En retard, c'est la nouvelle. Pas nouveau. Mais la nouvelle vient de la France. C'est un des ministres français qui aurait dit qu'il y a une franco-canadienne parmi les victimes. Est-ce qu'il y a deux franco-canadiens? Est-ce que c'est deux Québécois? On le sait pas. Parce que là, ils doivent avoir rejoint les familles aussi. Mais moi, je suis allé à Lisbonne. Je l'ai vu. Je suis allé là-dedans, dans ce funiculaire-là. Ça descend pas à peu près. C'est une côte à pique de même.
Et ça a lâché. Écoute, là, on remet en question l'entretien, les câbles là-dedans, c'était vieux. C'est très, très vieux.
[00:08:20] Speaker A: Mal entretenu.
[00:08:20] Speaker B: Mal entretenu. Mais le funiculaire, c'est à Québec aussi qu'il avait débarqué. Donc voilà, ça va être à suivre cette histoire-là de peut-être Québécois, Canadiens.
[00:08:32] Speaker A: Franco-Canadiens.
[00:08:33] Speaker B: On est des Franco-Canadiens du nord de l'est de l'Ontario.
[00:08:37] Speaker A: Vous êtes québécois?
[00:08:39] Speaker B: On est des franco-franco québécois, canado-canadiens.
[00:08:43] Speaker A: Québécois, canadiens, canadiennes de l'oeil, françaises.
[00:08:46] Speaker B: Ça ressemble à ça pas mal. Bon, regarde, on va suivre ça. Hey, RTC! À matin, moi, mon fils... Non, pas d'autobus. Mon fils est revenu hier du show de System of a Down de Toronto.
[00:08:58] Speaker A: OK.
[00:08:58] Speaker B: À un morceau.
[00:08:59] Speaker A: Ouais, il est tout revenu? Non, c'est bon.
[00:09:01] Speaker B: Un grand pélérinage. Là, il y avait du cégep à matin.
[00:09:06] Speaker A: Oh, pas d'autobus.
[00:09:07] Speaker B: Pas d'autobus, fait qu'il est parti deux heures avant.
[00:09:09] Speaker A: Puis c'était un méchant problème pour tous ceux qui travaillent également le week-end, qui n'ont pas nécessairement de voiture.
[00:09:14] Speaker B: Ben aujourd'hui?
[00:09:14] Speaker A: Ben aujourd'hui et en fin de semaine.
[00:09:17] Speaker B: Là, en fait, là, ce qu'on comprend, c'est que le syndicat Des employés d'entretien ont une rencontre à 9h30 ce matin. On va présenter l'offre. On va-tu voter? Parce que si on vote, on a un vote favorable.
[00:09:29] Speaker A: La grève est supposée être finie.
[00:09:31] Speaker B: La grève tombe. Là, je sais pas si t'as vu, le STM aussi, à Montréal, ils se donnent le go pour le mois de septembre.
[00:09:37] Speaker A: Un autre mandat de grève.
[00:09:38] Speaker B: Fait que, écoute, tout est organisé. D'ailleurs, on va poser la question.
[00:09:43] Speaker A: Oui.
[00:09:43] Speaker B: Les questions que tu as là.
[00:09:45] Speaker A: Oui, je les ai. Je les ai notées.
[00:09:46] Speaker B: D'ailleurs, pourquoi ce n'est pas un service essentiel, ça?
[00:09:49] Speaker A: Bien, de un, c'est-tu normal que, quoi, c'est quelques centaines d'employés, la RTC, au niveau de l'entretien? À près.
[00:09:55] Speaker B: Peu Quelques centaines d'employés qui monopolisent le reste.
[00:09:57] Speaker A: Est-ce normal qu'une centaine d'employés puissent paralyser l'ensemble de la Ville de Québec au niveau du transport en commun? Puis est-ce que les services publics comme le transport en commun ne devraient pas être considérés comme essentiels à l'avenir?
[00:10:11] Speaker B: Oui. Parce qu'il l'est pas, hein, l'essentiel.
