Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: 29 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. Couture.
[00:00:09] Speaker B: Dans le mid.
[00:00:12] Speaker A: Avec Pierre Couture.
[00:00:13] Speaker C: Pierre c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7.
[00:00:16] Speaker A: Unique l'outil.
[00:00:17] Speaker B: Couture. Donc ça va brasser.
[00:00:20] Speaker D: Dans le mid.
[00:00:21] Speaker B: Radio X. 10 heures ben pile.
Couture dans le midi jusqu'à midi. On est avec vous pour les deux prochaines heures. Et oui, il y a beaucoup de matériel. Ça se confirme. Des choses qu'on a jasées hier dans le show. Nick, ça va?
[00:00:44] Speaker D: Ça va très bien.
[00:00:45] Speaker B: Hier, avec Luc Ouellet, Luc nous a sorti une grosse balle l'autre bord du stade, hier. Il nous a confirmé que Bonnardel ne se représentait pas et qu'il serait écarté du Conseil des ministres. Selon les informations qu'il avait, bien là, c'est partout, là, actuellement.
c'est l'histoire du jour. Donc François Bonnardel qui va être écarté du conseil des ministres parce qu'il a annoncé à François Legault qu'il ne se représentait pas. Donc c'est plus facile d'écarter quelqu'un dans ce cas-là. Mais je pense qu'il sentait aussi le tapis se dérober sous ses pieds parce que...
[00:01:17] Speaker D: Je pense que oui.
[00:01:18] Speaker B: Avec la performance qu'il a offerte à la commission Galland sur sa clique, qui était sous sa tutelle, à un moment donné, bien, c'était assez désastreux pour son image politique.
Et dans le cas de Geneviève Guilbeault, ce qu'on comprend, c'est qu'elle, elle va être épargnée parce qu'on va lui donner un autre ministère.
[00:01:36] Speaker D: Ouais, c'est ça.
[00:01:37] Speaker B: On va lui enlever son titre de vice-première ministre, mais on va lui donner... Je sais pas, là, on va lui mettre... On va-tu lui donner l'environnement? On va-tu lui donner un espèce de... un ministère de plantes vertes? Ça se peut, là. Ça se peut qu'elle hérite de quelque chose, là.
[00:01:50] Speaker D: Ça se peut très bien, on le saura d'ici la fin de la semaine.
[00:01:54] Speaker B: Demain, on dit qu'autour de 13h.
[00:01:57] Speaker D: Ça sera annoncé.
[00:01:58] Speaker B: François Legault va prendre la parole. On a des extraits à vous faire jouer, notamment dans le comté à Bonnardel.
[00:02:05] Speaker D: Oui.
[00:02:05] Speaker B: Les autres ne sont pas contents.
[00:02:07] Speaker D: Bien non.
[00:02:07] Speaker B: Ils ne comprennent pas.
[00:02:09] Speaker D: En Estrie, entre autres.
[00:02:10] Speaker B: Les autres, c'est Grambé.
[00:02:11] Speaker D: Grambé, oui.
[00:02:12] Speaker B: François Bonnardel, souvenez-vous, François Bonnardel, Dans une époque pas si lointaine, c'est-à-dire 2017-2018, c'était le pitbull de la CAQ, avec Éric Caire. Ça, François Bonnardel, ici à Chouin, il venait tout le temps. Moi, je me souviens, à l'époque, j'étais journaliste au Soleil puis au Journal de Québec. Bonnardel appelait tout le temps, puis c'était le critique de la SAQ, puis c'était, vous allez voir, on va avoir des réformes, puis des sociétés d'État, puis on va révolutionner le Québec, vous allez voir, ça va être écoeurant. Ça va être un nirvana pis Écoute, il venait ici, il débarquait ici, je pense qu'il couffait dans le lounge avec Legault pis Éric Ayres là, c'est tout le temps ici.
Et c'est le gars qui s'est écrasé, puis qu'à un moment donné, tu lui parlais, puis il répondait même pas, puis... Je veux dire, quel... Bonnardel, là, tu le vois, il a l'air complètement plus là, plus sur le poste.
[00:03:06] Speaker D: Il dit très, très déçu.
[00:03:07] Speaker B: Très déçu, ouais, ouais. Tu veux la performance qu'il a donnée à Commission Galant?
[00:03:11] Speaker D: Très déçu.
[00:03:12] Speaker B: Mais on est déçus dans son comté.
[00:03:14] Speaker D: Ah oui, bien là, c'est Radio-Canada qui a fait un vox pop. C'est sorti tantôt sur l'émission.
[00:03:19] Speaker B: Oui, exact.
[00:03:19] Speaker D: Les gens sont pas contents, là. Voilà. Je trouve ça dommage parce que c'est quand même une bonne personne, puis il est proactif, il fait beaucoup de choses.
[00:03:26] Speaker A: Pour nous ici dans la région.
[00:03:27] Speaker D: Je trouve qu'il a fait un bon travail. Il a fait beaucoup pour Grenby.
[00:03:30] Speaker E: Si le premier ministre choisit de le.
[00:03:31] Speaker B: Faire, c'est qu'il a des raisons. Moi, je trouve ça exagéré. Ben Arndel, il est pas pire que les autres.
[00:03:37] Speaker D: Pas pire que les autres?
[00:03:38] Speaker B: Mais non. Il est pas pire que les autres.
[00:03:40] Speaker D: Ben Arndel, pas pire que les autres?
[00:03:41] Speaker B: Il est bien fait, c'est un bon député. Ben oui, il est un bon député, mais... Écoutez, sa performance, on l'a.
[00:03:48] Speaker D: Faites la bête, vous lâche.
[00:03:50] Speaker B: On a sa performance à la commission Galen, il savait rien, il était amnésique complètement, il a perdu la...
[00:03:54] Speaker D: Mais, pas pire que les autres.
[00:03:56] Speaker B: Il a perdu la mémoire. Est-ce que vous étiez à la cap.
[00:03:58] Speaker D: D'Avoir eu ou vu des redditions de comptes, de la SAG dans le projet CASA?
[00:04:02] Speaker B: De mémoire, non.
[00:04:03] Speaker D: De mémoire, non. Pas mémoire, non.
[00:04:05] Speaker E: Cet article-là...
vous dit quelque chose.
[00:04:09] Speaker B: C'est très vague.
[00:04:10] Speaker E: Par l'article de M. Biron, je vous ai mentionné, les dossiers s'agirent dans le dossier Santé Québec. Est-ce que ça aussi, ça vous dit un petit quelque chose?
[00:04:17] Speaker B: Vaguement.
[00:04:18] Speaker D: Vaguement.
[00:04:18] Speaker E: Donc, est-ce qu'on parle, j'imagine, aussi de.
[00:04:20] Speaker D: La gestion de risque, du mode agile.
[00:04:22] Speaker E: Puis les particularités du contrôle? C'est vague.
[00:04:24] Speaker D: C'est vague, M. Poqueur.
[00:04:25] Speaker B: Je n'ai pas l'information pourquoi ça fut... Ça peut paraître long, j'en comprends, mais... 15 février 2021, à laquelle vous participez.
[00:04:34] Speaker D: Que Mme Tremblay indique qu'il y a 44 millions supplémentaires.
[00:04:38] Speaker E: Donc, on passe de 6,38 à 6,82.
[00:04:40] Speaker D: C'est votre souvenir également.
[00:04:42] Speaker B: Non. Ça, non. J'ai pas mémoire.
[00:04:44] Speaker D: Non, je ne me souviens pas de rien.
[00:04:45] Speaker B: Non. Hé, là, ça fait pas mal de monde, là, qui sont dans les portes tournantes.
[00:04:48] Speaker D: Oui.
[00:04:49] Speaker B: Là, t'as Bonnardel, Sécurité publique, André Laforêt, qui était aux affaires municipales. T'as Lamontagne qui était, lui, à l'agriculture.
[00:04:56] Speaker D: Ouais, pis Pierre Dufault.
[00:04:57] Speaker B: Pierre Dufault, pis t'as aussi la madame qui était aux affaires... Oui. Comment qu'elle s'appelle? La famille? Comment qu'elle s'appelle, elle? Nonne quatrième, là. Bon, ça fait...
[00:05:05] Speaker D: Un roi.
[00:05:06] Speaker B: Madame un roi. Donc ça fait cinq personnes avec Pierre Dufault. qui disent... Pierre Dufault était pas au conseil des ministres.
[00:05:14] Speaker D: Non, non, non, mais quand même, lui, il s'est fait de sacrés rapports parce qu'il a osé demander.
[00:05:22] Speaker B: Là, la seule qui pourrait provoquer une partielle, c'est André Laforêt, qui a dit, moi, je me présente à la mairie de Saguenay, donc il va falloir qu'elle quitte.
Mais Bonnardel dit qu'il va rester.
[00:05:30] Speaker D: Oui, il reste jusqu'à la fin.
[00:05:31] Speaker B: Après ça, André Lamontagne dit qu'il va rester. Madame Arroi va rester. Et là, du faux, là, on n'est pas sûrs parce que là, c'est Pablo Rodriguez qui vient de sortir. Ça fait quelques minutes. Puis il dit, on va essayer de l'amener avec nous autres. Il va essayer de le faire passer chez les libéraux. Parce que Pablo Rodriguez semble le connaître depuis une dizaine d'années, ce qu'il dit. Puis il dit, j'ai discuté avec lui au cours des dernières heures, puis je vais essayer de l'amener. Je vais essayer de le faire traverser.
la grande traversée du désert à l'Assemblée nationale, il va l'amener du côté des libéraux. J'ai hâte de voir. Pis là, écoute, c'est demain, hein? Donc il peut arriver d'autres choses, à tous les jours, là, depuis un certain temps. Depuis la semaine dernière, c'est à chaque jour, il y a des nouvelles où, là, il y a des transfuges. Il y a du monde qui dit « moi, je m'en vais d'ici ».
[00:06:18] Speaker D: Pis t'sais, est-ce que François Legault a choisi carrément de sacrifier Bonnardel pour sauver Geneviève?
Ça aussi. Dans le dossier, ça clique. C'est François Bonnardel qui était là le plus longtemps. Tu sais, j'extrapole. Qui était là au début, depuis 2018. Geneviève Guilbault a hérité du ministère juste en 2022. T'es moins au courant. Ça se peut-tu qu'on l'ait sacrifiée pour sauver? Geneviève Guilbault.
[00:06:45] Speaker B: Pas impossible. Pas impossible, mais chose certaine, Geneviève Guilbault va passer la trappe aussi. Elle va perdre son titre de vice-première ministre. Là, on dit que c'est Sonia Lebel ou Mme Fréchette qui pourrait hériter de ce titre-là.
[00:06:56] Speaker D: Sonia Lebel, d'après moi.
[00:06:58] Speaker B: Selon Luc Ouellet, ce serait sûrement elle. Luc Ouellet semble avoir des bonnes plots.
[00:07:04] Speaker D: Bien connecté.
[00:07:06] Speaker B: C'est lui qui nous a dit que Bonnardel partait et que c'était fini pour Bonnardel hier. Et pendant ce temps, sondage, nouveau sondage, la CAQ continue de dégringoler. On est rendu à 11% des intentions de vote. C'est pas des farces.
[00:07:21] Speaker D: C'est un rat de marée.
[00:07:23] Speaker B: Il y a un an, on était à 22%.
[00:07:27] Speaker D: Ah non, c'est une catastrophe pour la CAQ. Catastrophe.
[00:07:31] Speaker B: Non, non, c'est épouvantable. Et Legault est-il encore là dans la situation? Moi, je pense, de toute façon, vous le voyez, un remaniement, là. On fait brasser, puis là, on brassera pas grand-chose, parce que t'envoies du monde qui était absent. Tu sais, je veux dire, André Lamontagne, on le voyait jamais. Madame Roy, on voyait jamais ça. André Laforêt, on voyait jamais ça. Bonnardel, on le voyait parce qu'il était... il était des médias à cause de... comme si on galant, puis tout ça.
Mais c'était pas un gars qui était très... C'est tout le temps le gars qu'on voit, c'est Geneviève Guilbeault. Après ça, qui qu'on voyait beaucoup d'Alain Ville, Sonia Lebel, bien les autres vont rester là. Donc on va jouer encore avec les mêmes fâches d'Alain Barrette.
Donc je sais pas que l'impact du remaniement, là les aiguilles ne bougent plus non plus. T'sais, on va dire 11%, le PIQ, 38%. Écoute, 38 là c'est le meilleur score.
[00:08:23] Speaker D: Ben oui.
[00:08:24] Speaker B: Je pense Pauline Marois va atteindre ça avant 40 en minoritaire. À l'époque c'est quoi, 2012 je pense. Le Parti libéral fait du... bien, il est parti de 18 %, il est radié à 27. Il monte un peu.
[00:08:36] Speaker D: Ce qui peut changer la donne pour le Parti québécois à un an des élections, je pense que c'est le Parti libéral si Pablo Rodriguez commence à sortir, commence à faire la job. La misère. Oui, ils ont de la misère.
[00:08:49] Speaker B: Pablo, de la misère. C'est très difficile. Le commissaire Galland, il n'a pas profité non plus du momentum. Montcef l'a fait, mais c'est pas Pablo.
Et là, on va le voir avec le remaniement, est-ce qu'on va être capable de sortir et d'avoir aussi du chien. Parce que ce qu'on va faire aussi avec le remaniement, on va proroger la session, donc on va gagner du temps. La CAQ va gagner du temps. Sur le timeline, on va repartir de la session au début octobre, en tout cas un petit peu plus loin. Et là, les libéraux devront mordre, puisque ça, Maroua. Et Ski, elle est là aussi. Elle, elle va mordre. On l'espère qu'elle va avoir du mordant. Et le PCQ de Duham, 15 %, ça nous ramène à mars 2025. Le PCQ, t'es à 15 %.
[00:09:33] Speaker D: Mais là, le PCQ est devant la CAQ.
[00:09:35] Speaker B: Oui, c'est ça, c'est ça, le drame.
[00:09:37] Speaker D: Oui, bien, c'est pas un drame, moi.
[00:09:39] Speaker B: Je... Non, mais pour la CAQ.
[00:09:39] Speaker D: Ah oui, oui.
[00:09:40] Speaker B: C'est pour eux autres, c'est affreux.
[00:09:42] Speaker D: Non, c'est toute une volée.
[00:09:44] Speaker B: Puis QS est à 8. Là, tu vois le changement de chef, le départ de M. Nadeau-Dubois.
Ben, ça marche pas, là. C'est Dubois. Nadeau-Dubois, c'est ça.
[00:09:53] Speaker D: Je pense qu'il y avait quand même une sympathie du public. Je pense que ça permettait à Québec solidaire d'avoir une meilleure image, je pense.
[00:10:05] Speaker B: Oui, mais tu vois, Vlaunin, t'es à 12. En mars, t'es à 10. Là, ils sont à 8.
[00:10:09] Speaker D: Ah non, ça va pas, là.
[00:10:10] Speaker B: Rubas-Gazal passe pas du tout. Pis là, ben là, tu vois, le nombre de députés, la CAQ aurait zéro député. Duhem, on aurait peut-être 8. Possibilité de 8.
Mais en tout cas, regarde, c'est difficile de se faire une traile à travers cette gang-là. Très, très l'immédiat, très à gauche, très péquiste. Tu vois que les PQ ont une belle, belle...
Au niveau médiatique, le PQ a vraiment une... Je ne sais pas s'il y a une faveur des journalistes ou des salles de presse.
[00:10:37] Speaker C: Je pense que oui.
[00:10:37] Speaker B: Mais c'est simple. Regarde, c'est comme acquis. Il n'y a pas de problème. Le PQ, challengez jamais... On ne challenge jamais Paul St-Pierre Plamondon.
[00:10:44] Speaker D: Écoute, j'écoutais une émission samedi fin de journée à Radio-Canada. La radio de Radio-Canada, OK? Puis on parlait pas nécessairement du Parti québécois en tant que tel, mais ce que je comprenais, on disait carrément que la droite au Québec, là, ça a pas sa place, là.
[00:11:00] Speaker B: Ah, mais ces journalistes sont tous à gauche!
[00:11:02] Speaker D: Ben voilà.
[00:11:02] Speaker B: T'écoutes Radio-Canada, puis là, ils se posent toutes la question, t'es-tu souverainiste? Ben, ah, j'ai déjà été souverainiste, puis là, je suis... là, je...
[00:11:10] Speaker D: On était sur la souveraineté, Pierre, puis là, une souveraineté de droite, ça se peut pas, parce qu'il faut absolument que la souveraineté, un pays, ça doit se faire avec une culture qui est forte.
[00:11:23] Speaker B: Mais c'est pas ça qu'on dit, les gens de droite. Surtout Gert. Gert, il chite, là.
[00:11:27] Speaker D: Mais je te rapporte ce que j'entendais. J'aurais aimé ça être sur ce panel-là pour réagir.
[00:11:32] Speaker B: Non, mais si j'allais faire, c'est que le monde de la droite, la culture n'existe pas.
[00:11:35] Speaker D: C'est complètement faux.
[00:11:38] Speaker B: C'est pas ça. C'est pas ça qu'on vous dit. C'est gérer au moins vos finances publiques, comme du monde.
[00:11:42] Speaker D: Est-ce que la culture doit être 100 % financée par l'État? C'est ça, le point?
[00:11:46] Speaker B: Moi, je pense que l'État doit financer la culture, mais pas comme là.
[00:11:50] Speaker D: Exactement.
[00:11:51] Speaker B: Là, à un moment donné, il y a une limite. Je veux dire, t'es artiste, ben ouais, sors pis vends-en des... finance-toi toi aussi. Moi, je mettrais du financement collaboratif, d'une part, mais du financement où tu dois trouver ta part de financement. Moi, je vais te financer, mais trouve... Tu veux te lancer, tu veux un album, tu veux faire un projet, ben trouve ta part de financement aussi dans ton projet.
Tu veux faire un film, t'es un cinéaste. T'arrives à combien d'argent? Tu veux que l'État te donne de l'argent? T'arrives à combien d'argent dans ton projet? Ton projet est évalué à 5 millions. Moi, je vais te donner 600 000.
[00:12:30] Speaker D: Est-ce que ton projet va être rentable? Est-ce que c'est grand public? Est-ce qu'il y a moyen de faire de l'argent avec ça? Parce que le cinéma, c'est une business. Mais pour la gauche, la culture doit être financée parce que la culture est une image d'une population, d'une société.
[00:12:43] Speaker E: Tu comprends?
[00:12:44] Speaker B: Oui, je comprends. Mais en même temps, il faut discuter avec ces gens-là. Je suis pas sûr qu'ils auront une once de discussion à ce niveau-là.
[00:12:51] Speaker D: Je pense qu'ils ne croient pas que la culture doit être une business, tandis que je pense que la culture doit être une business à quelque part.
[00:12:59] Speaker B: Bien, elle doit rapporter, ça.
[00:13:00] Speaker D: Oui, ça rapporte.
[00:13:01] Speaker B: Oui, oui, ça rapporte dans la société. Je sais pas, un moment donné, c'est 11 milliards, l'autre, c'est 3 milliards. Hier, Dumas, il faisait des cotes puis il disait ça. Un moment donné, dans le même show de Radio-Canada, dans la même journée, on parlait d'11 milliards, de retomber, puis la culture. Après ça, on parlait de 3 milliards.
[00:13:15] Speaker D: C'est parce que, mettons que tu prends la musique au Québec, c'est très restreint, puis il y en a qui veulent survivre parce que c'est difficile, puis ils veulent aller chercher tout l'argent possible. C'est ça le problème.
[00:13:27] Speaker B: Oui, mais c'est parce qu'il y a beaucoup de têteux de subvention dans le monde de la musique.
Regarde le country, comment ça fonctionne très bien. Il n'y a pas tant de têteux de subvention là-dedans.
[00:13:37] Speaker D: C'est le modèle. Le modèle ne fonctionne pas avec les quotas, avec les radios musicales qui passent tout le temps, et même Moses d'affaires. Il faut revoir tout ça pour permettre... Il y en a des gens qui font des festivals à longueur d'été qui ne sont pas nécessairement connus, qui ne jouent pas nécessairement dans les radios, qui tirent très, très bien leur épingle du jeu.
[00:13:55] Speaker B: Je pense que c'est Paul Darèche qui racontait ça, lui. À un moment donné, tout le monde riait de lui dans l'industrie, mais c'était lui qui écrivait.
[00:13:59] Speaker D: Il vendait ses cassettes, ses disques.
