Couture dans le mid - Intégral du 15-09-2025

[00:00:00] Speaker A: 10H20. [00:00:09] Speaker B: Pile. Bienvenue à Couture dans le Mid. On va être avec vous jusqu'à midi. Nick? [00:00:19] Speaker C: Salut! [00:00:20] Speaker B: Comment vont tes Chiefs? [00:00:22] Speaker C: Pas très bien. [00:00:24] Speaker B: Comment vont les Browns? Pas mal. [00:00:27] Speaker C: Pas très bien non plus. [00:00:28] Speaker B: Ah, il y en a une gang que ça va pas bien ce matin, là. [00:00:31] Speaker C: Ah, match de... Ben, les gars, c'est... Regarde, équipe aspirante au Super Bowl encore. Bon oui. Pis les Chiefs, qu'est-ce que tu veux que je te dise? Il n'y a pas de receveurs. [00:00:42] Speaker B: Kelsey échappe les ballons. [00:00:43] Speaker C: Kelsey... C'est assez. Dernière année. [00:00:47] Speaker B: Il a pété un câble. [00:00:48] Speaker C: Oui, lui, c'est assez. C'est parce qu'en plus, ils savent qu'il va cibler... Mahomes va cibler Kelsey, fait qu'ils sont trois défenseurs dessus. [00:00:57] Speaker B: Il n'a pas d'honte. [00:00:59] Speaker C: La ligne offensive des Chiefs, je m'excuse, je te le disais avant d'entrer en ondes, c'est une passoire tellement grosse que même le macaroni passerait direct. Pas en soirée. [00:01:08] Speaker B: Mais on n'a pas le temps. [00:01:09] Speaker C: Les receveurs ne sont pas top. Il faut s'y surveiller. [00:01:12] Speaker B: Mais j'ai confiance. Le bonhomme va rétablir tout ça. [00:01:15] Speaker D: Tu penses? [00:01:16] Speaker B: Ah oui, le bonhomme est trop fort. [00:01:18] Speaker C: Il va peut-être aller chercher une victoire dimanche contre les Giants. [00:01:21] Speaker B: Vous perdez par 3 points contre la meilleure équipe de la Ligue. C'est pas la fin du monde. [00:01:26] Speaker C: On aurait pu gagner pareil s'il y en a un bien connu qui avait pas échappé le ballon dans la main des Eagles. Les Eagles ont bien joué. Qu'est-ce que tu veux? [00:01:33] Speaker B: Vous allez vous replacer. Je suis pas inquiet. Moi mes Browns m'inquiètent un petit peu plus, mais ça c'est un autre paire de manches. [00:01:38] Speaker C: Mais ça c'est chaque année. [00:01:40] Speaker B: Il va falloir mettre nos jeunes quarts. On a deux bons qui s'en viennent. Il va falloir faire jouer. [00:01:45] Speaker C: Je pense. [00:01:45] Speaker B: On va attendre, on joue contre les Pankers la semaine prochaine, on va se faire défoncer. Mais après ça, on va être corrects. [00:01:51] Speaker C: Ça sera pas... ça va être une année difficile à Kansas City, je pense. On va aller à la pellule, puis on va vivre avec. Mais à un moment donné, il va falloir que cette équipe-là reconstruise aussi. Tu sais, je... Pourrons pas avoir une dynastie comme les Pats, mettons. On le voit, là, ça s'est fruité. [00:02:06] Speaker B: Bien, vous n'en avez une? [00:02:08] Speaker C: Bien, il y a... bien, une, non. Les Pats ont gagné combien de Super Bowls? [00:02:12] Speaker B: Bien, 4 ou 5, mais sur plusieurs années. [00:02:14] Speaker C: Oui, oui, sur 7-8 ans, peut-être. [00:02:16] Speaker B: Bien, regarde avec Mahomes, là, vous êtes sur une bonne strike, là. [00:02:19] Speaker C: À suivre. [00:02:20] Speaker B: Ben moi je suis pas inquiet, il y a des années peut-être moins là. Vous êtes quand même rendu au Super Bowl l'année passée. [00:02:25] Speaker C: Ah ouais absolument. [00:02:26] Speaker B: On va pas tous les gagner, il y a une parité dans cette ligue-là aussi. [00:02:30] Speaker C: Ben hâte de voir l'année qu'on aura. [00:02:32] Speaker B: Ouais c'est ça. [00:02:33] Speaker C: Voilà. [00:02:33] Speaker B: Donc voilà. Et ce soir Monday Night. Monday Night. Qui qui est là ce soir? Monday Night. NFL. Hier je regardais la game. On était... C'était les Falcons contre les... Vikings. Et J.J. McCarty n'a pas répété l'exploit de la semaine dernière. [00:02:54] Speaker C: Ce soir, c'est Chargers-Raiders. [00:02:56] Speaker B: Très bon, ça. [00:02:56] Speaker C: Il dort le match 22 heures. [00:02:58] Speaker B: Oui, bien, c'est en Californie. Ou Las Vegas. [00:03:01] Speaker C: Les Raiders, oui, oui, oui, c'est ça. [00:03:03] Speaker B: Mais Chargers vont gagner ce soir. [00:03:05] Speaker C: Oui, une bonne équipe, je pense. [00:03:06] Speaker B: Oui. Voilà. NFL, parfait. Capital aussi. Capital ont gagné. Se rendre en finale pour une quatrième année de suite. Sais-tu ça? Plusieurs fois en ligne. Je pense que depuis qu'ils sont dans la Ligue Frontier, ils se rendent en finale tous les années. [00:03:20] Speaker C: Ça va très bien. [00:03:22] Speaker B: Ça roule pas à peu près. Ils perdaient 5-0 et ils ont gagné 10-5. Là, on s'en va en finale contre les Boomers. Une équipe qui est forte aussi. Donc voilà, ça va être ça. [00:03:34] Speaker C: Les Capitales vont gagner. Let's go! [00:03:36] Speaker B: Tournoi de golf du Canadien. Là, on va avoir des cotes. Les gars viennent tous au micro. Martin Saint-Louis n'a pas répété ce qu'il a dit l'an dernier. [00:03:46] Speaker C: Le mix. [00:03:46] Speaker B: Le mix, le fameux mix, parce que ça l'a fait rentrer dans les oreilles. Je pense qu'au niveau des communications, ils ont dit « gars, vas-y pas avec des prévisions ». Lui, il dit qu'il continue, il évolue, ils ont des nouveaux joueurs, on va faire notre bout de chemin d'évolution, de progression, mais on va laisser aux médias essayer de nous placer où ils veulent. [00:04:06] Speaker C: Ken Kios disait qu'à date, c'est la meilleure équipe qu'il y a depuis qu'il est arrivé. [00:04:12] Speaker B: En talent. [00:04:13] Speaker C: En talent. Mais lui il dit, au niveau des séries et tout ça, il dit moi je ne suis pas là. Il dit moi mon plan il est dans les prochaines années. Moi je regarde dans 5-6 ans. [00:04:22] Speaker B: 5-6 ans c'est loin par exemple. [00:04:23] Speaker C: Oui, je regarde là, je regarde beaucoup plus loin. Puis moi jusqu'à maintenant, dans mon plan d'ici 5 ans, mettons, Je suis pile où je voulais être. [00:04:33] Speaker B: Ouais, mais 5 ans, moi, je trouve ça long, là. [00:04:35] Speaker C: Ouais, c'est long. [00:04:35] Speaker B: Parce que là, ça fait déjà 3 ans qu'ils nous parlent de reconstruction, là. Normalement, c'est 3-5 ans de reconstruction. Là, lui, d'après moi, d'ici deux ans, deux, trois ans, il va être pas mal là où il veut être. [00:04:46] Speaker C: J'en reviens sur la NFL rapidement parce que ce soir, c'est ça, il y a deux matchs. Il y a les Booker's contre les Texans à 19h00 puis les Chargers-Raiders 22h00. [00:04:56] Speaker B: Ça va être bon, ce C.G. Stroud. [00:04:58] Speaker C: Oui. [00:04:59] Speaker B: Contre le boulanger Baker Mayfield. Non, ça va être toi, alors écoute, la NFL, y'a de la parité, c'est le fun. [00:05:05] Speaker C: Ben oui! [00:05:06] Speaker B: Voilà, météo, météo parce que... il va faire beau toute la semaine, là, je regarde. Y'a pas de nuages, peut-être jeudi, mais... Hey, c'est 20, 22, 23, 23. Toute la semaine va faire très beau, profitez-en. Et là, il commence à manquer d'eau un peu partout, je sais pas si t'as vu. [00:05:22] Speaker C: Ben oui, j'ai vu ça. [00:05:23] Speaker B: Hey, y'a des villages qui font venir des gros, gros camions cisternes d'eau parce qu'il manque d'eau partout. Ça fait longtemps qu'il est pas mouillé, là. [00:05:30] Speaker C: Oui, ça fait longtemps. [00:05:32] Speaker B: T'sais, t'arrives à des endroits, c'est sec, sec, sec. [00:05:35] Speaker E: Là, le danger, c'est qu'il y ait. [00:05:35] Speaker B: Des feux de forêt, là, mais... Je sais pas. Regarde, on va voir. On n'est pas là, là, mais il faudrait qu'ils mouillent un peu, là. [00:05:42] Speaker C: Bien, ça va finir par arriver, j'imagine. [00:05:44] Speaker B: Bien, je sais pas. On dirait la semaine prochaine. Pas de pluie avant lundi prochain. [00:05:48] Speaker C: Même si t'en commandes, ça marche pas de même. [00:05:50] Speaker B: Mais le mois d'octobre, habituellement, il y a un mois... Plus vieux. [00:05:52] Speaker C: Novembre aussi. Quoique l'année passée, j'avais des... Je me souviens, vers la mi-novembre, il y avait une journée où il y avait 25 degrés. [00:05:59] Speaker B: Oui, l'été des Indiens. Ça a l'air qu'il faut dire l'été tardif. Il y a pas mal d'actualités. 10h20, on va jaser avec Nicolas Gagnon de la Fédération canadienne des contribuables. Il y a plein d'affaires. Nicolas va encore nous débarrer une très bonne chronique. 10h40, Karim Elayoubi, médecin. en santé. Là, la Fédération des médecins omnipraticiens qui intente un recours judiciaire contre Québec. [00:06:29] Speaker C: On veut forcer l'arbitrage, à fond? [00:06:31] Speaker B: Il y a quelque chose de même. [00:06:32] Speaker C: On va négocier de bonne foi. [00:06:33] Speaker B: On dit qu'on négocierait pas de bonne foi du côté de Québec. Ah! D'ailleurs, M. Dubé, Christian Dubé, qui est demeuré ministre de la Santé dans le remaniement, lui a sauvé sa peau. Mais lui, il reste là, mais il s'en va. C'est son dernier mandat, qu'il dit. Donc, il est encore là pour un an. Est-ce qu'on va être capable de passer la... Là, c'est un projet de loi 106. Est-ce qu'on va être capable de le passer pour s'attaquer à la structure salariale des médecins? Encore là, on va en jaser avec lui. Il y a un médecin qui vient au micro à chaque deux semaines nous parler de tous ces problèmes-là. Donc, Karim Elayoubi, puis 11h20, Max Truman. le tournoi de hockey du Canadien. [00:07:12] Speaker C: C'est ça, c'est le lancement, le camp d'entraînement et tout ça. [00:07:15] Speaker B: Et en fin de semaine, les recrues du Canadien, il y avait un match contre Winnipeg, il y a eu un match contre Toronto, ils ont perdu les deux matchs. Mais Demidov contre les Jets, le club... les recrues des Jets ont performé pas à peu près, je pense un but, deux passes. Demidov est pas mal fort. [00:07:33] Speaker C: À date, il a... Il démontre tout son talent, mais là, écoute, c'est quoi, là? C'est le cas des recrues? [00:07:39] Speaker B: Oui, c'est le cas des recrues, mais quand même, tu le vois, là, il sort du lot, là. [00:07:42] Speaker C: Oui, oui, tout à fait. [00:07:43] Speaker B: Il est des deux barres, là. Les Jets, c'est une bonne équipe. Les Jets ont fini premier l'année passée dans la ligue. Les Jets, au niveau de hockey, là, c'est une grosse organisation. Ça veut dire qu'ils ont des recrues aussi qui s'en viennent popper. Mais non, non, Demi Dove, lui, il est... [00:07:59] Speaker C: Il est ailleurs. [00:08:01] Speaker B: Il est ailleurs. OK, on plonge... là, écoute, on en a parlé la semaine dernière, l'école secondaire de 500 millions. [00:08:09] Speaker C: Ouais, un demi-milliard. [00:08:10] Speaker B: Bien, c'est 472... 480. 472-480 millions à date, là, ce qu'on a. 2500 élèves. Là, on apprend ce matin qu'elle n'est pas assez grande. [00:08:21] Speaker C: Bien oui. [00:08:22] Speaker B: C'est pas drôle, là. [00:08:23] Speaker C: On sait qu'il y a dans cette école-là, il y a 2900 élèves. Je pense pas mal. [00:08:29] Speaker B: Oui, l'école qu'on remplace, là. Là, on en construit une nouvelle. Là, on construit une école pour remplacer une école qui a 2900 élèves. On a construit une école de 2500 places. Ça s'invente pas, là. Faut-tu être tata? [00:08:44] Speaker C: Ils sont donc bien pas bons! Pis là en plus à cette école-là, ils sont obligés de faire l'heure du dîner en deux blocs parce qu'il y a trop de monde dans la cafétéria. Mais ils disent que malheureusement, on va être obligés de maintenir ça parce que dans la nouvelle école, ça sera pas mieux. [00:08:57] Speaker B: Ben voyons! C'est quoi qui se passe? Peux-tu faire des deuxièmes étages puis des troisièmes étages? Ça existe-tu ça? [00:09:04] Speaker C: Je sais pas. Ça a l'air que selon le ministère, l'école rencontre les normes. Ben oui, mais est-ce que là, elle est pas assez grande? [00:09:13] Speaker B: Un, elle est pas assez grande. Puis deux, tu me dis que l'heure du dîner, t'es obligé de diviser ça en deux. [00:09:17] Speaker A: Oui. [00:09:17] Speaker C: Parce que là, il y a des élèves qui, en ce moment, vont au dîner à 10h30. [00:09:21] Speaker B: Hé, cibole, ça fait pitié. [00:09:22] Speaker C: Fait que là, t'es rendu à trois heures, là. Tu vas plus te concentrer bien, bien. [00:09:25] Speaker B: Ça, ça prend une enquête, là. [00:09:27] Speaker C: Absolument. [00:09:27] Speaker B: Ça, il faut voir qui a ordonné le feu vert. Probablement, elle a une... Je reviendrai pas là-dessus, là, mais quand tu mets 500 millions, là, c'est un demi-milliard, nique. [00:09:36] Speaker C: Mais non, ça n'a pas rapport que ça coûte 500 millions pour construire une école. [00:09:39] Speaker B: Et là, tu constates que finalement, il y a juste 2500 étudiants qui pourront rentrer dans cette école-là, alors que le besoin actuel, c'est 2900. L'école actuelle qu'ils vont remplacer, il y en a 2900 personnes là. Absolument. [00:09:54] Speaker C: Là, on a comme un segment modulaire. C'est devenu la nouvelle norme au niveau du ministère de l'Éducation d'avoir des... Dans les centres de services scolaires, maintenant, on a des modules mobiles. Bien là, on va garder ça pour la nouvelle école. 