[00:10:13] Speaker A: Non. T'sais, est-ce que le gouvernement pis le RTC devraient avoir plus de pouvoir pour imposer un retour au travail? Y'a ça aussi, là.
[00:10:22] Speaker B: Y'a tout ça dans l'équation parce que la dernière fois, c'est pendant le festival d'été.
[00:10:26] Speaker A: Ouais.
[00:10:26] Speaker B: Ça a été dix jours, c'était ça? Plusieurs jours.
[00:10:29] Speaker A: C'était dix jours. Finalement, les gens se sont quand même...
Pardon. Ils sont quand même organisés. Au festival d'été, ils ont trouvé des solutions.
[00:10:38] Speaker B: Ils ont fait chier tout le monde en ville. Moi, t'sais, à un moment donné, je veux bien que les gens du RTC gagnent des 100 000$ par année. Moi, ça me dérange pas, vous êtes payés par des fonds publics. Mais t'sais, à un moment donné, c'est parce que là, vous paralysez du monde qui ne gagne pas 100 000$.
[00:10:53] Speaker A: En effet.
[00:10:54] Speaker B: Des petits travailleurs, puis du monde poigné pour aller prendre l'autobus parce que les autres n'ont pas les moyens de s'acheter un char.
[00:11:00] Speaker A: Ben là ça va être Uber, taxi, vélo, covoiturage.
[00:11:04] Speaker B: Taxi, tu peux pas payer de taxi comme ça de même, je monte à la job en taxi.
[00:11:08] Speaker A: Ben non.
[00:11:09] Speaker B: Là je sais que les avélos ça marche un peu, mais il y a plein de moyens.
[00:11:13] Speaker A: Ça dépend, je sais pas si t'habites à Val-Bélair, tu travailles dans, je sais pas moi, dans Vanier, ton avélo. Tu vas en pélaler une shot?
[00:11:22] Speaker B: Ben en plus t'as une demi-heure pour te rendre à vélo, t'as une durée limitée.
[00:11:26] Speaker A: C'est vrai?
[00:11:26] Speaker B: Ben oui, il faut que tu remettes le vélo.
[00:11:28] Speaker A: Non mais sinon tu payes plus?
[00:11:29] Speaker B: T'as une pénalité, mais je pense qu'après 2-3 strikes, c'est « you're out ».
[00:11:33] Speaker A: Ben voyons.
[00:11:33] Speaker B: Oui, ils veulent pas que le monde se promène des heures avec ça. Tu vois un point A, un point B. Là, faut que tu changes de vélo, si tu veux faire un autre ride, faut que tu reparges un autre ride pis... Ah, moi je savais pas ça. Y'a une durée limitée, ben oui.
[00:11:45] Speaker A: Je pensais que tu payais moins le nombre d'heures que tu l'utilisais là.
[00:11:47] Speaker B: Ben là, c'est parce que tout le monde parait le vélo, je m'en vais à la maison deux heures, je m'étire, je repars, parce que t'as des forfaits, tu peux prendre un abonnement au mois ou à deux mois, trois mois, même pour l'été. Je pense que ça coûtait 169 piastres l'abonnement pour l'année au complet, ben l'été au complet.
Donc voilà, t'sais, c'est... on est pogné là-dedans. RTC, baby.
Hey, Legault.
[00:12:13] Speaker A: Ouf.
[00:12:14] Speaker B: La CAQ. Là, c'est pas à peu près, là. Hier, c'est la ministre Laforêt, André Laforêt, qui a annoncé son départ. De ce qu'on comprend, c'est qu'elle avait pas dit à personne qu'elle partait. Elle avait... Legault, il l'avait rencontré dans les derniers jours, là, pis il avait offert d'autres ministères. Pis elle, elle avait pas dit à la gang de la CAQ. Parce que la gang de la CAQ, quand tu dis que tu t'en vas, là, C'est des rencontres de café, puis c'est « viens, viens, on va jaser, voyons, reste avec nous autres, encore, voyons. » Fait qu'elle, elle a annoncé clairement qu'elle quittait hier, et ça a été un onde de choc auprès des autres députés, mais surtout ministre. Elle était ministre, celle-là, André Laforêt. Elle s'en va à la course à la mairie, au Saguenay. Et là, ce matin, ce qu'on entend, c'est qu'il y aurait un autre élu, Pierre Dufault. Lui, il est du côté de l'Abitibi.
