Couture dans le mid - Intégral du 16-09-2025

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[00:01:59] Speaker D: Rejoins la famille. [00:02:00] Speaker B: Évalue ton auto au kiabeauport.com. [00:02:03] Speaker A: Choix. [00:02:04] Speaker E: Choix. [00:02:05] Speaker A: 98. 1. [00:02:08] Speaker D: Choix. [00:02:10] Speaker E: Choix. [00:02:11] Speaker A: Radio X à Québec. C'est Radio X. Sois Radio X. C'est vous. [00:02:19] Speaker E: C'est drôle. [00:02:19] Speaker A: Votre propre opinion. [00:02:21] Speaker E: Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. Avec Pierre Couture. [00:02:44] Speaker B: Pierre, c'est un gars qui travaille 7 jours sur 7. [00:02:46] Speaker E: Et Nick Cloutier. [00:02:47] Speaker A: Proposant Couture. Donc, ça va brasser dans le Myd Radio GX. [00:02:56] Speaker F: 10H03. [00:03:01] Speaker C: Bienvenue à Couture dans le Myd jusqu'à midi. On a un gros show. Ah oui, il y a du stock. Allez voir. Ça va rouler, Nick. [00:03:12] Speaker D: Oui. [00:03:12] Speaker C: Ça roule? [00:03:13] Speaker D: Ça roule certain. [00:03:14] Speaker C: Ah ben ouais. [00:03:15] Speaker D: Ah ben ouais. Toujours en train de travailler. [00:03:18] Speaker C: Oui. [00:03:19] Speaker D: Ça ne longe pas. C'est parfait. [00:03:21] Speaker C: Excellent. Écoute, on va plonger. On va plonger. [00:03:24] Speaker D: Plongeons. [00:03:25] Speaker C: Je regarde l'acceptabilité sociale. C'est quoi l'acceptabilité sociale? [00:03:30] Speaker D: Normalement, l'acceptabilité sociale, c'est quand une majorité de personnes sont d'accord pour un projet. Bien, c'est un projet qui est acceptable, socialement. [00:03:39] Speaker C: Est-ce que tu... selon toi, est-ce que c'est acceptable à 50... mettons 50 %? ou 60 %, c'est dans le cas d'un investissement majeur qui va changer le visage d'une ville au complet. [00:03:53] Speaker D: Tu vois, moi, personnellement, là, quand on parle d'acceptabilité sociale, pour moi, il faudrait que ça se passe sur 60 % et plus. Parce qu'à 50, t'es divisé encore. [00:04:01] Speaker C: T'es très divisé. Tu crées de la haine, là. Tu crées une division auprès de tes citoyens. Donc, ce matin, sondage Somme dans le soleil de Québec, et sur le tramway, Et je vous apprends rien, là, ça bouge pas. On est à 40 % de gens en faveur. 60 % des gens de Québec sont en défaveur, selon le sondage Meneer. [00:04:23] Speaker D: Ben, tu vois, c'est pas un projet qui obtient de l'acceptabilité sociale... Ben non. [00:04:26] Speaker C: T'Es à 40 %. Et souvenez-vous, là, quand on a eu le maire Marchand ici, lors de la dernière campagne électorale, lui, il a dit, moi, je vais faire le projet de tramway à 10 conditions. Et une des conditions, qui, selon moi, était la plus importante, c'était d'avoir l'acceptabilité sociale de ce projet-là. Et depuis que lui est porteur de ballon pour ce projet-là, bien, ça ne bouge pas. On est toujours à 60 % compte et 40 % pot. Et ça ne... Écoute, il n'y a pas d'inversion. [00:04:57] Speaker D: Ça, il devrait avoir un pare-feu pour ce genre de projet-là qui coûte des milliards. Il devrait y avoir un palier qui s'assure que c'est 60 % et plus, puis là, tu y vas, puis tu débloques l'argent. [00:05:09] Speaker C: En fait, veux-tu savoir c'est quoi qui te permettrait d'avoir l'acceptabilité sociale puis d'avoir une légitimité dans un projet comme ça? C'est que tu fais un référendum. [00:05:18] Speaker D: C'est exactement ça. [00:05:20] Speaker C: Je vais demander aux gens ce qu'ils