500 millions, puis on est obligé d'annexer encore une fois le modulaire qu'on a déjà parce qu'on n'a pas assez de place. [00:10:14] Speaker B: Non, non, je veux dire, ça prend une enquête. Ça prend une commission d'enquête sur ce qui se passe au ministère de l'Éducation. Je comprends qu'on a remplacé Bernard Drinville par Sonia Lobel, pis elle, elle arrive là, pis elle fait des beaux p'tits vidéos cute cute sur TikTok là. Mais ça marche pas là! [00:10:28] Speaker C: Mais toutes les projets! Au gouvernement, une école à 500 millions. Après ça, dépassement de coûts à l'hôpital Alpha Jésus. Après ça, dépassement de coûts à l'hôpital informatique. Dépassement de coûts partout. [00:10:40] Speaker B: Partout, partout, partout. [00:10:41] Speaker A: Est-ce qu'il y a de la corruption? [00:10:43] Speaker B: Est-ce qu'il y a des gens qui sont installés au pouvoir et qui, comment on dit ça, maîtrisent très bien les volets techniques? Les volets techniques avec les extras, puis à gauche puis à droite. Là, tu vois, aujourd'hui, Lyon électrique, les autobus, il y en a encore qui ne roulent pas aujourd'hui. Encore un casse-tête. Les parents, on dit que sur les 1200 autobus scolaires qui ont été vérifiés, certains, peut-être, ne passeraient pas à bord. On dit qu'on va rester au garage pour plusieurs... un nombre important d'autobus. Encore là, ça, c'est une autre patente gouvernementale. On avait obligé les transporteurs scolaires à acheter des liens électriques. Puis là, tu te ramasses avec des autobus bizarres. [00:11:22] Speaker C: Tu vois, il y a des gens qui disent que le problème avec les écoles, c'est que les plans ont été faits il y a 4-5 ans avant l'arrivée massive d'immigrants. [00:11:30] Speaker B: Non, non, mais je comprends, mais là... [00:11:31] Speaker C: C'est parce que c'est trop long. Je veux dire, si t'es en train de construire un projet qui va être déjà dépassé quand il va être livré puis qu'il coûte 500 millions, bien, il a le problème. [00:11:40] Speaker B: Non, mais qui parle à qui, là? C'est la maison des fous. [00:11:43] Speaker C: Ça, je pense que oui. [00:11:45] Speaker B: Je veux dire, un moment donné, le gouvernement, il dit oui à l'immigration massive. Bien, c'est parce qu'on n'a pas les infrastructures de l'autre bord. [00:11:50] Speaker C: Exactement. C'est sûr qu'on subit un peu les décisions qui avaient été prises du côté fédéral. Mais il reste qu'on n'est pas nié avec ça. [00:11:57] Speaker B: Oui, mais le gouvernement du Québec a un droit de veto sur l'immigration. Tu sais, à un moment donné, puis en plus de ça, t'es rendu à 500 millions pour une école, puis tu poses pas de questions plus que ça. [00:12:07] Speaker C: Et ce sera pas suffisant. [00:12:08] Speaker B: Écoute, là, ce qu'on comprend, une école de 2900 places, ça aurait coûté 750 millions. Je sais pas, là, tu sais, et... [00:12:15] Speaker C: Là, l'autre problème qu'on va avoir, c'est que si tu regardes l'ensemble des infrastructures des écoles au Québec, là, écoles qui ont été construites il y a plusieurs dizaines, dizaines d'années... Non, le parc... [00:12:29] Speaker B: Immobilier des écoles, c'est les années 60, Nick. [00:12:32] Speaker C: Ben là, on va avoir un problème tantôt parce qu'il y a énormément d'écoles qui sont vêtues, qui sont maganées, qui devraient être reconstruites. [00:12:39] Speaker B: Non, ça prend un plan Marshall dans les écoles, mais ça prend surtout, moi je l'ai expliqué la semaine dernière, je en ai parlé avec Nicolas Gagnon aussi, ça prend un fonds immobilier indépendant, ça prend un fonds immobilier que le gouvernement va peut-être mettre un montant d'argent, mais ça coûtera pas ce que ça doit coûter. Puis deux, tu vas avoir quand même de la compétition. Tu fais rentrer dans un fonds immobilier, un genre de, je sais pas moi, un fonds d'investissement. Puis le gouvernement garde 50% du contrôle, puis il transfère son parc immobilier là-dedans. Puis après ça, il fait rentrer des investisseurs. Puis on donne ça au privé, là. Ça n'a pas de sens. [00:13:11] Speaker C: On n'est pas capable de s'en occuper. [00:13:12] Speaker A: On donne ça au privé, puis le. [00:13:13] Speaker B: Gouvernement détiendrait une partie du fonds. Donc s'il y a de l'argent à faire là, le gouvernement va quand même ramasser une partie des revenus, des profits. Je sais pas, on est pris. Écoute, je regarde, les prochaines années, on a dû se regarder le niveau des infrastructures au Québec. Les hôpitaux, les écoles, les routes. Après ça, c'est quoi la nature humaine? Je veux dire, la base de l'État, c'est quoi? On s'occupe de l'éducation, de la santé? [00:13:40] Speaker C: Les profs, on manque de profs, on manque de médecins, on manque de tout. [00:13:45] Speaker B: En plus? Écoute, on va souhaiter bonne chance. [00:13:51] Speaker C: Nous sommes très bons à être mauvais en tout cas. [00:13:53] Speaker B: Ouais, déficit à Ottawa, là on parle de plus de 100 milliards. [00:13:56] Speaker C: Aïe. [00:13:57] Speaker B: Ce matin dans la presse, il y a un texte très... Plus de 100. Très éclairant. On parle de plus de 100 milliards. On ne serait pas surpris. Il y a des fiscalistes, analystes, économistes. [00:14:06] Speaker C: Comment peut-on se sortir de ça, éventuellement? [00:14:10] Speaker B: Il n'y a pas d'horizon. Quand tu regardes la barre du retour à l'équilibre budgétaire, Ottawa, il n'y en a pas. Il n'y a pas de retour à l'équilibre. Il n'y en avait pas avant. Et là, on rajoute un déficit de 100 milliards par-dessus ça. Et là, parmi les... Les options de Mark Carney, on dit qu'on pourrait monter la TPS à 7%. On est dans des scénarios où, ne soyez pas surpris, on va avoir un dépôt de budget à Ottawa bientôt. Là, on parle de monter la TPS à 7%. On l'avait réduit, c'est Harper qui avait réduit la TPS à 5%. Et tout de suite après, le gouvernement. [00:14:48] Speaker C: De... Du Québec, qu'est-ce qu'il a fait? [00:14:49] Speaker B: Il l'a monté. [00:14:50] Speaker C: Ben oui. [00:14:50] Speaker B: Il a monté, lui, la TVQ. [00:14:52] Speaker C: Ah, on va aller chercher notre cote. [00:14:53] Speaker B: Ouais. Mais là, là, on pourrait monter la TPS à 7 % entre autres. On parle de vendre les aéroports. Il y aurait une possibilité de vendre certains aéroports pour 10 milliards de dollars. Et l'autre chose, on va faire des compressions dans la machine. mais on va faire des investissements. Donc, c'est Carnegie, hein? [00:15:09] Speaker C: On va investir, mais on va couper. [00:15:11] Speaker B: On va couper d'un bord, de l'austérité, et de l'autre bord, on va investir. Fait qu'on est dans des scénarios... Je vous l'ai entendu ici, puis c'est ça qui roule. Il y a des scénarios là-dessus. La TPS pourrait être augmentée à 7 %. Là, Nicolas, il va sauter de talent. On va parler avec Nicolas Gagnon. Les contribuables, c'est nous autres, ça? [00:15:28] Speaker C: C'est nous autres. [00:15:29] Speaker B: Nicolas va péter un câble. Aïe, aïe, aïe. Fait qu'on est là-dedans. Et par-dessus tout, Mark Cunney annonce ça en fin de semaine. Il va construire des maisons. Le fédéral se lance dans la préfabrication de maisons. On va construire 4000 maisons dans un projet pilote qui va... projet pilote de 13 milliards. 13 milliards de dollars. On va construire des maisons pour les Canadiens qui sont plus capables d'arriver. Là, on dit Dartmouth en Nouvelle-Écosse. Longueuil au Québec. Ottawa, Toronto, Winnipeg and Moncton. 4000 maisons, selon un nouveau programme lancé et annoncé en fin de semaine par Mark Harding, Maison Canada. Il en avait parlé pendant la campagne électorale. Il avait appelé ça Maison Canada. Tout le monde riait. [00:16:14] Speaker C: -"Bâtir Maison Canada.". [00:16:15] Speaker B: Oui, c'est ça qu'il avait dit. Et là, bien, on dit que les Canadiens n'arrivent plus à se loger de façon... Hé, écoute, là, on finance déjà des logements primodics. Et là, on va construire des maisons préfabriquées. Qui va construire ça? [00:16:30] Speaker C: Je sais pas. Est-ce que ça va être le plus bas soumissionnaire? [00:16:33] Speaker B: Bien, je sais pas. Puis ça va être quoi la valeur de ces maisons-là? Je veux dire, on va-tu défoncer ça, puis le monde va se chauffer avec les murs? Why? On a déjà vu ça, là. [00:16:41] Speaker C: Ça, c'est déjà vu. [00:16:42] Speaker B: Je sais pas si ça se fait encore, mais moi, j'ai déjà vu ça de mes yeux. Quelqu'un arracher un bout de maison puis dire « Regarde, je vais mettre ça dans le feu, en dedans. » La maison est à qui? Bien, pas moi. Elle est au gouvernement. [00:16:52] Speaker C: Mais c'est pas au gouvernement à construire des maisons. [00:16:55] Speaker B: Bien voyons! [00:16:55] Speaker C: Puis à louer puis à vendre des maisons après. [00:16:57] Speaker B: Je sais pas comment ça va marcher. C'est capoté. Là, je sais plus où on s'en va. Là, c'est du communisme déguisé. [00:17:04] Speaker C: Bien oui. [00:17:05] Speaker B: Là, c'est moi. Moi, je paye des taxes pour ça, là. 13 milliards. [00:17:09] Speaker C: Ah, le bien commun, Pierre. Le bien commun, je veux dire... Non. [00:17:11] Speaker B: Mais je veux dire, moi... [00:17:11] Speaker C: Tu vas bâtir des maisons. [00:17:12] Speaker B: Bien commun, je veux dire, je veux bien, là. Mais là, la base, c'est que tout le monde soit capable de se payer une maison, là. Ou à tout le moins se payer un logement. Là, on va construire des maisons, 4000 maisons préfabriquées. Nicolas va vous démarrer. [00:17:25] Speaker C: Je comprends. On va l'appeler. [00:17:28] Speaker B: On va l'appeler. Voilà. Écoute, c'est Bruno Marchand, entrevue dans le Journal de Québec. Il dit qu'il va mettre 100 millions de dollars dans Saint-Roch. Le quartier Saint-Roch a besoin de beaucoup d'amour, on l'a vu. le quartier Saint-Roch qui est abandonné. Mais c'est drôle, lui, son mandat se termine, on s'en va en élection. Et lui, il dit, je me suis pas occupé de Saint-Roch comme il faut, mais c'est vrai, on va mettre de l'argent. Donc, il parle de 100 millions de dollars. Et là, quand on lui dit, t'es-tu électoraliste, Bruno? Voyons donc. Il dit non, on était rendu là, dans l'équation. Vous savez comment on a investi en panique aussi récemment, les commerçants de Saint-Roch qui disaient, écoute, nos commerces sont en train de se vider. Il n'y a plus de monde dans Saint-Roch le soir. On a comme un peu élagué pas mal, notamment les entreprises qui font du télétravail. Le gouvernement ne voit même pas les employés au gouvernement travailler dans Saint-Roch. Et là, les commerçants, l'itinérance, il y a tout ça qui est dans l'équation aussi. Donc lui, il dit, bon, un électrochoc, il promet, il dit, il va étaler ça dans les prochaines années, un plan de croissance. Vous l'avez vu aussi comment ils ont scrappé le quartier, la fluidité, les autos. Rentrer dans Sarah Caster, c'est rendu, on a fait des one-way, on a coupé des voies. Si tu veux ramener du monde, premièrement, ramène la circulation, mets ça un petit peu plus fluide. Et par la suite, on va peut-être avoir un nombre de quelque chose. En tout cas, lui il promet 100 millions, il parle de logement, il parle de plein d'affaires. Tout ça aurait dû être fait bien avant, même Claude Villeneuve disait là, au niveau des logements, c'est pas drôle ce qui se passe dans Saint-Roch. Donc voilà, c'est un peu ça qu'on voit, on va voir Bruno Marchand faire beaucoup de petites politiques autour de ça. L'itinérance zéro, vous le voyez, dans Saint-Roch, c'est rendu très problématique. Donc on est là-dedans, on a une autre promesse. Saint-Roch a été oublié pendant quatre ans, mais on va essayer de... Pis Saint-Sauveur aussi, hein. Je pense qu'on a scrappé pas mal aussi dans Saint-Sauveur, là, toutes les réparations. Pis Donc voilà, ça va être à suivre, là aussi, de ce bord-là. Fraude financière, je vais finir avec ça. C'est Je sais pas si t'avais vu, Nick, l'arnaqueur de Tinder sur Netflix. [00:19:44] Speaker C: Ah ouais, j'ai vu ça. [00:19:45] Speaker B: Bon ben, le gars aurait été arrêté, là. Le gars, il se faisait passer, lui, pour un riche héritier. Il disait que ses parents étaient dans le bijou, dans le domaine des bijoux. Puis lui, ce qu'il faisait, c'est qu'il se promenait pas mal dans les lobbies d'hôtels. Puis il essayait, là. Puis il allait sur Tinder, évidemment. Mais tu sais, il essayait d'impressionner. Il donnait toujours des dates dans des hôtels. ou dans des rendez-vous. Puis là, il disait, mon avion va venir te chercher, puis on va aller à telle place ensemble. Puis là, il faisait monter les enchères. À un moment donné, il faisait des vidéos aussi, il simulait qu'il se faisait casser la gueule ou il y a des gens qui voulaient l'enlever ou voulaient lui enlever son argent. Puis écoute, ce gars-là a soutiré 10 millions de dollars comme ça à ses victimes. Donc Simon Lévièvre a été arrêté ce matin en Georgie, un autre pays louche, mais bon. Au moins, c'est ça, il aurait arnaqué pour plus de 10 millions de dollars des victimes de la Norvège en Finlande ensuite. Et d'ailleurs, si vous écoutez Tinder, vous écoutez ces temps-ci Netflix, il y a un documentaire, c'est la suite, où une des filles qui s'est faite arnaquer par lui, elle a fait une série, elle devient comme une enquêteuse. Puis elle essaye de trouver et elle essaye de débusquer des cas où il y a possiblement des cas de fraude amoureuse comme ça. Et il y en a à peu près là. [00:21:10] Speaker C: Mais lui là, il avait toute une façon de faire, un modus operandi qui disait « Ok, je vais te chercher en avion. [00:21:18] Speaker B: » Exact, exact. [00:21:18] Speaker C: À un moment donné, il est arrivé « Ah mais là, je ne comprends pas. Ils ont gelé mon compte de banque. Peux-tu m'en prêter? Je vais te rembourser dès que ça débloque. » Il en a fourré du monde. [00:21:29] Speaker B: Au sens propre, au sens figuré aussi. Ce qu'il a fait aussi, c'est qu'à un moment donné, la fille a dit qu'on avait pris un appartement, je pense que c'était à Londres. C'était un appartement qui valait 5-6 000$ par mois et le gars ne se présentait même pas là. À un moment donné, ça faisait 3-4 mois qu'elle ne l'avait pas vu. Donc, il était quand même incroyable. Alors, c'est ça, grosse arnaque. Notre invité, il est là. Oui, Nicolas Gagnon de la Fédération canadienne des contribuables. Comment ça va? [00:21:53] Speaker D: Tenez, vous autres! [00:21:54] Speaker B: On vous aime bien. Nicolas, je sais pas si t'as vu, au niveau fédéral, je suis très inquiet. On parle de monter la TPS à 7 %, et également, on va construire des maisons pour bien du monde, 4000 maisons préfabriquées, puis on parle d'un déficit de plus de 100 milliards $. [00:22:09] Speaker D: Ça n'a pas de bon sens, là-dedans. On va le dire franchement, c'est un budget d'austérité où est-ce qu'on nous parle de réduire les dépenses, puis finalement, on s'en va vers un déficit de 100 milliards. Je pense pas que ça ait déjà été vu auparavant, à part durant la pandémie. Donc il faut quand même se rappeler qu'à part de ça, Les autres phases où est-ce qu'on a eu des déficits monstrueux dans l'histoire du Canada ne sont pas très nombreux. On a eu des déficits du rang mondial. On a eu des déficits durant la récession en 2008. À part de ça, je veux dire, en général, on s'est étonné quand même des dépositions relativement correctes. Puis là, 100 milliards, ça dépasse l'entendement. Puis j'ai hâte de voir ça va faire quoi l'impact de 1 sur le coût des intérêts de la dette, parce que, bon, la dette, elle nous coûte beaucoup d'argent. Et pourquoi? Parce qu'on accumule des déficits à répétition. Ça a une coûte présentement de 54 milliards en intérêts sur la dette cette année. Donc ça va sûrement augmenter. de deux, est-ce qu'il va y avoir une décote qui va suivre? Parce qu'on avait déjà eu des investissements des agences de crédit, des agences de notation à New York qui disaient corrément, faites attention parce que les promesses électorales de Kearney pourraient nous coûter cher. Donc, on va le voir très prochainement. D'ailleurs, les fameuses maisons, combien ça va nous coûter? Ça, c'est l'enveloppe qui est présentement donnée, qui est mise sur la table, 13 millions. Ils veulent monter ça à 500 000 maisons par année. J'ai hâte de voir s'appelle quoi le coût par maison à la fin de tout ça, parce que 13 millions, ils vont passer dedans assez rapidement. En plus, ils gardent le pied sur l'accélérateur pour le train à grande vitesse, le fameux train entre Toronto puis Québec. Ça, il faut le dire, c'est un infrastructureux de ce type-là. Ils ont bien beau dire qu'ils veulent accélérer les démarches puis couper de moitié le temps pour le pré-développement. C'est quand même une infrastructure qui, selon plusieurs experts, peut atteindre des 100 milliards. Donc, ce sera pas donné. Donc, on reste encore dans les grosses dépenses, puis j'ai pas l'impression que Kanye a fait grand-chose. Puis là, vous m'annoncez, j'avais pas vu ça passer, que ça se peut qu'il augmente en plus la TPS d'un certain pourcentage. [00:24:01] Speaker B: C'est des scénarios évoqués actuellement. Puis là, c'est sûr, quand ça arrive du bureau du PM, puis là, on coule ça dans les médias, c'est parce qu'on sonde la balloude. parce que le budget va être déposé dans