Lui, il menace le gouvernement. Lui, c'est l'ex-ministre des forêts. Il avait perdu son poste de ministre.
[00:13:08] Speaker A: Ouais.
[00:13:09] Speaker B: T'sais, la fonderie Orne, là, ça rouine.
[00:13:12] Speaker A: Oui, oui, oui.
[00:13:13] Speaker B: Ça brasse beaucoup, là, aussi.
[00:13:14] Speaker A: Absolument.
[00:13:14] Speaker B: Lui, il dit s'il n'y a pas une représentation meilleure des régions, notamment de la Bétibi, moi, je chaque mon cas. Donc là, hey, ça commence à... Là, le gars, il dans le trouble pas à peu près, là. Parce que là, il y a une partielle qui va avoir lieu à Saguenay.
[00:13:27] Speaker A: Il n'a pas le choix.
[00:13:28] Speaker B: D'ici... c'est six mois, hein, après la démission d'un député. Donc là, il va une partielle. Il pourrait avoir une partielle en Abitibi. Non, non, là, ça tire de partout, là. Puis là, moi, ce qu'on nous dit, c'est qu'il y aurait d'autres départs potentiels à Québec.
[00:13:39] Speaker A: Bien, assurément. À Québec.
[00:13:41] Speaker B: À Québec. Région de Québec.
[00:13:43] Speaker A: Ça va être à Julien.
[00:13:44] Speaker B: Non, non, non, non, pas généralisé. Ah non?
[00:13:46] Speaker A: Ben je sais pas, moi je regarde les ministres de la région de Québec.
[00:13:47] Speaker B: Ben je te dis plus la Rive-Sud, là. Je parle de la grande région de Québec.
[00:13:50] Speaker A: OK. Bernard-Andréville?
[00:13:51] Speaker B: Non.
[00:13:53] Speaker A: Bon alors, ma députée, là.
[00:13:55] Speaker B: Hein?
[00:13:56] Speaker A: Comment elle s'appelle, là?
[00:13:57] Speaker B: Il y a beaucoup, beaucoup de gens à la CAQ qui sont frustrés, là. Comment est-ce qu'il s'appelait la chose, là? Ils citent l'ancien préfet de la MRC, là, dans Beauce, là.
[00:14:07] Speaker A: Luc Provençal?
[00:14:07] Speaker B: Ben peut-être!
[00:14:08] Speaker A: Ouais?
[00:14:09] Speaker B: Il est dans Bellechasse, aussi.
[00:14:12] Speaker A: J'essaie de voir les ministres de la région de Québec.
[00:14:15] Speaker B: Mais du monde! Comment qu'il s'appelle? Geneviève Guilbeault?
[00:14:18] Speaker A: Geneviève!
[00:14:18] Speaker B: Est-ce qu'elle va rester là?
[00:14:19] Speaker A: Ouais.
[00:14:20] Speaker B: S'il enlève son titre de vice-première ministre? Non, non, je te le dis, sa grenouille, là, c'est parti. Les rumeurs sont parties. Et là, même pas à mot couvert, c'est Pierre Dufault. Lui, il est allé dans les médias. Ça vient juste de sortir. Il dit, moi, je regarde toutes les options. Je pourrais être indépendant. Je pourrais rester indépendant. Il pourrait peut-être se joindre aux partis québécois.
Le PQ a le vent dans les voiles, pas à peu près. Je sais pas si t'as vu s'il y avait une élection où ce qu'André Laforêt, c'est le Saguenay. Le PQ rentre à 51%.
[00:14:49] Speaker A: C'est ça qui va arriver. Habituellement, Saguenay, Lac-Saint-Jean, ça a toujours été pas mal péquiste.