[00:14:01] Speaker B: Non, mais lui, il est millionnaire, ça fait longtemps. Bien voyons. Lui, ça fait longtemps que l'argent, il vient du privé. Il vient de ses profs initiatives, sa merch.
[00:14:10] Speaker D: Ils l'ont travaillé, la merch?
[00:14:10] Speaker B: La merch, comment tu appelles ça? La merch. Les produits dérivés.
[00:14:13] Speaker D: Oui, oui, les t-shirts.
[00:14:14] Speaker B: Entre autres. Mais regarde, c'est tout ça. Mais regardez, 38 % de PQ, moi, je pense qu'on a atteint un sommet.
[00:14:22] Speaker D: Mais pour revenir à ce sondage-là, t'sais, pour que le PCQ soit à 15 %, et qu'il pourrait peut-être aller chercher 7-8 députés, ça veut dire que Éric Duhem, depuis les quatre dernières années, a fait une solide job, là.
[00:14:36] Speaker B: Oui, absolument, mais il plafonne depuis un an, là.
[00:14:39] Speaker D: Il y a ça.
[00:14:40] Speaker B: Moi, je regarde, là, 14 %, voilà, un an, septembre, 14 %, novembre 2024, 13 % pour le PCQ, mars 2025, 15 %, juin, 14 %, puis là, septembre, 15 %.
Donc il va falloir peut-être stepper une autre marche. Est-ce qu'on peut changer le discours? Est-ce qu'on... Mais le PCQ, eux autres, ce qu'ils veulent, c'est avoir trois ou quatre députés.
[00:15:01] Speaker D: Mais je pense que ton... ce que t'as lancé depuis une couple de semaines en onde, tu sais, qu'il pourrait y avoir quelqu'un avec lui, là, je pense que ça pourrait vraiment aider.
[00:15:10] Speaker B: Mais oui, parce qu'il faut changer l'image, puis ça prend une image... Parce qu'Éric est très polarisant, et il y a beaucoup de monde qui sont pas capables. Éric Duhem, ils sont pas capables. Mais si tu amènes des coportes-paroles, je sais pas comment faire, là, je sais.
[00:15:21] Speaker D: Pas... Bien, pas comme Québec solidaire, mais d'avoir peut-être...
[00:15:24] Speaker B: Là, on a Karim El Ayoubi, je pense que c'est le vice-président du parti. Lui, il me disait des fois, il vient sur des tribunes, mais il faut amener peut-être une femme, il faut amener un visage plus proche des valeurs québécoises, parce qu'à 15 %, on va être dans marge. T'as 3-4 députés. T'es sûr d'avoir les 3-4 députés? T'es pas sûr? Ça va être serré, parce que le PQ va rentrer fort partout. Tu risques peut-être de finir deuxième dans bien des comtés. Chaque région de Québec, on est deuxième derrière le PCQ. On est deuxième derrière le PQ. Donc ça te donne peut-être des comtés, mais t'es-tu sûr de les avoir? Parce qu'aux dernières élections, on pensait de n'en avoir, mais on s'est fait avoir. Dans le cas du PCQ, donc... T'as.
[00:16:08] Speaker D: Encore de l'ouvrage à faire.
[00:16:09] Speaker B: Il y a de la com à faire. Il y a de la com. Et là, tu te dis, oui, oui, mais oui, il y a de la com à faire. Parce que depuis un an, on plafonne.
Le PCQ plafond, regarde, c'est là. Le PCQ passait de 34 à 38.
[00:16:20] Speaker D: Bien, il est là, c'est là. La CAQ, tout ce qui était à la CAQ, il est passé en grande partie au Parti québécois.
[00:16:28] Speaker B: Au Parti libéral.
[00:16:29] Speaker D: Au Parti libéral.
[00:16:30] Speaker B: Le Parti libéral, il est passé de 18, ils sont rendus à 27 en un an. Le PCQ, c'est 14 à 15. La CAQ, de 22 à 11.
[00:16:40] Speaker D: Quelle dégringolade.
[00:16:42] Speaker B: Puis, Québec solidaire, de 12 à 8.
Fait que ceux qui ont fait un examen de conscience, c'est Québec solidaire et la CAQ.
[00:16:50] Speaker D: Mais la CAQ pourra pas s'en sortir. Je veux dire, c'est le gouvernement à poste. C'est une écoeurite du gouvernement.
[00:16:56] Speaker B: Même un remaniement, je vois pas comment ces gens-là vont pouvoir s'en sortir. L'autre histoire qui fait beaucoup jaser aujourd'hui, c'est l'histoire des écoles. Un demi-milliard, pensez-y, un demi-milliard pour une école, c'est dans le coin de Montréal, c'est dans le coin de... je pense que c'est Château-Gay, c'est ça?
Hé, un demi-million, on est rendu à 468 millions, quelque chose comme ça. On a dépassé les coûts de 124 millions pour une école secondaire. Moi, je vous vois bien, là. Mais 500 millions, pensez-y, un million de dollars, vous avez, mais t'sais, t'as quelque chose, là. Un million, là. Là, tu dis 500 millions pour une école secondaire. Il y a de quoi qu'il marche pas. Et si vous dites, ben oui, mais c'est comme ça, que voulez-vous, on se fait avoir, pis... Tsé, on peut pas accepter ça, on peut pas accepter qu'une école secondaire coûte 500 millions, pis qu'on regarde la parade. Tu sais, je veux dire, là, elle m'a donné le ministère de l'Éducation. Il y a-tu un moyen de trouver une façon?
[00:17:54] Speaker D: Mais comment on peut être rendu à un demi-milliard pour une école?
[00:17:57] Speaker B: Non, mais c'est parce qu'il y a de la corruption, là. Je veux dire, il y a pas d'autre solution, là.
[00:18:01] Speaker D: Voyons, c'est donc ben mal... Non, non.
[00:18:02] Speaker B: On fait rire de nous autres partout sur la planète. Écoute, un demi-milliard pour une école secondaire, je comprends, là, mais c'est...
[00:18:09] Speaker D: Voyons donc!
[00:18:10] Speaker B: C'est de la construction, tough, là! Une école secondaire, tu fais ça pour quoi, 50 ans? Fait que c'est de la brique, c'est du béton, Là, je comprends qu'on met des fenêtres et on met des affaires, mais tu fais ça pour longtemps, donc ça doit être solide.
[00:18:23] Speaker D: Je comprends, mais à un moment donné...
[00:18:26] Speaker B: Je n'ai parlé la semaine dernière avec M. Elayoubi, médecin, au niveau de la santé, pourquoi on ne prend pas le... Moi, je créerais une espèce de fonds, un fonds où on transfère tout l'immobilier du ministère de l'Éducation dans un fonds, un fonds privé, mais qui est détenu à 51 % par le ministère de l'Éducation. Et là, je vais me chercher 49 % d'investisseurs étrangers ou étrangers autres que le gouvernement. Donc, je reste majoritaire. Je transfère dans le périmètre tout l'immobilier. Donc, j'ai une valeur associée à ça. Là, je me finance. Et là, en contrepartie, je compense le ministère de l'Éducation. Je donne un montant d'argent. À partir de là, lui devient locataire.
Et là, tous les projets, moi, je les mène de front avec mon fonds privé d'investissement qui est parti au ministère de l'Éducation. Mais je ne me fais plus fourrer à 500 millions pour une école secondaire. Et après ça, ma coquille loue au ministère de l'Éducation les écoles. Puis moi, je suis propriétaire à 51 %. L'État demeure propriétaire à 51 % de l'immobilier.
[00:19:31] Speaker D: Ça coûte plus cher construire une école secondaire dix ans plus tard que le Centre Vidéotron.
[00:19:38] Speaker B: Ah, c'est complètement débile.
[00:19:40] Speaker D: Ça a coûté 400 millions.
[00:19:41] Speaker B: Ouais.
[00:19:42] Speaker D: En 2014, d'autant, là.
[00:19:43] Speaker B: Exact, exact.
[00:19:43] Speaker D: Fait que dix ans plus tard, construire une école secondaire, là, qu'est-ce que tu dis, là?
[00:19:46] Speaker B: Une école secondaire de quoi? Combien d'élèves? J'ai pas le chiffre, là, rapide. Bien, toujours est-il que... Non, ça tient pas, là.
[00:19:54] Speaker D: Ça coûte 100 millions de plus qu'un édifice Comme le centre Vidéotron?
[00:20:00] Speaker B: Ça coûtait 344 millions en 2020. Là, on est rendu à 475... 470, 475... On est rendu à 460 millions.
[00:20:14] Speaker D: Hé! Ça a pas de bon sens!
[00:20:15] Speaker B: C'est complètement débile. Ça tient pas, les chiffres ne tiennent pas. T'expliques ça à du monde qui sont en finance, là, pis ils disent qu'on se fait fourrer quelque part.
[00:20:23] Speaker D: Mais là, tu vois, il y a quelqu'un qui dit, là, faites attention, les écoles, en ce temps, elles ont des normes, tout ça. Peut-être qu'il y a trop de normes aussi.
[00:20:30] Speaker B: Là, il y a ça aussi.
[00:20:31] Speaker D: C'est pas normal que ça coûte 500 millions.
[00:20:33] Speaker B: Non, non, c'est pas normal. C'est pas normal. Parle à n'importe qui dans business, l'immobilier. D'ailleurs, notre invité, il est là. On va lui parler là-dessus.
[00:20:40] Speaker D: Une école privée secondaire, 700 élèves, 15 millions.
[00:20:43] Speaker B: Non, ça marche pas. Ça marche pas. Un demi-milliard, ça marche pas là. Que vous soyez le plus innocent possible, vous connaissez pas les chiffres là, ou quelqu'un connait les chiffres, il va te le dire là. Non, non, on s'est fait fourrer quelque part.
[00:20:55] Speaker D: Mais voyons donc.
[00:20:56] Speaker B: À peu près là. Là, il y a de la corruption, il y a de la magouille là-dedans, c'est sûr. Même si on me dit qu'il n'y en a pas là, il y en a. Tu peux pas payer ça. Moi, j'accepterais jamais ça là.
[00:21:05] Speaker D: Ben, probablement qu'il y a trop de normes puis il y a trop de bâtons dans les mousses. Il y a quelque chose qui marche pas.
[00:21:09] Speaker B: Il y a quelque chose qui marche pas. Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas. Notre invité, il est là, Nicolas Goyand, de la Fédération canadienne des contribuables. Nicolas, une école à 500 millions, il y a-tu quelque chose qui ne fonctionne pas, là?
[00:21:21] Speaker E: Non, effectivement, ça ne fonctionne pas du tout, puis ce n'est pas la première fois qu'on entend parler d'une explosion de coûts pour la construction d'une école.
Je pense qu'on avait déjà parlé auparavant de l'école qui va être conçue dans le coin de Prévost, qui va coûter pas loin de 226 millions de dollars. C'est un quart de milliard, encore une fois, pour un point d'attendissement qui va accueillir environ 1200 élèves. C'est quand même énorme. Et encore là, on avait des dépassements de coûts qu'on s'attend à avoir. apparaître sous peu. Mais oui, j'essaie de trouver, en fait, des comparatrices avec des écoles secondaires américaines qui auraient pu peut-être coûter aussi cher, et j'essaie... et j'en trouve pas, en fait. J'ai comme l'impression qu'on a vraiment une exception sous nos yeux présentement au Québec.
[00:21:58] Speaker B: Mais là, tu vois, l'école en question, là, c'est 2 512 places, OK? Puis c'est 460 millions, puis là, il y a des dépassements de coûts, là. Non, non, il y a quoi qui marche pas? Je peux pas concevoir, ça marche pas.
[00:22:10] Speaker E: Exact. Puis c'est drôle parce qu'à chaque fois qu'on entendait parler de la part du gouvernement, de François Legault, comme quoi il y avait des réinvestissements qui étaient faits en éducation. On voyait les enveloppes budgétaires augmenter, on l'a vu pour les salaires, mais on oublie aussi qu'une bonne partie des enveloppes étaient également orientées vers les infrastructures en éducation, parce qu'il y a une partie du budget qui est orientée dans les infrastructures de chacun des ministères. Et finalement, en éducation, on réalise de plus en plus qu'une des raisons pour laquelle on a vu des budgets explosés. Il y a une façon de parler, bien sûr. Ce n'est pas nécessairement à cause des investissements qui ont été faits au niveau des services aux élèves, mais plutôt parce qu'on a fait sauter la caisse pour les nouvelles écoles qui sont construites présentement. Ce n'est pas la première fois qu'on voit un dépassement de coûts aussi monumental sous le gouvernement de la CAQ, on s'entend. On pourra parler de tous les projets informatiques, mais si on retourne, par exemple, les fameuses pardon, les maisons pour les aînés, par exemple. On a vu le coût passer pour une porte à quasiment 1,7 million, si je ne me trompe pas. C'est complètement démesuré. Donc je dirais que pour une école qui est rendue à coûter un demi-milliard, quand on est rendu avec deux écoles qui coûtent ensemble trois quarts de milliard, ça ne fait aucun sens.
[00:23:18] Speaker B: Mais pourquoi on créerait pas une division? Tout à l'heure, je parlais de ça. Un fonds d'immobilier qui appartient à 51 % au gouvernement du Québec, mettons, le ministère de l'Éducation. Puis sur les terrains, on a des terrains, on construit des nouvelles écoles, mais on fait aussi du développement peut-être résidentiel, on peut faire du commercial. Puis on va chercher 49 % d'investisseurs étrangers dans ce fonds-là et on transfère toute la... Dans le fonds, le fonds deviendrait le propriétaire des immeubles Et le gouvernement se ferait donner une compensation et après ça, on louerait à ce joueur-là les besoins d'école. Et avec un 15-20 ans, des baux, on signerait des baux de 15-20 ans. On pourra pas payer 500 millions dans le privé, c'est pas vrai. C'est pas vrai qu'un gars construise une école à 500 millions dans le privé.
[00:24:05] Speaker F: Exact.
[00:24:05] Speaker E: Si vous confiez la gestion de ces projets-là au privé, c'est garanti que vous voyez les coups de fonds de près de 50 %, si pas plus, du jour au lendemain. Mais oui, je pense que le partenariat public-privé pour la gestion de nos intérêts...
[00:24:17] Speaker B: Mais le fonds d'immobilier concret appartient à 51 % au gouvernement.
[00:24:23] Speaker E: Puis ça serait déjà bon. Bien, je veux dire, moi, ça serait quasiment trop, en fait, parce qu'il y aurait quand même un genre de veto qui serait remis au gouvernement pour la plupart des projets.
[00:24:30] Speaker B: Oui, mais tu comprends que les revenus du fonds deviendraient... Ça viendrait au gouvernement. Ça fait que là, on écarterait tous les paniqueux de PPP, là. Mais en même temps, tu sais, le fonds, là, tu développes une expertise dans le fonds immobilier, puis t'as du rendement après, là, parce que tu loupes dans le fonds. Le gouvernement se louerait lui-même ses propres écoles, mais il irait chercher du rendement là-dessus, puis il se ferait pas fourrer sur un 500 millions pour une école, là.
[00:24:53] Speaker E: Ça serait déjà une très bonne piste de solution. Puis en fait, je serais presque intéressé de savoir ce que Bernard Drinville en pense, parce qu'à la fin de la journée, c'est quand même le ministre d'Éducation qui est supposé être lui, qui connaît un minimum les dossiers qui se rattachent au coût des infrastructures. Donc j'ai pas encore vu de sortie de sa part à ce sujet-là, mais c'est sûr et certain que si on n'est pas construit dans cette direction-là, c'est sûr qu'éventuellement, on va se dire qu'on manque d'argent pour construire d'autres écoles. Puis je veux dire, à la fin, quand on réalise tout l'argent qui est mis dans ces différentes écoles-là, que ce soit à Châteauguay ou à Prévost, Il n'y a personne au monde qui va s'opposer à la construction d'une école. Mais à la fin, il va falloir quand même qu'on se pose la question, est-ce que ces ressources-là sont bien utilisées? Est-ce qu'on n'est pas en train de priver ou d'asphyxier d'autres secteurs de l'éducation pour des projets d'infrastructure dont on a carrément perdu le fil des coûts? Et je suis très intéressé de savoir comment les appels d'off ont été faits. Est-ce qu'il y a eu plus qu'un joueur qui a piqué ou c'est les mêmes joueurs qui ont constamment les mêmes contrats qui sont renouvelés constamment?
[00:25:49] Speaker B: Qui se partagent la tarte. On les connaît, c'est tout le temps les mêmes. Même chose pour les hôpitaux. Ici, à Québec, on a un hôpital qui devait coûter 1,97 milliard. Là, on est rendu à 2,66 milliards, puis ça va finir à 3,5, puis on est sur ça sur 12-14 ans.
[00:26:05] Speaker E: Ça n'a aucun bon sens.
[00:26:07] Speaker B: Ça n'a aucun sens.
[00:26:08] Speaker E: Pourtant, quand on regarde la moyenne canadienne, un hôpital, en général, devrait coûter à peu près 1 à 1,2 à 1,3 milliards de dollars. Je pense qu'au Québec, on est une des seules places où est-ce qu'on voit la facture gonfler qui atteint des 3 milliards de dollars. On a souvent parlé des commissions d'enquête. On en voit présentement avec la commission Gallant, on a eu la commission Gomery et la commission Charbonneau qui portait justement sur les... sur le coût de la construction au Québec, sur tout ce qui se passait en termes de corruption, de copinage. Puis je me demande, finalement, est-ce qu'on a vraiment trouvé des solutions, est-ce qu'on a tiré des leçons de cette solution-là? Parce que quand on regarde, finalement, quelques années plus tard, comment est-ce que tous les coûts explosent... Et entendons-nous, c'est pas l'inflation qui provoque les explosions des coûts d'infrastructures présentement. C'est un problème beaucoup plus profond et qui n'a clairement pas été adressé par les dernières commissions. À la limite, je pense que ça serait le temps de refaire une nouvelle commission, mais je ne suis pas sûr que le gouvernement de François Legault a le goût de se lancer là-dedans. Ils ont déjà de la difficulté présentable avec la Commission Galant et avec tout le ramènement ministériel qui s'amène dans les prochains jours. Donc, je serais surpris de voir le gouvernement de François Legault, comme commandé, faire un aveu qu'effectivement, ils ont aussi perdu le contrôle, non pas juste sur les projets informatiques, mais aussi sur les projets de construction. Et donc, ils vont essayer de faire la lumière là-dessus pour finalement exposer davantage d'incompétence sur leur gouvernement.
[00:27:21] Speaker B: Bien, on l'a vu, Commission Galant, là, on les a vus passer, là. Bonnardel, Guilbault, Legault, Koskinen puis Ouellet.
Tous ces gens-là, l'histoire des prix puis des coûts, ça les intéressait pas. Mais si tu t'intéresses pas aux prix puis aux coûts, bien, tu te fais fourrer. Ça te tente pas de gérer l'État. Tout ce qui t'intéresse, c'est des résultats, puis de te faire healer aux quatre ans. Bien, c'est ça que ça donne. Ça donne des écoles secondaires à un demi-million.
[00:27:51] Speaker E: Surtout quand on a des nouvelles ministres du transport qui arrivent à l'improviste comme ça et qui prend pour acquis que six bullet points est suffisant pour y résumer l'état d'un projet de plusieurs centaines de millions de dollars. Normalement, quand on est ministre, et je veux dire, je n'ai jamais été en politique moi-même, mais quand on obtient un tel dossier, quand on est à la tête d'un militaire aussi important, généralement, on fait ses devoirs qu'on arrive dans une nouvelle position. On prend le temps de faire des suivis, puis si jamais on a sous la main un projet de plusieurs centaines de millions de dollars, je m'attends à un plus gros debriefing qu'à quelques bullet points en fin de balle, en fin de document, pour m'expliquer que oui, tout est beau, il y a des feux verts, inquiète-toi pas, puis finalement, ça nous tente d'en faire quelques mois plus tard. Donc il y a eu de l'incompétence, puis il y a vraiment eu un manque de vigilance monumental. Puis on commence à se douter que finalement, c'était peut-être généralisé, puis que ça touchait plus que quelques ministères.
[00:28:37] Speaker B: Et puis là, on a vu des témoignages de... Comment t'appelles-tu ça? Chef de cabinet, là? Chef de cabinet Éric Kerr, c'était lunaire, là. La fille, elle avait jamais rien vu. Elle prenait même pas de notes. Il lui demandait, ben ouais, mais t'accompagnais du monde dans les briefings, prenais-tu des notes? Non, non. Moi, je faisais juste transmettre des documents. Hey, payé à 150 000 par année, là.