en pensent. [00:05:22] Speaker D: C'est quand même les gens qui vont payer pour. [00:05:23] Speaker C: C'est parce que là, souvenez-vous, dans toute l'évolution, il y a eu 8 porteurs de ballons là-dedans. La ville a été rendue faiseur d'or, donneur d'or. Et on lui a enlevé le projet. On l'a redonné à une autre entité qui est la Caisse de dépôt et CDPQ Infra. Mais il n'y a pas d'acceptabilité sociale. Moi, si je suis François Legault, là, puis je regarde ça, là, là, puis je suis dans un... Vous voyez le déficit s'en venir, là? Au fédéral, on parle de 100 milliards. Au provincial, on est à 13, 14, 15 milliards. On le sait pas trop, là. C'est très flou. Mais là, toi, t'es le premier ministre. Là, tu disais, j'ai la chance de sortir de ce projet-là qui va coûter une fortune aux gens de Québec. Parce qu'on parle d'un projet estimé à 7,8 milliards, mais on a retaponné les chiffres. [00:06:08] Speaker D: Mais là, ça c'est un projet à 7,8 milliards que 60% des gens de Québec vont payer puis qui n'en veulent pas, sans compter les coûts d'entretien puis les coûts d'opération. [00:06:16] Speaker C: Exact. [00:06:16] Speaker D: Qui vont venir dans les prochaines années. [00:06:18] Speaker C: On nous dit... entre les coulisses, là, on dit qu'un 7,8 milliards, bien, ça va être 10, 12, 13, 14, parce qu'à l'époque, souvenez-vous, là, les chiffres étaient autour de 13, 14. Là, on a dit, bon, on va taponner les affaires, on va mettre ça dans la caisse de dépôt, qui est toujours sous-estimée, dans le cas du REM à Montréal. Ça devait coûter, quoi, 6 milliards, je pense, puis on est rendu à 9... 9,8. [00:06:40] Speaker D: Tu as vu à quel point ça a bien fonctionné? [00:06:42] Speaker C: 10 milliards, puis c'est un privé, là. La caisse de dépôt, il y a une division infrastructure. Donc là, tu dis, eux autres, ils vont venir pomper au minimum 8 à 10, 12 milliards. Pour un jet tramway, de quoi, 19 kilomètres? [00:06:56] Speaker D: Oui. Puis que 60 % de la population ne veut pas. [00:07:00] Speaker C: Ne veut pas. Ils n'en veulent pas. Les gens de Québec n'en veulent pas. Vous l'avez, le référendum, là. Je veux dire, on peut faire un référendum. On va y aller. Puis visière levée. Mais on veut pas ça. On veut le rentrer tranquillement. Là, on commence à donner des contrats à gauche, à droite. Là, on taponne des appels d'offres parce qu'on dit, ben là, ça coûte moins cher. Mais quand t'analyses les appels d'offres, tu t'aperçois que ce qu'on disait que ça allait coûter, mettons, 20 millions, ça coûte, mettons, 18 millions ou 15 millions. Ben, ils ont amputé le contrat. Donc, l'entrepreneur, ben oui, il a moins de job à faire. Je vais demander moins cher. Donc, on est là-dedans pas mal. Et l'autre chose, c'est sur le troisième lien. Ça bouge pas, c'est 59% des gens de Québec qui sont, la région de Québec, qui sont favorables à un troisième lien. [00:07:46] Speaker D: Ah, mais tu vois, on est collés sur 60%. [00:07:49] Speaker C: Oui, il y a vraiment... Donc, ça. [00:07:51] Speaker D: Devrait être l'inverse qui se produit, là. C'est plus tramway, puis on fait un pont, là. [00:07:55] Speaker C: Ben, le pont, on est en train d'y aller, là, tranquillement. La carte nous dit qu'elle y va, là. J'ai entendu le logo là-dessus, puis je suis pas sûr, là. [00:08:02] Speaker D: Moi, je crois plus à ça, Pierre. [00:08:04] Speaker C: Bien, pas là, là. Pas à cet emplacement-là, là. C'est la pire place qu'on pouvait mettre là, là. [00:08:09] Speaker D: Absolument. [00:08:09] Speaker C: On rentre... Écoute, là, c'est le chemin des îles. T'es entre la raffinerie Valero. Là, tu t'en vas à Scillerie. Le monde de Scillerie, ils vont se faire dynamiter pendant des années. [00:08:19] Speaker D: Oui, et l'autre problème, c'est la sortie de ce tunnel-là, où qu'on va amener à deux endroits différents, soit vers Pierre-Bertrand, Puis l'autre, c'est où? Est-ce que... [00:08:30] Speaker F: Je m'en rappelle pas. [00:08:31] Speaker C: Pierre-Bertrand, dans le coin de... C'est où, là? Je pense que c'est Laurentienne, à côté du stade principal de baseball. [00:08:40] Speaker D: Oui, oui, c'est ça, je pense que oui. Encore là? [00:08:43] Speaker C: Les deux sorties, ça marche pas. Non, tu peux pas avoir ça. C'est complètement débile. L'histoire, c'est au bout de l'île d'Orléans, avec une jetée jusqu'en avant de l'île. Puis après ça, tu y vas avec un pont. [00:08:53] Speaker D: Pourquoi au départ, c'était supposé être ça le plan? Pourquoi ils ont reculé maintes et maintes fois sur ce plan-là? Qu'est-ce qui fait que ça accroche? au niveau de ce corridor-là. On veut vraiment pas y aller. [00:09:06] Speaker C: Non, on veut pas ça. On veut pas ça. On a des pylônes d'hydros qui défigurent l'île d'Orléans, mais avoir une jetée jusqu'à la pointe de l'île, puis après ça, un pont en hauteur, là, comme t'as... Écoute, je suis allé à Tampa Bay cet été. La baie de Tampa, il y a une jetée. Ça s'invente pas, puis c'est large, là. À un moment donné, le pont monte, puis là, les bateaux de croiseurs passent en dessous, les bateaux de... Écoute, les bateaux rentrent dans la baie de Tampa. [00:09:28] Speaker D: Ça marche. [00:09:29] Speaker C: Ça va très bien. Ça coûte 1,75$ de payage. [00:09:33] Speaker D: Tu sais, qu'est-ce qui accroche? Ça, c'est un autre bon point. Ça pourrait être un pont payage. [00:09:37] Speaker C: Ou t'achètes une passe. T'achètes une passe au mois. Les camionneurs, ils disaient, là, il y a des gros camions qui passent là-dessus. C'est trois voies de large. Donc voilà, on ne veut pas bouger. L'acceptabilité sociale, on n'écoute pas les gens. Après ça, vous vous demandez pourquoi les gens sont tannés des politiciens et sont tannés des gens qui n'écoutent pas. Bien là, vous avez la preuve là. Les gens parlent. Les gens essayent d'envoyer des messages. Vous ne vous déconnez pas. Vous faites vos histoires à vous autres. Vous êtes élus. Vous allez au pouvoir. Vous rentrez au pouvoir sous des prémisses. Dix. Le tramway, il y avait dix critères d'acceptabilité sociale entre autres. Puis quand on arrive là, ça bug. Non, la matrice continue. La machine est forte en dedans, c'est quoi? C'est à l'intérieur, les politiciens n'ont aucun pouvoir. On l'a vu avec la commission Gala, ça clique. La machine est forte, hein? [00:10:30] Speaker D: Le corridor 3e lieu, il y a deux sorties possibles dans Vannier, entre Saint-Sacrement et Pierre Bertrand, Marie de l'Incarnation, dans ce coin-là. Puis l'autre, c'était Robert Bourassa. [00:10:41] Speaker C: OK, Robert Bourassa. C'était pas Laurentier. Mais quand même, ça tient pas. Ça tient pas là-bas. Ça marche pas, cette affaire-là. Et encore là, c'est encore une histoire poussée par un parti politique qui va se faire mettre dehors aux prochaines élections. Puis le PQ en veut pas. [00:10:55] Speaker D: Ça va... il n'y en aura pas de troisième. [00:10:58] Speaker C: Et le Parti québécois, un autre sondage qui vient de sortir, c'est Palace Data, c'est