[00:14:55] Speaker B: Et dans le cas de Pierre Dufault, lui, il dit « Je veux une meilleure représentation, notamment du côté de l'Abitibi, au Conseil des ministres. » Pis il dit « C'est pas une menace, on n'est même pas là. On n'est même pas là. On n'est même pas à la table des décisions. » Ça, ça avait été tout un coup de jarnac.
[00:15:10] Speaker A: C'est Biron que je cherchais. La ministre Biron, elle va rester.
Ben c'est parce que t'sais, je regarde qui pourrait démissionner là.
[00:15:18] Speaker B: Ben y'a plein de monde, dick!
[00:15:19] Speaker A: Ben non, mais vont-tu le faire?
[00:15:21] Speaker B: Ça fait deux Ça là. fait deux là, je t'en ai...
[00:15:22] Speaker A: Dans la région de Québec, pas sûr.
[00:15:23] Speaker B: André Laforêt, Pierre Dufour. Non, non, mais je te parle de La Beauce là.
[00:15:26] Speaker A: Ouais, La Beauce, ça se pourrait. Luc Provençal.
[00:15:27] Speaker B: Ben c'est la grande région de Québec, La Beauce.
[00:15:28] Speaker A: Ah ben le Chasse aussi, là. La Chance, qu'est-ce qu'elle s'appelle, là?
[00:15:31] Speaker B: Madame La Chance, oui.
[00:15:32] Speaker A: Ouais, ça se pourrait.
[00:15:34] Speaker B: Mais t'sais, encore là, ils vont attendre jusqu'au but, là. Tu vois bien que la CAQ est en train de se désintégrer, là. C'est pas drôle là, c'est pas drôle.
[00:15:41] Speaker A: Ce qu'il se passe. Ben non mais t'sais, les gens voient ce qu'il se passe pis ils disent moi je vais me tendre plus là.
[00:15:45] Speaker B: Ben Sam, est-ce que Legault, moi t'sais à la limite, Legault doit-il démissionner?
[00:15:49] Speaker A: La question que je me posais ce matin quand j'en regardais l'actualité là, il dit qu'il veut faire le ménage dans la fonction publique là pis il veut améliorer l'efficacité de l'État. Christy, pourquoi ça fait... T'es-tu posé à avoir fait ça depuis 8 ans? Il va te dire « ah c'est bien une pandémie ». Ben pourquoi depuis 2022 tu travailles pas là-dessus?
[00:16:07] Speaker B: Non non mais Legault il dit « je veux m'attaquer à la bureaucratie ».
[00:16:09] Speaker A: Exact.
[00:16:10] Speaker B: On l'a-tu à côte quand il dit que les trois premières années là, on fait ça comme ça, pis là quand on arrive à la quatrième année, on arrive là là, c'est la quatrième année là, là on commence à jaser là. Là ça veut dire que lui, pis là ça classe ça à clics, ils ont-tu l'air d'une gang de mêlés. Y'a Koskinen a mis de quoi en ligne sur l'affaire de notre vote là.
Elle se fait ramasser le monde là. Gagne de pourris. Vous êtes même pas, quand on l'a vu, vous avez jamais de souvenirs. Vous êtes toute une gagne d'amnésiques. Tout ce que vous voulez, c'est on vous a confié notre argent et vous êtes même pas capable de la gérer. C'est vrai pareil. On les a vu aller à la commission. Galants, ils sont tous arrivés. Ils nous disaient qu'ils ne se souvenaient plus de rien. Tu fais confiance à ce monde-là après ça?
On l'a dit à la Côte-de-Lourdes? Là, on a quatre ans, donc bon. Les deux premières années, même les trois premières, là, on va faire ce qu'on pense qui est bon. Puis la quatrième année, bien là, on commencera à se soucier des sondages. On a dit ça. Bien, d'après moi, les sondages, ils étaient à zéro, là.
[00:17:10] Speaker A: Tu sais, de faire la ménage en bureaucratie, là, il aurait dû s'attaquer à ça depuis le début. Parce qu'il le disait. Ça faisait partie des promesses de 2018. Rappelle-toi, on va faire le ménage dans la fonction publique.