les prochaines semaines. Et là, on est en train de simuler des scénarios, puis on essaie de voir comment ça va avoir un écho au niveau de la population. On nous parle d'une TPS qui sera à 7 %. [00:24:23] Speaker D: Ça serait ridicule. Il me semble que Kanye avait été clair là-dessus que la dernière des choses qu'il allait faire, c'est de s'attaquer justement aux individus. [00:24:31] Speaker B: Ah mais il dit n'importe quoi. Lui, il a dit n'importe quoi. En campagne électorale, toi et moi, on reprenait ce qu'il disait. On analysait ça. On disait voyons, il dit n'importe quoi ce gars-là. [00:24:41] Speaker D: Exact. Il y a des affaires qui méritent de saluer, notamment ces reculs sur les différentes taxes, qu'on parle de taxes carbone, taxes sur les services digitaux ou sinon la hausse du gain en capital. Mais sinon, pour le reste, on est encore fortement dépensiers. Puis on utilise encore une fois, en fait, l'argument qui a été utilisé par Legault et par pas mal de tous les autres premiers ministres provinciaux dans les budgets de cette année, c'est-à-dire on repart de Trump et il faut se repérer à Trump, donc il faut dépenser pour faire des dépenses stratégiques. Donc on est encore dans ce discours-là. Mais d'oser dire qu'on va refler la facture aux contribuables, c'est inacceptable. On a reculé sur certaines taxes pour en augmenter d'autres. Au final, il n'y a personne qui est gagnant au change. Ça va pouvoir quand même être très vigilant de savoir ce qui va nous être démontré dans ce budget-là en octobre prochain. Mais une chose est sûre, si ça atteint les 100 milliards, je m'attends à ce qu'on ait une visite des agences de crédit à Ottawa pour nous annoncer que ça va coûter beaucoup plus cher l'emprunt pour la dette du Canada. [00:25:36] Speaker B: Oui, parce que les leviers qu'ont les gouvernements, c'est toujours les taxes, les impôts, comment on peut aller rechercher de l'argent qu'on a pu ou qu'on n'a pas ou qu'on a dépensé en innocent. Puis les agences de cotation regardent un peu les leviers financiers qu'ils ont, c'est-à-dire des sociétés d'État ou des places où on peut venir collecter davantage. [00:25:54] Speaker D: Exact. Et surtout que les agences vont aussi regarder l'état de l'économie en général, puis surtout c'est quoi la croissance de notre PIB par rapport à la dette, ou sinon la croissance du PIB tout court. Et on le sait, le Canada, pour les 25 prochaines années, quand on se base sur les différentes études qui ont été faites, on risque d'avoir bien de la difficulté à se maintenir la tête hors de l'eau. On parle d'une croissance du PIB qui pourrait être la pire du G20, de tous les pays du G20 au cours des 25 prochaines années. Ça, c'est pas mal le résultat des politiques publiques de Justin Trudeau. Il faut dire, 10 ans de Trudeau, c'est ce que ça donne au final. Pas juste la question d'oublier la dette, mais aussi toutes les décisions réglementaires et fiscales qui ont privé le Canada d'investissements importants, qui ont privé le Canada de gros projets de développement ou de facilitation au niveau des projets de développement. Là, on essaie de tout rattraper ça en quelques mois. C'est bien beau. Là, on sait que le Canada, il y a quand même toute une montagne à monter. Mais dans l'essentiel, on sait que notre économie a été pas mal Je ne dirais pas paralysé, mais on s'est autoralenti nous-mêmes. Et là, avec tout ça, si en plus on a augmenté les dépenses à répétition, les agences de crédit vont se dire que vous aurez la capacité d'éventuellement rembourser cette dette-là. Votre économie va pouvoir suivre et créer les retombées ou les revenus nécessaires pour que vous ayez le contrôle sur votre dette. J'ai l'impression que plus on approche du budget, plus on va avoir de difficultés à répondre à cette question-là. Donc, c'est ça. Ça va nous coûter plus cher. Comme je disais tantôt, ça nous coûte 54 milliards en intérêt sur la dette. C'est comme si on construisait un hôpital à chaque semaine, puis on le mettait en feu, on le mettait en terre par la suite. C'est ça l'impact. Donc, imaginez, si on a une décote, ça veut dire que ça va nous coûter encore plus cher. Donc, ça ne va pas aller en s'améliorant, puis c'est les contribuables qui sont 100 % perdants là-dedans. [00:27:36] Speaker B: La France a été décotée cette semaine. Je ne sais pas si tu as vu, les agences de cotation ont commencé à émettre des notes négatives sur tout ce qui se passe. Ça fait trois gouvernements qui tombent. Ils ne sont même pas capables de s'entendre sur... Ils ne peuvent même pas revenir à zéro déficit. Ils sont incapables. On ne s'entend pas. Je pense que sur les 51 dernières années en France, on a 50 années de déficitaires. [00:27:54] Speaker F: Exact. [00:27:55] Speaker D: Donc eux, c'est quand même assez catastrophique. Et oui, ils sont rendus avec une cote de A+. Donc effectivement, c'est toute une shébaf. [00:28:01] Speaker B: On est triple A au Canada. [00:28:02] Speaker D: Exact. Nous, on peut quand même se maintenir dans une posture quand même assez intéressante. Il faut dire que notre ratio, notre rapport de PIB est encore confortable, mais avec un bémol pour combien de temps encore, c'est l'autre question. Mais pour les Français, oui, le gros, gros problème, c'est la paradis de l'Assemblée nationale, le fait qu'ils sont incapables de faire quoi que ce soit. Je veux dire, ils ont rembaissé le gouvernement de François Bayrou. parce que c'est rendu qu'ils veulent absolument rien savoir d'annuler quelques jours fériés. On a vraiment une société qui est extrêmement dépensière et qui refuse de faire... le minimum, ne serait-ce que d'essayer de ralentir l'accumulation des déficits. Donc la France, malheureusement, il s'en va dans une posture qui va nous rappeler celle de la Grèce il y a quelques années. Et bon, généralement, ça amène à des décisions qui sont extrêmement drastiques. Éventuellement, les gouvernements n'ont pas le choix de couper. Et c'est là que les... Si on a été époustouflé par les Gilets jaunes à notre époque, j'ai hâte de voir ce que ça va donner, parce qu'au final, c'est ça, c'est que tout ça mène quand même à un climat à la fois social et économique. qui n'est pas du tout intéressant. C'est pour ça que les gouvernements doivent faire le ménage le plus rapidement possible dans leurs finances publiques. Mais la France, j'ai comme l'impression qu'ils ont un peu manqué le bateau, j'espère que non. Mais il ne faut pas qu'on devienne la France nord-américaine. Donc, de notre côté, on a tout intérêt de faire le ménage maintenant, puis c'est aussi vrai à Ottawa que Québec, il faut le rappeler. [00:29:24] Speaker B: Est-ce que l'idée... parce que quand on regarde comment on relançait les économies après la Deuxième Guerre mondiale, il y avait un économiste, M. Keynes, l'État keynésien, qu'on appelait. C'est-à-dire, on fait des grands travaux, puis on investit, puis on investit. C'est un peu ce que Mark Kearney nous annonce dans les prochaines années. On va dépenser en mal à des grands projets et on va s'endetter surtout pour relancer l'économie. Est-ce que c'est une bonne idée actuellement de penser ça ou bien il faut peut-être agir d'une façon différente? [00:29:50] Speaker D: Il faut agir de manière complètement différente parce que c'est à peu près ça qu'on fait depuis toujours au Canada. C'est qu'on a toujours en fait sorti de la machine à billets pour alimenter des gros projets d'infrastructures nationales. On l'a vu avec Trans Mountain, on l'a vu avec le TGV. On l'a vu à plusieurs niveaux, l'on parle d'investir massivement dans l'armée canadienne. Il y a quand même quelques éléments là-dedans qu'il faut prendre avec un grain de sel, parce qu'investir dans la défense nationale, dans le contexte dans lequel on est présentement... [00:30:16] Speaker B: On part de loin au Canada. [00:30:18] Speaker D: Exact. Donc ça, ce rattrapage qui est nécessaire, mais encore une fois... Il faut blâmer un peu les deux partis politiques. Ça a été vraiment des années de vaches maigres pour l'armée canadienne les dernières décennies. Éventuellement, il y a un rattrapage qui est nécessaire, mais quand on regarde le reste, je ne vois pas encore si ça nous a mis dans une position gagnante. En fait, c'est l'inverse. Si le Canada a une économie qui est au ralenti présentement, c'est justement à cause de l'interventionnisme gouvernemental. Il faut dire, je mentionnais le fameux 3GV tantôt, C'est pas le seul projet coûté dans lequel le gouvernement Kani maintient son gouvernement. Par exemple, la question de l'introduction des voitures à essence au diesel pour 2035, je faisais le calcul rapidement parce qu'il y a un petit recul, mais finalement, c'est un recul qui est assez temporaire. Mais à lui seul, à elle seule, notre politique-là va nous coûter pas loin de 20 milliards de dollars par année. Donc c'est pas juste les projets d'infrastructure comme tel. Mais tous les autres projets de transition dans lesquels nous nous sommes embarqués, sous l'ère Trudeau ou sous l'ère Cagny, ce sont des affaires qui sont extrêmement dépensives. Mais est-ce que ça augmente, est-ce que ça fait croître notre économie davantage? Je ne l'ai pas vu. Pas vraiment. On ne voit rien de ça pour l'instant. On a même une économie qui est sur le bord de la récession. Donc, il va falloir peut-être adopter l'approche inverse, couper dans la fiscalité, couper dans les réglementations, baisser les impôts et les taxes. Malheureusement, on dirait que tout ça, Kanye semble le faire, mais... Non, c'est pas ça qu'il veut. [00:31:43] Speaker B: Il veut pas stimuler le secteur privé. Lui, il veut stimuler l'économie avec des investissements publics, mais à coût de milliards. Puis là, on va avoir un déficit de plus de 100 milliards. [00:31:54] Speaker D: Exact. Il y a juste un projet de loi C-5 qui semble s'intéresser à la bureaucratie, à tous les aspects limitatifs au niveau du développement économique. Mais encore là, c'est eux-mêmes qui vont choisir les projets. Ça, c'est de manière complètement arbitraire, encore une fois. On n'essaie pas de libérer l'économie pour faciliter l'arrivée de ces projets-là. On va être sélectif, on va nous-mêmes décider lequel va aller de l'avant et lequel n'ira pas de l'avant. Ils ont parlé de projets comme les pipelines, mais il n'y en a pas encore sur la table non plus. Donc, tout ça étant considéré, je pense que l'approche présentement n'est pas la bonne. On l'a vu par le passé, ce que ça donne l'interventionnisme à la tunisienne. Peut-être que ça a marché, peut-être... C'est difficile à dire, c'était vraiment ça qui était responsable du développement de l'économie américaine dans les années 40. si c'est pas la seconde guerre mondiale ou si c'est pas littéralement la fin de la guerre elle-même qui va avoir donné un second souffle à l'économie mondiale à l'époque parce qu'enfin, on mettait de côté toutes ces barrières et toutes les confrontations militaires pour justement reconstruire l'Europe. Donc il y a quand même ça à prendre en considération là-dedans. [00:32:55] Speaker B: Nicolas Gagnon, toujours un plaisir de parler. Fédération canadienne des contribuables, comment ça marche? Il y a-tu des gens qui peuvent donner? Il y a des donations, je pense. [00:33:05] Speaker D: Oui, mais en fait, c'est totalement gratuit à adhérer. N'importe qui peut nous suivre, signer nos pétitions, s'informer ou participer à nos infos actions pour faire pression sur le gouvernement ou à nos infos lettres. Sinon, les gens peuvent effectivement donner. Ça peut être du 5 $ ou moins ou plus. C'est vraiment libre à eux. Il n'y a pas de crise d'impôt et on a quand même des milliers, des dizaines de milliers de personnes qui nous appuient de cette manière à travers tout le pays et qui nous permettent de faire notre job, d'être sur toutes les tribunes, Prochainement, je vais peut-être à Ottawa pour le fameux budget. Donc, je vais aller le couvrir avec mes collègues d'à bas. Donc, c'est le genre de choses que ça nous permet de faire. C'est d'être en première ligne pour aller voir ce qui se passe avec le portefeuille des contribuables puis le défendre sur toutes les tribunes. [00:33:44] Speaker B: Bien, merci beaucoup. Puis à la prochaine. Bye. [00:33:46] Speaker D: C'est toujours un plaisir. À bientôt. [00:33:47] Speaker B: Bye-bye. [00:33:47] Speaker C: Bientôt. [00:33:48] Speaker B: Oui, c'est ça. Nicolas Gagnon, de la Fédération canadienne des contribuables. Eux autres sont... Écoute, moi, d'autant que je... Quand j'étais journaliste économique, on avait accès à beaucoup de littérature par leurs services de recherche. [00:34:00] Speaker C: Oui. [00:34:00] Speaker B: Parce que, t'sais, on n'a pas le temps de fouiller non plus dans tous les budgets, les données. Eux autres sont là-dedans journée longue. Ils fouillent tous les petits détails puis ils trouvent les crosses... Comment on dit ça? Les belles entourloupettes de nos gouvernements. Des taxes cachées et tout et tout. Mais ils défendent des contribuables d'abord et avant tout. Puis là, ils regardent les affaires. sont très inquiets, là. Très, très inquiets. Une TPS à 7 %, des ventes d'arrêt au port. On va vendre des actifs. C'est sûr, on s'en va vers ça, là. On va brader le Canada. On va avoir un déficit de 100 milliards, puis tu vois, à juste payer la dette, c'est 54 milliards. C'est 10 % de ton budget en partant que tu mets juste payer les intérêts de la dette. Après la pause, le Dr Karim El Ayoubi débarque dans le show. [00:34:42] Speaker A: Couture. [00:34:43] Speaker G: Restez là, on revient dans un instant. [00:34:46] Speaker A: Dans le mid. Radio X, le Carbo. [00:34:49] Speaker B: Carbo. [00:34:51] Speaker F: Chaud. [00:34:52] Speaker G: Chaud. [00:34:53] Speaker F: Avec Carbo. [00:34:55] Speaker G: Lundi au jeudi, 18h. [00:34:58] Speaker A: Radio. En montant dans la nouvelle Prius hybride branchable chez votre concessionnaire, vous pourriez être transporté loin de la ville où le seul bruit est celui d'un criquet vraiment en forme. Parce qu'avec une autonomie hybride aussi impressionnante, votre petit coin de paradis peut être à la fois plus loin et moins cher. Après, tout ce qui vous reste à faire, c'est de ramener la Prius à la maison. L'événement Repartez en Toyota est en cours. Pour un temps limité, vous pourrez obtenir jusqu'à 4000 $ en rabais gouvernementaux et en incitatifs clients Toyota. Visitez AchetezmaToyota.ca ou votre concessionnaire Toyota du Québec pour toutes les conditions. Je suis Stéphane Leblond de Leblond &. [00:35:32] Speaker B: Associés, syndic autorisé en insolvabilité. L'argent ne pousse pas dans les arbres. [00:35:36] Speaker C: Mais on peut vous apprendre à le cultiver. [00:35:38] Speaker B: Vos finances en toute confiance, c'est une expérience en toute confinance. [00:35:43] Speaker C: Leblond & Associés, nous rencontrer peut tout changer. [00:35:46] Speaker G: Obtenez 30 000 points PC Optimum à l'achat de 100 $ ou plus de cosmétiques chez Pharmaprix. Une valeur de 30 $. Jusqu'à jeudi, des conditions s'appliquent. [00:35:55] Speaker H: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. Un vrai clé en main pour les entrepreneurs en construction. Avec nos formations bilingues et hybrides, en classe ou en ligne, outillez-vous pour obtenir votre licence RBQ. Avec des horaires flexibles, concilier études, travail et vie de famille. GroupeGSC.com. 