l'actualité. Sur le référendum, il y a 64 % des Québécois qui sont défavorables à un référendum dans un premier mandat du PQ. Là, on comprend que le PQ est en tête dans les sondages. Les Québécois vont voter pour le PQ. Ça, c'est les Québécois. C'est juste là que je reconnais mon Québécois. Et là, tu leur demandes... [00:11:23] Speaker D: On se réfugie dans le Parti québécois. [00:11:25] Speaker C: Là, tu dis, vous allez voter pour le Parti québécois? Oui, oui, oui, oui. Ben oui, il faut sortir de la CAQ logo et c'est fini. Mais là, après ça, tu dis, allez-vous voter? Parce que vous savez que le Parti québécois, eux autres, ont un référendum dans le premier mandat. Ah non, non, non, non, non, non, non. Non, non, non, non. Non, non, non, non. Moi, je suis un homme où je veux tout. Je veux tout t'avoir. Va t'avoir gratis. Tu vas te donner de l'argent que ça? Hein? Va voter PQ. Ça me prend un chèque, là, d'après ça. D'après ça, dis-moi, mais t'es pas souverainiste, là. Tu votes le PQ. [00:11:54] Speaker D: Ben oui, c'est ça, c'est un référendum dans le premier mandat. [00:11:56] Speaker C: L'article 1 du Parti québécois, c'est la souveraineté, là. Ah non, non, non. C'est 64 % défavorable à un référendum dans un premier mandat. [00:12:07] Speaker D: Il y a un gros mouvement jeunesse pour l'indépendance du Québec, puis les jeunes vont voter en majeure partie pour le oui pour l'indépendance. Tu regardes le sondage, pas tant que ça finalement. [00:12:19] Speaker C: Quand tu regardais les chiffres aussi, oui les gens disaient qu'ils allaient voter pour la souveraineté, mais dans les faits, en fait non. La question c'était, est-ce que vous êtes favorable à la souveraineté? Il y avait un montant, un pourcentage très élevé chez les jeunes. Mais quand tu leur demandais s'il y a un référendum, allez-vous voter oui? Ils disaient non. Ça descendait genre à... je pense que c'était 40 ou 45% ou même pas, là, chez les jeunes. Alors qu'il y en avait 52 qui se disaient indépendantistes ou souverainistes. Mais quand tu leur disais s'il y a un référendum, allez-vous voter pour la souveraineté? Ah, là, je suis pas sûr. Wife! Pas sûr, là. Regarde, voilà. Donc, on a des sondages comme ça, ce matin. Hier... Ah, hier, je me suis tapé la commission Galant. [00:13:01] Speaker D: Oui! [00:13:01] Speaker C: Ah! [00:13:02] Speaker D: C'est le fun, hein? [00:13:03] Speaker C: C'était Nathalie Tremblay, l'ancienne PDG, là. Ça a l'air que c'est une top gun, ça, là, là. Elle était là de 2000... Je pense qu'elle était là de 2011 à 2021. Elle était là longtemps. Puis c'est elle, tout le saclic, là. Elle a tout ça allé. [00:13:18] Speaker A: Et c'était très... [00:13:19] Speaker C: Écoute, elle parlait, elle parlait, elle parlait, là. T'sais, elle m'a donné 10 voyons. Est-ce que tu es allé à l'école de Geneviève Guilbeault? Ou Geneviève t'es allé à l'école de Mme Tremblay? Parce que Mme Tremblay est à la retraite. Elle, quand elle a vu que tout foirait à l'informatique, elle a dit « Je pense que je vais y aller. Je vais prendre mon bleu et je vais sortir. Passez les gaures et clamez votre dû. » Et on l'a confronté. D'ailleurs, elle revient ce matin. Elle revient de là-bas. Et sur le 800 000 $ qui avait été facturé par le consortium, elle a dit « À partir de là, j'ai commencé J'ai perdu mon sourire. J'étais pas content. Les yeux étaient pas doux. J'avais des yeux un peu difficiles. Puis à un moment donné, ils sont venus à la conclusion que si IBM et