[00:17:23] Speaker B: Là, il parle... Écoute, la caque, tu sais. Là, il dit qu'il veut revenir à la base. Mais ta base, là, elle est plus là. Ils sont partis. T'avais 6 ans, 7 ans pour les convaincre, pis tu l'as pas fait. Fait qu'on va souhaiter bonne chance à M. Legault. En fin de semaine, y'a des téléphones qui vont se faire, là. Parce que quand y'a un remaniement, là, ils brassent des cartes. Là, j'suis pas sûr que tout le monde est au courant de comment ça va aboutir, là. Là, Pierre Dufour, là, qui sort, là, j'suis pas sûr que lui, il va être ministre, là.
[00:17:50] Speaker A: Ben non.
[00:17:51] Speaker B: Puis lui il dit moi que je sois là ou je ne suis pas là, je m'en fous. Mais je veux que la région soit représentée au conseil des ministres, ce qui n'est plus le cas là. Ou à tout le monde.
Donc là, ça vient de partout, la fronte vient de partout.
[00:18:04] Speaker A: Ça va assurément grenouiller.
[00:18:06] Speaker B: Puis là, c'est parce que ces gens-là ont fait confiance à François Legault. Legault, ben oui, je vais m'occuper de vous, je vais vous donner des hausses de salaire. Puis toi, Nick, tu veux être sur un comité, hein?
[00:18:17] Speaker A: Oui, ah oui, j'aimerais ça.
[00:18:18] Speaker B: Le comité où vous faites un tour de la planète, vous allez voir.
[00:18:21] Speaker A: Ah oui, ça, ce serait le fun. Un compte de dépense aussi?
[00:18:25] Speaker B: Oui.
[00:18:25] Speaker A: Ok.
[00:18:26] Speaker B: Tu m'as parlé que tu voulais le parlementarisme francophone.
[00:18:29] Speaker A: Ah oui, ça, ça me tient à coeur beaucoup.
[00:18:31] Speaker B: Parfait. Fait qu'on va te donner ça.
[00:18:33] Speaker A: Ah oui.
[00:18:34] Speaker B: Tu vas fermer ta gueule, par exemple.
[00:18:35] Speaker A: Ah! Bon ben c'est beau.
[00:18:37] Speaker B: Mais là...
[00:18:38] Speaker A: Tu me le donnes.
[00:18:39] Speaker B: Mais là, tu seras pas réélu, là.
[00:18:40] Speaker A: Hein?
[00:18:41] Speaker B: T'as vu les chiffres, là?
[00:18:42] Speaker A: J'vais tu avoir ma pension?
[00:18:44] Speaker B: Je sais pas. Je sais pas. Ça te tente-tu de nérobattre avec nous autres?
[00:18:47] Speaker A: Ah, ça me tente plus! La caque, c'est de la chnoute!
[00:18:49] Speaker B: C'est ça.
Regarde, on va en entendre de tous les couleurs. D'après moi, les langues se délient. Pour les journalistes à la colline parlementaire, c'est merveilleux. Hey, le tunnel du boulevard Laurier, c'est le tunnel que le ministère des Transports est en train de construire pour les autobus. Oui. Ben là, écoute. Parce que la rumeur voulait qu'il n'y ait pas d'autobus qui passent. Dans le tunnel, il y a deux autobus qui se rencontrent l'un en face de l'autre.
[00:19:15] Speaker A: Il y a deux trucks.
[00:19:16] Speaker B: Là, ils ont fait venir deux camions, ils disent « on rassure la population, la rumeur est fausse que le futur tunnel réservé aux transports en commun, c'est sous le boulevard Laurier là.
[00:19:26] Speaker A: Oui, tu arrêtes de le construire, je passe là tous les jours.
[00:19:28] Speaker B: Il y a de l'argent là.
[00:19:29] Speaker A: Il y a beaucoup d'argent là.
[00:19:31] Speaker B: D'après moi, on va blower le budget. De ce que je comprends, Ça ne coûtera pas ce que ça devait coûter.
[00:19:37] Speaker A: Mais là, y'a-tu quelqu'un qui est surpris? C'est fait de même au Québec.