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[00:37:16] Speaker G: La lampe magique allumée, ça veut dire quoi? [00:37:18] Speaker C: Ah, ça c'est... [00:37:19] Speaker G: Pis le point d'exclamation rouge? [00:37:21] Speaker A: Connu! Évitez les mauvaises surprises quand vous achetez usagé. [00:37:24] Speaker C: Procurez-vous un rapport d'historique de véhicules Carfax, Canada. [00:37:26] Speaker A: Tu mets le paquet au travail. Normal que quand vient le temps de t'amuser, tu sors l'arsenal. Tu sors à la distillerie Arsenal. Unique à Québec. Un décor grandiose pour des soirées inoubliables. Un menu qui éveille tes sens. [00:37:38] Speaker C: Des cocktails uniques et énergiques. [00:37:40] Speaker A: Et une ambiance qui donne envie de taper du pied, danser et veiller tard. La Distillerie Arsenal. Sur Charest, près de Saint-Sacrement. Cherche pas, tout est là. La recette parfaite pour dîner, souper ou veiller. 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[00:39:32] Speaker A: C'est la grande rentrée parlementaire aujourd'hui à Ottawa qui réunira pour la première fois, depuis l'élection d'avril dernier, les 169 députés libéraux qui formeront le gouvernement minoritaire de Mark Carney et les 144 députés conservateurs de Pierre Poilièvre, de retour après une partielle remportée en Alberta. L'enjeu du budget attendu en octobre demeure au centre des préoccupations. Le transport scolaire est devenu un véritable casse-tête pour des milliers d'écoliers et leurs parents partout au Québec depuis que 1200 autobus de Lyon Électrique ont été retirés des routes la semaine dernière suite à l'incendie de l'un d'entre eux à Montréal dû à une défectuosité du système de chauffage. Malgré l'inspection complétée par les transporteurs toute la fin de semaine, des écoliers sont privés de transport scolaire jusqu'à nouvel ordre de Montréal à Québec, en passant par Trois-Rivières et d'autres provinces canadiennes. [00:40:21] Speaker B: It's the news! [00:40:22] Speaker A: X News, présenté par JLC Musique. Cet automne, assistez à des spectacles de rock à la salle Dina Bélanger. Hommage à Queen, Peter Gabriel, La Djablin et plusieurs autres. Billets à lacapitaldurock.com. [00:40:39] Speaker G: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clique à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:40:53] Speaker A: Couture dans le mid. [00:40:55] Speaker G: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [00:40:59] Speaker B: Radio X. Ouais, commission gala, là, c'est... ça reprend cette semaine. On avait suspendu les travaux parce qu'il y a tellement eu un déluge d'informations, parce qu'on avait des avocats qui tentaient de bloquer tous les documents que la SAC détenait. La commission gardienne voulait avoir accès à ces documents-là, puis c'était bloqué devant les tribunaux. Puis finalement, le gouvernement a donné le feu vert. Et là, bien, on a dû étudier tout ça, tous ces documents-là. [00:41:31] Speaker C: Il y avait beaucoup de choses, j'imagine. [00:41:31] Speaker B: C'est des boîtes, des boîtes. [00:41:33] Speaker C: C'est du stock, là. [00:41:34] Speaker B: Et là, ce matin, ça reprend avec l'ancienne PDG de la SAAC, Nathalie Tremblay. Et Carl Malenfant va s'amener cette semaine. [00:41:42] Speaker C: Oui. [00:41:42] Speaker B: Lui, il a déjà commencé le travail, là. Il a donné des entrevues, je pense que c'est hier, à la presse. Et non, c'est ça, c'est une commission bidon, la commission, selon Carl Malenfant. [00:41:54] Speaker C: Ah oui. [00:41:55] Speaker B: On va être à surveiller tout ça. Notre chroniqueur santé, il est là, Dr Karim El Ayoubi. Comment allez-vous? [00:42:03] Speaker D: Bonjour, ça va bien vous? [00:42:04] Speaker B: Ben oui, ça va bien. Là, je vois, ça commence à brasser avec les médecins. Fédération des médecins omnipraticiens qui intentent un recours judiciaire. Puis là, j'ai vu également des spécialistes ce matin sortent. [00:42:17] Speaker F: Qu'Il n'avait pas parlé de recours judiciaire. au cours de la présentation qu'ils ont faite, de la conférence de presse qu'ils ont faite, ils parlaient plus de moyens de pression sans qu'il y ait une atteinte vraiment aux soins des patients. Souvent dans ces contextes-là, ça va être les étudiants qui vont écoper parce que... mais pas les résidents. Les résidents, eux, sont épargnés parce que, bon, les résidents, c'est souvent de la main-d'oeuvre à bon marché dans les hôpitaux, puis l'ensemble du réseau universitaire est basé autour du fait qu'il y ait des résidents, donc on peut pas s'en passer vraiment. Par contre, les étudiants, les médecins enseignent beaucoup dans les universités. Ils enseignent beaucoup aussi aux externes, c'est-à-dire les externes, c'est pas des médecins, ils ont pas de licence de pratique. directe des... ce qu'on appelle les médecins patrons. Donc la FMSQ veut faire des moyens de pression. C'est sûr que ça, c'est un moyen de pression qui peut être quand même assez efficace parce qu'il pourrait y avoir ultimement, si ça se poursuit, des problèmes de graduation chez les médecins. Donc ça, c'est un moyen de pression qui n'atteint pas directement les soins aux patients parce que ça, ce serait illégal, mais qui pourrait avoir une certaine efficacité. la FMOQ, Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, lorsque le docteur Aminault est sorti, eux voudraient aller peut-être même une coche plus loin. Une coche plus loin dépendamment de ce qu'on considère comme étant plus loin. Mais ça, c'est quand même un gros step, c'est d'aller devant le tribunal administratif du travail, utiliser l'article 53 qui dit que les deux parties et la partie patronale et celles... les travailleurs ou leurs représentants de le syndicat, ou l'AFMOQ, qui est un syndicat pour les médecins omnipraticiens, doivent négocier de bonne foi. C'est ça qui est écrit dans la loi. Et selon la Fédération des médecins omnipraticiens, le gouvernement ne négocierait pas de bonne foi en ce moment. Ça, c'est quand même... c'est assez rare qu'on voit... qu'on voit ça pour les fédérations de médecins. Pourquoi? Parce que c'est une arme à double tranchant. C'est sûr que si la SMOQ veut aller là, et il y a des avocats à la SMOQ, ça, je peux vous le garantir, s'ils ont été conseillés d'aller dans cette direction-là, c'est qu'ils doivent avoir des éléments quand même tangibles, de mauvaise foi, de la part de la part du gouvernement. Parce que, comme je l'ai dit, c'est une arme à double tranchant. Si jamais le tribunal administratif du travail dit que le gouvernement ne négocie pas une fois et qu'ils font leur job, la fédération perdrait énormément de crédibilité sur la place publique. Ça donnerait un levier important pour le gouvernement dans les négociations. des éléments, puis il y a des critères très précis, c'est-à-dire par exemple des retards dans... refus d'aller s'asseoir à la négociation, absence de contre-propositions, des retards fréquents au... au rassemblement, position qui est beaucoup trop rigide, parce que le gouvernement, dans une société de droit, ne peut pas imposer mur à mur ses conditions, même s'il est l'employeur. Il faut qu'il donne des contre-propositions raisonnables. Est-ce que c'est le cas? Selon la FMOQ, non. Et ce qu'il faut bien mentionner, c'est que ce qui semble être le problème, du moins selon les deux fédérations au sein de la négociation, ça semble être le ministre Dubé lui-même. Parce que lorsque le ministre Dubé était en vacances cet été, puis moi, c'est ce que les fédérations disent, les négociations allaient plutôt bon train avec le Trésor et il semblait y avoir des contre- propositions et ça semblait avancer. Cependant, apparemment, lorsque M. Dubé est revenu, c'est là où il y avait une opposition qui était extrêmement rigide. et qui avait une accent ou des contre-propositions qui étaient complètement inacceptables, selon les fédérations. De là, le fait de vouloir aller devant le tribunal. Maintenant, ça va être à François Legault à déterminer, un peu comme Philippe Couillard l'avait fait avec Gaétan Barrette à l'époque. Maintenant, François Legault, c'est lui qui est le boss, c'est lui qui est le premier ministre. Il faut qu'il se pose la question, est-ce que M. Dubé est encore la bonne personne? pas pour être ministre de la Santé, c'est pas ce que je dis, mais pour négocier. On se rappelle, à l'époque, les tambarettes avaient été tassées par Philippe Couillard lorsqu'il négociait avec les fédérations de médecins. Et c'était, je crois, le trésor, je pense que c'était Martin Coiteux, à l'époque, qui avait pris la relève. Parce que des fois, il y a une impasse entre deux. Des fois, il peut y avoir des conflits de personnalités, il peut y avoir des conflits dans l'approche, quelqu'un peut trop se braquer. Et je pense qu'on est peut-être rendu à l'étape, M. Legault, de se poser la question, est-ce que M. Dubé est encore l'homme de la situation pour cette négociation-là? [00:47:20] Speaker B: Mais comment on fait ça, là? Parce que là, la demande, la FMOQ, c'est devant la Cour supérieure. C'est même pas le tribunal administratif, là. [00:47:26] Speaker D: Ah oui, c'est vrai, c'est devant la. [00:47:28] Speaker F: Cour supérieure parce que c'est... [00:47:29] Speaker B: On monte ça d'un cran, là, évidemment. [00:47:31] Speaker D: Oui, c'est vrai, parce que c'est du civil. [00:47:35] Speaker F: Oui, exactement. Vous avez raison, c'est devant la Cour supérieure. [00:47:37] Speaker B: Mais, là, si t'as le ministre Dubé qui a eu un remaniement la semaine dernière puis s'est fait donner encore les clés du classeur, ça va être difficile à le tasser. Qu'est-ce qu'on pourrait faire? On pourrait mandater quoi? Quelqu'un au Trésor? Comment on pourrait faire ça? [00:47:51] Speaker F: Ben, un peu comme Philippe Couillard avait fait à l'époque, parce qu'on sait que M. Barrette, il avait une attitude qui. [00:47:56] Speaker B: Était... Ben, t'étais de frontale, là. [00:47:59] Speaker F: Ça faisait en sorte que côté personnalité, ça passait pas. Avec les fédérations, c'était très difficile. L'attitude était difficile. Bien, c'était le Trésor à l'époque qui avait négocié. M. Barrette avait été tassé. [00:48:12] Speaker D: Je me rappelle. [00:48:18] Speaker F: Mais des fois... Non, je comprends, mais François Legault l'a appelé comme ça, mais... Non, exactement. Mais quelqu'un peut être assez tough en négociation et ça peut quand même passer. C'est-à-dire, on sait... Des fois, la personne qui a... Comment je peux dire? M. Dubé, c'est lui qui a bâti toute la réforme, en partant par le projet de loi 15. Maintenant, le projet de loi 83 et le projet de loi 106. qu'il y a de la difficulté à faire des contre-propositions. Ça peut arriver que quelqu'un qui est plus neuf, comme la nouvelle présidente du Conseil du Trésor, peut-être que même si elle est considérée comme tough en négociation, ça pas sa réforme à peut arriver. [00:49:08] Speaker D: Que quelqu'un qui est plus neuf, comme. [00:49:08] Speaker B: La nouvelle présidente du Conseil Trésor, peut-être que même si elle est considérée tough. [00:49:08] Speaker D: En négociation, ça peut arriver quelqu'un qui. [00:49:08] Speaker F: Est plus neuf, comme la nouvelle présidente du Conseil Trésor, peut-être que même si elle est considérée comme tough en négociation. [00:49:09] Speaker D: Ça peut arriver quelqu'un qui est plus. [00:49:09] Speaker F: Neuf, comme la elle qui est absolument nouvelle mordicus présidente du Conseil du Trésor, à 100 %. Donc ça pourrait peut-être que même si elle est arriver considérée comme tough que ça passe en mieux au sein négociation, de la négociation. ça peut arriver que quelqu'un Et qui. [00:49:15] Speaker B: Est plus neuf, comme la nouvelle présidente. [00:49:15] Speaker D: Du Conseil Tr des fois, on demeure. [00:49:16] Speaker F: Tous des êtres humains. Des fois, c'est juste des questions de personnalité. Des fois, c'est juste des questions d'égo d'un côté et de l'autre. Espérons que ce soit pas le cas dans cette situation-là. Mais moi, je me pose vraiment la question. Ça semble pas gay. Et lorsque j'entends Christian Dubé parler, et même le premier ministre lui-même sur la place publique... Il semble vraiment y avoir une rigidité dans la façon de vouloir négocier. Mais il semble avoir une absence de volonté de négocier. Et c'est là que les tribunaux peuvent intervenir en fonction des critères. C'est sûr que si, autour de la table, Christian Dubé se comporte avec les fédérations, le même ton qu'il a sur la place publique, bien, c'est certain que les fédérations et les autres, ils vont se dire qu'on est là pourquoi? On est supposés de négocier, mais il y a une absence de négociation. Il faut bien le mentionner. Ce que le gouvernement exige à l'heure actuelle, c'est très difficile parce qu'il y a plusieurs cliniques qui risquent de se fermer avec les impositions du gouvernement. Moi, je fais partie d'une clinique qui va peut-être fermer... pas juste le 25 %, il y a aussi les ententes cadres avec les GMF, les négligences de nombre d'heures d'ouverture. C'est que le problème, c'est que M. Dubé voit ça un peu de façon très comptable. Il prend des chiffres, il regarde et il se dit, bon, ça, ça fonctionne pour un super GMF, un super GMF, c'est-à-dire un très gros GMF qui a 25 hectares à l'intérieur, OK? Mais un plus petit GMF en région qui a 7-8 médecins à l'intérieur, ça peut pas le gérer de la même façon au niveau des heures d'ouverture, au niveau de la planification, au niveau des heures défavorables. Parce que si on veut gérer ça de la même façon, bien nous, on va perdre tout notre monde. Moi, par exemple, à la clinique où est-ce que je suis, si ça passe ce que M. Dubé demande en totalité, c'est-à-dire et le projet de loi 106. [00:51:10] Speaker D: Mais pas juste le projet de loi. [00:51:11] Speaker F: 106, ce qu'on appelle l'entente cadre avec les GMF, nous, on n'est plus GMF. Ça, c'est sûr à 100 %. parce qu'on va... les gens vont s'en aller. Ils vont tout simplement s'en aller. Ils vont s'en aller dans un CLSC, ils vont aller travailler dans les hôpitaux, ils vont aller travailler... Ils vont quitter parce qu'ils n'accepteront pas de faire la charge que M. Dubé demande de travail. Puis on va se ramasser à deux qui vont tout faire. [00:51:38] Speaker D: 7 jours sur 7. [00:51:41] Speaker F: Et ça, c'est une réalité, c'est mathématique. Nous, on l'a regardée puis je vous. [00:51:46] Speaker D: Parle de quelque chose. [00:51:47] Speaker F: Je parle pas à travers mon chapeau, je vous parle de quelque chose que je vis moi-même en ce moment. On essaie avec mes partenaires de regarder mathématiquement comment on peut arriver et on s'est rendu compte qu'on pouvait juste pas arriver mathématiquement parlant. Donc c'est complètement déconnecté. C'est du mur à mur pour toute la province. de différence entre une méga