[00:28:56] Speaker E: C'est le courroie de transmission à 150 000 $ par année. Je pense qu'on n'a pas pu avoir la meilleure caricature de la haute fonction publique à Robert. C'était le témoignage. C'était parfait, mais malheureusement, quand on regarde ça, on se dit qu'on paie des impôts comme ça ne se peut pas au Québec et qu'on paie pour ça au final. Ça n'a pas de bon sens.
[00:29:14] Speaker D: Mais à partir du moment, en revenant sur les infrastructures comme une école, tu vois, il y a des auditeurs qui nous disent qu'ils travaillent présentement sur un projet d'agrandissement. Puis c'est fou à quel point on dépense pour du luxe qu'on n'aurait pas besoin de dépenser comme des rames d'escalier en verre, tout ça. Il n'y a pas personne qui vérifie, je veux dire, avant qu'on approuve le plan de construction. Il n'y a personne qui vérifie ça.
[00:29:35] Speaker B: C'est pas leur argent, ils s'en foutent là, tu sais.
[00:29:39] Speaker E: L'École de prévôt parce que c'est le premier cas qui a sauté aux yeux de bien du monde. On regardait ça, c'est présenté comme des écoles modernes. Donc le gouvernement, il met ça de l'avant en disant, non seulement on va faire une nouvelle école, mais tant qu'à hier, on va introduire un paquet de nouvelles écoles. dans l'école, on va mettre un paquet de laboratoires, un paquet de salles d'art, un auditorium qui peut accueillir pas loin de 700 personnes. Je comprends qu'il faut avoir quand même des locaux adaptés pour les différents types de programmes scolaires, mais quand on regarde ça, on se dit que finalement, c'est tout un... On est loin, en fait, de ce que devrait être au minimum, je veux dire, dans les standards de base d'une école. Je veux dire, on devrait se concentrer quand même sur l'essentiel. Puis après ça, si on voit qu'il y a des besoins supplémentaires, bien là, on s'adaptera. En conséquence, il y aura des constructions supplémentaires dans le temps.
En amont, le gouvernement prépare déjà des écoles du futur, alors qu'on n'est même pas sûr de savoir si elles vont être complètement remplies. Il faut quand même qu'elles aient une pleine capacité. On sait qu'il y a des besoins en éducation, mais de voir comment est-ce qu'on crée déjà des besoins d'avance. avec des affaires qui dépensent l'entendement. Je veux dire, oui, des écoles modernes, on s'entend, on veut pas avoir des écoles du tiers-monde au Québec, mais jamais je croirais que ça coûte aussi cher à voir...
Exact. Puis je pense qu'on est pas mal.
[00:31:01] Speaker D: Dans l'école de luxe.
[00:31:02] Speaker B: Non, non, c'est ça, là. Non, non, écoute, c'est épouvantable, là. On le voit. Puis l'informatique, là, je voulais te parler de dossier santé numérique. Mais regarde, l'histoire des... On va aller du côté fédéral. L'histoire des voitures électriques, là, la semaine dernière, Carné a reculé, là, juste pour l'année 2026, parce qu'il dit qu'il va revenir après ça pour confirmer son intention. Parce que Carné, de ce temps-ci, il dit une chose, puis il dit son contraire en même temps, là. Mais là, ce qu'on comprend, c'est qu'au niveau des voitures électriques, au niveau fédéral, on devait vendre quoi? C'était soit... C'était 20 % de voitures électriques en 2026, puis ça allait à 60 % en 2030, puis à 100 % en 2035. Ça, on recule là-dessus.
[00:31:40] Speaker E: Exact. Bien, c'est un recul qui, effectivement, c'est plus une suspension, comme tu l'as mentionné. C'est... C'est quand même une bonne nouvelle dans l'ensemble. Ça démontre qu'il y a une préemption incluse qui s'est faite passer jusqu'au bureau du premier ministre, Carney. Et là, bien, il n'y a pas le choix de faire un genre de 180 degrés tranquille. Pour l'instant, c'est une suspension. Donc, à partir de 2026, il faut le rappeler, la politique fédérale disait que 20 % des nouvelles voitures qui sont vendues devraient être électriques ou des hybrides rechargeables. Et éventuellement, en 2030, ce serait 60 %, puis en 2035, ce serait 100 %. Donc, pour l'instant, cette politique-là, elle est toujours en place. Donc, l'objectif pour 2035 n'a pas été suspendu complètement. Mais là, pour l'instant, 2026, on oublie ça. Donc, il n'y aura pas de quota imposé pour les concessionnaires ou les manufacturiers. Et il y a une consultation de 60 jours qui a lieu présentement. Le problème avec cette consultation de 60 jours-là, c'est que malheureusement, ce n'est pas M. et Mme Tout-le-Monde qui se fait consulter par rapport à ça. Il n'y a jamais eu de consultation publique. D'ailleurs, sur le dossier de l'interdiction des voitures essence, en fait, c'est une consultation avec tous les lobbies et manufacturiers du milieu automobile. Pour l'instant, ce que je comprends, et ça, c'est peut-être une bonne nouvelle, c'est que les manufacturiers trouvent que ça va pas assez loin. Eux, ils veulent pas juste une suspension de la politique, ils veulent son abolition complète.
[00:32:50] Speaker B: Donc...
[00:32:55] Speaker E: Exact. Et ils ont totalement raison de le faire, parce que la réalité, c'est que quand on regarde « the big picture », comme on dit en anglais, en réalité, on n'a pas l'argent pour ça. La réalité, c'est que si on se base sur un rapport du ministère des Ressources naturelles, et aussi d'autres rapports qui ont été colligés par la suite, On parle d'environ un coût de 300 à plus de 300 milliards de dollars, ce que ça va nous coûter en termes de finances publiques, sur les finances publiques, cette transition-là. Puis on connaît quand même l'état des finances à Ottawa. On est dans le rouge. Puis on parle d'un budget d'austérité cet automne. Donc j'ai 20 natuités à croire qu'on a les moyens de cette transition-là. De deux, on n'a pas l'énergie. Puis ça, c'est aussi vrai au Québec que dans le reste du pays. Je veux dire, il y a un poids, je veux dire, quand même, qu'on ne peut pas sous-estimer de la part de la transition des voitures électriques sur le réseau électrique comme tel. Ça demande des investissements massifs en termes de nouvelles productions d'énergie, et ça, sur une courte période, parce qu'on est à moins de 10 ans de l'objectif. Donc, je veux dire, le temps tourne, et pour l'instant, il n'y a pas grand-chose qui se construit. Et en plus, il n'y a pas non plus d'appétit, parce qu'on l'a vu dans les dernières années, il y a eu une baisse drastique des achats des voitures électriques entre l'année dernière et cette année. Ça s'explique, entre autres, par la disparition des fameuses subventions à l'achat, ce qui est une bonne chose en soi, parce qu'encore une fois, on n'a pas les moyens de payer pour ça. C'est pas normal que les contribuables payent pour que d'autres personnes puissent acheter une voiture électrique au final. Et donc, je veux dire, les concessionnaires eux-mêmes, puis en fait, les manufacturiers, ils l'ont eux-mêmes dit à Mark Carney au début de l'été. Ils ont été rencontrés dans son bureau, donc le PDG de Stellantis puis le GM, et ils ont dit, écoute, si tu nous dis de maintenir le câble vers le quota pour 2026, on va devoir baisser notre production, on va devoir produire moins de véhicules. Donc, moins de véhicules chez les concessionnaires, c'est moins de choix. Moins de jobs et c'est des prix qui vont être plus élevés. Donc, les familles vont avoir la difficulté à trouver le véhicule de leur choix ou un véhicule qui convient. En fait, elles vont avoir la difficulté à trouver un véhicule point. Et ça, c'est un impact majeur qui va se faire ressentir aux quatre coins du pays. Et ce qui me dérange le plus, c'est que, bon, il y a déjà un pas de recul qui est fait par le gouvernement de Carney et je m'attends à ce qu'il y ait un recul total à cause du contexte économique. Mais pour l'instant, François Legault, au Québec, il faut le rappeler, on a une politique provinciale qui est calculée sur celle du fédéral. Il n'y a pas encore eu de recul.
[00:35:05] Speaker B: Au Québec, nous... Non, Benoît Charrette n'a rien fait. Benoît Charrette, lui, il regarde la consigne qu'il devait implanter partout, puis il mange des mouches, là.
[00:35:13] Speaker E: Exact. Mais en fait, pour l'instant, il a juste dit qu'on a fait des consultations, nous aussi, cet été, puis on va revenir dans quelques temps pour vous dire c'est quoi le plan de match. Mais la réalité, c'est que l'objectif au Québec, qui n'a pas encore été révisé pour 2026, C'est 32,5 % des nouvelles voitures qui doivent être vendues et qui doivent correspondre aux quotas imposés. Donc, on est plus agressif au Québec qu'au fédéral.
[00:35:34] Speaker B: Alors, il va falloir reculer là, là?
[00:35:36] Speaker E: Oui, on va reculer. Si Ottawa recule, c'est pas vrai que le Québec va faire ce que le reste de l'Amérique du Nord ne fait pas ou n'est pas capable de faire présentement. Il y a une réalité économique qui n'est pas du tout considérée par le gouvernement de François Legault. Je l'encourage fortement à le faire en ce moment, surtout s'il a regardé les sondages récemment, parce qu'il clama que les Québécois et les Canadiens ne veulent rien savoir de ça. Les sondages en ce sens, et ça a été fait par plusieurs firmes, le démontrent. L'industrie n'est pas capable de suivre. L'économie ne donne pas raison à ça. On n'a pas les finances publiques ni l'énergie pour ça. Fait qu'il est temps de mettre un bric sur la politique des voitures électriques, mais pour l'instant, c'est silence radio à Québec.
[00:36:11] Speaker B: — Ouais, pis le Parti québécois, eux autres, c'est encore plus raide, là. Le Parti québécois, c'est 2030. 100 % des voitures électriques, c'est complètement débile. On pourra jamais faire ça, là.
[00:36:18] Speaker E: — Non, c'est impossible, là. Pis je veux dire, il faut le rappeler, 100 % des compagnies qui produisent au Québec ou au Canada en termes d'industries automobiles, ce sont des entreprises étrangères, là.
à la fin de la journée, si on leur impose trop de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de...
[00:36:42] Speaker B: De... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de... de...
[00:36:47] Speaker E: De... de... de...
parce de... que je ne peux pas leur prêter d'intention parce qu'il me semble que leur de... politique de... de... de... environnementale de... n'est plus tout à fait publique ou facile à trouver en ligne.
[00:37:00] Speaker B: Il va falloir qu'ils reviennent avec des chiffres. Moi, je veux voir le prix des voitures qui explose avec la politique de 2030 100 % électrique au Québec. Les voitures vont... Écoute, ça va bondir, ça va exploser.
[00:37:10] Speaker E: Bien, c'est surtout qu'il y a eu des études en 2023 qui ont été publiées par rapport à l'impact des voitures électriques sur le réseau énergétique du Québec. Puis ça, ça n'a pas sous-estimé ces temps mousso-ébrassants. Ça a été publié en 2023. Et il disait carrément que si la totalité de la flotte des voitures électriques au Québec... En fait, la totalité de la flotte automobile électrique au Québec en 2035, donc à plus de 5 millions de voitures, en fait, il y aurait un impact non négligeable sur le réseau électrique, notamment sur les recharges en plein hiver. Donc on reconnaît déjà que le réseau électrique québécois aurait de la difficulté à suivre. Et au Québec, lui, de son côté, se lance dans un projet colossal qui va coûter entre 185 et 200 milliards de dollars. sur les 10 prochaines années, en espérant rejoindre cette demande-là. Donc, on s'est fixé vraiment un objectif qui est démesuré. Et il semblerait qu'on ait un gouvernement, puis même un gouvernement peut-être en attente, comme le PQ, qui ne saura pas reconnaître cette réalité-là.
[00:38:02] Speaker B: Et le coût de l'électricité va exploser. Parce que si tu mets 200 milliards sur ton réseau, il faut que tu refiles la facture. Il y a un taux de rendement reconnu, Hydro-Québec, devant la régie de l'énergie notamment.
[00:38:13] Speaker E: Exact. Donc, on doit s'attendre soit à un choc énergétique, ou donc, en fait, des problèmes en termes d'alimentation ou en termes de puissance, ou sinon, on doit s'attendre à un choc tarifaire. Et jusqu'à maintenant, bon, on sait que la facture n'a pas été trop refilée aux... comment dire... aux ménages parce que le tarif pour les familles, pour les maisons, il a été fixé, il a été plafonné. Mais qui est cas pour l'instant, c'est les PME du Québec. Donc, c'est quand même le nerf économique de notre province. qui est affecté, qui n'est pas capable de suivre l'augmentation des tarifs d'électricité, dans un contexte, en plus, où, il faut le rappeler, on est en guerre commerciale, où est-ce que notre productivité et notre compétitivité est mise à prix. Et là, on dit qu'on va vous soumettre, en fait, à un choc planifère et à des obligations qui vont faire en sorte que vous allez tranquillement disparaître. Je pense qu'il va falloir qu'il y ait un 180 degrés assez rapidement, sinon le Québec s'en va dans une très mauvaise posture.
[00:39:03] Speaker B: Mais la Fédération canadienne des contribuables peut demander aux partis politiques où ils s'en vont avec ça?
[00:39:08] Speaker E: On le fait, là, on vient juste d'envoyer un communiqué de presse pour demander à François Legault quand même de reculer, parce que là, franchement, c'est quand même lui encore qui, pour l'instant, a les deux mains sur le volant. Parce qu'à la moindre des choses, que lui-même, avec son ministre de l'Environnement, ou du moins son futur ministre, parce qu'on va savoir demain qui sera le prochain ministre de l'Environnement, mais qu'il y ait un 180° total qui soit fait là-dessus. Et si c'est pas le cas, bien, il va falloir que le Parti québécois, le Parti libéral, fassent une sortie là-dessus, parce qu'au moins, on sait que le Parti conservateur d'Éric Duhem, eux, ils sont déjà sur cette même... en fait, contre cette politique-là. C'est peut-être le seul parti qui en parle. Puis ce qui est assez particulier, c'est qu'encore une fois, la majorité des Québécois veulent rien savoir de cette politique. Et en contrepartie, il y a personne à l'Assemblée nationale qui leur parle. Donc il serait peut-être temps que ça change.
[00:39:52] Speaker B: Oui, puis pourtant, le monde va voter pour le PQ. Et le monde est contre l'indépendance, mais ils vont voter pour le PQ. Cherchons l'erreur. Nicolas Gagnon, de la Fédération canadienne des contribuables. Merci beaucoup. Et vous êtes salué.
[00:40:05] Speaker E: C'est toujours un plaisir. À bientôt.
[00:40:08] Speaker B: Hé ça là, ça c'est un drame là! 2030! Le PQ t'es lu l'année prochaine? 2030, il y a plus un char à gaz au Québec.
[00:40:17] Speaker D: Les fabricants d'automobiles vont quitter le Québec.
[00:40:21] Speaker B: Mais c'est pas juste ça, c'est que les prix vont exploser.
[00:40:24] Speaker D: Aussi.
[00:40:25] Speaker B: Ton char, là...
[00:40:26] Speaker D: La voiture bleue.
[00:40:27] Speaker B: Mon choix, mon char.
[00:40:29] Speaker D: Non, ça va être la voiture bleue pour le pays du Québec.
[00:40:32] Speaker B: Mais là, il n'y aura plus de voiture bleue.
[00:40:34] Speaker D: Et tout va être en français dans la voiture bleue. Toutes les pièces vont être bleues. C'est ça.
[00:40:41] Speaker B: Tout va bien aller. Voilà, après la pause, Rodolphe Hosny débarque dans le show.
[00:41:04] Speaker D: Obtenir la pole position pour la qualité de tes véhicules neufs selon JD Power, ça part bien! Et quand en plus Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[00:41:14] Speaker B: Ajoutent des offres exceptionnelles, là, t'es en voiture! On fait de la place pour les 2026! Finance ton polyvalent Rogue 2025 à partir.
[00:41:22] Speaker D: D'Aussi peu que 0 % sur 48 mois. Oui, à partir de 0 %, et.
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[00:41:46] Speaker A: Faire circuler, recycler, redonner. C'est ce que fait la fonderie Horn, l'un des plus grands recycleurs de matières électroniques au monde. Elle fait circuler une ressource critique pour la transition énergétique, le cuivre, en recyclant chaque année des milliers de tonnes d'appareils. Elle soutient plus de 3000 emplois au Québec, réduit ses émissions, agit pour la qualité de l'air et a généré près de 850 millions de dollars en 2023 pour notre économie.
[00:42:12] Speaker B: Fondry Horn.
[00:42:13] Speaker A: Solide pour l'avenir.
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[00:42:44] Speaker B: Pour vendre une voiture.
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[00:43:29] Speaker D: On s'occupe de vous.
[00:43:31] Speaker A: C'est la rentrée qui rapporte aux Galeries de la Capitale. Cette semaine, écoute le retour de Radio X et tu pourrais gagner une carte cadeau de 100 $ pour ta virée de magasinage dans plus de 200 boutiques, dont JD Sport et Nike en exclusivité dans la région. Texte le mot GALERIE avec ton courriel au 418-670-9098 pour devenir finaliste. Magasine futée. Paye avec une carte cadeau et laisse la rentrée te rapporter gros. Les Galeries de la Capitale, ta destination magasinage et divertissement.
[00:44:01] Speaker B: Le fameux remaniement de François Legault, prévu demain lors du premier Conseil des ministres de la rentrée, prend tranquillement forme au fil des départs de Suzanne Roy, André Lamontagne et André Laforêt, auxquels on doit ajouter le nom de François Bonnardel, qui ne sera pas de retour au Conseil des ministres. Élu en 2007 avec l'ADQ de Mario Dumont, François Bonnardel a été ministre des Transports durant 7 ans avant de devenir le ministre de la Sécurité publique en 2022. Le verdict est tombé pour l'ex-skieur acrobatique Dominique Laroche de Lac-Beauport, qui a été reconnu coupable de cinq chefs d'accusation hier au Palais de justice de Québec pour des crimes sexuels commis à l'endroit d'une adolescente. Maintenant âgée de 65 ans, Laroche est reconnu coupable d'exploitation sexuelle, de contact sexuel et d'incitation à des contacts sexuels sur sa victime, devenue adulte, qui avait entre 13 et 17 ans au moment des faits, La roche était à l'oranger de 47 ans.
[00:45:04] Speaker D: Présenté par la liquidation totale des modèles 2025 chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. Le Rogue, la Sentra et le Kicks sont offerts à 0 % d'intérêt à l'achat sur 48 mois. À ce prix-là, c'est le temps de changer.
[00:45:18] Speaker A: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79 $ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.
Dans le cas.
[00:45:42] Speaker B: De Dominique Laroche, ça vient juste de tomber. Lui devait se le présenter ce matin. Au tribunal, parce qu'on voulait l'incarcérer. On l'a pas fait hier. Il a été trouvé coupable d'agression sexuelle sur le mineur. Et là, il aurait tenté de mettre fin à ses jours. Son avocate est passée devant le juge. Elle a dit «Bien là, j'ai une information à vous donner, madame le juge. Il sera pas là ce matin. Il est à l'hôpital.» Capoter. Capoter ce qui se passe dans ce dossier-là. Pourquoi on l'a pas rentré en dedans hier?
[00:46:10] Speaker D: C'est pas une bonne question, je sais pas.
[00:46:11] Speaker B: Il était trouvé coupable hier d'agression sexuelle sur une mineure. Il y avait eu un procès. Il devait revenir parce que là on craignait...
[00:46:17] Speaker D: Normalement, quand t'as le jugement, t'es supposé être sur place.
[00:46:22] Speaker B: Il était là, mais ils l'ont laissé aller.
[00:46:23] Speaker D: Ils l'ont laissé aller.
[00:46:24] Speaker B: Ils ont dit demain. Parce que là on craignait pour sa vie, parce que là, semble-t-il, il y avait pas de domicile fixe.
Il vivait dans son camper. Capoté. Voilà. Notre chroniqueur, il est là?
[00:46:35] Speaker D: Oui.
[00:46:50] Speaker F: On peut-tu accoucher de ce remaniement? Ça fait deux mois qu'on en parle.
[00:46:55] Speaker B: C'est le supplice de la goutte avec Legault. D'ailleurs, c'est une erreur monumentale de dire deux mois d'avance que tu vas faire un remaniement.