[00:19:40] Speaker B: Mais l'argument c'était qu'il n'y a pas deux autobus qui puissent passer. Soit en face de l'autre ou côte à côte.
[00:19:47] Speaker A: En tout cas, j'ai pas vu les photos là. Je le vois là, mais je veux dire...
[00:19:51] Speaker B: On a mis deux camions là.
[00:19:52] Speaker A: Quand je pense près, c'est quand même assez large.
[00:19:56] Speaker B: C'est ça. Mais la rumeur étant que, hein?
[00:19:58] Speaker A: Ben là, ça va marcher, là.
[00:19:59] Speaker B: Pourquoi on fait un tunnel? C'est quoi l'histoire du tunnel?
[00:20:02] Speaker A: Ben, on veut passer... On veut que les autobus qui arrivent de la Rive-Sud, entre autres, là, passent directement pour éviter de la congestion. C'est ce que j'avais compris à l'époque quand on a présenté ça. Fait que les autobus vont passer sous l'oreiller pendant un bout, là, quand même. Pour justement...
[00:20:18] Speaker B: Pour sortir sur l'Orient un petit peu plus loin.
[00:20:19] Speaker A: Oui, oui, plus loin que de l'église. J'imagine que c'est pour... Ça, c'est dans tout le plan de travail concernant la restructure du pont de Québec, pont La Porte. Tous les échangeurs près du pont, l'aquarium, tout ça qu'on est en train de faire, ça fait partie du projet sur l'avenue des hôtels et tout ça. On veut permettre aux autobus qui arrivent du pont de Québec de passer en dessous, carrément.
[00:20:40] Speaker B: Donc le MTQ qui a fait une sortie pour rassurer tout le monde. Tout va bien aller.
Inquiétez-vous pas, on a le contrôle de tout ça. Une autre affaire qui fait beaucoup jaser, c'est les détaillants qui sortent. On dit qu'il y a de plus en plus de crimes organisés dans les magasins. Des crimes, en fait, des vols en réseau. Ils débarquent dans un petit commerce ou encore dans une grande surface. Ils sont plusieurs à opérer en même temps. Des gangs organisés. On vole la marchandise.
Et là, c'est les détaillants québécois qui sortent pour dire « Écoutez, là, c'est devenu une problématique importante.
[00:21:19] Speaker A: » Nous, là… Et peurants aussi.
[00:21:20] Speaker B: Ben, c'est parce que là, toi, t'es tenté de courir après ce monde-là?
[00:21:24] Speaker A: Non.
[00:21:25] Speaker B: Ben, moi, je me souviens, là, je travaillais chez HMV, j'étais dans les disques. Mais on le savait, nous autres, quand le premier du mois arrivait, là… Y'avait des vols, t'sais, parce que quand les.
[00:21:34] Speaker A: Gens sortaient avec des... Ben oui, on les watchait, là.
[00:21:36] Speaker B: Ben ça sonnait. Ti-ti-ti-ti. Fait que là, moi je partais après ce monde-là. Un moment donné, mon boss se dit « Hey, laisse ça aller, là.
[00:21:42] Speaker A: » Mais à l'intérieur de nous, moi aussi, je fais de la même, là. J'ai le goût... J'aurais le goût de courir après avec des pognés.
[00:21:48] Speaker B: Ben oui.
[00:21:48] Speaker A: Mais c'est parce que là, y'a un enjeu de sécurité.
[00:21:50] Speaker B: Ben j'sais pas si t'as vu, là, dans un commerce au détail comme ça, y'a un employé qui est parti après un voleur. Le gars sortit un gun pis y'a tiré dessus.
[00:21:57] Speaker A: Non, mais c'est ça l'affaire, là.
[00:21:58] Speaker B: Le gars, y'est rendu paraplégique, là.
[00:22:00] Speaker A: T'sais, y'a un enjeu de sécurité, t'as bien beau vouloir être le héros, là, mais c'est bien de se faire ça.
[00:22:04] Speaker B: Les gars, à ce temps-là, c'est des commandes de crimes organisés. Et puis, ils t'envoyent, t'sais, je veux dire, le gars, un gun ou un.