clinique à Montréal versus une petite clinique en région. C'est une réforme qui est mauvaise en soi parce qu'elle est trop centralisée et elle ne fait pas suffisamment d'exceptions et elle ne comprend pas la réalité du terrain. M. Dubé est peut-être un extraordinaire gestionnaire et comptable. Par contre, il ne connaît pas le réseau de la santé du tout. Ça, c'est une réalité. On voit clairement qu'il y a un manque de compréhension. Et moi, je pense que c'est correct que la FMOQ aille devant les tribunaux pour contester. [00:52:45] Speaker B: Donc, ça va prendre un changement de ton. C'est Lucien Bouchard qui avait demandé ça aussi. Il négocie, lui, il est à la table. Il le voit, là. Il dit que ça n'a pas de sens. Il dit que c'est trop rigide. Donc, ça va prendre un changement de ton dans les prochaines semaines et peut-être même le projet de loi 106 pourrait être mis à terre parce que si on abroge la session, Ou à tout le moins, est-ce qu'on va continuer dans cette veine-là? Ça va être à suivre. Karim El Ayoubi, merci beaucoup de vos lumières, médecin. Et on se reparle prochainement. Merci. [00:53:10] Speaker F: Ça m'a fait plaisir. [00:53:11] Speaker B: Au revoir. [00:53:11] Speaker C: À bientôt, Mike. [00:53:12] Speaker B: C'est pas simple. [00:53:13] Speaker C: Mais non, c'est pas simple. [00:53:14] Speaker B: Si t'as une vision très centralisatrice, ben tu t'écrases tout le monde autour. [00:53:20] Speaker C: Ben oui. Ça fait en sorte que c'est le citoyen, c'est l'être humain qui n'a pas de service. Ça ne s'en va pas en s'améliorant. [00:53:30] Speaker B: L'autre affaire, c'est que Santé Québec devait tout régler. [00:53:32] Speaker C: Ça ne marche pas. J'ai juste essayé de voir un médecin pour une blessure. On m'envoyait ailleurs, partout ailleurs, sauf chez le médecin. [00:53:39] Speaker B: Après ça, tu as appris que c'est le modus operandi. [00:53:41] Speaker C: C'est parce que j'ai rencontré des infirmières qui ont travaillé au GAP, au guichet d'accès à la première ligne ou au 811. Pis on m'a dit, tu sais, le principal objectif, c'est de tout faire pour pas que t'aies un rendez-vous chez le médecin, là. Moi, on m'envoyait ailleurs. « Va payer un physio. » Ouais, mais c'est parce que je paye déjà, là. [00:53:59] Speaker B: Non, tu paieras encore. [00:54:01] Speaker C: Bon, mais je paye déjà une bonne partie de mon salaire qui va dans le système de la santé. Je peux-tu avoir un service? [00:54:07] Speaker F: Non? [00:54:07] Speaker B: T'en payes pas assez. [00:54:08] Speaker C: Faut que je fasse quoi? Faut que j'invente des... Faut voir que je monte sur le... Ben, faut que. [00:54:13] Speaker B: T'Aides par toi-même voir un physio dans le système. [00:54:16] Speaker C: C'est ça, mais je vais payer. Ah, dans le système? [00:54:17] Speaker A: Oui. [00:54:18] Speaker C: Ça a l'air qu'il y a 3 à 4 ans d'attente. [00:54:19] Speaker B: Oui, c'est ça. Ça va bien, ça va bien. J'ai hâte de voir comment ça va finir, ces négos-là. Ça semble être le frontal attendu entre la gang à Dubé, le go puis les médecins. J'ai hâte de voir. On ouvre les lignes après la pause. [00:54:35] Speaker C: Oui. 88-670-9098. [00:54:37] Speaker B: On va où? [00:54:37] Speaker C: Bien là, Pierre, 7 %, la TPS. [00:54:39] Speaker B: Bien là, il y a des rumeurs. Des rumeurs qu'on pourrait annoncer une hausse de la TPS. Lors du prochain budget fédéral, on est tellement dans le trou. On parle d'un déficit de plus de 100 milliards. Puis là, on veut bâtir 13 milliards de maisons. [00:54:52] Speaker C: Mais là, si on augmente la TPS, l'objectif, c'est de réduire le déficit, c'est ça? [00:54:57] Speaker B: Bien, d'aller chercher une partie pour réduire le déficit. Mais écoute, il n'arrive pas que l'argent qu'on leur donne, ils dépensent 100 l'endemain. Et là, ils en veulent encore plus. [00:55:07] Speaker C: Pour des programmes dont on ne bénéficie pas généralement. [00:55:10] Speaker B: La question, c'est... Faut en faveur. Faut s'en passer quoi? La TPS. C'est sûr que quand tu demandes aux gens, veux-tu payer plus de taxes? [00:55:18] Speaker C: Bien non, c'est sûr que non, mais en même temps, l'objectif derrière tout ça, c'est d'essayer de réduire le déficit de 100 milliards. [00:55:26] Speaker B: Oui, puis réduire les dépenses de l'État. Parce que depuis la COVID, l'État a complètement échappé le ballon. On embauche des fonctionnaires comme on n'a jamais embauché. Est-ce que ça marche? On les voit, les programmes, ça marche-tu? [00:55:40] Speaker C: Ils vont faire quoi avec cette hausse de TPS-là? Ça va être juste plus d'argent qu'ils vont plus dépenser encore. [00:55:47] Speaker B: Voilà. On revient après la pause. [00:55:49] Speaker G: On fait une petite pause, puis on revient dans pas longtemps. [00:55:53] Speaker A: Dans le mid. Radio X, cette semaine. Écoute Moray Live. Et tu pourrais gagner un forfait en occupation quadruple d'une valeur de 2400 $ pour... la première édition du tailgate légendaire du PP Tour. Une présentation de G-Stock. [00:56:11] Speaker C: Tu veux partir à New York voir. [00:56:13] Speaker A: Les Packers de Green Bay affronter les Giants? PP, allez! Choix Radio Extrême, Sportif et Linux t'envoient. [00:56:20] Speaker B: Vivre le PP Tour 2025, un voyage. [00:56:24] Speaker A: De 4 jours pour 4 personnes, présenté par G-Stock. Le trip Sportif sera du 14 au 17 novembre. Participe au concours ou achète tes forfaits. Au Radio X.com. Radio X. Hey, Davie. [00:56:38] Speaker C: Davie, c'est le plus grand chantier naval au Canada et on recrute activement en ce moment pour plus de 1000 postes. Oui, oui, 1000 postes. Peintre, assemblant mécanique, électricien, contre-maître, évidemment bien plus. Avec un cadenas de commande rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides. 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[01:01:47] Speaker B: Puis les chiffres n'ont pas d'importance, les. [01:01:48] Speaker C: Faits n'ont pas d'importance. [01:01:50] Speaker B: Tu dois taponner les faits, là, parce. [01:01:52] Speaker A: Que t'es à Radio X. [01:01:53] Speaker B: Cette affirmation-là est pas débattable, c'est factuel. [01:01:56] Speaker C: Tu vas là, pis après ça, pendant 30 minutes, ils parlent de ton entrevue pis ils disent n'importe quoi. [01:02:01] Speaker H: Les auditeurs de Radio X, là, vous venez de l'entendre, vous êtes des débiles légers et des rétrogrades. [01:02:08] Speaker A: Il refuse systématiquement toutes les entrevues, là. [01:02:10] Speaker H: Donc, la réponse, c'est quoi? La réponse, c'est... c'est vous, les tarés. [01:02:14] Speaker C: Dans sa tête! [01:02:15] Speaker H: C'est lui qui vous crache au visage. [01:02:18] Speaker A: C'est vous. [01:02:20] Speaker G: C'est vous. [01:02:21] Speaker A: Votre propre opinion. [01:02:23] Speaker G: Votre propre opinion. [01:02:24] Speaker A: La ligne ouverte présentée par Béné et compagnie. L'offre au prix d'ami est de retour chez Béné et compagnie. Pour un temps limité, obtenez le repas 3 filets de poulet à seulement 10$ au comptoir. Des conditions s'appliquent, cette offre est valide jusqu'au 29 septembre. [01:02:38] Speaker G: Couture dans le Avec Pierre Couture et Nick Loutier. [01:02:44] Speaker A: Fait que c'est ça, c'est ça. [01:02:47] Speaker B: Radio X. Ouais, on va ouvrir les lignes. [01:02:52] Speaker C: 88, c'est ça qu'on a fait. Ben oui. [01:02:55] Speaker B: Mais non, l'histoire du gouvernement fédéral qui est en train de fignoler son premier budget, ben le gouvernement de Mark Carney. Et là, on parle d'un déficit qui pourrait défoncer les 100 milliards de dollars. Et là, comment on fait pour aller chercher de l'argent? Parce que là, si tu défonces ton budget, t'arrives pas, là. Donc, on parle d'un scénario d'augmenter la TPS à 7%. [01:03:18] Speaker C: Ah, c'est épouvantable. Ça nous coûte déjà le cher, là. [01:03:22] Speaker B: Ça, puis l'imposition, parce que vos tables d'impôts, ils vont venir taponner là-dedans éventuellement. Et l'autre chose, on pourrait vendre des actifs. On parle des aéroports, des gros aéroports, là. Je pense que le gouvernement fédéral a encore des participations là-dedans. On se dit qu'on pourrait aller chercher 10 milliards de dollars comme ça. Qu'est-ce que vous pensez de tout ça? C'est quoi le message qu'on reçoit, qu'on décode? On investit dans les maisons, là. 13 milliards de dollars. [01:03:47] Speaker C: Puis TGV? [01:03:48] Speaker B: TGV, ça, c'est pas fait encore. [01:03:50] Speaker C: Ah, les rimes, puis on envoie de l'argent encore en Ukraine, puis... [01:03:52] Speaker B: Là, on pèle de l'argent. Le TGV, c'est une affaire comme 100, 150 milliards dans les prochaines années. [01:03:59] Speaker C: Puis on veut peut-être augmenter la DPS à 7 %. Allô, Chouard? Oh, palaille! Allô, Chouard? [01:04:07] Speaker D: Oui, on vous écoute. [01:04:09] Speaker C: Bien voyons! [01:04:10] Speaker B: Bien voyons! On va tout raccrocher. [01:04:11] Speaker C: Allô, Chouard? [01:04:12] Speaker D: Allô? [01:04:13] Speaker B: On vous écoute. [01:04:14] Speaker D: Bon, moi, j'aurais deux petits points. Je voulais savoir, par rapport à sa clé, est-ce que c'était sorti celui qui a décidé de passer les salaires de 50 quelques dollars à 300 $ pour les programmeurs? Puis le deuxième point, ce serait, s'il augmente la TPS, le Québec va être bien content parce qu'il va collecter encore un peu plus sur les autres sites. [01:04:36] Speaker B: Effectivement, parce qu'il y a une taxe qui s'accote sur l'autre, c'est ça. [01:04:39] Speaker C: La TVQ est calculée après le montant avec TPS. [01:04:46] Speaker B: Exact. Effectivement. Mais vous, êtes-vous favorable à pour ça, monter la TPS? [01:04:51] Speaker D: Non. [01:04:53] Speaker B: Pas du tout. Mais pour aider l'État, là, parce qu'on voit bien que le gouvernement a de la misère, là, est-ce que vous seriez favorable à payer davantage d'impôts? [01:05:04] Speaker D: Ouais. Mais. [01:05:15] Speaker B: Quand même, c'est vous qui allez payer dans les prochaines années. [01:05:18] Speaker D: C'est sûr, c'est sûr, c'est sûr. [01:05:20] Speaker C: Merci beaucoup. [01:05:21] Speaker B: Merci. Bon, l'histoire de la commissaire, je n'ai pas l'information. Mais calmement, à la fin, on va être là. Mais pour la TPS, clairement, ça ne passe pas. [01:05:29] Speaker C: Non, c'est sûr. Allô, Radio-X? [01:05:32] Speaker D: Oui, bonjour. [01:05:33] Speaker B: On vous écoute. [01:05:35] Speaker D: Je pensais parler à quelqu'un, pas être en onde. [01:05:38] Speaker B: Bien là, c'est une ligne ouverte. Pour ou contre la TPS à 7 %? [01:05:43] Speaker D: Malheureusement, non. Je suis vraiment désolé. C'était pas sur ce sujet-là que j'appelais. C'était pour le sujet précédent avec Montréal Live. [01:05:49] Speaker B: Ah, bien là, on... OK, merci. Bye-bye. [01:05:52] Speaker C: Bonne journée, moi. [01:05:52] Speaker F: Bye. [01:05:53] Speaker B: Voilà, c'est ça. [01:05:54] Speaker C: Allô, Chouard? [01:05:55] Speaker B: Oui, on vous écoute. [01:05:58] Speaker F: Oui, salut. [01:05:59] Speaker B: Vous êtes loin, là. Êtes-vous sur le Main-Libre? [01:06:02] Speaker C: Oui, je passe le matin. [01:06:06] Speaker B: C'est toute une ligne ouverte, ça. Oui, on vous écoute. [01:06:09] Speaker F: Yes. [01:06:11] Speaker B: Allez-y. [01:06:13] Speaker F: Oui, je me disais, est-ce que les oppositions vont voter pour ça? [01:06:17] Speaker B: Est-ce que ça pourrait tomber? [01:06:19] Speaker C: Oui, c'est une bonne question. [01:06:21] Speaker B: Effectivement, ça doit être négocié avec soit le NPD ou le Bloc ou un parti d'opposition qui pourrait faire en sorte qu'ils passent. Le NPD, ils ont 7 députés, je pense, ou 9. [01:06:34] Speaker D: Oui, un jour, le NPD, ça ne les dérange pas de taxer. [01:06:38] Speaker C: Non, c'est sûr. [01:06:40] Speaker F: On les oublie, mais je me demandais notre bon bloc québécois, qu'est-ce qu'ont dû travailler pour nous, les Québécois, là? [01:06:46] Speaker B: Bien, peut-être qu'eux vont voter pour ça, là. [01:06:49] Speaker C: C'est pas impossible. [01:06:50] Speaker D: Ça serait de tout le monde. Ça donne le coup de faire un long test d'ordre. [01:06:55] Speaker C: Oui, merci beaucoup. [01:06:56] Speaker B: Merci. [01:06:57] Speaker C: Salut. [01:06:58] Speaker B: Voilà. On ouvre. On y va. [01:07:00] Speaker C: Allô? [01:07:00] Speaker B: Oui, on vous écoute. [01:07:02] Speaker D: M. Roy? [01:07:03] Speaker C: Oui? [01:07:04] Speaker D: Par où je suis complètement compte... de monter les taxes encore. Je pense qu'on a payé assez. [01:07:13] Speaker B: Mais comment expliquer ça? Comment expliquer qu'on envoie beaucoup d'argent, mettons, au gouvernement fédéral et au gouvernement provincial et aux municipalités, puis que ces gens-là soient pas capables d'arriver? [01:07:23] Speaker D: C'est ça, parce que c'est mal géré. C'est pas leur argent, comme vous dites souvent. Quand c'est pas ton argent, ils s'en foutent, ils dépensent comme qu'ils veulent. Comme le goût disait, les trois premières années, on fait ce qu'on veut, puis la dernière année, bien, on va faire selon les sondages. C'est tout le temps pareil. Que c'est n'importe qui qui vient de provincial, fédéral, c'est la même chose. Ils sont tous pareils. Tu prends un sac, t'y embrasses, puis ça va être la même chose encore. [01:07:50] Speaker C: Ouais. [01:07:51] Speaker B: Hé, merci beaucoup! [01:07:51] Speaker C: Salut! [01:07:52] Speaker B: Bye-bye! [01:07:52] Speaker D: Salut! [01:07:52] Speaker C: Tu sais, c'est vrai, Pierre, depuis quelques années, la TVQ n'est plus calculée en surcharge sur la TPS. C'est vraiment sur le... OK, d'accord. Je sais qu'on avait modifié ça. Je pensais que c'était encore calculé sur le prix avec TPS, mais non. [01:08:06] Speaker B: Mais c'est l'inverse. [01:08:07] Speaker C: Non, mais maintenant, ça a l'air qu'on ne la calcule plus sur le montant. Fait que c'est vraiment ton sous total. Ils vont aller charger la TVQ sur ce montant-là et non sur le montant avec TPS. [01:08:18] Speaker B: Mais il y en a une qui ne vient pas ajouter l'autre. [01:08:21] Speaker C: Pas supposé. [01:08:22] Speaker B: Les deux montants sont à part. [01:08:24] Speaker C: Oui. Mais la TVQ, le pourcentage est plus élevé parce qu'on a augmenté le pourcentage quand le gouvernement Harper avait baissé la TPS à 5 %. [01:08:31] Speaker B: C'est ça, exactement. Mais moi, je vais plus loin. Pourquoi on n'a pas une loi anti-déficit? Tu ne peux pas faire de déficit. Regarde, tu ne peux pas faire de déficit. Il y avait ça, ils l'ont suspendu à Québec. Pendant la COVID, entre autres. Mais ça, ça ouvre la porte, on le voit, hein, à toutes sortes d'abus. Et là, des dépassements de coûts, des contrats complètement débiles qu'on donne, puis qu'on dit, ben, j'ai payé un loi anti-déficit. Je continue. À Ottawa, il l'a pu, cette loi-là, Trudeau l'a enlevé. [01:08:57] Speaker C: En effet. Allô, Chouard. Ben voyons. Allô, Chouard. [01:09:01] Speaker D: Oui, salut, Éric. [01:09:02] Speaker B: On vous écoute. [01:09:03] Speaker D: Moi, ce que je pense, en premier lieu, ils devraient commencer par penser à dégraisser la machine, t'sais. [01:09:07] Speaker B: Ben