[00:47:03] Speaker F: Ah oui, non. Écoute, je pense que dans des cours de sciences politiques, ils vont utiliser ça comme un cas en disant non, non, c'est pas deux mois avant que tu avais fait un remaniement ministériel parce que, un, tu perds toutes les communications. Ça fait deux mois qu'on parle au lieu de parler d'autres dossiers. Moi, je suis sûr qu'à Québec, ça n'a pas dû beaucoup travailler cet été, en tout cas, la fonction publique, parce qu'ils disent, oui, oui, le ministre qui nous dit qu'il sera peut-être pas là dans deux mois. Et après, ça envoie aussi le message à la fonction publique de préparer ce qu'on appelle les cahiers de transition, puis préparer la préparation pour ça. Donc, en fait, ils n'ont pas dû faire beaucoup, beaucoup de choses. Alors non, je pense que c'est ça. Puis en plus, tu montes les attentes. Et là, j'ai comme l'impression que c'est comme un éléphant qui va accoucher d'une souris, ce remaniement ministériel. Parce qu'à mon avis, là, c'est pas un bâton magique, avoir un remaniement ministériel. Quand je pense toujours à... Quand j'analyse la politique, Pierre, tu sais, je pense toujours à Huguette, à Joliette. puis je me dis, Guetta Joliette, quand elle regarde ça, est-ce que c'est vraiment... C'était qui, Suzanne Roy, puis André Lamontagne, puis ici, puis ça?
[00:48:06] Speaker E: Non, elle regarde pas le goût.
[00:48:07] Speaker B: André Laforêt, c'est qui?
[00:48:11] Speaker F: Honnêtement, là, je veux pas inciter personne, mais Suzanne Roy, je la connaissais pas, même si elle était au Conseil des ministres. André Lamontagne, je le connaissais un peu parce que je crois que c'est un des plus longs ministres de l'Agriculture. Je pense qu'elle a fait 7 ans qu'elle est ministre de l'Agriculture, donc j'en ai entendu un peu parler. Mais sinon, quand je vois d'autres noms, ils se disent, on va bouger lui ou on va bouger elle, honnêtement, je pense pas que ça fait une grosse, grosse différence.
[00:48:34] Speaker B: Et là, tu regardes la composition peut-être de son prochain cabinet ou conseil des ministres, tu sais, je veux dire, Geneviève Guilbault va rester là. Bon, Fréchette, on la voyait pas mal, elle va peut-être gagner du galon. Lebel, on la voyait pas mal, elle va gagner du galon. Éric Girard resterait là. C'est tous les mêmes faches, Jolin-Barrett. Fait que finalement... Puis là, il va nous amener peut-être Samuel Poulin puis d'autres mondes comme ça, là, des backbenchers notoirs. Mais ça bougera pas beaucoup, donc ça va être très, très minime comme impact, je pense, au niveau de l'opinion publique.
[00:49:05] Speaker F: Bien, premièrement, il dit qu'il veut réduire le nombre des ministres. Bon, pour moi, c'est juste un truc de communication parce qu'encore une fois, tu regardes ça, qui est un ministre de plus ou un ministre de moins, ça fait pas une grosse différence. Mais dans son caucus, ça fait une grosse différence, parce qu'une fois que tu sais que tu vas pas être nommé ministre, par exemple, et t'as parlé des backbenchers, une fois que tu sais que tu vas pas être nommé ministre, bien, ça va être difficile pour François Legault de maintenir la cohésion dans son caucus, de maintenir la discipline dans son caucus, parce qu'après, il n'y a plus rien à leur offrir, et ça fait aussi des mécontents. On l'a vu actuellement. Là, maintenant, il y a certains ministres qui vont être trop gradés. Il y en a un, il y a un gros non, quand même, qu'il va être exclu du conseil des ministres. Puis moi, depuis le début, je regardais ça, je me disais, bon, Éric Girard, c'est sûr qu'il peut pas le changer. S'Éric Girard, il l'avait changé, on verra demain, mais s'il l'a changé, Éric, il peut juste dire, bon, merci, au revoir, je vais aller faire autre chose. Ensuite, il y avait Mme Fréchette, il vient de la nommer, Celle qui devait tout faire après Fitzgibbon, c'est difficile de la déplacer. Alors, et Christian Dubé, il pourrait pas le déplacer non plus. Il faut qu'il termine ses dossiers à la santé. Donc, comme je viens de le dire, t'avais trois gros morceaux, finance, économie et santé, que t'étais obligé de les garder là.
[00:50:17] Speaker B: Et là, tu regardes la suite des choses. On a eu un sondage hier. C'est pas drôle pour la CAQ, là. Ça dégringole. On était à 22 %, un an, on est rendu à 11 %.
[00:50:26] Speaker F: Oui, un sondage palade d'attaques est sorti hier. Je pense que c'est le... Le pire sondage de la CAQ, même quand ils étaient dans l'opposition, même quand ils ont commencé, je pense, ce parti-là.
[00:50:37] Speaker E: Là, il faudrait que je retourne pour.
[00:50:38] Speaker F: Savoir exactement c'était quand qu'ils étaient à 11 %, mais à 11 %, je pense que c'était au tout, tout, tout début. Écoute, même l'ADQ, je pense, à l'époque, faisait mieux qu'11 %. Alors oui, un gros, gros sondage qui.
[00:50:50] Speaker E: Fait très, très mal.
[00:50:52] Speaker F: Et le Parti conservateur du Québec, il serait à 15 %, donc 4 points au-dessus de la CAQ, avec le Parti québécois qui est au-dessus à 38. Donc, t'es en train de te dire, écoute, est-ce que tu penses vraiment qu'un remandement ministériel, ça va changer tout ça? Moi, j'ai l'impression, puis on en a déjà parlé, Pierre... Les gens n'écoutent plus. Ça veut dire François Legault, il n'écoute plus, il n'écoute plus trop. Ils n'écoutent plus, c'est-à-dire oui, il y a du bruit, oui, ils essayent de faire des affaires, mais les gens n'écoutent plus.
[00:51:19] Speaker B: Et là, ben, si t'écoutes plus, puis t'es plus sur la ligne, puis t'es plus là, à un moment donné, tu peux marcher dans la neige, comme on dit. Est-ce que Legault va se rendre à l'évidence au fait, puis il va dire, ben, je suis plus l'homme de la situation ou on va s'entêter? Là, c'est plus une question d'égo, là. C'est rendu... tu disparais de la carte politique. C'est pas drôle, là, comme lègue politique, là.
[00:51:39] Speaker F: Oui, bien écoute, tu as deux réflexions. Oui, je pense que c'est une réflexion bonne que tu as, que peut-être, si à Noël, ils n'arrivent pas à remonter, puis là, ils sont à 11 %, donc s'ils remontent à 15, ce serait déjà une victoire. Mais tu t'es dit, est-ce que s'ils n'arrivent pas à changer de cap ou, en tout cas, à renverser la tendance au mois de décembre, est-ce qu'à Noël, il va réfléchir en se disant, bon, il faudrait peut-être que je chète ma place, puis on serait dans le même scénario que Justin Trudeau qui arrivait à la même conclusion Noël dernier. Mais je pense quand même que François Legault se dit, puis peut-être qu'il y a des gens aussi à la CAQ qui se disent, c'est peut-être le seul qui peut sauver les maires, mais quand tu regardes les agrégateurs de sondage, ils disent que le meilleur scénario, il en resterait trois députés, puis le pire, il serait à zéro. Écoute, là, on est en compétition, là, avec Kim Campbell en 1981. qu'est passé d'un gouvernement progressiste conservateur majoritaire à deux députés. Là, on est un peu dans ce scénario-là. François Legault, est-ce qu'il fera mieux ou moins bien que Kim Campbell?
[00:52:38] Speaker B: Non, non, non. Pis t'sais, là, les Québécois, c'est ça, ça passe plus. Son visage ne passe plus. La commission Galance a été dévastateur. Bonnardel, là, qui savait plus rien. Amnésic, Geneviève Guilbeault, Koskinen. C'est atroce, là. C'est coup sur coup. Pis là, bien, tu dois gérer l'État, en plus. Là, on va proroger la session parlementaire. On va revenir, supposément, avec des nouvelles idées. On va avoir de la misère. On va souhaiter bonne chance à M. Legault et à son équipe, là. Écoute, au fédéral, là, on voit les sondages, Kearney commence à le narracher.
[00:53:08] Speaker F: On n'ira pas jusque-là. On va juste dire qu'on est à peu près à égalité. On est revenu à peu près à ce qu'on était à l'élection. On se souvient qu'après l'élection, les conservateurs ont droppé d'à peu près 10 points pendant l'été. Puis là, tout doucement, ils reviennent. Certains sondages, on est rendu à deux, trois sondages qui donnent que les conservateurs et les libéraux de Mark Carney seraient à peu près à égalité ou en tout cas dans la même lignée qu'ils avaient lors de l'élection. Je pense que ça va être un automne très important pour M. Kearney. Oui, on a toujours parlé de lune de miel. La lune de miel, je pense qu'elle va se terminer aussi autour de Noël. Il va falloir que M. Kearney livre sur des gros dossiers. Oui, Canada-États-Unis, c'est un gros dossier. Mais il n'y a pas seulement ça, parce que même Canada-États-Unis, si tu regardes la tendance dans des sondages, les gens commencent à être beaucoup plus et encore moins préoccupés par le coût de la vie, par le coût du logement. Et ça, ça redevient encore des dossiers très, très importants et que M. Kearney doit livrer. Le gouvernement Kearney doit livrer sur le logement. Il doit livrer aussi sur l'immigration. Il ne faut pas oublier que l'immigration, ça commence aussi à être un enjeu qu'on en a énormément parlé au Québec.
dans le reste du Canada, ça commence aussi à être un enjeu important. La justice, moi, j'ai l'impression que de plus en plus, il y a un sentiment d'insécurité, en tout cas au Canada, et que les gens ont peur et les gens veulent voir plus de mesures concernant la justice, les fameuses peines bonbons ou peines Netflix. Il faudrait que M. Corrin agisse. Et ce qui est intéressant, c'est que c'est Poliev qui amène tous ces dossiers-là. J'ai l'impression que M. Poliev est vraiment en train de dicter l'agenda de M. Kearney parce qu'on a remarqué, M. Poliev dit quelque chose, deux, trois semaines après, hop, tout d'un coup, M. Kearney l'annonce.
[00:54:57] Speaker B: Oui, puis là, je sais pas si t'as vu les points de presse de Kearney ou de Mélanie Jolie, là, ils ont commencé à pogner cette tendance-là. Ils disent une chose et son contraire en même temps. On va faire des couples, on va faire de l'austérité, mais en même temps, on va faire des investissements. Là, ça commence à être un peu bipolaire, là.
[00:55:12] Speaker F: C'Est un peu... je vais faire un régime et je vais aller manger quatre burgers. Donc c'est un peu... un, c'est ça. Puis moi, écoute, moi, je regarde François-Philippe Champagne, puis je vais être tout à fait franc. François-Philippe Champagne, puis je regarde, mais il est joli, puis ils sont en train de nous dire qu'on va réinventer l'économie canadienne, puis ci, puis ça. C'est les mêmes ministres qui étaient à côté de Justin Trudeau, qui nous ont mis dans le trou pendant 10 ans, et là, maintenant, qu'ils nous disent qu'on va réinventer l'économie canadienne. la productivité canadienne, la compétitivité canadienne, le fait qu'on a des investissements qui ont coûté le Canada. Puis là, tout d'un coup, ils commencent à dire non, non, non, là, maintenant, c'est notre priorité. Hé! Si le déficit, il va atteindre 80-90 milliards de dollars, je ne sais pas combien. Mais il y a beaucoup de Mélanie Joly puis il y a beaucoup de François-Philippe Champagne dans ce gros montant-là. Pas seulement, ils étaient là avec Justin Trudeau derrière à chaque annonce.
[00:56:03] Speaker B: Moi, c'est pour ça que je dis que Carney est dans le trouble, parce que s'il n'élive pas, la confiance que les gens avaient envers lui, ils devaient régler l'histoire de Trump rapidement, puis c'est pas ça qu'il a fait. Là, on s'embourbe dans des déficits à pu finir. Puis là, on a des problèmes qui prennent le dessus. Après ça, lui, il est minoritaire, n'oublions pas. Et là, on s'en va vers un budget déposé en octobre. On me dit qu'on pourrait décoter aussi des AAA, mais c'est pour ça que Carney refusait de déposer un budget, parce qu'on dit que les agences de cotation attendent ça pour voir qu'est-ce qui en retourne et comment on va venir chercher de l'argent dans les poches des contribuables? Donc ça, c'est un dossier chaud. Imagine si on était décotant en même temps.
[00:56:42] Speaker F: Oui, écoute, on va voir la situation économique du pays, la situation financière. Oui, je pense que le budget, ça va pas seulement être un gros, gros test pour M. Crony, ça va être un gros reality check pour les Canadiens quand ils vont voir l'ampleur. Tu sais, avant, on disait 40... si on faisait 40 milliards de déficit, ça allait être la catastrophe. C'était 60. On parlait d'ancrage fiscal. Puis là, maintenant, on parle des 80, peut-être 90, je ne sais pas. Donc, on va voir comment M. Cogny va réussir à nous emballer tout ça. Je sais qu'il dit qu'il va séparer dépenses puis investissements.
[00:57:12] Speaker B: Non, non, à la fin de la journée, il y a un déficit.
[00:57:15] Speaker F: Oui, c'est à peu près ce que j'allais dire. Au bout d'un moment, il y a plus et moins, puis on voit un déficit. Et tu l'as dit, Pierre, et tu fais bien de le répéter, qu'ils sont au gouvernement minoritaire. Et je vois mal, par exemple, les conservateurs supporter le budget. Je vois mal aussi le Bloc québécois supporter le budget. Puis je sais que le NPD est par terre, puis que le NPD se cherche un chef. Mais je vois mal aussi le NPD dire, ah oui, on va supporter un gouvernement qui a aboli la taxe sur le carbone puis qui vient d'abolir le NPD. le minimum sur les voitures électriques, là, ça veut dire que ça va être aussi difficile pour les autres parties. Au bout d'un moment, ils vont devoir dire que nous, on ne supporte pas non plus.
[00:57:56] Speaker B: Québec a voté massivement pour Carnet, là, mais là, on est en train de se rendre compte que, finalement, le Bloc pourrait peut-être faire un travail d'opposition plus intéressant. Et avec les conservateurs, on passe une motion, on bat les libéraux et on s'en va en élection, on retourne en élection. Ça, c'est des scénarios qui sont possibles, peut-être pas cette année, mais l'an prochain, là.
[00:58:14] Speaker F: Oui, je pense qu'on n'est pas dans un gouvernement traditionnel où on se dit, bon, bien, ils ont deux ans, facile, peut-être trois. Faut pas oublier que Justin Trudeau a presque gouverné trois ans au gouvernement. C'est un peu ça. J'ai l'impression que oui, tôt ou tard, peut-être pas cet automne, mais certainement l'année prochaine, les oppositions vont peut-être montrer beaucoup plus les dents. Et c'est pour ça que M. Carney a intérêt à livrer. Il y a juste un truc de bien que M. Carney fait, puis peut-être on a lancé le pot, donc là, je vais lui donner quelques fleurs.
Il est bien quand même de pas trop faire de conférences de presse. Si on le voit pas trop... Ah.
[00:58:46] Speaker B: Il y a de la misère, hein? Il est pas bon en conférences de presse.
[00:58:49] Speaker F: Mais c'est surtout bien parce qu'au moins, on le voit... Ça veut dire, t'sais, on pense moins à tous nos problèmes, que c'est Kearney ou c'est le Canada. Souviens-toi, c'est Justin Trudeau, on l'a tellement vu qu'on voulait plus le voir. Kearney, il fait bien de pas trop faire de conférences de presse. Comme ça, on pense pas trop à lui.
[00:59:06] Speaker B: Rodolphe, tu es salué. Merci beaucoup de tes lumières et on se reparle la semaine prochaine. Salut!
[00:59:10] Speaker F: Allez, à bientôt.
[00:59:11] Speaker B: Bye-bye. Non, c'est ça.
[00:59:13] Speaker D: Fait qu'il est bon de pas être là.
[00:59:15] Speaker B: Non, non, il est pas bon. Il est pas bon, il s'en farge, il dit toute une chose au contraire, puis il répond même pas aux questions.
[00:59:20] Speaker D: Quand il disait, ça sera de l'austérité, mais on va investir.
[00:59:24] Speaker B: Oui, c'est ça. Il a dit ça en campagne électorale. Il a dit, on va couper, mais on va investir.
[00:59:29] Speaker D: On va couper, on va investir.
[00:59:30] Speaker B: T'as-tu dit n'importe quoi?
[00:59:31] Speaker D: En effet.
[00:59:32] Speaker B: Mélanie Joly fait ça aussi, là, puis ça a l'air de la poignée. C'est drôle, c'est le fun. Les médias ont du fun là-dedans. Ils rapportent ça comme ça, comme si c'était de... Après la pause, on ouvre les lignes. Là, je pense que Bonnardel, le soldat Bonnardel ne sera pas épargné.
[00:59:47] Speaker D: Il est sacrifié. Oui, on a sacrifié le ministre de la Sécurité publique. Sacrifié. La question, trouvez-vous, parce que tu sais, les gens du comté de Bonnardel, eux autres, sont déçus. parce que c'est quand même une bonne.
[01:00:04] Speaker A: Personne, puis il est proactif, il fait.
[01:00:05] Speaker D: Beaucoup de choses pour nous ici, dans la région. Je trouve qu'il a fait un bon travail. Il a fait beaucoup pour Grenby.
[01:00:10] Speaker E: Si le premier ministre choisit de le.
[01:00:11] Speaker B: Faire, c'est qu'il a des raisons. Moi, je trouve ça exagéré. Bonne arme d'aile et pas pire que les autres.
[01:00:17] Speaker D: Bien, c'est ça, là.
[01:00:18] Speaker B: Oui.
[01:00:18] Speaker D: Mais est-ce que François Legault a été trop sévère?
[01:00:22] Speaker B: Y a-tu d'autres qui devraient payer le prix?
[01:00:24] Speaker D: Aussi.
[01:00:24] Speaker B: Y a-tu ça de cette... bien, du.
[01:00:26] Speaker D: Fait que... Ou bien vous pensez que finalement, il a été sacrifié pis il est pas pire que les autres.
[01:00:30] Speaker B: Ouais, pis t'sais Geneviève Guilbeault, elle... Ah.
[01:00:33] Speaker D: Moi je pense qu'on a sacrifié Bonnardelle pour sauver Geneviève.
[01:00:36] Speaker B: Mais si on se promène dans le comté de Geneviève Guilbeault, elle a-tu fait un bon travail?
[01:00:39] Speaker D: Pas pire que les autres.
[01:00:40] Speaker B: Non, elle est bonne.
[01:00:41] Speaker D: Ça a passé quoi?
[01:00:42] Speaker B: On est rendu à 11% des intentions de vote, on est bon.
[01:00:45] Speaker D: 4-1-8, 6-7-0, 9-0-9-8.
[01:00:47] Speaker B: On revient après la pause. Couture dans le mid.
[01:00:51] Speaker A: Téléphone texto. 418-670-9098.
[01:00:55] Speaker B: C'est ça. Radio X, le retour de Radio X.
[01:01:01] Speaker F: Moi, ça m'arrive de boire de la.
[01:01:03] Speaker D: Bière avec du vin rouge.
[01:01:04] Speaker B: La bière avec du vin rouge?
[01:01:05] Speaker E: Oui, ça a fait que la dernière fois, il y avait une grosse mousse dessus.
[01:01:08] Speaker D: Ok.
[01:01:09] Speaker F: Je peux-tu me conter une petite blague?
[01:01:11] Speaker B: Un dinosaure homosexuel, ça s'appelle ça comment?
[01:01:13] Speaker C: Oui, c'est quoi?
[01:01:14] Speaker E: Tripotanus.
Tripotanique!
[01:01:18] Speaker D: OK, merci beaucoup! On n'allait pas là, là!
[01:01:41] Speaker B: Je le sais, vous le savez, Nick le sait, tout le monde le sait. Facture d'électricité, ça monte tout le temps. Mais grâce à Multi Confort FP et à ma thermopompe Lenox, j'ai réduit mes coûts de moitié. La thermopompe pensée pour votre confort et votre portefeuille est là avec les subventions en plus d'Hydro-Québec. Il n'y a jamais autant eu d'argent pour vous autres pour aller chercher un montant pour faire baisser le prix de votre... Thermopompe, confort en hiver, fraîcheur en été, une thermopompe Lenox, c'est payant. Parlez-en à Multiconfort FP, nous avons la thermopompe pour toi au meilleur prix du marché. Nous sommes recommandés CAA Québec, Multiconfort FP à Québec et en face de l'aéroport et à Victor-Yvel également.