[00:22:11] Speaker A: Couteau, il peut t'arriver, fait que... Faut laisser aller, mais là, ça devient un fléau majeur.
[00:22:18] Speaker B: Ben là, les autres disent que là, ça commence à être... ça dépasse les bornes. Mais c'était le cas aux États-Unis, pis ça, on le voyait pas au Canada tant que ça, mais là, ça a dépassé les frontières. Et là, on voit dans les épiceries, la boisson, les aliments, la viande, les appareils électroniques, les électroménagers, chaussures, accessoires, santé, beauté, les parfums.
[00:22:39] Speaker A: Tu sais ce que ça démontre? Ça démontre deux choses. Les gens ont de plus en plus faim, dans le sens où les mondes n'ont plus d'argent et on n'est pas capable, du côté policier, d'avoir assez d'effectifs pour contrer ça pis ils le savent très bien.
[00:22:55] Speaker B: Ben ils le savent très bien. J'sais pas si t'as vu, la police de Québec qui répond plus aux appels de vol de vélo, entre autres. Mais pour le vol à l'étalage, là.
[00:23:03] Speaker A: Ben quand tu le sais, tu seras pas pogné, là.
[00:23:05] Speaker B: Ils se présentent-tu encore, les policiers? Ben... Non, non, mais je veux dire, là, c'est vraiment un problème. À Québec, là, la police... On l'avait encore, récemment, là. C'est le chef de police qui est sorti pis il disait « Ben nous, on y va avec la priorité.
[00:23:16] Speaker A: » Ouais, ouais, je comprends, mais mettons que t'as un appel pour du vol à l'étalage. Normalement, ça devient assez prioritaire, là.
[00:23:24] Speaker B: Ouais, mais ça semble être pas prioritaire pour la police, là. Là, c'est rendu que les détaillants, ils disent là, on sait plus quoi faire. On engage des gardiens de sécurité, mais le monde est armé. Moi, mon gardien de sécurité est pas armé, là.
[00:23:36] Speaker A: Non, pis tu veux pas jouer avec ça, là.
[00:23:38] Speaker B: Pis tu veux sortir un taser dans le cou devant tout le monde, comment tu veux... Tu sais, tu veux pas arriver à l'altercation.
[00:23:44] Speaker A: Ben non.
[00:23:46] Speaker B: C'est capoté, là.
[00:23:47] Speaker A: Je sais, mais c'est... Ça démontre pas qu'on s'en va dans la bonne voie, là.
[00:23:52] Speaker B: Ça démontre aussi que la police... « Defund the police », là. Il y a des municipalités qui commencent à investir dans la police.
[00:23:59] Speaker A: Il n'y a pas le choix.
[00:24:00] Speaker B: La police de Québec s'est rendue un fléau, là. Tu te fais voler ton vélo, ils viennent même plus. Organise-toi.
[00:24:06] Speaker A: Y'a des gens qui me racontaient hier sur la messagerie, hier ou avant hier quand on parlait de ça, que eux autres se sont fait voler des vélos quand même d'une bonne valeur.
[00:24:15] Speaker B: Plusieurs milliers de dollars. 5000 piastres un vélo, y'a rien là.
[00:24:18] Speaker A: Pis ils se sont fait dire non on enquêtera pas. Appelle tes assurances.
[00:24:22] Speaker B: Ils rappellent même pas.
[00:24:24] Speaker A: Don't call us, we'll call you. Faut.
[00:24:27] Speaker B: Que t'ailles au poste de police faire une déposition. Là tu remplis une feuille pis... Ça sert à rien. Appelle tes assurances. Ouais mais je veux dire à un moment donné.
[00:24:35] Speaker A: Ça va avec le reste Pierre, malheureusement le service diminue partout. Même la protection.
[00:24:41] Speaker B: On vient d'avoir un nouveau poste de police. Ça a coûté des millions.
[00:24:45] Speaker A: Je sais.
[00:24:45] Speaker B: Il n'y a rien de plus payant qu'un vélo volé. C'est un 100% de profit. Le crime n'est pas puni. Il n'y a pas d'immatriculation.