oui. [01:09:08] Speaker D: Puis l'autre affaire, bien la seule manière de pouvoir faire ça, ce serait d'écrire un projet de constitution pour le Canada. Parce que, tu sais, c'est comme ça qu'on fait ça. On se demande toujours comment les rendre impartiales. C'est un des moyens. Mais l'autre affaire aussi, c'est que la TPS, ce qu'ils veulent augmenter à 7 %, c'est à souhaiter qu'ils vont aider plus les personnes âgées qui ne l'ont pas eu facile. Tu sais, avec la pandémie plus haute qu'il y a, s'ils redonnent les crédits d'impôt pour les personnes âgées plus hautes, Mais la. [01:09:43] Speaker B: TPS à 7 %, à un moment donné, ça va être 8, ça va être 9, ça va être 10. [01:09:47] Speaker D: Non, non, c'est ça, mais s'il en retourne dans les poches des plus pauvres, là, c'est correct. [01:09:50] Speaker B: Bien, il en retourne pas mal, je trouve. Le fédéral, ils ont encore augmenté récemment encore les prestations pour les aînés. D'ailleurs, c'était pas un peu pour ça que le monde s'est mis à voter pour Carney. Il avait dit qu'il allait retourner des chèques aux personnes âgées. Je regarde les familles canadiennes, ils reçoivent pas mal d'argent aussi. Il y a des chèques qui avalent. [01:10:06] Speaker D: Oui, c'est ça, mais moi, je parle toujours comme les personnes itinérantes, les personnes seules qui sont âgées. Les autres, ils sont comme pas mal obligés, eux autres. Si on ferait des bâtisses pour vraiment les loger, on n'y arrivera pas. Au lieu d'envoyer ça en Ukraine, c'est ici qu'on aurait besoin. [01:10:22] Speaker B: En tout cas. [01:10:23] Speaker C: Merci beaucoup. [01:10:24] Speaker B: Merci. Bonne journée. [01:10:25] Speaker C: Bye-bye. D'un temps pour le dernier. [01:10:26] Speaker B: OK, on y va. [01:10:27] Speaker C: Allô? Allô? [01:10:28] Speaker B: Oui, c'est à vous. Non, il n'est pas là. [01:10:34] Speaker C: Il a de la misère ce matin. Allô, Radio X? [01:10:37] Speaker D: Salut, ça va? [01:10:38] Speaker B: Oui, on vous écoute. [01:10:39] Speaker D: Bon, écoutez, moi, j'ai 56 ans, là, puis je regarde autour de moi tout ce qui se passe, la TPS qui va augmenter. [01:10:46] Speaker B: Bien là, on parle de scénarios, des scénarios possibles sur la table, là. [01:10:50] Speaker D: Bien on le sait que ça va arriver. Bon, écoutez, c'est un secret de polichinelle, là, il n'y a pas de fumée sans feu. Mais on s'entend-tu que le monde est all-in? t'es assis à la table, all-in, t'as une chance sur deux, tu vas te remporter. Tout est all-in. Ça n'a plus de bon sens. Ça n'a plus de bon sens. Même des beaux quartiers qu'on avait, il y a 20 ans, c'est rendu défavorisé. [01:11:12] Speaker F: Dans la ville de Québec. Le monde travaille. [01:11:14] Speaker D: Ils sont au bout de leur chaîne. Ils travaillent. Ils n'ont plus une scène rendue au bout de la semaine. Je le vois, je ne vois plus de truc de livraison, je ne vois plus de bénis, je ne vois plus de normandes. On ne voit plus ça. Les mufflers, t'entends ça, des mois de temps, c'est brisé. Tu sais, si t'es à l'écoute un peu de... de psychosociales. Non, psychosociales, mettons. [01:11:34] Speaker B: Ça aussi, là... [01:11:36] Speaker D: C'est ça, c'est ça. Fait que tu sors de là, tu. [01:11:38] Speaker F: Te dis, t'sais, c'est le monde étaline. [01:11:40] Speaker D: Tu vas manger deux poutines avec ta. [01:11:41] Speaker F: Blonde, ça coûte 35 piastres. [01:11:44] Speaker D: Tu vas aux pommes, un du livre. [01:11:46] Speaker F: C'Est rendu 27 piastres. [01:11:48] Speaker D: T'sais, je veux dire, ça n'a plus de sens. [01:11:50] Speaker F: Fait qu'eux autres, assis en haut, ben. [01:11:52] Speaker D: Ils sont comme une table de poker. Ils sont all-in. Moi, je vois ça de même. [01:11:56] Speaker B: Ah, pis eux autres, ils en rajoutent, là, parce que... On parlait de 100 milliards de déficit. Lui, il nous a jamais dit ça, là, pendant la campagne électorale, là. [01:12:02] Speaker D: 100 milliards de déficit. [01:12:05] Speaker B: Pensez-y, là. [01:12:06] Speaker F: Le chiffre nous donne envie de tomber assis. [01:12:08] Speaker B: Ouais, exact. [01:12:08] Speaker D: Fait que, t'sais, je veux dire, c'est... [01:12:11] Speaker F: C'est all-in. Moi, c'est mon avis. Le monde est all-in et on n'a rien vu encore. [01:12:14] Speaker B: Et ces gens-là n'ont pas l'air à savoir compter non plus. Je regarde le gouvernement. Lui, ça ne l'intéresse pas de revenir à l'équilibre budgétaire. Ce n'est même pas dans les cartons. Ce n'est même pas dans les priorités. [01:12:25] Speaker D: Là, on parle du fédéral qu'on voit à moitié du temps. Mais regarde juste le premier ministre Legault. Écoute, bon, c'est peut-être un bon monsieur d'un certain âge et que c'est complet, des années 80. Mais sacrement, il fait tomber des pensées. Il n'est pas là, il n'est pas de son époque. Puis le discours de l'œuvre-là est plein. [01:12:44] Speaker B: Puis un discours de l'œuvre-là 20-30 ans. [01:12:47] Speaker F: Ouais, non, mais tu vois, on le. [01:12:48] Speaker D: Voit, là, on n'a pas des caves, là, on a tout fait du cégep un peu, là, puis j'étais à la mode, là, faire deux heures de cégep à soir, là. Fait que, t'sais, c'est mon avis, là. [01:12:56] Speaker C: C'est bon, merci beaucoup. [01:12:57] Speaker B: Ah, mais lâche pas, là. [01:12:58] Speaker D: On lâche pas. Non, non. [01:13:00] Speaker B: Ouais, c'est ça. Non, mais c'est ça. Moi, j'ai regardé le logo, là, j'ai vu, il y a une entrevue, il y en a donné quelques-uns, là. Quelques-unes, là, des dernières semaines, des derniers jours. Il n'est pas là. Il n'est pas sur le poste. Et il n'a pas l'air être vouloir sur le poste, t'sais. C'est tant des idées de... Je sais pas. On parle d'un déficit de quoi? 13-14 milliards du côté du gouvernement? [01:13:22] Speaker C: Ça va très bien. [01:13:24] Speaker B: 100 milliards du côté d'Ottawa. 13-14-15 milliards du côté de Québec. Des écoles à 500 millions. On dit que l'école ne sera pas assez grande pour accueillir tout le monde. [01:13:35] Speaker C: Il y a des dépassements de coûts partout. Les infrastructures. Mais on l'a vu là, la Commission. [01:13:40] Speaker B: Galant, les coûts, ça les intéresse pas. C'est comme si, toi, t'accèdes au pouvoir là, pis c'est normal, l'argent est pas amoureux, pis on vous défonce. On va aller voir les... on va les pomper aux 3-4 ans là. Après la pause... Ce matin, c'est la grande rentrée à Montréal. [01:14:00] Speaker A: Tournoi de golf. [01:14:01] Speaker B: Oui, le Canadien de Montréal, tournoi de golf. Max Truman va nous jaser de ça. Puis il y a d'autres histoires. Max Truman, il y a toujours une sorte d'histoire. On revient. Et à un moment donné, les gens verront les vraies réponses. L'argent, là, est autour de vous. [01:14:20] Speaker A: La ligne ouverte présentée par Béné et compagnie. L'offre au prix d'amis est de retour chez Béné et compagnie. Pour un temps limité, obtenez le repas 3 filets de poulet à seulement 10 $ au comptoir. Des conditions s'appliquent, cette offre est valide jusqu'au 29 septembre. Tu pourrais gagner ta paire de billets pour un repas exclusif signé chez Biceps BBQ et un coffret cadeau de SaucePicante.ca. Rendez-vous les 19 et 20 septembre au Parc Beaudoin à Daveluyville pour le Festival Brasierville. Une programmation de feu avec concours, spectacle, lutte, artisans et camions de rue. Brasierville, l'événement le plus épicé. Présenté par Taxi Vétérans. Pour information, visitez notre page Facebook Brasierville. [01:15:04] Speaker B: OK, je vous parle de Kia Beauport. Trouver un char fiable et abordable, c'est pas censé être compliqué. Chez Kia Beauport, Marc Tardy et son équipe vous traitent comme de la famille. Pas de stress, juste des bons chars. Viens voir pourquoi tant de clients restent dans la famille. Faites partie, vous aussi, du portrait. 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Molson a une bière pour tout le monde cet été. Alors, lève ton verre ou ce dans quoi tu bois ta Molson. Parce que l'important, c'est pas dans quoi elle est versée, mais où elle est brassée. [01:16:23] Speaker A: Molson. Tous ensemble. Vous devez avoir l'âge légal de consommer. Naguère, chemin faisant sur la Grande Allée, un cavalier à vélocipède, sans protection du chef, filait à bride abattue. Au même moment, une fillotte fonça en trottinette, alors qu'elle parlementait avec une personne invisible dans sa main. [01:16:43] Speaker H: Je me disions, si ces deux énergumènes. [01:16:45] Speaker A: Venaient à croiser un char de fer, il faudra faire des prières. Avec toutes ces nouvelles montures, partout le fièvre battait. Il faut surveiller son arrière-train. [01:16:54] Speaker G: Un message de l'intendance, pardon, de la Ville de Québec, qui vous rappelle qu'être un colon sur la route, c'est dépasser. Promo exclusive pour vendeurs, acheteurs et investisseurs. 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[01:17:56] Speaker G: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive? [01:17:58] Speaker A: Oui, contenant. [01:17:59] Speaker G: Mon papier d'aluminium? [01:18:00] Speaker A: Oui, emballage. [01:18:01] Speaker G: Les lettres d'amour de mon ex? [01:18:03] Speaker A: Imprimé. Dites adieu aux anciennes règles de tri. [01:18:05] Speaker G: La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé. Un message de Bac Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. [01:18:11] Speaker H: Pour améliorer votre qualité de vie et vous redonner confiance, les implants dentaires sont LA solution. Dr. Steve Bernier, spécialiste et expert en implants dentaires. Drstevebernier.com 4-8-8-3-5-58-58 En montant dans la nouvelle. [01:18:27] Speaker A: Prius hybride branchable chez votre concessionnaire, vous pourriez être transporté loin de la ville où le seul bruit est celui d'un criquet vraiment en forme. 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[01:20:17] Speaker B: Bien, le tournoi de golf, ce matin. Pour en parler, il est là! Max, Truman, comment ça va? Ça va très bien. [01:20:35] Speaker E: Ça va très bien. Gros week-end, grosse journée. Même si on est loin du début de saison, on sent comme si c'était parti. Le camp des recrues et le tournoi. [01:20:44] Speaker B: De golf, c'est le début. C'est le début des vraies affaires. C'est le début. Puis là, j'ai vu que Martin Saint-Louis est très prudent. Il n'a pas parlé de mix. [01:20:53] Speaker A: Elle l'a suivi, ça. [01:20:54] Speaker E: On fait attention, tu sais. On est conscient que tu sors un mot de trop, puis tu le gardes pendant toute l'année. Puis j'écoutais Max Talbot ce week-end, je me souviens pas, je l'ai entendu dans un... On est rendu avec 1001 podcasts de sport, là. Fait que j'écoutais Max Talbot dire que... ils ont un discours à l'interne dans une chambre de hockey, puis ils ont un discours à l'externe. Tu sais, devant les médias, ils font attention à ce qu'ils disent parce qu'ils sont conscients de ça, mais à l'interne, souvent, c'est un autre discours. Tu sais, l'objectif, c'est de faire les séries, c'est sûr et certain. Mais après ça, quand on se tourne devant les médias, on essaye de pas créer une phrase qui va rester toute l'année, tu sais, qui va pouvoir les mettre sur le spot. Fait que, tu sais, ce qu'on a entendu ce matin, ça reste du public, ça reste du léché, ça reste du relation public et relation média. [01:21:37] Speaker B: J'ai trouvé bon, par exemple, parce qu'il disait, nous, à l'interne, on sait ce qu'on a à faire. Nous, on veut progresser. Donc, si l'année passée, tu as fait les séries, cette année, tu veux faire les séries plus, plus, deux rondes, trois rondes. Tu ne veux pas avoir l'air d'un figurant en premier rond. [01:21:54] Speaker E: Ils ont à peu près tous dit ça. C'est pour ça que je te dis que c'est du lécher, parce qu'il y avait tous le même discours. Les joueurs, Martin Saint-Louis, Jeff Gorton, Kent Hughes, on veut être meilleurs que l'année passée. Tu regardes ce qu'ils ont fait l'année passée, ils ont perdu en première ronde. 1 plus 1 égale 2, on veut faire au moins deux rondes en série. C'est un peu l'objectif. Sans le nommer, c'était ça le message à l'interne. [01:22:15] Speaker B: Et Kenyos dit, c'est l'équipe la plus talentueuse que j'ai sous la main en tant que DG depuis que je suis arrivé. Mais il dit la constance. C'est la constance qu'il faut travailler avec ces jeunes-là. [01:22:26] Speaker E: Mais il a raison pour le talent. C'est l'équipe la plus talentueuse. Il est arrivé, il était en reconstruction, il rebâtissait des équipes. C'est sûr qu'elle n'était pas talentueuse. Il vidait le talent puis il allait chercher des jeunes qui n'étaient pas nécessairement prêts avec des gars pour remplir des chandails. C'est normal que c'est la plus talentueuse. Pour ce qui est de la constance, j'ai adoré, il y a un journaliste qui a demandé à Martin Saint-Louis, c'est quoi ça, la constance? Il dit qu'il faut arrêter de perdre des avances. Quand on mène dans un match, il faut essayer de la garder cette avance-là. On en a trop perdu l'année passée. La constance, c'est pas juste d'avoir du succès en début de saison et en fin de saison, c'est d'en avoir toute la saison et d'essayer de garder les avances quand on en a. [01:23:01] Speaker B: Là, on a l'air, Demida va faire l'unanimité. [01:23:05] Speaker E: Ben non, mais Demidov a l'unanimité chez les dirigeants, chez les joueurs. T'as-tu regardé les matchs ce week-end, samedi soir, puis dimanche après-midi? [01:23:11] Speaker B: J'ai vu contre Winnipeg, j'ai vu des flashs, là. J'ai pas regardé. Je me suis pas assis deux heures de temps, je suis pas encore rendu là dans mon évolution de saison de hockey, là. J'essaie de me dire, ouais, ça va venir, mais pas. [01:23:22] Speaker C: T'es dans le déni, Pierre? [01:23:23] Speaker B: Ben un peu, là. Je suis plus NFL, je dirais. Mais les flashs que j'ai vus, là, ce gars-là, il a une coche en haut, là. [01:23:30] Speaker E: Il y a une coche en haut, je veux dire, il y a deux mentions d'aide, dont une transversale qui est incroyable, que plein de joueurs dans l'LNH feront jamais dans leur vie et qui n'auraient pas fait s'ils étaient face à des recrues. Lui, il l'a faite comme si c'était naturel, il a marqué un but incroyable. Puis après son but samedi soir, la caméra est allée sur les joueurs du Canadien qui regardaient le match, puis c'est Lane Hudson qui parle à Herbert Jackey, puis il rit. Il réalise à quel point ça n'a pas de sens ce que Demidov fait sur la glace. Tous les gars, ce matin, qui ont été questionnés par rapport à ça, des joueurs du Canadien, ont dit que c'était un talent spécial. Je pense que c'est Zachary Bolduc, mais je ne suis pas sûr. Il y a un joueur qui a dit qu'il n'a jamais joué avec un joueur aussi talentueux que Demidov. C'est des gars qui ont joué dans des équipes de la LNH. Le talent de Demidov, et fait l'unanimité. Puis la preuve, là, samedi, les billets pour assister au match des recrues du Canadien, qui étaient vendus 10-12 piastres, Pierre, au début, c'était IGA, c'était pour une bonne cause, mais ils étaient rendus à 200-250 piastres à la revente. Puis dimanche, c'était la même chose. Quand on a su que Demidov jouait pas, le