[01:02:19] Speaker A: Avant chaque saison de cheer, c'était toujours pareil. Fallait encore que je m'occupe de vendre des billets et des gugus pour financer la passion de ma fille. J'étais épuisée. Mais là, avec Patisserie Michaud, tout a changé. De porte à porte, c'est devenu techno. Ma fille a sa propre boutique en ligne. Elle gère ses ventes elle-même comme une pro. Résultat, moi je souffle un peu. Puis elle, elle apprend à voler haut. Pas juste dans ses stunts, mais dans ses ventes aussi. Demandez à votre école ou à votre club de s'inscrire dès aujourd'hui sur patisseriemichaud.com.
[01:02:45] Speaker B: Patisserie Michaud, les campagnes de financement qui forment les leaders de demain.
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[01:03:48] Speaker B: Découvrez les machines à sous les plus.
[01:03:49] Speaker D: Populaires comme Book of Dead et Immortal Romance.
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[01:03:57] Speaker B: Veuillez jouer de manière responsable.
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[01:04:29] Speaker B: Salut, c'est moi, votre sommeil. Alors selon le dernier rapport de Dormez-vous que j'ai ici sous les yeux, vous seriez plusieurs à me négliger. Quand vous regardez huit épisodes de L'Amour.
[01:04:39] Speaker D: Est dans les tables, ou que vous.
[01:04:40] Speaker B: Jouez toute la nuit à Zombie Maximum Apocalypse Extrême Édition, ça m'affecte. Et dormir, vous avez du talent là-dedans. En plus, vous êtes capable de faire ça les yeux fermés.
[01:04:50] Speaker D: Laissez aller.
[01:04:51] Speaker A: Pendant l'événement, votre sommeil mérite mieux. Nous payons les taxes sur tout. Pour un temps limité, seulement chez Dormez-Vous, certaines conditions s'appliquent.
[01:04:58] Speaker D: Le Hyundai Tucson à traction intégrale vous amène partout. Confort, sécurité, technologie, tout y est. Pendant l'événement, prenez la route Hyundai. Louis le Tucson 2025, traction intégrale à 95 $ par semaine, 48 mois, léger comptant. Chez les sœurs Hyundai.
[01:05:13] Speaker A: Good morning Québec Québec Good morning sunshine Avec DoomDuma Lundi au vendredi 5h30.
[01:05:23] Speaker D: Québec.
[01:05:23] Speaker A: Radio X.
[01:05:24] Speaker D: Présenté par Ice-Tech. Tu veux du vrai? Des gros chantiers, une gang soudée, pis du temps plein. Bien payé. Chez Ice-Tech Climatisation, on engage maintenant. Des ferbles entiers, frigoristes. Postule sur icetechclimatisation.com.
[01:05:38] Speaker B: La ligne ouverte présentée par Béné et compagnie. Essayez les nouveaux tacos Béné et compagnie. Que ce soit au poulet, poisson ou végé, les tacos Béné et compagnie, c'est la nouvelle tradition. Disponible pour un temps limité.
[01:05:50] Speaker D: Couture.
Qui est pas parfait. Dans le mythe.
[01:05:54] Speaker B: C'est l'homme de la situation, à ce qu'on m'a dit.
[01:05:56] Speaker A: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier.
[01:05:59] Speaker B: Radio X. Ah ben on va ouvrir les lignes.
[01:06:05] Speaker D: Ouais. Deux choses à vous faire entendre avant.
[01:06:07] Speaker B: Oui.
[01:06:08] Speaker D: Les gens, ben François Bonnardel qui se souvient pas de rien.
[01:06:11] Speaker B: Il se souvient plus de rien. Voyons donc.
[01:06:13] Speaker D: Lorsque vous étiez à la CAB, d'avoir eu ou vu des redditions de comptes de la SAG dans le projet CASA? De mémoire, non.
[01:06:20] Speaker B: De mémoire, non.
[01:06:21] Speaker D: Pas mémoire, non.
vous dit quelque chose.
[01:06:25] Speaker B: C'est très vague.
[01:06:26] Speaker E: Parler de l'article de M. Biron, je vous ai mentionné, les dossiers s'agirent dans le dossier Santé Québec. Est-ce que ça aussi, ça vous dit un petit quelque chose?
[01:06:33] Speaker B: Vaguement.
[01:06:34] Speaker E: Non.
[01:06:34] Speaker D: Vaguement.
[01:06:35] Speaker E: Non.
[01:06:35] Speaker D: Parce qu'on parle aussi de la gestion.
[01:06:37] Speaker E: De risque, du mode agile, puis des particularités du contrôle. C'est vague.
[01:06:40] Speaker D: C'est vague. Et l'autre chose que je veux vous faire entendre aussi, c'est la réaction des gens. Radio-Canada fait un vox pop ce matin dans le comté de François Bonnardel, qui va perdre son ministère. Et les gens sont déçus, Pierre. Je trouve ça dommage parce que c'est quand même une bonne personne, puis il est proactif, il fait beaucoup de choses pour nous ici dans la région. Je trouve qu'il a fait un bon travail. Il a fait beaucoup pour grimper.
[01:07:01] Speaker E: Si le premier ministre choisit de le.
[01:07:02] Speaker B: Faire, c'est qu'il y a des raisons. Moi, je trouve ça exagéré. Bonnardel est pas pire que les autres. Ouais, Bonnardel va rester député.
[01:07:10] Speaker D: Oui!
[01:07:11] Speaker B: Donc, il va rester député de la CAQ. Il fera pas de trouble, là.
[01:07:14] Speaker D: Non, non, il va rester là jusqu'aux élections. Ben oui, voyons donc.
[01:07:17] Speaker B: Encore un an, là.
[01:07:18] Speaker D: Mais là, est-ce que François Legault a été trop sévère?
[01:07:20] Speaker B: Oui, il va.
[01:07:21] Speaker D: On va aller parler avec Bruno à l'autre choix.
[01:07:23] Speaker F: Yes, les boys, ça va?
[01:07:24] Speaker B: Yes, on vous écoute.
[01:07:25] Speaker F: J'aurais fait un coup de circuit, moi.
[01:07:28] Speaker E: Avec cette émission galant-là. Je vous explique. Imaginez quand le bateau coule comme celui de la CAQ, que tout le monde ne se souvienne jamais de rien, cette histoire-là de sa clé. Imagine comment François Legault, au moment... je pense qu'il a passé cette semaine, m'a.
[01:07:41] Speaker F: Dit, écoutez tout le monde, personne ne.
[01:07:44] Speaker E: Se souvient de rien, je ne peux pas croire, j'ai des ministres qui ne se souviennent pas. Demain matin, vous allez être l'implicitabilité de ça, dans le sens que vous allez payer pour ça, puis on va trouver vous coupables. À partir de là, la commission Lelland a pris tout un autre tourneux, puis ils viennent gagner 20-25 % dans les zones d'argent. Mais à la place, il a roué le bateau, puis tout le monde se souvient de rien.
[01:08:04] Speaker B: Oui, bien là, on comprend qu'ils se sont tous dit le même mot, on se souvient de rien. Exact. Tu peux pas être là, c'est la coche de même, puis, tu sais, je veux dire, là, il y a une limite à rien du monde. Là, ce qu'on comprend, c'est que c'est des politiciens qui rient de nous autres.
[01:08:18] Speaker E: Oui, ça c'est malheureux parce que d'après moi, c'est sûr, j'espère que les coups.
[01:08:22] Speaker F: De peuple vont se tenir et qu'on.
[01:08:23] Speaker E: Va aller plus loin qu'une commission et qu'on tape ses doigts. Que ce soit Bonnardel qui ne se.
[01:08:27] Speaker F: Souvient de rien, Guilbault, Legault...
[01:08:29] Speaker B: On les sanctionne, on va mettre un autre parti politique qui va à peu près arriver avec les mêmes conclusions dans 3, 4 ans, 5 ans.
[01:08:35] Speaker E: Exactement, ça c'est malheureux et ça ne devrait pas l'être. Personnellement, peu importe la couleur du parti, là, je suis pas là pour négocier la couleur. Ce genre de choses-là est la plus grosse arnaque, je pense, de l'histoire du.
[01:08:46] Speaker F: Québec, présentement, pour une taille de fermer.
[01:08:49] Speaker E: Les yeux, puis personne va payer pour ça.
[01:08:50] Speaker F: Ça sera pas de bon sens.
[01:08:52] Speaker E: Ça fait que que ce soit Yves Bonnardel ou un autre Guilbault, je pense qu'il n'a pas mis Guilbault, puis il n'en mettra pas d'autres, parce que ça reste que eux autres, à l'intérieur du parti, ont une stratégie par rapport à ça.
[01:09:00] Speaker B: Ben oui, c'est ça, c'est ça l'affaire, là.
[01:09:01] Speaker E: Ça pourrait être fait dans le fond pour faire taire un peu la population.
[01:09:05] Speaker F: Dire ben oui, là, On est tout.
[01:09:07] Speaker E: Courant que quelqu'un a oublié de faire sa job. On va piger qui, « Ah, bien.
[01:09:11] Speaker F: M. Bonnardel, ça va être vous aujourd'hui, qu'on va mettre devers la guerre.
[01:09:16] Speaker E: » Après ça, bien, Guilbeault, ça lave les mains, elle va rire dans sa.
[01:09:21] Speaker F: Croque qui vient lesterir.
[01:09:24] Speaker B: Tout le monde va s'en sortir indé.
[01:09:26] Speaker E: Puis la vie va être belle.
[01:09:28] Speaker D: C'est bon, merci.
[01:09:29] Speaker B: Mais ce qui est dommageable pour la politique, la chose politique, c'est que les gens deviennent cyniques. Ah oui, oui. Tu sais, là, il y a quelqu'un qui m'écrit, il dit « Ah, là, on va apprendre ci, puis ça, puis ça, puis ci, puis ça, puis là... » Tu sais, c'est parce que là, les gens, il y en a beaucoup qui viennent de décrocher, là, sur la commission cannelle. Là, ils vont dire « OK, là, c'est ça. » Dans le fond, ils savent rien.
[01:09:48] Speaker D: Ils peuvent faire n'importe quoi.
[01:09:49] Speaker B: Ils peuvent faire n'importe quoi. Hey, toi, là, devant l'impôt, là, Ah.
[01:09:54] Speaker D: Non, Christy, je m'en souviens plus.
[01:09:55] Speaker B: Je m'en souviens pas. Ah non, non, ça marche pas.
[01:09:57] Speaker D: C'est quoi ce dépôt-là? Je m'en souviens pas.
[01:09:59] Speaker B: Je sais pas.
[01:09:59] Speaker D: Vaguement.
[01:10:00] Speaker B: Je suis pas au courant. Ma comptable m'a dit, mets ça là.
[01:10:03] Speaker D: Je suis pas au courant.
[01:10:05] Speaker B: Ça marche pas, là.
[01:10:06] Speaker D: Ben non.
[01:10:06] Speaker B: Mais tu vois-tu comment c'est complètement débile?
[01:10:08] Speaker D: Ouais, on va aller parler avec François Allaud au choix.
[01:10:10] Speaker E: Oui. Oui, bonjour.
[01:10:12] Speaker B: Bonjour, on vous écoute.
[01:10:13] Speaker E: La seule vraie question, c'est à qui sont passées les milliards de surplus d'extra et de dépassement de coûts? C'est la seule vraie question.
[01:10:28] Speaker B: On ne le saura jamais.
[01:10:30] Speaker E: On le sait déjà. Ce n'est pas compliqué. C'est ceux qui avaient les contrôles.
puis c'est ceux que les politiciens protègent. Après la CAQ, ça va être le PQ, puis le PQ va avoir sa gagne, puis ainsi de suite, jusqu'à temps que le monde se réveille. Merci, bonne journée.
Oui, bonjour. Moi, j'ai écouté une partie de la commission, puis là, j'étais comme tannée parce que... Ce que j'ai retenu, je ne me souviens pas. Je n'ai pas de souvenir. Je n'ai pas vu ça. Moi, je trouve qu'ils se sont protégés l'un et l'autre, parce que... Puis ils ne veulent pas être imputables. Puis je pense que c'est plate qu'il n'y ait que juste un qui paye pour ça. Je pense que c'est toute la CAQ qui devrait payer. Parce que de toute façon, moi, ça fait des années que je vote puis que je vois aller ça, la politique. Puis c'est toujours que quand il y a un parti qui est au pouvoir, ils engraissent leurs amis, puis il y a de l'argent qui est dépensé. Puis nous autres, bien, t'sais, on fait pas attention aux gens qui sont dans la rue puis tout ça, puis qui auraient besoin d'argent pour manger, avoir des loyers. Mais il y a mieux à engraisser leurs amis. Puis moi, ce que je trouve plate avec ça, c'est que... Et il n'y aura pas de punition là-dedans.
[01:11:59] Speaker D: Pas de conséquence.
[01:12:00] Speaker E: Pas de conséquence. Puis les gens, ils vont s'en aller aux îles Mouk-Mouk, et ils vont être enrichis, puis ils vont nourrir dans la paix.
[01:12:08] Speaker D: Merci beaucoup.
[01:12:09] Speaker B: C'est déprimant en même temps, mais c'est ça qu'on voit actuellement. C'est le théâtre qu'on a devant nous aujourd'hui.
[01:12:14] Speaker D: Oui, exactement.
[01:12:15] Speaker B: C'est ça pareil.
[01:12:15] Speaker D: Certains vont dire, il y a une conséquence. François Bonnardel, il ne sera plus ministre.
[01:12:20] Speaker B: Mais il y a ça aussi. Il y a l'humiliation publique. Et là, Bonnardel est humilié.
[01:12:25] Speaker D: Sacrifié et humilié.
[01:12:26] Speaker B: Là, les autres ministres pis les autres qui étaient là, le gars, pas humilié du tout. Jadiv Guilbeault, pas humilié.
[01:12:32] Speaker D: À date, à date.
[01:12:33] Speaker B: Ben, c'est ça.
[01:12:34] Speaker D: On peut-tu avoir une tape sur les doigts?
[01:12:35] Speaker B: T'as 11% des intentions de vote. Ça, c'est assez humiliant.
[01:12:38] Speaker D: C'est ça, quand même.
[01:12:38] Speaker B: Mais lui, il va toffer. Il va toffer jusqu'au bout.
[01:12:40] Speaker D: Allô, Chouin?
[01:12:41] Speaker B: Oui, on vous écoute.
[01:12:42] Speaker E: Oui, moi, ça sera pas long, c'est un petit point ben niaiseux, mais quand t'as fait jouer les extraits de Bonnardel...
Il pose un paquet de questions, il se souvient jamais de rien, mais à la fin, il pose le dernier extrait. La question qu'il pose, là, il dit ça, là, c'est à la fin... C'est à la fin, vous ne vous souvenez pas de ça non plus. L'autre, il répond ça, ça, non. Ça fait que c'est ça, là. Puis c'est d'instinct, c'est un réflexe, il répond ça, ça, non. Ça veut-tu dire que les autres, avant, ils t'en rappelaient? Oui, bien... C'est sûr, c'est pas grand-chose, mais qu'est-ce que ça parle, là! Je suis désolé, là, mais moi, c'est tout de suite ce que j'ai pensé. Ça, non, non, ça, c'est vrai, je m'en rappelle pas.
[01:13:35] Speaker B: Ça, non, non, celle-là, non.
[01:13:37] Speaker E: Oui, ça, non. Les autres, je t'ai menti, là, mais ça, là, ça, c'est vrai. C'est sûr que celle-là, je m'en rappelle pas de la vraie.
[01:13:45] Speaker D: La vache! Merci!
[01:13:46] Speaker E: Merci!
[01:13:47] Speaker D: Salut. Bye. Le temps d'un dernier rapide, Pierre, parce que le temps file.
[01:13:52] Speaker B: À l'autre soir. Ça, je m'en souviens.
[01:13:54] Speaker D: Ça? À mon tour, là, oui.
[01:13:56] Speaker B: Oui, c'est à vous. On vous écoute.
[01:13:57] Speaker E: OK, t'sais, Fléau, sur l'amnésie, hein?
[01:14:00] Speaker B: Non, mais ça peut être payant, l'amnésie, aussi. Au bon moment. La commission Charbonneau, il y en avait beaucoup d'amnésiques.
[01:14:07] Speaker E: Les clowns d'Alton sont preniers avec ça. Il en a un tellement, là, il reconnaît même pas sa femme, il pense que c'est un escorte, il pointe 300 piastres, il met ça dans l'enveloppe et il donne. C'est tendu, les clowns d'Alton, t'as pas tué des commissions! Ha! Ha!
[01:14:23] Speaker B: Ha!
[01:14:23] Speaker E: Ha!
[01:14:23] Speaker F: Ha!
[01:14:23] Speaker B: Ha!
[01:14:23] Speaker D: Ha!
[01:14:23] Speaker E: Ha!
[01:14:23] Speaker D: Ha!
[01:14:23] Speaker F: Ha!
[01:14:24] Speaker B: Ha! Ha!
[01:14:24] Speaker E: Ha!
[01:14:24] Speaker F: Ha!
[01:14:24] Speaker B: Ha! Ha! Ha!
[01:14:25] Speaker D: Ha!
[01:14:25] Speaker F: Ha!
[01:14:25] Speaker B: Ha! Ha! Ha! Ha!
[01:14:27] Speaker E: Ha! Ha! Ha!
[01:14:27] Speaker B: Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! Ha!
[01:14:28] Speaker D: Ha!
[01:14:28] Speaker E: Ha!
[01:14:28] Speaker B: Ha! Ha!
[01:14:34] Speaker E: Ha! médiocrité.
[01:14:38] Speaker B: Les moissons, la moisson.
[01:14:40] Speaker F: La moisson, oui.
[01:14:41] Speaker B: La récolte. Bye, merci beaucoup, salut.
[01:14:43] Speaker D: Salut, bye.
[01:14:45] Speaker B: Tu vois, c'est ça.
[01:14:46] Speaker D: C'est tout le temps qu'on a. Breaking.
[01:14:49] Speaker B: News, ça vient juste de sortir, mais c'est l'essence qui monte à Québec.
[01:14:52] Speaker D: Ah, tiens donc.
[01:14:53] Speaker B: 1,64. C'est un livreur qui vient de m'avertir.
[01:14:56] Speaker D: Bon.
[01:14:56] Speaker B: Mais elle semble que l'essence est chère.
[01:14:58] Speaker D: J'sais pas.
[01:14:59] Speaker B: Barry, t'as 62 piastres.
[01:15:01] Speaker D: Ouais, non, mais c'est ton pays.
[01:15:02] Speaker B: Quoi qui se passe? C'est-tu parce que c'est l'entrée en vigueur de la nouvelle taxe carbone, le nouveau palier qui vient d'être augmenté?
[01:15:07] Speaker D: J'sais pas.
[01:15:08] Speaker B: J'sais pas.
[01:15:10] Speaker D: La seule taxe qu'on paye ici seulement au Québec, là?
[01:15:14] Speaker B: Ouais, exact.
Après la pause, qui débarque?
[01:15:18] Speaker D: Qui?
[01:15:19] Speaker B: Je ne sais pas. Qui débarque?
[01:15:21] Speaker D: Jordan.
[01:15:21] Speaker B: On va parler de sport. Le Canadien, il y a plein de sport. Il y a des controverses déjà, le camp des recrues demain. Mike David, c'est pas réglé à Edmonton?
[01:15:32] Speaker D: Non.
[01:15:33] Speaker B: Ça, c'est louche.
[01:15:34] Speaker D: On verra.
[01:15:36] Speaker B: On revient. Et à un moment donné, les gens verront les vraies réponses. L'argent, là, est autour de vous.
[01:15:42] Speaker D: Couture dans le mid.
[01:15:45] Speaker B: Radio X. La ligne ouverte présentée par Béné et compagnie.
[01:15:50] Speaker D: Essayez les nouveaux tacos Béné et compagnie.
[01:15:52] Speaker B: Que ce soit au poulet, poisson ou végé, les tacos Béné et compagnie, c'est la nouvelle tradition. Disponible pour un temps limité.