prix, boum, boum, boum, s'est abaissé d'un coup. Tu sais, le camp des recrues, c'est le camp de Demidov. Tout le monde regarde Ivan Demidov en ce moment. [01:24:42] Speaker B: Puis je pense que lui, en tout cas, les espoirs sont là pour cette saison. Il y a d'autres joueurs qui sont sortis du lot un peu, là. Il y a quoi, le Jack Eye? On me dit qu'il y a des très bons commentaires sur ses Florians. Jack Eye, lui, pourrait-tu tailler un poste? [01:24:58] Speaker E: Écoute, je pense que Florian Jackaille va jouer dans l'LNH cette saison, mais je pense que ce ne sera pas au premier match parce que si tout le monde est en santé, il n'y en a pas de place en ce moment. Les gars se battent au camp. Souvent, il y a un poste ou deux, mais en ce moment, les gars se battent pour être le premier appel. Ils se battent pour laisser une bonne carte de visite, pour dire « Hey, c'est moi le premier que tu vas rappeler quand tu vas avoir des blessures ou des suspensions, etc. » Mais Florian Jackaille, samedi, était Je veux dire, il était pas gêné, il était capable de suivre Demidov, il jouait sur le même trio. Il frappe, il est rapide. L'année passée, il a tellement été bon à sa première saison avec le Rocket de Laval. Puis cet été, il a pris 15 livres de muscle. C'est lui le plus impressionnant après Demidov. T'as David Reinbacher qu'on sait pas. Je veux dire, par séquence, il était très bon. Puis sur d'autres séquences, il s'est fait déculoter dans un match des recrues comme s'il était un junior 2A. Mais après ça, il sortait du trou, puis il y avait de la pression à deux joueurs. Il sortait du trou, puis il faisait la bonne première passe par en avant pour continuer de progresser. C'est un gars que... Je ne vois pas Ryan Backer commencer à Montréal. Je pense qu'il y a encore beaucoup à apprendre à Laval. Je pense qu'il manque de rythme parce qu'il a raté beaucoup de matchs en raison de son opération au genou. Lui, des fois, c'est impressionnant, des fois, ce l'était pas. Et ma déception, puis là, il y a plein de monde qui l'ont oublié, là. Il y a un gars qui s'appelle Philippe Mechard. qu'on aurait pêché en première ronde après Slavkovski. Quand t'as un choix de première ronde, tu dois montrer des belles choses. Puis ce week-end, il a marqué un but, mais outre ce but-là, ça a été catastrophique pour Philippe Méchard. Fait que lui, je pense que ça va être dans la colonne des premiers choix qu'on aura... des choix de première ronde qu'on aura malheureusement échappé ou pas choisi les bons. [01:26:32] Speaker B: Parce que là, tu commences à avoir du trafic, là, Montréal. Des choix de première ronde, il y en a pas mal en haut. Tu sais, un, deux, trois, les trois premiers trios. C'est du monde. Kirby Dax, c'est un choix de première ronde, ça? [01:26:43] Speaker E: Ben oui. Non mais la plupart des gars, le Carfield, le Slavkovski, Suzuki, je veux dire l'année dans le temps, c'est des choix de première ronde, Bolduc, etc. Newhawk. Newhawk, on en a là. De toute façon, le Canadien est talentueux. Le Canadien est plus jeune que l'année passée. Ça, c'est intriguant. L'année passée, on disait que c'était une jeune équipe. Cette année, on va être encore plus jeune. Mais du talent, on en a en masse chez le Canadien. Et c'est pour ça, ce week-end-là, Au Centre Bell, je pense que c'était 35 ou 36 recruteurs qui représentaient 28 équipes. Fait qu'il y a des joueurs chez le Canadien, les gens commencent à être conscients à travers la planète hockey. [01:27:19] Speaker B: Ce n'est pas tous les joueurs du. [01:27:20] Speaker E: Canadien, ce n'est pas tous les athlètes du Canadien qui vont se rendre dans la première équipe à jouer pour le Canadien de Montréal et qu'il y en a qui vont être échangés ou disponibles pour peut-être amener le deuxième centre. Donc les recruteurs à travers l'LNH, ils viennent au Centre Bell et ils regardent le Canadien parce qu'on le sait, Il y a un ou deux espoirs, comme Logan Mayhew, comme il y en a eu d'autres, qui vont devoir être échangés et qu'on va aller chercher un peu d'aide à l'attaque quand, je ne le sais pas, mais on est conscient de ça à travers l'LNH. [01:27:43] Speaker B: Là, tu dis, le propriétaire a parlé, M. Molson. Il a-tu jasé un peu, lui? Les affaires vont bien. Le Canadien est très rentable. L'équipe commence à avoir de la leu, pas mal. [01:27:55] Speaker E: Écoute, l'équipe est rentable. Je veux dire, t'es proprio du Canadien en ce moment, t'es mort de rire. Tu le vois, il y a eu un peu d'alouette, il y a eu un peu de CF Montréal, il y a eu un peu des capitales. Je sais pas, on a parlé, il y a eu d'autres sports, mais quand le Canadien débarque, il n'y a plus d'autres sports. C'est un rat de marée, ça n'a pas de sens ce qui se passe. Donc oui, il est content. Il nous a donné deux petites informations intéressantes. La première, c'est que le prochain contrat de télé, après cette saison-ci, ça va être des nouveaux contrats de télé. Ça va être... les mots qu'il a pris, c'est ça va être dans le même format. Donc, ce qu'on comprend, c'est qu'il va y avoir beaucoup de télé traditionnelle, puis que le numérique, il embarquera pas tout de suite. Peut-être quelques matchs, mais la majorité des matchs, dès la saison 2026-2027, ça va être encore à la télé, probablement sur le câble. Donc ça, on s'attend pas à trop, trop, trop de changements tout de suite. C'est intéressant de le savoir. Puis l'autre truc, Jeff Molson a parlé de la prochaine Coupe du monde. Donc là, il y a les Jeux olympiques en 2026. Et en 2028, là, Elena, je vais faire une Coupe du monde. Traditionnellement, cette Coupe du monde-là, elle était tout le temps à Toronto. Jeff Molson a dit qu'il était dans le processus et qu'il espérait amener les matchs à Montréal. Donc ça, c'est intéressant parce qu'on entend tellement mal parler de Montréal, et avec raison. Il y a tellement d'affaires qu'on fait tout croche à Montréal. Mais au niveau du sport, on est bons. Même chose pour toute la province de Québec, la ville de Québec. Je veux dire, le sport rayonne. Vous allez avoir les Mondiaux féminins, les Mondiaux juniors. On risque d'avoir la Coupe du monde, peut-être le repêchage amateur à Montréal encore une fois en juin prochain. Donc au niveau sportif, au moins, on rayonne bien au Québec. Ça a été un hit, Pierre. Je veux dire, ça a été mieux dans les matchs de poules à Montréal que ça a été dans les matchs éliminatoires, demi-finale, finale à Boston. Il y a quelque chose qui s'est créé au Centre Bell, il y a quelque chose qui se crée à Montréal au niveau hockey qu'on n'est pas capable de répliquer ailleurs dans l'LNH, donc tant mieux. Québec, Montréal, soyons sur la map pour les bonnes choses une fois de temps en temps, c'est-à-dire le hockey sur glace. [01:29:50] Speaker B: Et quel match quand les 4 Chucks ont droppé, ça vous a fait ça? C'est parfait, ça? C'est excellent? [01:29:56] Speaker E: Ça reste probablement mon... t'sais, excusez, là. [01:29:59] Speaker A: T'sais quoi, t'es pas ça nulle part. [01:30:01] Speaker E: Ça reste peut-être mon moment favori de toute la saison 2024-2025. C'était quelque chose. [01:30:06] Speaker C: Moi, je pense que c'était quelque chose. [01:30:07] Speaker B: Je check des bodies dans un bar, là. Je te dis, le bar, au complet, c'est levé. On était au Blackstone, sur la rue Cartier, là. Le monde, ça s'est levé. Ça se battait une coupe du monde, hein? Ben oui, t'as vu. [01:30:16] Speaker E: C'était le timing, c'était... C'est Donald Trump, c'était les droits de douane. C'était incroyable. [01:30:23] Speaker B: Exact. Écoute, là, il reste peu de temps. Les gars d'équipe Canada Junior, bon, ils vont pouvoir jouer à partir du 1er décembre. On va pouvoir les signer des équipes de la Ligue nationale. Comment tu vois ça, toi? [01:30:38] Speaker E: Premièrement, puis rapidement, je vais être très factuel, très rationnel, je pense que des gens qui n'ont pas été déclarés coupables ont le droit de travailler. [01:30:47] Speaker B: Absolument. [01:30:47] Speaker E: Au final, t'as eu ton procès, t'es innocent, donc tu redeviens un citoyen comme tous les autres. Je pense qu'il faut leur donner une chance de travailler. Et ce matin, ce qui sort, c'est Chris Johnston, c'est un bon insider de la LNH, a dit que Carter Hart, Dylan Dubé et Michael McLeod ont de très fortes chances de jouer à quelque part durant la saison. On rappelle qu'ils peuvent signer un contrat dès le 15 octobre et jouer dès le 1er décembre. Donc il y en a au moins 3 sur 5 qui auraient de très grandes chances de jouer cette saison. J'imagine que ça va être des plus petits marchés entre toi et moi. Peut-être pas prendre de chance avec des Toronto, des Montréal. Mais je pense que dans des petits marchés, on va prendre une chance avec des gars comme ça. Si bien sûr, quand tu lui parles, t'as l'impression que c'est une bonne personne, etc., ça va de soi. Mais je pense qu'on va les revoir, au moins deux, trois des cinq dans l'LNH de cette saison. [01:31:37] Speaker B: Oui, c'est ça. Carter Hart, je pense que c'est lui qui a le plus de potentiel. C'est quand même un gardien numéro un des Flyers, c'est ça. [01:31:44] Speaker E: Oui, c'est une position où il n'y en a pas tant des bons gardiens. C'est un très bon espoir. À la fin, il semblait sortir de son cocon de recrut. Il semblait atteindre ce qu'il était capable d'atteindre. Et à la fin, on l'a vu dérangé par tout ça, comme n'importe qui le serait. Mais je pense qu'il va assurément y avoir une équipe pour lui donner une chance. Puis je pense qu'il pourrait même réussir à se sentir relâché et plus à l'aise. Donc Carter Hart, d'après moi, ce ne sera pas longtemps qu'on le voit dans la LNH. [01:32:11] Speaker B: Max Truman, danslescoulisses.com, tu es salué. On se reparle la semaine prochaine, salut. [01:32:17] Speaker E: Toujours à l'air, salut tout le monde. [01:32:18] Speaker C: Bye. [01:32:19] Speaker B: Max Truman, Dans les coulisses, allez voir. [01:32:22] Speaker C: Beaucoup d'infos. [01:32:23] Speaker B: Max, c'est éditeur du site, c'est un des cofondateurs. D'ailleurs, il est encore actionnaire. [01:32:29] Speaker C: Il y a du stock. [01:32:30] Speaker B: Dans les coulisses, il y a beaucoup de stock. Après la pause, l'économie ne meurt jamais. [01:32:42] Speaker A: Quand t'es idéologiquement locked, quand t'es barré dans tes affaires, bien souvent, là, tu vas prendre juste... Puis, savez-vous pourquoi on le fait tout. [01:32:50] Speaker B: Un moment ou un autre de notre vie? [01:32:52] Speaker A: On va prendre juste ce qui fait notre affaire. Moi, j'essaie de me forcer à... Non, écoute plus large. J'essaie d'aller voir après, j'essaie de comprendre, j'essaie de... Bon, des fois, y'a rien à comprendre. [01:32:59] Speaker B: Ça arrive, mais encore là, on commencera pas à se tuer pour ça, là. [01:33:08] Speaker G: La sécurité. [01:33:20] Speaker B: De la famille, c'est ce qui compte le plus. 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[01:35:58] Speaker A: 650. [01:35:59] Speaker G: Qui dit moins? [01:36:00] Speaker A: Ben là, 500. [01:36:01] Speaker G: Exactement. [01:36:02] Speaker B: J'achète. [01:36:02] Speaker G: Brandy! Tanguay l'Entrepôt. Gros surplus d'inventaire, gros rabais, ça vaut le coup. Certaines conditions s'appliquent. [01:36:11] Speaker H: Encore profiter de nos prix employés? Bonne nouvelle! Ça se poursuit tout le mois de septembre chez Lévis Ford. Épargnez jusqu'à 19 000 $ sur nos Mustangs Mackie 2025. Les meilleures offres de l'année vous attendent dans une nouvelle concession chez Lévis Ford. [01:36:27] Speaker A: L'effort des Lévis! Votre cuisine ou votre salle de bain a vraiment besoin de réno? Signature Simard a encore quelques places disponibles pour réaliser vos projets avant les fêtes. Oui, vous signez un contrat en septembre et on garantit la livraison avant Noël. On s'occupe de tout. 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C'est la question à 100 $ et 96 % des analystes estiment que oui. Donc, si on va aller contre les... En Paris sportif, si ça tente de voter contre, on va se voter bonne chance, mais semble-t-il... La Fed aussi va baisser son taux directeur. Là, du côté de la Fed, est-ce que ça va être 0,25 ou 0,5 %? Mais du côté canadien, de toute évidence, ça va être une baisse de taux et on dit qu'il y aurait trois, peut-être quatre baisses d'ici un an. D'ici la fin de l'année, peut-être trois baisses. Tout ça va être à valider. Mais vous le voyez, l'économie canadienne roule fort. Non, ça roule pas sur l'or. Et je pense qu'on aura besoin d'aide à ce niveau-là. Donc les économistes canadiens sont très, très optimistes pour une baisse de taux. Ils l'attendaient avant. Ils l'attendaient au mois de juin, même au mois de mai. On avait baissé les taux, je pense, en janvier. Puis après ça, on s'attendait à ce que ça rebouge. Mais on attendait, on voulait voir les tarifs parce qu'on s'était dit que si ça fesse trop fort, on va peut-être pouvoir accélérer la cadence. Mais ça fessait, mais pas tant que ça. Puis là, on avait des contre-tarifs. C'est ça qu'on a appris aussi. Le gouvernement canadien s'est pas aidé là-dedans avec des contre-tarifs. Donc lui, il est allé chercher 3, 4, 5 milliards à peu près en imposant aux Canadiens des contre-tarifs, mais ça a comme fait aussi breaker l'économie. Voilà, fait qu'on est dans des scénarios comme ça. Après ça, après ça, après ça, les autres nouvelles, là, je regarde, c'est Tesla. Elon Musk vient d'acheter pour 2,6 millions d'actions de Tesla. C'est quand même capoté, là. Lui, il achète des actions... Depuis 2020, j'avais pas à ajouter. Lui, il a beaucoup d'actions de Tesla, mais là, il vient d'en acheter pour 1 milliard de dollars. L'action de Tesla monte de 25 $ au moment où je vous parle, 420,94. C'est une action qui, je te rappelle, au premier haut, est à 302 $, rendu à 420. Lui, il croit. Il dit, moi, mon modèle, je m'en vais là. Donc, je vais acheter des actions. Il y a peut-être du monde qui va me suivre après ça. Mais Elon Musk, il fait souvent ça quand il y a du monde qui parie. Donc, il achète des actions à découvert sur Tesla. Lui, il sait c'est qui, là, les grosses positions. Il dit « Attends, je vais te faire manger tes bas. » Il achète des actions de Tesla puis il fait monter le titre. Puis là, eux autres sont obligés de racheter des actions de Tesla parce que leur... Il appelle ça un short squeeze. Et Musk, il... [01:40:56] Speaker C: Il suit ça, là. [01:40:58] Speaker B: Bave-les pas trop parce qu'il peut te faire... Il y a du bon... [01:41:00] Speaker C: Il a les moyens, là. [01:41:01] Speaker B: Oui. Mais là, lui, il va avoir une grosse rémunération aussi, là. Mais pour acheter pour un milliard d'actions de ta compagnie, il faut-tu y croire, là? [01:41:08] Speaker C: Mais un. [01:41:08] Speaker B: Faut-tu croire en Tesla pas à peu près, là? Donc, tu vois, la capitalisation boursière de Tesla est à 1 milliard, rendu à 1,3 milliard. Et lui, si ça monte à 7-8 milliards, il a des déclenchements de bonus pour lui. Parce qu'il n'est pas payé. Lui, il est payé en actions seulement. Il n'a pas de paye de Tesla. Il a des rendements très, très précis à faire. Il y a eu un référendum à Saint-Maurice pour un projet éolien, Test Canada. Ça a été rejeté à 91 % par les citoyens. Souvenez-vous, l'histoire, c'est Fitzgibbon, notamment, qui était ministre d'économie, qui voulait... Tu sais, des projets éoliens, il va en avoir. [01:41:45] Speaker C: Il voulait en faire partout. [01:41:46] Speaker B: Il voulait en faire partout. Lui, Test Canada, compagnie. Là, il va en avoir d'autres, je pense. D'autres, ils veulent s'implanter. Saint-Maurice, Saint-Tite, il va y avoir d'autres référendums. Saint-Tech aussi. Et là, on pourrait avoir des résultats très... très clairs, là. C'est 81 %. [01:42:02] Speaker C: Et j'en veux le pot. [01:42:03] Speaker B: Et en veux le pot. Ils n'en veulent pas dans leur coin de pays. On va-tu rentrer des éoliennes à tout le monde par la gorge? Hydro-Québec a beaucoup de projets d'éoliennes. [01:42:12] Speaker C: Il faut qu'ils en construisent. Ils doivent développer pour 50 % de plus d'énergie d'ici 5 ans. [01:42:18] Speaker B: Je comprends, mais il n'y a pas juste de l'éolienne au Québec. Il y a des projets, il y a des barrages. Ça, ça prend quoi, 15-20 ans? Là, il faut que tu ailles à les approbations. Il y a des réacteurs nucléaires qu'on pourrait peut-être commencer à regarder. C'est partout dans le monde, le nucléaire. J'ai regardé les Américains avec les Anglais d'Angleterre. Il y a un gros programme. On va bâtir... En Angleterre, beaucoup de centrales au charbon. On va fermer des centrales au charbon et on va construire du nucléaire. Et aux États-Unis aussi. Notamment l'intelligence artificielle, ça pousse du jus. On disait que les gros joueurs comme Amazon, Meta, Google, eux autres sont en train de... C'est qui? C'est-tu Meta ou Amazon? Ils ont une centrale nucléaire qui était fermée. Ils vont la rouvrir. aux États-Unis. Ils vont tous payer la rénovation. Et eux autres, ils vont alimenter leur centre de données, entre autres, là-dessus. Sinon, je regarde la bourse. Ah oui, Trump, il dit... Lui, il dit que les résultats aux trois mois des entreprises à la bourse, c'est trop vite. Ça arrive trop vite. Il serait favorable à ce que ça devienne aux six mois pour les entreprises. Ça fait jaser ça beaucoup. Lui, il dit que quand t'es un CEO d'une entreprise, un PDG, Il faut qu'au 3 mois, tu donnes les résultats financiers, puis là, ça peut être déstabilisant, puis ça peut faire en sorte que ton titre soit pas mal malmené. Il serait favorable à ce qu'on déclare les profits des entreprises aux 6 mois. Est-ce que ça va se faire? Il dit que la SEC est dans le dossier. Une autre histoire à surveiller de ce bord-là. Sinon, là, je regarde la bourse. C'est vert partout. On attend la Fed, hein? C'est sûr que la Fed va donner le ton. Est-ce que c'est déjà pricey? Parce qu'il y en a qui disent si elle baisse les taux de 50 points de base, Ça veut dire que l'économie américaine ne va pas bien. Et ça, ça pourrait créer un onde de choc sur les marchés boursiers. Sinon, le pétrole monte un petit peu, 63-28. Je regardais l'art tout à l'heure, il y avait du monde pas mal. L'art est dans le plancher. Monde de 25,90 $, 3667. Les bitcoins et l'Ethereum. Les bitcoins baissent de 114 593. L'Ethereum baisse de 129 à 4471. Voilà, ça fait le taux. L'Infolet de Financière Cachemire, l'Académie Cachemire. Allez sur mon site. Mon podcast Cachemire roule. Je fais des podcasts surtout de ce temps-ci, c'est la bourse. Beaucoup. Les résultats des bourses, le matin, en avant-marché, on regarde ce qui se passe. Sinon, en après-marché, cachemireplus.com, on revient après la pause. [01:44:48] Speaker A: Dans le mid. [01:44:49] Speaker G: Petite pause, on revient dans pas long. Hey boy! [01:44:53] Speaker A: Radio X, le retour de Radio X. [01:44:57] Speaker G: Avec les couples qui sont libertins et polyamoureux, moi je pense que c'est des. [01:45:00] Speaker A: Couples qu'il faut que tu sois vraiment. [01:45:01] Speaker G: Solide dès le départ. [01:45:02] Speaker A: Je pense que c'est de la grosse boîte. [01:45:03] Speaker G: Non, non, j'en connais plusieurs quand même. [01:45:05] Speaker A: J'ai fait un souper moi, un souper avec Planète X. Il y avait huit couples ouverts d'esprit. [01:45:10] Speaker G: Non, c'est ça. [01:45:10] Speaker A: C'était tout le monde qui disait que c'était la meilleure invention du monde. Sur les huit couples, il n'y en a plus un qui est enceinte. Le retour de Radio X. Ok, je. [01:45:35] Speaker B: Vous parle d'immobilier, je vous parle de l'équipe de Simon Laberge et de Simon Laberge, évidemment vous voulez vendre, vous voulez acheter. Bien, vous faites confiance à une équipe chevronnée qui va vous sécuriser dès le premier rendez-vous au réseau de contact. On vend 400 maisons par année, ce n'est pas des jokes. Et on est numéro 1 dans la région de Québec. Via Capital Équipe, on est les numéro 1 au palmarès. Pourquoi? Parce qu'on est capable. Travaillez rapidement, efficacement, et on va aller chercher le prix que vous voulez pour votre maison. On va faire des scénarios, on va vous amener là où vous voulez aller. Alors, vous voyez, là, les taux d'intérêt vont baisser, la Banque du Canada va bouger, ça va amener de nouveaux acheteurs sur le terrain. Il y a des stratégies, hein. Ça prend un plan de match. On va le faire avec vous, on va l'établir, puis on va aller au bout de la transaction pour vendre votre maison, simonlaberge.com. [01:46:23] Speaker G: Découvrir l'inconnu, ça commence par monter dans un véhicule qui surpasse tout ce que vous avez connu. Ce véhicule, c'est le Hotlander PHEV de Paquette Mitsubishi. Polyvalent, hybride et rechargeable, avec super contrôle intégral, il est équipé pour explorer partout où la route vous mène, peu importe les conditions. Financer ou louer votre Hotlander de Paquette Mitsubishi, PHEV ou à essence, à partir de 0% et que l'aventure commence. Détails chez Paquette Mitsubishi à Lévis. Pendant que Ouellet et compagnies jasent d'immobiliers de sociétés d'actualité, Promutuel Assurance est là pour protéger ce que vous avez. Pour votre auto, votre condo, votre chalet et votre maison du sous-sol au grenier, vous pouvez compter sur Promutuel Assurance. Pas étonnant qu'on aime tant nous recommander. [01:47:09] Speaker H: Avec le groupe Nano, qu'accepter votre soumission de bardeau en 10 jours! et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. 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[01:48:15] Speaker C: Tu ne veux pas que ce soit tes dernières paroles. À VTT, quand tu testes les limites, tu n'es plus en contrôle. Garde ta passion en vie. Un message du gouvernement du Québec. [01:48:24] Speaker A: Je suis Stéphane Leblond, de Leblond &. [01:48:26] Speaker C: Associés, syndic autorisé en insolvabilité. [01:48:28] Speaker B: L'argent ne fait pas le bonheur, mais évitez qu'il fasse votre malheur. [01:48:32] Speaker C: Vos finances en toute confiance, c'est une. [01:48:34] Speaker B: Expérience en toute confinance. [01:48:36] Speaker C: Leblond & Associés, nous rencontrer peut tout changer. [01:48:39] Speaker A: Option Subaru a vraiment le vent dans les voiles. Jamais nos voitures ont eu autant de succès comme nos clients. On est pareil dans le fond. Design de nos voitures, succès. Service après-vente, succès. Jalousie évidente des collègues du bureau et estime totale de la nouvelle belle-mère, immense succès. 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La deuxième édition du Salon de l'érotisme, c'est des artistes qui repoussent les limites du corps et de l'imagination, des conférences audacieuses, des performances Coupez le souffle et des exposants passionnés. Soyez des nôtres. Le Salon de l'érotisme, les 26 et 27 septembre au Centre de foire de Québec. Billets en vente sur place. Les manchettes sportives, présentées par BPM Sport. BPM Sport, la radio des sports au Québec. Hey, c'est Jordan. Dans la Ligue frontière, pas de surprise, c'est tout ou rien. Encore une fois, nos capitales passent en finale et tenteront de mettre la main sur un quatrième titre consécutif. Ils ont battu les Valley Cats de Tri-Cities-Saint-Exupéry à Québec et surtout, ont comblé un déficit de 5 points pour les amener en vacances. Good job! Et directement au Stade Canac depuis leur arrivée dans la frontière en 2022, 15 victoires, aucune défaite, tout simplement. Prochaine adversaire en finale, les Boomers. La série sera en format 3-5 et débutera dès demain à Québec. Manquez pas ça! Let's go, Caps! Bon, bien, la reprise du Super Bowl aura été le même dénouement, c'est-à-dire une victoire des Eagles. Ben oui, encore! Les Chiefs ont été meilleurs qu'en février, mais mettons que c'est Jalen Hurts qui a volé le show chez l'hiver. 15 passes sur 22 de réussie, des gains de 101 berges. On appelle ça une belle veillée. Victoire de 27 de filée sur Cassie. Place maintenant au Monday Night Football. Une soirée au carré. Deux matchs au programme. Les Buccaneers seront au Texas pour affronter les Texans à 19 h et à 22 h. Les Chargers seront à Vegas. Un duel contre les Raiders. Pour plus de sport, c'est BPM Sport. [01:52:12] Speaker G: BPM Sport. [01:52:13] Speaker A: 100.9. Couture dans le mid. [01:52:17] Speaker G: Avec Pierre Couture et Nick Luthier. Hey boy! [01:52:21] Speaker B: Radio X. Ah bien, quel prochain entraîneur de la NFL qui se fera congédier? [01:52:28] Speaker C: On va voir ça, après moi, dans 2-3 semaines. [01:52:30] Speaker B: Les paris sont ouverts, là. [01:52:32] Speaker C: Ouais. [01:52:32] Speaker B: On dit qu'à Miami, ça va pas très bien. [01:52:34] Speaker C: Non. En effet. [01:52:36] Speaker B: McDaniel's qui est là. Après ça, moi j'ai entendu une rumeur que l'ancien coach des Patriotes, Belichick, pourrait s'en aller à Miami. [01:52:45] Speaker C: Ah ouais. [01:52:46] Speaker B: Wow. Tu peux-tu? [01:52:48] Speaker C: Bien, hâte de voir ça. [01:52:49] Speaker B: Hâte de voir ça, moi aussi. Voilà les rumeurs. Merci Nick. [01:52:52] Speaker C: Plaisir, à demain. [01:52:52] Speaker B: Merci les auditeurs. Vous êtes en feu. On vous aime, on vous adore. Et Patricia, JC et Max en viennent. [01:52:57] Speaker C: Ils sont là. [01:52:58] Speaker B: Ils sont là. Vous allez voir, ils sont en feu. Ciao, à demain. [01:53:01] Speaker A: Coup dur. [01:53:02] Speaker G: On se pose. On revient dans pas longtemps. [01:53:05] Speaker A: Dans le mid. [01:53:06] Speaker F: Ouais. [01:53:06] Speaker A: Radio X. Couture dans le mid. [01:53:10] Speaker G: Réécoute les meilleurs moments. [01:53:12] Speaker A: Radio X.com. [01:53:14] Speaker G: L'application Radio X. [01:53:16] Speaker A: Radio X. [01:53:18] Speaker G: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [01:53:36] Speaker A: C'est la grande rentrée parlementaire aujourd'hui à Ottawa qui réunira pour la première fois, depuis l'élection d'avril dernier, les 169 députés libéraux qui formeront le gouvernement minoritaire de Mark Carney et les 144 députés conservateurs de Pierre Poilièvre, de retour après une partielle remportée en Alberta. L'enjeu du budget attendu en octobre demeure au centre des préoccupations. Le transport scolaire est devenu un véritable casse-tête pour des milliers d'écoliers et leurs parents partout au Québec depuis que 1200 autobus de Lyon Électrique ont été retirés des routes la semaine dernière suite à l'incendie de l'un d'entre eux à Montréal dû à une défectuosité du système de chauffage. Malgré l'inspection complétée par les transporteurs toute la fin de semaine, des écoliers sont privés de transport scolaire jusqu'à nouvel ordre de Montréal à Québec en passant par Trois-Rivières et d'autres provinces canadiennes. News Radio X. BX News, présenté par JLC Musique. Cet automne, assistez à des spectacles de rock à la salle Dina Bélanger. Hommage à Queen, Peter Gabriel, Led Zeppelin et plusieurs autres. Billets à lacapitaldurock.com. Ça s'en vient? Réservez votre party des fêtes chez Dooley's avant le 19 octobre pour une soirée entre le 1er et le 16 novembre et profitez du billard à 50%. On organise votre party à votre goût. Douleur au dos, au nerf sciatique? Au Clinique Ernie Discal, il faut deux semaines pour vérifier l'efficacité de la décompression discale et vous orienter. CliniqueErnieDiscal.com, 2750 Chemin Sainte-Foy, Québec, 581 300 4300. [01:55:16] Speaker H: Depuis plus de 15 ans, le Groupe GSC vous offre des formations complètes et intensives pour réussir vos examens de la RBQ. Un vrai clé en main pour les entrepreneurs en construction. Avec nos formations bilingues et hybrides, en classe ou en ligne, outillez-vous pour obtenir votre licence RBQ. Avec des horaires flexibles, concilier études, travail et vie de famille. GroupeGSC.com. Votre avenir en construction commence ici, à Laval-Brossard, Gatineau et Québec, au 1995 Franck Carrel. Groupe GSC. Formez pour bâtir! [01:55:48] Speaker A: Ta voiture est comme pas neuve, mais t'en veux une neuve? On peut reprendre ta com' neuve et même t'en trouver une neuve. Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota. Évalue ta com' neuve au comneuve.com. Mes amis, il est temps de dire un dernier adieu aux anciennes règles de tri. Elles emportent dans le deuil tous nos doutes devant le bac de récupération. [01:56:12] Speaker G: C'est vrai que c'est mélangeant. [01:56:14] Speaker A: Maintenant, la règle, c'est contenant, emballage, imprimé. [01:56:17] Speaker G: Donc, je peux mettre ma bouteille d'huile d'olive? [01:56:18] Speaker A: Oui, contenant. [01:56:19] Speaker G: Mon papier d'aluminium? [01:56:21] Speaker A: Oui, emballage. [01:56:22] Speaker G: Les lettres d'amour de mon ex? [01:56:24] Speaker A: Imprimé. Dites adieu aux anciennes règles de tri. [01:56:26] Speaker G: La seule à retenir, c'est contenant, emballage, imprimé. Un message de Bank Impact, la nouvelle référence en collecte sélective. [01:56:32] Speaker C: Cet hiver, dites non aux pannes. Soyez préventif, faites inspecter vos tracteurs et chargeurs chez Machinerie Aventis. Profitez de notre plan complet d'entretien à partir de seulement 489,99 $. 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[01:57:30] Speaker G: Un zoo à la maison, c'est un salon de toilettage, une boutique de confiance tenue par des passionnés formés pour bien vous conseiller et une pensée en milieu familial humaine où vos compagnons seront traités aux petits oignons. Notre équipe est aussi partenaire de la SPA de Lévis. Visitez notre refuge éthique et découvrez nos chats à l'adoption. Retrouvez une foule de services pour le bien-être de votre animal sous le même toit. Un zoo à la maison. À Saint-Étienne-de-Lauzon, 418-831-0303, unzooalamaison.ca Vous êtes propriétaire. [01:58:02] Speaker A: D'Une maison et vous êtes étouffé par vos dettes? Carte de crédit, prêt personnel, deuxième hypothèque à taux élevé. [01:58:07] Speaker C: Stop! [01:58:08] Speaker A: Vous perdez des milliers de dollars chaque année. Chez GMOT.ca, nous avons la solution. Le refinancement hypothécaire et la consolidation de dettes. Économisez plus de 1300 $ par mois et retrouvez enfin la tranquillité d'esprit. 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