[01:15:59] Speaker D: Aquavila, ça c'est votre allié en plomberie et plancher. Aquavila, c'est la nouvelle destination pour vos projets rénaux. Faut que vous pensiez à Aquavila pour rénover votre salle de bain ou pour changer la robinetterie, par exemple votre évier de cuisine. Alors passez voir nos produits et surtout vous inspirez à Québec à notre nouvelle succursale du Carrefour Neuchâtel ainsi qu'à Lévis sur Wilfrid Carrier. Vous allez pouvoir visiter nos salles de bain complètes qui sont en démonstration. qui ont été créés par leur designer et vous allez pouvoir reproduire ces idées de salle de bain là chez vous. Alors que ce soit pour faire un choix de bain autoportant, colonne de douche, vanité, plancher chauffant, céramique et vinyle, c'est vraiment pas le choix qui manque. On a tout ce qu'il vous faut pour rénover sans négliger la qualité et vous allez payer le meilleur prix du marché. Pour une maison qui vous ressemble à quoi vila votre allié en plomberie et plancher, aussi admirable qu'abordable.
[01:16:55] Speaker B: J'ai une question qui me travaille. Est-ce vrai que le pourboire m'appartient si.
[01:16:58] Speaker E: C'Est moi qui donne le service?
[01:16:59] Speaker A: C'est vrai. Et ce, peu importe votre salaire. Il peut aussi exister une entente sur le partage du pourboire avec d'autres travailleuses et travailleurs. Une ordre du travail pour les questions qui vous travaillent. Un message de la CNESST. La différence entre « J'ai vendu ma maison » et...
[01:17:13] Speaker D: J'ai vendu ma maison!
[01:17:15] Speaker A: C'est des milliers de dollars de plus grâce à l'expertise de l'équipe Gagnon Courtier Immobilier. Profitez de leur service de home staging sans frais supplémentaires et vendez votre propriété 8, 10, voire 12 % de plus. Pour un effet époustouflant, confiez votre maison à Rémi Gagnon et son équipe. 418-841-4141. Gagnez à être bien entouré avec équipegagnon.ca.
[01:17:39] Speaker C: Ta voiture est comme pas neuve, mais.
[01:17:41] Speaker B: T'En veux une neuve?
On peut reprendre ta com 9 et.
[01:17:44] Speaker D: Même t'en trouver une neuve.
[01:17:47] Speaker C: Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota.
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[01:17:53] Speaker D: D'Une rampe ou d'une clôture de qualité pour votre piscine? Avec Aluminium Perron, installez-les vous-même et économisez. Faites confiance à Aluminium Perron. Que ce soit pour sécuriser, embellir ou moderniser votre espace, nos produits sont conçus pour résister au temps et aux hivers d'ici. Et en ce moment, profitez d'un rabais exclusif en ligne seulement de 5 % avec le code promo RADIOX. Faites vite, c'est pour un temps limité. Pensez sécurité avec Aluminium Perron.
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[01:19:00] Speaker B: On a aussi de l'occasion.
[01:19:02] Speaker C: On fait partie du portrait.
[01:19:04] Speaker B: Rejoins la famille. Magazine au kiabeauport.com. Partout où les Canadiens lèvent leurs verres, mon son est là. Pis c'est pas pour rien. Quand ça fait plus de 230 ans que t'es au Canada, t'as été partout. Dans les verres et les frigos des Canadiens, de génération en génération. Molson a une bière pour tout le monde cet été. Alors, lève ton verre ou ce dans quoi tu bois ta Molson.
[01:19:25] Speaker D: Santé!
[01:19:26] Speaker B: Parce que l'important, c'est pas dans quoi elle est versée, mais où elle est brassée. Canadian Export Ultra Excel. Molson. Tous ensemble. Vous devez avoir l'âge légal de consommer. Mes amis, il est temps de dire un dernier adieu aux anciennes règles de tri.
[01:19:43] Speaker D: Elles emportent dans le deuil tous nos.
[01:19:45] Speaker B: Doutes devant le bac de récupération.
[01:19:48] Speaker A: C'est vrai que c'était mélangeant.
[01:19:50] Speaker B: Maintenant, la règle, c'est contenant, emballage, imprimé.
[01:19:52] Speaker A: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive?
[01:19:54] Speaker B: Oui, contenant.
[01:19:55] Speaker A: Mon papier d'aluminium?
[01:19:56] Speaker D: Oui, emballage.
[01:19:58] Speaker A: Les lettres d'amour de mon ex?
[01:20:00] Speaker B: Imprimé. Dites adieu aux anciennes règles de tri. La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé.
[01:20:05] Speaker A: Un message de Back Impact, la nouvelle référence en collecte sélective.
[01:20:07] Speaker D: Cet événement, prenez la route Honda et c'est le moment d'électriser votre été. Obtenez un taux de 0 % à l'achat en plus de jusqu'à 7 000 $ de rabais additionnels de Honda et du gouvernement du Québec sur tous les Kona électriques 2025. Ou louez la version Preferred à partir de 1,99 % avec des paiements hebdomadaires de 95 $. Avec 420 km d'autonomie, la recharge rapide et une conduite parmi les plus dynamiques de sa catégorie, vous allez en chercher des détours. Les conditions s'appliquent, visitez hondacanada.com pour les détails.
[01:20:37] Speaker B: Choua.
[01:20:38] Speaker A: Choua.
[01:20:38] Speaker D: Choua. Choua.
[01:20:39] Speaker E: Choua.
[01:20:39] Speaker B: Choua.
[01:20:40] Speaker D: Choua.
[01:20:40] Speaker B: Choua. Choua.
[01:20:41] Speaker D: Choua.
[01:20:41] Speaker A: Choua. Choua.
[01:20:45] Speaker B: Choua. Choua.
[01:20:46] Speaker E: Choua. Choua.
[01:20:47] Speaker D: Choua.
[01:20:47] Speaker B: Choua. Choua.
[01:20:48] Speaker D: Choua.
[01:20:49] Speaker B: Choua.
[01:20:50] Speaker A: Choua.
[01:20:52] Speaker E: Choua.
[01:20:52] Speaker B: Choua. Choua.
[01:20:52] Speaker A: Choua.
[01:20:53] Speaker B: Choua. Choua.
[01:20:57] Speaker D: Choua.
[01:20:59] Speaker A: Choua. Choua.
[01:21:01] Speaker B: Choua. Choua.
[01:21:03] Speaker E: Choua.
[01:21:03] Speaker B: Choua. Choua.
[01:21:04] Speaker E: Choua.
[01:21:04] Speaker D: Choua.
[01:21:05] Speaker E: Choua. Choua.
[01:21:10] Speaker B: Ah, Jordan, comment vas-tu?
[01:21:12] Speaker C: Ah, Peter, Peter, Nick Luthier.
[01:21:14] Speaker D: Salut!
[01:21:15] Speaker C: Bonjour, messieurs.
[01:21:16] Speaker B: NFL hier?
[01:21:17] Speaker C: Hey, t'as-tu écouté ça, le quatrième quart?
[01:21:19] Speaker B: Écœurant!
[01:21:19] Speaker C: Après les Bears et les Vikings, quelle remontée de JJ McCarty. Ça avait pas bien commencé, honnêtement. Là, s'il y passe, il y avait un peu de misère, mais ça s'est replacé. Ça a comme été l'effet contraire, tu sais. Il jouait à la balance d'un bord puis de l'autre. Caleb Williams, c'était 10 en 10 au début. Après ça, ça a viré, 10 en 24 au niveau des passes.
[01:21:35] Speaker B: Mais lui, c'est son premier match, là.
[01:21:36] Speaker C: Premier match pour J.J. McCarthy. C'était un fans des Bears.
[01:21:40] Speaker B: En plus! C'était spécial. Mais il a très bien fait ça.
[01:21:45] Speaker C: Oui, vraiment. Ça a été une grosse remontée.
[01:21:47] Speaker B: Ils sont équipés, les Vikings.
[01:21:49] Speaker C: Mais oui, ils ont du stock en masse.
[01:21:51] Speaker B: Jones là, t'as abaroué, t'as pas eu les ballons pas à peu près.
[01:21:54] Speaker C: Fait que j'ai aimé ça, la grosse remontée hier, 27-24, ça a bien été, pis ça a été un gros match offensif, le monde aime ça, l'ambiance était solide là-bas, un peu comme la game de fou entre les Bills pis les Ravens, je sais pas si t'as écouté ce game-là, t'étais complètement malade. Pis là le prochain, on sera au Lambeau Field, les Packers qui affronteront les Commanders.
[01:22:13] Speaker B: Ça, ça va être très solide parce que les Commanders sont solides là.
[01:22:16] Speaker C: Oui, vraiment.
[01:22:16] Speaker B: T'as cherché Deebo Samuel aussi?
[01:22:19] Speaker C: Ben oui, en effet.
[01:22:20] Speaker B: Et Capital, ce soir?
[01:22:21] Speaker C: Oui, Capital, ça débute les deuxièmes rondes. C'est la finale de conférence. Qu'il faut comprendre, le format des séries, c'est toujours un peu particulier. Dans la Ligue Frontière, c'est finale de conférence. On tombe maintenant en 3 de 5.
[01:22:32] Speaker B: On était à 2-3.
[01:22:33] Speaker C: C'est à 2-3 première ronde, c'est 3-5. Puis ce sera également un 3-5 si on s'en va en finale. On est en finale de conférence, 3-5, puis ça va débuter du côté de Tri-City ce soir. Après ça, on aura un autre match le lendemain. Et après ça, ce sera vendredi, samedi, dimanche du côté de Québec, si nécessaire, pour les matchs ensuite. Mais ça commence toujours à l'extérieur. Mais au moins, on a l'avantage du terrain pour les matchs importants. C'est une bonne nouvelle. C'est les Valley Cats de Tri-City, les prochains adversaires des Capitals.
[01:22:57] Speaker B: Et là, si on regarde l'affiche, je pense que ça n'a pas été facile à compter.
[01:23:02] Speaker C: Non, mais il était juste derrière eux dans le classement. Il se suivait pas mal. C'est sûr que les Caps, c'était dans une ligue à part cette année au niveau des statistiques. Ils ont dominé, mais Tricity n'était pas si loin que ça. Ça va être un peu le chaud duel des séries de voir comment ça va aller.
[01:23:17] Speaker B: Les équipes américaines, il y a du talent dans le baseball.
[01:23:20] Speaker C: Ben oui, vraiment.
[01:23:21] Speaker B: Les Capitals, ce qui se passe là, c'est unique au monde. Une équipe de même qui reporte des championnats dans la France des Américains.
[01:23:29] Speaker C: C'est un troisième, peut-être un quatrième en plus. Donc ce sera du côté de Troy ce soir contre les Valley Cats. Manquez pas ça, c'est un méchant gros show. Mais j'ai bon feeling, bon espoir pour que les Caps se rendent bien loin dans ces séries-là. On le sait depuis à la date limite des transactions, le club n'arrête pas de gagner, littéralement. Puis ça a été une domination également en première ronde contre les Boulders à New York.
[01:23:49] Speaker B: Non, capital, ils sont encore vus pour à l'eau championnat.
[01:23:52] Speaker C: Oui, c'est ça. Mais ça va être une belle série contre Tri-City, je vous garantis.
[01:23:55] Speaker B: Là, tu me dis... Une vedette de la Ligue nationale qui a quitté son équipe.
[01:24:00] Speaker C: Je voulais pas te dire c'est qui.
[01:24:01] Speaker B: Ouais, c'est quoi, dis-toi.
[01:24:02] Speaker C: Mais je sais pas si tu as vu la semaine dernière, les propos de Connor McDavid. Disons que moi j'étais un fan des Oilers, en ce moment, caca mou dans mes culottes.
[01:24:11] Speaker D: Ah ouais, comment ça?
[01:24:12] Speaker B: Ben là, c'est parce que là, il veut pas confirmer. Ah, ça se peut que je signe à court terme. Tout est sur la table.
[01:24:18] Speaker C: Mais le capitaine s'est fait poser la question la semaine dernière après une pratique et il avait encore son chandail sur le dos. Puis là, toi, tu vois ça comment, la suite des choses avec les Oilers. Puis là, il dit, il y a plusieurs options sur la table. Il y a l'option à long terme, il y a celle à court terme ou celle à aucun terme.
[01:24:34] Speaker B: Oh!
[01:24:35] Speaker C: On dira ce qu'on voudra, mec David, mais quand même, c'est à la table qu'il y a une réelle chance de quitter les Oilers. Ça, c'est gros, là.
[01:24:40] Speaker B: Puis là, il commence à avoir des scénarios. Il y a des équipes qui disent « on pourrait participer au Derby ».
[01:24:45] Speaker C: Donc, on va décortiquer ça. Comment ça pourrait virer, tout va dépendre de la prochaine saison des Oilers. Lui, il veut savoir s'il y a vraiment des chances de se rendre en finale. Oui, mais de gagner la Coupe Stanley, parce qu'il était en finale deux fois puis il a perdu contre les Panthers, mais on regardait la formation des cadres versus son équipe. Il y avait McDavid, Dreysaito, t'avais quelques bons éléments dans le line-up aussi, mais la profondeur des Panthers, tu regardais Bennett, tu regardais Kachuk, tu regardais...
[01:25:10] Speaker B: Mais t'avais deux joueurs de différence, pis ça c'est l'histoire du cap. Ouais. Quand ils ont crossé sur le cap, ils avaient quoi, 10 millions? C'était le salaire à Kachuk?
[01:25:16] Speaker C: Ouais, c'était 9 millions.
[01:25:17] Speaker B: Bon, pis ils sont allés chercher le rat.
[01:25:19] Speaker C: Non, mais Bennett, il y avait Bobrovski, il était sienneux, qui accorde des crotons aux deux games.
[01:25:22] Speaker B: Oui, mais ils sont allés chercher des joueurs comme à date limite, dont le rat, ton chum, Brad Marchand.
[01:25:27] Speaker C: Brad Marchand.
[01:25:27] Speaker B: Pis un autre joueur. Mais si tu mets deux joueurs d'impact avec les haulers... Seth Jones qui a.
[01:25:32] Speaker C: Été cherché, c'est vrai.
[01:25:32] Speaker B: Seth Jones, c'est quelque chose.
[01:25:34] Speaker C: C'est un méchant défenseur droitier.
[01:25:36] Speaker B: Fait que si tu mets ces deux joueurs-là avec les haulers, mettons... Ouais, mais.
[01:25:39] Speaker C: C'Est parce que le problème, c'est qu'ils ont Neuss à gros prix, même affaire pour Bouchard à 10,5 millions.
[01:25:45] Speaker B: Lui, il est là pour encore longtemps.
[01:25:46] Speaker D: Il est là pour encore longtemps, il va faire des erreurs encore longtemps.
[01:25:49] Speaker B: Il t'a une bine là.
[01:25:51] Speaker C: C'est le festival des turnovers.
[01:25:54] Speaker D: Il a pas gagné la coupe cette année avec ça.
[01:25:55] Speaker B: Il y a quand même une défensive qui sont allées à la coupe cette.
[01:25:57] Speaker C: Année deux fois d'une. C'est juste que c'est passé match 6 contre les Panthers, c'est lui qui a créé le but avec un passe-décompte.
[01:26:02] Speaker D: Oui, peut-être. Bouchard.
[01:26:04] Speaker C: Puis Skinner, j'en parle encore, mais Skinner, il a accordé 2-3 mauvais buts dans le match numéro 6.
[01:26:09] Speaker B: Pas Jeff Skinner, c'est quoi son nom?
[01:26:12] Speaker C: C'est Stuart Skinner. Mais Jeff Skinner joue pour les Oilers, mais là, il joue plus. Il était laissé de côté, tout ça. C'est ça, Skinner, c'était moyen. Puis moi, j'ai l'impression que McDavid, il regarde ce club-là, plus ou moins confiance pour gagner le Coupe Stanley. Ça va dépendre de comment ça va se passer. Pis quand tu regardes les clubs qui se sont améliorés dans l'Ouest versus eux, ils ont été chercher Madjapane et quelques éléments de profondeur des Curtis Lazard de ce monde, mais tu regardes les Golden Knights, ils ont fucking Mitch Marner avec eux autres à Star. Tu risques des affrontants en série. Imagine Michael Marner, t'as les Stars qui ont run Tannen avec Robertson qui est resté, Terropiens et de ses compagnies. Ça va être tough, honnêtement, se rendre en finale encore pour les Hurlers. Je pense vraiment que c'était une de leurs dernières chances.
[01:26:57] Speaker B: Y'a eu les Levois aussi, là.
[01:26:58] Speaker C: Ben, c'est ça. Donc, actuellement, il y a des clubs qui se préparent pour un éventuel départ de Connor McDavid. Il y a un club qui adore attirer les vedettes. Ils ont de l'argent dans le coffre. C'est un des clubs les plus riches de la ligue, dans le top 3, même avec Toronto et Montréal. Je parle ici des Rangers.
[01:27:12] Speaker B: Les Rangers, là, ils ont fait ça avec Panarin.
[01:27:16] Speaker C: Ben Panarin, c'est ça, il voulait vraiment aller le chercher.
[01:27:18] Speaker B: Ça n'a rien fait.
[01:27:19] Speaker C: Ça n'a rien fait, mais la reconstruction est un peu mal orchestrée à New York. Mais on le sait, le Rick Nash est arrivé là un moment donné, Marianne Gaborek, tu te souviens de Brad Richards aussi? Des gros noms aussi, eux qui ont la chance d'aller le chercher, ils vont le faire.
[01:27:30] Speaker B: Martin Saint-Louis a fini là.
[01:27:32] Speaker C: Contre Ryan Callaghan, il avait été changé.
[01:27:34] Speaker B: Gretzky a fini là, ils ont tous fini là.
[01:27:36] Speaker C: Ouais, fait que mec, David et Damir, eux autres, ils vont le surveiller. Et là, à New York, je regardais ça tantôt, on veut garder nos choix de première ronde si jamais Mike David.
[01:27:45] Speaker B: Avait à devenir disponible. Là, mais il pourrait donner la freinière, il pourrait donner panarine, il pourrait en passer une couple, là.
[01:27:50] Speaker C: Ben, c'est sûr qu'il faut que t'ailles chercher de l'argent sur le cap salarial, là. Le panarine, la freinière.
[01:27:54] Speaker B: Comment tu le payes, là, connard, là? Super connard, c'est quoi, 16-17 millions?
[01:27:58] Speaker C: Ben, c'est parce que c'est ça, l'affaire. C'est une christie de bonne question parce que, là, tu vois, les Rangers, ils ont deux choix de première ronde 2027, choix de première ronde 2027, choix de première ronde 2028. Fait que c'est sûr que ça va te prendre une panoplie de choix de première ronde si, un jour, Mike David avait à être échangé. Mais l'affaire, c'est que les Rangers sont intéressés, mais j'imagine que les 30 autres équipes dans la Ligue aussi m'envoient de l'intérêt.
[01:28:20] Speaker B: Mais c'est où qu'il veut aller, lui? Moi, personnellement, je suis connard, mais avec David, je veux faire de l'argent avec des commandites, je vais m'envoyer à New York.
[01:28:26] Speaker D: C'est sûr, mais tu veux gagner une Coupe Stanley aussi.
[01:28:28] Speaker B: Edmonton, sa valeur, il y a en fait des commandites.
[01:28:32] Speaker C: À part le centre d'achat, il n'y a pas grand-chose là-bas.
[01:28:34] Speaker B: Il fait bet 99, puis je pense qu'il y a d'autres commandites.
[01:28:36] Speaker D: Oui, mais c'est le West Edmonton Mall, quand même.
[01:28:39] Speaker C: C'est vrai, il y a des jeux d'eau là-bas.
[01:28:40] Speaker B: Tu joues à New York? Mais tu joues à New York, là. La commandite, là. Les joueurs de hockey, là, c'est parent-père, la commandite.
[01:28:47] Speaker D: Oui, mais nous, les Rangers peuvent-ils gagner une Coupe St-Denis dans les 4-5 prochaines années? Je pense pas.
[01:28:52] Speaker C: Oui, mais ça dépend. Si tu vas chercher McDavid, là, ça.
[01:28:54] Speaker B: Peut... McDavid, ça va vite, là.
[01:28:55] Speaker C: Ça peut changer la Coupe.
[01:28:55] Speaker B: Le monde, ils vont suivre en arrière.
[01:28:57] Speaker C: Ça change la donne, puis pas à peu près. Mais là, c'est ça, la patente, c'est que ça va coûter extrêmement cher, mais il y aura aussi une enchère, si tu veux, pour aller chercher ce gars-là.
[01:29:06] Speaker B: Oui, mais moi, mettons, Gresky voulait aller jouer à Los Angeles. Ils ont trouvé une entente, là.
[01:29:10] Speaker C: Ouais, mais dans le deal de Wayne Gretzky, souviens-toi qu'il avait 15 millions en argent, ce que tu vois plus maintenant. Il n'y a plus de deal de cash, de commandite. Souviens-toi, maintenant, on échangeait des entraîneurs, pour te donner une idée. Tu sais qu'il avait été changé à New York. On n'est plus là-dedans. Fait qu'il faut que tu bosses une transaction avec des choix, avec des espoirs, avec des joueurs élites.
[01:29:28] Speaker B: Il faut que tu dises que Mike David, lui, son prime, il est là.
[01:29:31] Speaker C: C'est ça.
[01:29:32] Speaker B: Dans 5 ans, je ne suis pas sûr que Mike David est aussi rapide. Fait que là, eux autres, ils ont une fenêtre de 3-4 années. Fait que tu fais cracher le plus d'argent possible. Puis j'imagine que Mike David, il avait une clause de non-échange. Donc il avait sûrement identifié des équipes où il aimerait jouer.
[01:29:46] Speaker C: C'est ça.
[01:29:46] Speaker B: Donc tu négociais avec ces équipes-là.
[01:29:48] Speaker C: Puis il va lever sa close. Fait que tu sais, tout va dépendre de comment se passe la saison avec Edmonton cette année. Mais mettons que, je sais pas, ils font pas les séries puis ça va pas bien pantoute. Ça date limite des transactions de 2026.
[01:29:58] Speaker B: Ah, vous voulez dire qu'ils vont le perdre?
[01:29:59] Speaker C: Parce qu'ils peuvent pas faire un Marner 2.0, Peter, là. C'est impossible. Parce que Marner, ils l'ont perdu, ou presque.
[01:30:05] Speaker B: Il y a deadline, puis à partir de telle date, s'il y a plus d'entente possible avec toi, nous autres, on ouvre les vannes pour t'échanger.
[01:30:11] Speaker C: C'est ça. Si lui, il lève le flag en disant « Je veux pas revenir », ils vont tout faire.
[01:30:14] Speaker B: C'est qui qui est là? C'est...
[01:30:16] Speaker C: C'est Stan Bowman.
[01:30:17] Speaker B: Bon, Stan, d'après moi, son père doit pas être loin aussi, là. Ouais. Scotty.
[01:30:21] Speaker C: Scotty. Ouais, mais Stan, il a eu du succès à Chicago, malheureusement.
[01:30:23] Speaker B: Ben oui, il a gagné. Il a gagné des coupes, là.
[01:30:25] Speaker C: Ça va pas très bien à Edmonton, présentement, parce qu'on était supposés le signer cet été. C'est pas arrivé. Fait que là, lui, il regarde ses options. Puis en plus, qu'il lâche un câble de même, ça veut dire qu'on peut quand même concevoir un départ de Mick Davis. C'est drôle.
[01:30:37] Speaker B: Et si tu regardes l'après-Gretzky à Edmonton, ils ont quand même gagné une coupe, là.
[01:30:42] Speaker C: 90.
[01:30:43] Speaker B: Avec Marc Messier, il y avait plusieurs joueurs encore qui étaient là. Ils avaient obtenu quand même des joueurs, puis ils n'ont pas vidé l'équipe à Edmonton, après Gretzky. Il y avait des joueurs là, il y avait Glenn Anderson, il y en avait là, Yarikuri.
[01:30:56] Speaker C: Ah non, c'est vrai qu'ils ont trouvé le moyen de... Paul Caffé, tu avais.
[01:31:00] Speaker B: Gélinas qui était là aussi, le Québécois Gélinas.
[01:31:03] Speaker C: C'est vrai parce qu'il avait gagné la coupe en 90.
[01:31:05] Speaker B: Oui, oui.
[01:31:05] Speaker C: C'est ça. C'est vrai que Gretzky était plus là à ce moment-là. Mais si tu te fais un bon trade, puis tu vas chercher tes besoins en même temps, c'est sûr que ça fait extrêmement mal de perdre un gars comme McDavid, mais peut-être que tu vas pouvoir balayer tes besoins ailleurs.
[01:31:18] Speaker B: Il va en avoir d'autres, là.
[01:31:19] Speaker C: Ouais, c'est ça. Fait que les Rangers sont des rumeurs, puis cet été, il y en a un qui est sorti, c'est Tampa Bay aussi. Au mois de juin, après la défaite des Oilers, ça a l'air que le Lightning aurait beaucoup d'intérêt. Mais eux autres, encore là, ils n'ont pas beaucoup d'espoir, ils n'ont pas beaucoup de choix de pêchage. Ça va te prendre un Braden Point, puis des Connor Gaykey de ce monde, c'est de bâtir une grosse transaction pour aller chercher un gars de même. Mais le prix à payer, si ça arrive...
[01:31:40] Speaker B: Les Rangers, moi je veux les Rangers. Ou bien Los Angeles.
[01:31:44] Speaker C: Los Angeles?
[01:31:45] Speaker B: Saint-Gilles a des joueurs là aussi.
[01:31:47] Speaker C: Fait que tu fais la même affaire que Grisky, t'échanges McDavid à LA, t'es dans la même division.
[01:31:51] Speaker B: Mais c'est le joueur qui va décider à la fin de la journée, c'est McDavid qui va décider où il va aller jouer, puis discuter avec ces équipes-là.
[01:31:58] Speaker C: Parce que tu parles de New York, mais je pense que McDavid triperait bien gros aussi sur un marché non traditionnel, dans le sens que tu t'es pas écoeuré par les journalistes, puis tu te promènes dans un restaurant le soir, il y a personne qui vient t'achaler. Marner, c'est ça, lui, il a voulu quitter Toronto parce qu'il était écoeuré de la pression médiatique, il l'a clairement dit dans un entrevue à TSN. Est-ce que Vegas pourrait être un fit pour Colin McDavid? Peut-être que oui. En tout cas, les Knights feraient tout pour qu'ils fassent de la place.
[01:32:22] Speaker B: Oui, mais les Knights, ça a l'air d'être une équipe où on brûle nos vedettes.
[01:32:26] Speaker C: Oui, mais là, tu as Marner, Jack Heichel qui est là, qui va re-signer un contrat.
[01:32:30] Speaker B: Là, ça a l'air que ça fait jaser beaucoup à Kel son renouvellement de contrat. Non, non, ils ont brûlé du monde, eux autres. Regarde comment ils ont traité Fleury.
[01:32:38] Speaker C: Marchesso aussi.
[01:32:39] Speaker B: Marchesso, bye, ciao, au revoir.
[01:32:40] Speaker C: Marchesso connaît le connaissement et il crache dessus à la limite. C'est spécial.
[01:32:44] Speaker B: Repêchage 2026, tu dis Montréal. On va faire ça rapide.
[01:32:48] Speaker C: Oui, il y a des rumeurs qui courent parce que le repêchage, on n'a pas statué, mais on va vouloir le faire depuis le début de la saison. Puis souviens-toi que 2022, c'était à Montréal. Le repêchage Slavkovski, ça avait été un grand succès. Les dirigeants de la Ligue ont trippé bien gros. Selon Mark Shegg, qui couvre les Blue Jackets, qui est un membre de l'Association des journalistes professionnels de hockey, il dit que Montréal serait au sommet de la liste.
[01:33:10] Speaker B: Mais ils font plus ça à distance, là.
[01:33:11] Speaker C: C'est ça, le point.
[01:33:12] Speaker B: Ils reviendraient.
[01:33:14] Speaker C: Je m'en allais là. C'est que Los Angeles, ils l'ont fait 2025, ça a été le premier où on a fait ça à distance, limite un repêchage COVID. Fait que tous les dirigeants, si ça a eu lieu à Montréal, vont rester dans leur ville respective, vont faire le repêchage dans le Centre Bell, pareil. Fait que ce soit pas pareil comme celui de 2022.
[01:33:30] Speaker B: Ben là, NFL fait ça, hein? Tu vois les joueurs dans leur salon, là, avec leur famille, pis là, c'est... ça donne des images un petit peu plus explosives.
[01:33:37] Speaker C: Ouais, c'est ça. C'est ça.
[01:33:38] Speaker B: Il y en a qui se garagent dans la piscine.
[01:33:40] Speaker C: C'est tellement hot!
[01:33:41] Speaker B: Voilà. Hé, merci beaucoup, Jorick!
[01:33:42] Speaker C: Et quand les recrues en terminant, ça commence dans pas long, là, l'événement. Ça va débuter demain. Après ça, t'as les games 13-14 septembre prochain. D'autres de très bons noms à surveiller. Demi-Dolls Roller, Reimbacher, Jakob Haller aussi.
[01:33:54] Speaker B: Ils sont tous là.
[01:33:55] Speaker C: Eh oui, on va avoir des méchants bon-kits. Fait que regardez ça dans les prochains jours. Demain, c'est tests médicaux. Puis après ça, ça va commencer pour de vrai.
[01:34:00] Speaker B: Les mains!
[01:34:01] Speaker C: Hey, de quoi tes mains?
[01:34:02] Speaker B: Surveille les mains de Demidov.
[01:34:04] Speaker C: Arrête de voler mon lunch.
[01:34:05] Speaker B: Mes mains! Après la pause, on jase d'économie.
[01:34:07] Speaker D: Coup dur.
[01:34:08] Speaker A: Petite pause. On revient dans pas longtemps.
[01:34:10] Speaker D: Dans le mid.
[01:34:11] Speaker E: Ouais.
[01:34:12] Speaker B: Radio X. Moray.
[01:34:14] Speaker D: Live. Ce titre-là, on peut annuler à Chine aussi. Avec ses camps de concentration de WeGo, on va annuler l'Iran. On peut annuler le trois-quarts des équipes qui participent aux Olympiques, mon cher ami.
[01:34:25] Speaker E: Est-ce qu'on fait ça? Mais le sport doit être neutre.
[01:34:35] Speaker D: Le sport, le principe de neutralité du sport, c'est sacré. OK. Là, vous mélangez la politique et les sports, et ça, c'est vraiment toxique, à mon avis.
[01:34:53] Speaker B: X. Présenté par le Maître Constructeur Saint-Jacques. Les 13 et 14 septembre, de 10h à 16h, assistez à nos portes ouvertes à Saint-Jacques de Leeds. Visitez notre usine et nos maisons modèles. maîtreconstructeurstjacques.com OK, je vous parle de Charlebois Toyota. Pour l'achat d'un véhicule neuf, c'est une expérience d'achat en toute quiétude. Dans la transaction, dans la réception du véhicule, dans votre visite au service et plus encore. Repartant à Toyota, notre offre du mois, le beau Tacoma 4x4 TRD Sport 2025. On en a plusieurs en inventaire pour livraison, 24. 48 heures, capacité de remarquage 2903 kg, notamment munie du nouveau Toyota Safety Sense 3.0 connectivité Apple CarPlay Android Auto. Passez voir Guy Renaud, le directeur des ventes et son équipe, qui saura bien vous conseiller selon vos besoins. Vaste inventaire de véhicules neufs disponibles à livraison 48 heures. Charlebourg-Toyota, parce que votre paix d'esprit, c'est notre priorité.
[01:35:50] Speaker D: On ne jette pas de l'huile sur le feu.
[01:35:52] Speaker B: On jette pas le bébé avec l'eau du bain.
[01:35:55] Speaker D: Surtout, on jette pas son vieux frigo. On le recycle. Jette un coup d'œil sur gorecycle.com pour.
[01:36:00] Speaker B: Découvrir toutes nos solutions.
[01:36:02] Speaker D: À go, recycle ton frigo. Vous êtes propriétaire d'une maison et vous êtes étouffé par vos dettes? Carte de crédit, prêt personnel, deuxième hypothèque à taux élevé? Stop! Vous perdez des milliers de dollars chaque année. Chez GMOT.ca, nous avons la solution. Le refinancement hypothécaire et la consolidation de dettes. Économisez plus de 1300 par mois et retrouvez enfin la tranquillité d'esprit. Une seule mensualité, zéro stress. Visitez GMOT.ca. C'est simple à retenir. ou appelez-nous maintenant au 88 655 36 86 partout au Québec.
[01:36:37] Speaker B: Salut, c'est moi, votre sommeil. Alors, selon le dernier rapport de Dormez-vous que j'ai ici sous les yeux, là, vous seriez plusieurs à me négliger, hein? Quand vous regardez 8 épisodes de L'Amour.
[01:36:47] Speaker D: Est dans les tables ou que vous.
[01:36:48] Speaker B: Jouez toute la nuit à Zombie Maximum Apocalypse Extrême Édition, ça m'affecte. Et dormir, vous avez du talent là-dedans, en plus, vous êtes capable de faire ça les yeux fermés.
[01:36:59] Speaker D: T'sais, laissez aller.
[01:37:00] Speaker A: Pendant l'événement, votre sommeil mérite mieux. Nous payons les taxes sur tout. Pour un temps limité, seulement chez Dormez-vous. Certaines conditions s'appliquent.
[01:37:07] Speaker B: Oui, allô?
[01:37:07] Speaker C: Pierre-Luc, mon cousin préféré, j'ai reçu ton courriel. Quel courriel? Ben les offres que tu me fais.
[01:37:11] Speaker D: Parce qu'on est dans la même famille.
[01:37:12] Speaker B: Là, sur le Taos, l'idée 4, la Jetta, l'idée Buzz. Ah, le VoxFest? Ouais, mais ça c'est pour tout le monde. Hey, des offres à 0% sur les.
[01:37:18] Speaker E: Modèles sélectionnés, le boni VoxFest, t'es fou!
[01:37:21] Speaker C: T'as compris que c'était pas juste pour toi, là. C'est vraiment... OK, Pierre-Luc, si tu le dis. Ouais, ben je te le dis, là.
[01:37:25] Speaker B: Volkswagen, c'est pour tout le monde. Profitez d'offres à partir de 0 % et obtenez jusqu'à 1000 $ en bonnie Volkswagen sur certains modèles. Faites vite, les offres se terminent le 30 septembre. Sur approbation du crédit, les conditions s'appliquent. Détails chez votre concessionnaire Volkswagen.
[01:37:36] Speaker D: À Télé-Québec, le mercredi 20h, Une Époque Formidable, animé par Stéphane Bureau.
[01:37:41] Speaker B: Je vous propose une question audacieuse.
[01:37:43] Speaker D: Nous utilisons quotidiennement l'intelligence artificielle, mais qui en sort vraiment gagnant?
[01:37:48] Speaker B: Déjà, je sens que ça vous parle.
[01:37:49] Speaker D: Et bye bye les médias traditionnels, bonjour les médias sociaux. Même des journalistes quittent les grands réseaux sociaux pour se joindre aux plateformes numériques. Ça fait beaucoup de gens qui sont intéressés, j'adore ça! Et vous, où vous informez-vous? Allez au-delà des préjugés avec Une Époque Formidable, mercredi 20h à Télé-Québec.
[01:38:06] Speaker A: Ah, comme les feuilles commencent à tomber. Faudrait bien que je me prenne d'avance pour mes pneus c't'année. Ah, comme les flocons sont pas loin d'arriver. J'prends rendez-vous drette là, chez Service Certifié. Pour Service Certifié, l'hiver, c'est inspirant. Faites installer vos pneus d'hiver avant le 30 septembre 2025 et obtenez un rabat instantané de 50 $. Faites vite! Prenez rendez-vous en ligne chez votre concessionnaire service certifié Chevrolet, Buick, JMC, Cadillac dès aujourd'hui.
[01:38:35] Speaker D: Astral Déménagement, c'est l'expertise d'une entreprise familiale au service de votre tranquillité. Emballage, déballage, entreposage, tout est pris en charge. Pour un déménagement sans stress, faites confiance aux experts. Astral Déménagement. Plus qu'une entreprise, une famille qui bouge.
[01:38:51] Speaker A: Ta situation a changé et tu veux vendre ton véhicule? Va sur VendTonChart.com et rapidement reçois une offre en ligne. On paie le meilleur prix du marché. Tous les détails sur VendTonChart.com. VendTonChart.com Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.
[01:39:17] Speaker D: Couture!
qui n'est pas parfait. Dans le mythe.
[01:39:21] Speaker B: C'est l'homme de la situation, à ce qu'on m'a dit.
[01:39:23] Speaker A: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier.
[01:39:26] Speaker B: Radio X.
Money, money, money.
Hier, on a parlé de la France où ça brasse encore parce que là, il y a un troisième gouvernement à l'espace d'un an qui est tombé. Et là, la France, ils ont un problème, eux autres, c'est qu'ils présentent des budgets tout le temps déficitaires depuis les 51 dernières années. Je pense que ça a arrivé une fois qu'on a déposé un bilan, un budget positif.
Donc on est toujours dans un déficit. Et là, c'est ce qui fait qu'on pourrait être décoté. On est double A. On pourrait tomber à A moins ou encore pire que ça, peut-être A plus. Et là, quand on est décoté comme ça, ce qui arrive, c'est pour ça qu'il y a beaucoup d'inquiétudes. C'est qu'on pourrait perdre des investisseurs qui, eux, achètent normalement tes obligations parce que t'es coté double A. Là, si tu perds ta cote de double A, au Canada, on est coté triple A. Pour la France, c'est le bordel total. Et là, on est...
On est au pied du mur parce qu'on a accumulé des déficits tellement importants. On doit faire des réformes. Et il n'y a rien de réformable parce que le Parlement est divisé entre la gauche et la droite. Et ça fait en sorte qu'on est battu. Chaque gouvernement qui arrive pour faire des réformes est complètement laminé. Et là, on doit recommencer à zéro. Je vous le dis, la France, c'est un cas, si on se rend là un jour, le Canada ou le Québec...
[01:40:58] Speaker D: On va faire dur.
[01:40:59] Speaker B: Oui, on va faire dur.
Et là, bien, c'est quoi? C'est que quand t'arrives là, l'État a plus d'argent. L'État est plus capable de générer assez de revenus pour ses dépenses. Et quand on veut couper, on n'est pas capable parce que les partis d'opposition nous bloquent. Donc là, t'es poigné pour gouverner avec des coalitions et des coalitions qui veulent pas qu'on... Mettons qu'on coupe dans les pensions de vieillesse, qu'on coupe dans la fonction publique. Faudrait que l'on devienne...
[01:41:23] Speaker D: Les syndicats, ils sortent aussi.
[01:41:25] Speaker B: Oui, puis là, c'est comme une espèce de roue, là.
Écoute, c'est infernal comme mécanique.
[01:41:31] Speaker D: Ça ressemble à ce qu'on commence à vivre ici.
[01:41:33] Speaker B: On commence à voir ça à venir, parce que là, vous le voyez, le gouvernement essaye de couper. Pas capable. Pas capable nulle part, nulle part, nulle part. Et l'État sans dette continue à donner de la prestation avec des revenus qui sont moindres. Et ta capacité de générer des nouveaux revenus, bien, t'es déjà rendu au maximum. Je sais pas si tu te vends en France, là, les niveaux d'imposition des particuliers, des entreprises. Tout le monde est imposé, tout le monde est au bout du bout du bout.
Donc, je ne sais pas comment ça va finir. Toujours est-il que je regardais les marchés boursiers du côté de la CAC 40, ça a monté un petit peu là, mais c'est l'obligataire parce que là, qui va te financer? Toi, tu veux aller émettre des obligataires, donc tu vas aller voir la Banque de France. Puis là, tu vas dire, bien moi, j'ai besoin d'argent. Bien là, elle, elle va se revirer de bord puis elle va dire, OK, il y a-tu des preneurs au lait? Oui, mais pas à bas de 5, 4,5, 5, 5 %, 5,5.
Donc on est dans ce dilemme-là et c'est pour ça que les gens vont se réfugier dans l'art, on l'a vu. Royaume-Uni, même, à faire.
Même affaire, gouvernement déficit, pas capable de réformer de l'intérieur, bloqué de tous les bords. Puis là, les gouvernements succèdent. Donc, c'est vraiment un échec. C'est fascinant ce qui se passe actuellement. Et États-Unis, bien là, on a une dette de 37 000 milliards, déficit annuel d'à peu près 1 500, 2 000 milliards. On n'est pas capable de renverser la tendance. Est-ce qu'on va vouloir le faire un jour? Là aussi, ça va être problématique. Canada, 100 milliards de déficit cette année. On n'est pas capable de réformer. Vous avez vu, le gouvernement a essayé de couper, puis ils ne sont pas capables. Votre nommé Carney nous dit qu'il va investir puis qu'il va couper en même temps. Il nous avait dit ça en campagne électorale. Mais là, on est rendu à un déficit, puis on a parlé avec Rodolphe, on est rendu à des déficits de 100 milliards au fédéral, puis personne ne s'inquiète de rien. Comme si c'était normal. À un moment donné, ça va coûter 50-60 milliards, juste payer les intérêts de la dette. Le budget au fédéral, c'est à peu près 500, 550 milliards par année.
[01:43:25] Speaker D: Ça coûte plus cher, puis les services sont pas mieux.
[01:43:27] Speaker B: Les services sont pas mieux. Vous l'avez vu, là, notamment...
[01:43:30] Speaker D: L'Agence des revenus du Canada.
[01:43:31] Speaker B: C'est épouvantable.
[01:43:31] Speaker D: C'est épouvantable, les erreurs.
[01:43:33] Speaker B: T'appelles là...
[01:43:34] Speaker D: Ils répondent plus.
[01:43:34] Speaker B: Une heure, deux heures, trois heures, puis après ça, la ligne décroche. Donc, on est pas mal là-dedans. Donc, ça va être... On est dans une époque où ça bouge beaucoup, là.
[01:43:44] Speaker D: Ouais.
[01:43:45] Speaker B: Et c'est pour ça que l'art devient une valeur refuge. La SAQ qui se défend...
d'inciter les jeunes à boire.
[01:43:51] Speaker D: Moi, j'ai vu ça.
[01:43:52] Speaker B: Et là, de plus en plus, la SAQ, vous l'avez vu, les profits, mais les revenus diminuent parce que les Québécois vieillissent. Et la clientèle, si tu veux, d'origine de la SAQ, bien, c'est les vieux comme nous autres. Les 50 ans et plus.
[01:44:07] Speaker D: Oui, puis les jeunes consomment moins d'alcool.
[01:44:09] Speaker B: Les jeunes fument plus de pot ou autre.
[01:44:11] Speaker D: Ah oui, bien, ils consomment pas, tout simplement.
[01:44:13] Speaker F: Oui.
[01:44:14] Speaker B: Prendre de la peanut. Une pièce de peanut, c'est pas cher.
[01:44:16] Speaker D: J'espère que non.
[01:44:17] Speaker B: Mais là, ce qu'on fait, c'est que la SAQ, puis là, on se déf... En fait, c'est la visière, là. On se cache plus, là. Vraiment, on veut cibler les jeunes. Et c'est pour ça l'arrivée de toutes les coolers. Les coolers, puis les prêts à boire, que vous voyez près des caisses à la SACU, là, bien, c'est vraiment... Puis là, on dit qu'on va engager des influenceurs. On va essayer d'influencer les jeunes à rentrer à la SAQ que plutôt que d'aller, mettons, dans les dépanneurs ou encore rentrer dans les épiceries. On veut ouvrir des SAQ dans des épiceries. Tu vas rentrer dans une épicerie, ce qui devrait être depuis longtemps. Mais t'as-tu d'affaires à vendre de l'alcool?
Mais t'sais, on va avoir dans une épicerie une S.A.Q. Tu vas avoir un allée, là. Ça va être écrit l'allée S.A.Q. Puis là, ils vont te mettre des bouteilles de vin que t'as à S.A.Q. mais que t'as... ils vont te mettre à l'épicerie capotée. Alors que ce sera juste... Laisse-donc les épiceries vendre les vins qu'ils veulent.
[01:45:13] Speaker D: Comme aux États-Unis.
[01:45:14] Speaker B: Ben, comme partout dans le monde.
[01:45:15] Speaker D: Comme partout ailleurs.
[01:45:17] Speaker B: Là, tu vois, on va mettre... Là, on a commencé à augmenter le budget sur Instagram. On est rendu à 170 000 $ de budget sur Instagram et autres plateformes. J'ai pas toutes les autres plateformes. La presse en parle, d'ailleurs, là-dessus, texte aujourd'hui. Et la SAQ se défend, là. Ben non... Ben oui, je crois.
[01:45:33] Speaker D: Mais eux autres, c'est de vendre de l'alcool, là. Mais dès qu'il y a une entreprise comme la SOQ, une société d'État, mettons, comme la SOQ, ou le... Par exemple, ce serait la... SQDC, d'accord. La SQDC, quoi. Il y a des groupes qui vont sortir.
[01:45:46] Speaker B: Ouais.
[01:45:46] Speaker D: Vodafone, Blanc...
[01:45:47] Speaker B: Mais, et Duke Alcol, qui habituellement critiquait tout ça, critique plus rien, là. Hubert Stassi, plus là, là.
[01:45:53] Speaker D: Critique plus rien.
[01:45:55] Speaker B: Non, on n'a pas d'idées là-dessus. Donc voilà, la SAQ qui est sur le grill. Mais écoute, la SAQ, promet, baissez donc vos prix.
[01:46:03] Speaker D: Oui.
[01:46:04] Speaker B: Puis deuxièmement, laissez donc ça au marché privé.
[01:46:06] Speaker D: Oui.
[01:46:07] Speaker B: T'as-tu d'autres choses à faire que gérer des bouteilles de vin puis des... Oui. C'est longtemps qu'on le dit. Les marchés boursiers, là, je regarde, on est vert. On est vert, vert, vert. Le Nasdaq vient de virer au rouge. Là, ça vient juste de sortir, mais aux États-Unis, on a révisé à la baisse toute la création d'emplois depuis les derniers mois. Parce que Trump avait viré le gars qui s'occupait des statistiques de l'emploi. Il disait que c'était pas les bons chiffres. Mais là, je pense qu'on vient de réviser à la baisse fortement. Ça veut dire que la Fed, d'après moi, la semaine prochaine, va baisser les taux. En tout cas, on verra. Là, le Bitcoin, 111 200 à drop de 843 $. L'or, 7,10 $. L'or est à son sommet, 3642. Et je regarde l'hétérome aussi baisse tranquillement, les cryptos. Mais la semaine prochaine, si la fête baisse, là, on s'attend à 25 points de basse, 50 points de basse. J'ai vu même des scénarios de 50 points de basse. Et ça ouvrirait la porte à des baisses de taux au cours de la prochaine année. Je pense qu'on a... On va en avoir besoin, pas mal de monde, les ménages et les entreprises. Si vous voulez vous abonner à mon infolette financière, l'infolette financière Cachemire, sinon mes formations, apprendre à investir à la bourse, selon moi, dans les prochaines années, la clé pour générer des revenus, ça va être la bourse. Et il y a beaucoup d'argent à la bourse actuellement. Et si vous êtes capable de manœuvrer là-dedans et comprendre les fondamentaux des entreprises, mais également les analyses graphiques, toute la technique des graphiques, Bien, je fais ça à mon Académie Cachemire. Ma formation du 24 septembre est pleine. J'ai 10 participants. J'en pars une nouvelle le 5 novembre. Allez sur cachemireplus.com. On revient après la pause.
[01:47:44] Speaker D: Couture.
[01:47:45] Speaker A: Restez là, on revient dans un instant.
[01:47:48] Speaker D: Dans le mythe.
[01:47:49] Speaker B: Razio X. Ouellet. En direct.
[01:47:52] Speaker A: Il faut que vous ajoutez, rajoutez une autoroute au-dessus, je sais pas pourquoi... Non, calme-toi là, calme!
[01:47:58] Speaker B: Ça va trop trop loin là. Pat va pas bien. On va te faire, on va te faire une intervention là, regarde, ton frère.
[01:48:03] Speaker E: Est là, tes amis.
[01:48:04] Speaker B: Ouais, tout le monde est là, ta matange.
[01:48:05] Speaker C: On peut pas passer à ça.
[01:48:06] Speaker B: Pat, ici, on a de la misère à élargir d'une voile.
[01:48:08] Speaker D: Là, t'es en train de me parler d'infrastructures par-dessus.
[01:48:11] Speaker B: Ouellet. En direct, lundi au vendredi, midi. Radio X.
[01:48:18] Speaker A: Présenté par l'Entrepôt de la Rénault. Pour vos Rénault meilleurs prix, on vous attend au 9300 rue John Simons, Québec, et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. entrepotdelarenault.com.
[01:48:28] Speaker B: OK, je vous parle d'immobilier, mais je vous parle surtout de Simon Laberge, simonlaberge.com. Également de son équipe, parce que Simon, il n'est pas tout seul. Son vent, 400 maisons par année. dans la région de Québec, comme on a fait l'an passé, et on va le faire cette année aussi, c'est parce qu'il y a une gang autour de Simon, il y a une équipe. Et ça, bien, vous voulez vendre, venez nous voir, on va vous prendre, on va vous regarder le scénario, on va établir un plan de match avec vous, et on va surtout vous amener là où vous voulez, c'est-à-dire, si vous voulez un prix X, bien, on va essayer d'aller chercher votre prix X, parce qu'actuellement, dans le marché, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup d'offres, mais la demande est encore plus forte. Donc si vous voulez acheter, vous voulez vendre, c'est pas compliqué. C'est l'équipe de Simon Laberge via Capital. SimonLaberge.com. C'est la grande vente Ayoye chez Super C. Faire son épicerie au superc.ca. C'est gagné sur toute la ligne. On alligne même des nouveaux prix réduits chaque jeudi. Fait que tu t'enlignes pour la cueillette gratuite ou bien la livraison le jour même. C'est super Super C. Détail au superc.ca.
[01:49:26] Speaker A: ESCALVR s'installe aux Galeries de la Capitale. Rabais jusqu'à 20 000 $, taux exclusif et vérification de vos joints d'étanchéité plus la fermeture et l'ouverture de votre VR pour deux saisons avec achat. ESCALVR, aux Galeries de la Capitale jusqu'au 19 octobre, face à meubles RD.
[01:49:43] Speaker B: Tu penses t'acheter une voiture prochainement? T'en veux pas une neuve, mais une comme-neuve?
[01:49:49] Speaker C: Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota.
[01:49:52] Speaker D: Tu vas voir nos comme-neuves au comme-neuve.com On jette pas la pierre à personne. On jette pas l'éponge. Surtout, on jette pas son vieux climatiseur. On le recycle. Jette un coup d'œil sur gorecycle.com pour découvrir toutes nos solutions. À GO, recycle ta clim.
[01:50:12] Speaker B: Chez Latulippe, vos passions vous récompensent. Avec le programme de fidélité Horizon, chaque.
[01:50:17] Speaker C: Achat vous permet d'accumuler des points.
[01:50:19] Speaker B: Et chaque point se transforme en remise sur vos futurs achats. Découvrez le programme Horizon dès maintenant, en ligne et dans vos trois Latulippe. C'est le moment de l'année où Profab vous accueille à son usine de Valais-Jonction. Les 20 et 21 septembre, laissez-vous impressionner par la construction d'une maison en usine. Vous pourrez discuter avec notre équipe d'experts et visiter notre toute nouvelle maison modèle. Promotions exclusives, surprises et concours sur place. On vous attend!
[01:50:40] Speaker D: L'événement Prenez la route Hondé est de retour! Cet été que vous empruntiez la 10.
[01:50:44] Speaker B: La 15 ou la 132, votre taux de financement sera de 0 % à.
[01:50:48] Speaker D: L'Achat d'une Ionexis 2025.
[01:50:50] Speaker B: Plus, recevez jusqu'à 11 000 $ de.
[01:50:52] Speaker D: Rabais additionnels de Hondé et du gouvernement du Québec. Ou louer la version Preferred longue portée.
[01:50:57] Speaker B: À partir de 1,99 % avec des paiements hebdomadaires de 100 $.
[01:51:01] Speaker D: Avec ses 581 km d'autonomie, c'est facile d'électriser son été avec Hyundai.
[01:51:06] Speaker B: Les conditions s'appliquent. Visitez HyundaiCanada.com pour les détails.
Bonne nouvelle, le restaurant Le Galopin est ouvert les midis. Le menu midi est de retour du mercredi au vendredi. Repas savoureux, rapides, que vous voudrez partager en bonne compagnie.
[01:51:23] Speaker D: Réservez votre party d'employés rapidement.
[01:51:26] Speaker B: Pour bien boire et bien manger, c'est le restaurant Le Galopin. Une toile à nettoyer ou à réparer? Nettoile.com. Besoin d'une toile sur mesure de qualité? WeCover.ca. Avant l'hiver, laissez-nous entretenir et nettoyer vos toiles incluant au vent, toile de bateau, toile d'hiver et plus. Nettoile.com et WeCover.ca, ouvert à l'année. En septembre, c'est la promo rentrée festive chez Lunetri Bella. À l'achat de paire de lunettes complètes, obtenez un rabais surprise et courez même la chance de gagner votre achat. Détail en succursale, Lunetri Bella, service qualité plus bas prix, Marie-France Proulx, opticienne. Pour vos projets de puits artésiens, contactez les Puits du Québec, des experts dévoués et de confiance. On évalue votre besoin et les conditions du sol pour un forage adapté et de qualité. Les Puits du Québec, exigez la qualité, puis avec un S, point com.
[01:52:17] Speaker D: Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport.
[01:52:20] Speaker B: BPM Sport, la radio des sports au Québec.
[01:52:23] Speaker C: Hey, c'est Jordan. Dans la Ligue frontière, c'est le début d'une série 3 de 5 pour nos capitales. Direction finale de conférence. On commence à l'extérieur pour ensuite finir ça à Québec City. La troupe de Pat Scalabrini affrontera les Valley Cats de Tri-City. Les deux premiers matchs seront à Troy, New York, et les matchs 3, 4 et 5 seront au Stade Canuck, si nécessaire. Le match numéro 1 commencera à 18h30 ce soir. Let's go, Caps! Dans la Ligue majeure, c'est un retour à Toronto pour les Blue Jays. Petit récap' de ce week-end. Une série perdue 2-1 contre les Yankees au Yankee Stadium. En plus de leur défaite, le joueur d'hélico Bobby Shett brillait par son absence dimanche. L'affaire, c'est que samedi, il est entré en collision assez violente avec Austin Wells. Au moins, rien de grave s'y radiographie. Bichette reste un cas incertain pour ce soir. Place maintenant une série de trois matchs, dont le Rogers Center, contre les Astros. Ça débutera à 19h07. Et dans la NFL, c'était un duel de jeunes carrières qui s'affrontait hier. Un premier avis même pour J.J. McCarty du côté des Vikings. Et au début, c'était assez... ordinaire. Mais la confiance s'est installée plus le match avançait. C'est surtout le quatrième quart qui aura fait la différence. 21 points marqués, grosse remontée victorieuse du Minnesota et ils ont ainsi battu Chicago 27-24. Pour ce qui est de Caleb Williams chez les Bears, gros début de match avec un succès sur ses 10 premières passes, mais ça finit en queue de poisson avec 10 en 24 pour le reste. Et boy! Prochain match jeudi, Green Bay accueillera au Lambeau Field les Commanders.
[01:53:52] Speaker D: Pour plus de sport, ici BPM Sports.
[01:53:55] Speaker B: 100.9 Couture C'est les gens qui veulent pas rien savoir de ça là, ben allez où j'ai...
[01:54:00] Speaker D: Dans le Myd.
[01:54:02] Speaker A: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier.
[01:54:05] Speaker B: Radio X On rappelle l'histoire avec Dominique Laroche qui a été retrouvé ce matin au cours des dernières heures. C'est pas clair. C'est parce que lui devait revenir au tribunal ce matin pour être incarcéré parce qu'il a été trouvé coupable hier d'agression sexuelle sur une mineure. Et finalement, son avocat s'est présenté, il a dit qu'il était à l'hôpital. Il aurait tenté de se suicider. Bon, c'est l'histoire qu'on a là. Voilà, à suivre comme histoire. Merci Nick.
[01:54:37] Speaker D: Plaisir, à demain.
[01:54:38] Speaker B: Merci les auditeurs.
Jessie, Pat et Max s'en viennent. Demain, ça va brasser. Ciao!
[01:55:00] Speaker A: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand.
[01:55:20] Speaker B: Le fameux remaniement de François Legault, prévu demain lors du premier Conseil des ministres de la rentrée, prend tranquillement forme au fil des départs de Suzanne Roy, André Lamontagne et André Laforêt, auxquels on doit ajouter le nom de François Bonnardel, qui ne sera pas de retour au Conseil des ministres. Élu en 2007 avec l'ADQ de Mario Dumont, François Bonnardel a été ministre des Transports durant 7 ans avant de devenir le ministre de la Sécurité publique en 2022. Le verdict est tombé pour l'ex-skieur acrobatique Dominique Laroche de Lac-Beauport, qui a été reconnu coupable de cinq chefs d'accusation hier au Palais de justice de Québec pour des crimes sexuels commis à l'endroit d'une adolescente. Maintenant âgée de 65 ans, Laroche est reconnu coupable d'exploitation sexuelle, de contact sexuel et d'incitation à des contacts sexuels sur sa victime, devenue adulte, qui avait entre 13 et 17 ans au moment des faits, La roche était alors âgée de 47 ans.
[01:56:18] Speaker D: Présenté par la liquidation totale des modèles 2025 chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. Le Rogue, la Sentra et le Kicks sont offerts à 0 % d'intérêt à l'achat sur 48 mois. À ce prix-là, c'est le temps de changer.
[01:56:32] Speaker B: Avant, chaque saison, c'était la même histoire.
[01:56:34] Speaker D: Pour mon gars au hockey, je devais vendre des bebelles au bureau.
[01:56:36] Speaker C: Pour ma fille en cheer, des billets.
[01:56:38] Speaker D: Ben là, des gugus.
[01:56:39] Speaker B: J'étais brûlé.
[01:56:40] Speaker D: Mais avec Patisserie Michaud, c'est plus pareil. Le porte-à-porte a pris le virage techno. Chacun a sa boutique en ligne, son tableau de bord, son code QR. C'est mes enfants qui gèrent leurs ventes, pis c'est pas moi! Moi, je respecte, pis eux, ils apprennent.
[01:56:51] Speaker B: À se débrouiller en vendant des gâteaux décadents. Demandez à l'école ou au club de.
[01:56:55] Speaker D: Vos enfants de s'inscrire dès aujourd'hui sur pâtisseriemichaud.com. Pâtisserie Michaud.
[01:57:00] Speaker B: Les campagnes de financement qui forment les leaders de demain.
[01:57:03] Speaker D: Obtenir la pole position pour la qualité.
[01:57:05] Speaker B: De tes véhicules neufs selon J.D. Power, ça porte bien.
[01:57:09] Speaker D: Et quand en plus Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[01:57:11] Speaker B: Ajoutent des offres exceptionnelles, là, t'es en voiture!
[01:57:15] Speaker D: Prends le volant d'un véhicule d'une grande.
[01:57:16] Speaker B: Qualité et à petit prix.
[01:57:18] Speaker D: En loin sur 60 mois, zéro comptant.
[01:57:20] Speaker B: La Sentra S Plus 2025 à seulement 75 $ par semaine.
[01:57:24] Speaker D: Ou le Kicks S 2025 pour aussi.
[01:57:26] Speaker B: Peu que 85 $ par semaine. Détail pendant la liquidation totale chez Saint-Nicolas-Nissan et Paquette-Nissan.
[01:57:33] Speaker A: La différence entre « J'ai vendu ma.
[01:57:35] Speaker B: Maison » et « J'ai vendu ma maison !
[01:57:39] Speaker A: » C'est des milliers de dollars de plus grâce à l'expertise de l'équipe Gagnon Courtier Immobilier. Profitez de leur service de home staging sans frais supplémentaires et vendez votre propriété 8, 10, voire 12 % de plus. Pour un effet époustouflant, confiez votre maison à Rémi Gagnon et son équipe 418-841-4141. Gagnez à être bien entouré avec équipegagnon.ca.
[01:58:02] Speaker B: C'est la grande ventailleuille chez Super C. On est complètement tombés sur la tête. Cette semaine, l'emballage de 6 bouteilles de Coca-Cola est à 2,97$. Puis le papier hygiénique Cachemire 15 rouleau double est à 6,44$.
[01:58:14] Speaker D: Ah!
[01:58:14] Speaker B: Puis les sacs de 5 livres de carottes ou oignons jaunes du Québec sont à 1,97$. C'est pas mal, hein? On a tellement coupé les prix qu'il s'est rendu des confettis.
Mais ce qui est vraiment capoté, c'est.
[01:58:24] Speaker C: Que la grande vente ailleurs, ça ne.
[01:58:25] Speaker B: Dure pas juste une journée. Ici, Super Super C. Valide jusqu'au 10 septembre en magasin et en ligne. Détails au superc.ca.
[01:58:32] Speaker D: Le Kona électrique 2025. Puissant, pratique et 100% électrique. Pendant l'événement, prenez la route Hyundai. Obtenez 7000 $ en incitatifs et bonus sur le Kona électrique 2025. En location à 95 $ par semaine, 24 mois, léger comptant. Chez les sœurs Hyundai. Boulevard Louis XIV.
[01:58:47] Speaker A: Sensationplus.Com, c'est des articles coquins pour pimenter votre quotidien.
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