SAP sortaient, bien LGS qui est propriété d'IBM, bien là il y avait des indemnités, notamment il y avait une indemnité de 80 millions à payer. Et là, elle s'est dit, ah ouais, c'est sûr que 80 millions, pis on s'en va en couple, on perd tout, tout, tout le projet. Fait qu'ils ont dit, on va piler, on va piler de l'argent, on va piler de l'argent, on va piler de l'argent, on va continuer à payer. Donc, il y a ça. Et l'autre chose, qui est ressorti de son témoignage, calme à l'enfant, qui était chez Hydro, qui avait fait aussi sortir les factures et qui avait défoncé les coûts d'opération d'un projet informatique chez Hydro. Il n'était même pas au courant, il n'était même pas au courant de ça. Elle a dit, nous autres, on a fait un... On a lancé une espèce d'appel de candidature. Il y avait une firme qui était au dossier. Et cette firme-là nous est arrivée avec une liste de Top Gun. Et le premier qui était sur la liste, c'était Carmel Enfant. On l'a pris. Il nous a fait un speech. On était contents. On était satisfaits de ce qu'il a dit. Et c'était Carmel Enfant all the way. Et Carmel Enfant était là de A à Z. Elle a été tout au long du projet de CAZA, Saclic. Donc, elle revenait ce matin. Et quand hier, ils l'ont lâché, les procureurs, c'était vraiment intéressant. Dans la façon qu'on calculait le projet à la SAC, à un moment donné, on mettait la récurrence, c'est-à-dire on mettait les montants internes de la SAC, parce que la SAC fournissait des forces, des travailleurs, puis on mettait les montants de ces paiements d'employés qui étaient fournis dans le champ. À un moment donné, tout ça disparaît. Quand on voit passer les extras, quand on arrive à des 200 millions de plus de CASA, comme par hasard dans les états financiers, tout ce qui était récurrence payée par la SAC, ça disparaît. Elle est pas curieuse, elle dit « Ouais, mais là, c'est un peu bizarre. Ah, là, je me souvenais plus. Là, elle se souvenait plus de rien. Là, elle avait perdu sa mémoire. C'est incroyable. [00:15:48] Speaker D: » — C'est drôle, hein? [00:15:49] Speaker C: — Donc, elle était à l'interne. Elle rien veut aller. Elle dit qu'à un moment donné, elle, les coups, là, ouais, c'était un VP, un monsieur freinette. Elle avait donné ça à lui, puis elle a dit « Gare avec ça. » Moi, là, je veux des résultats. [00:16:02] Speaker D: Trouver une solution. [00:16:03] Speaker C: Ouais, ça coûtera ce que ça coûtera. Donc, pis t'sais, quand Bernadette disait qu'il était tenu ou qu'il y avait des gens à l'intérieur qui avaient menti, il faisait référence à elle, là. [00:16:13] Speaker D: Probablement. [00:16:14] Speaker C: Donc, là, Mme Malenfant... pas Mme Malenfant, Mme Tremblay revient à la Commission Galant, et là, on va avoir Karl Malenfant aussi, là, dans les prochaines heures ou demain, prochainement, voilà. Notre invité, il est là. [00:16:25] Speaker D: Oui. [00:16:25] Speaker C: Jasmin Guénette, de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante. Comment allez-vous? [00:16:30] Speaker F: Ça va bien, vous autres? [00:16:31] Speaker C: Oui, ça va bien. Comment ça va, le moral des troupes? Parce que pour les propriétaires de PME, tout ce qu'on entend, tout ce qu'on voit avec l'économie, comment vont-ils, nos propriétaires de PME? [00:16:41] Speaker F: Ils vont moyen. Pour être bien honnête, le niveau d'optimisme n'est pas très élevé. Je veux dire, nos sondages mensuels auprès de nos membres démontrent que le niveau d'optimisme est bas depuis... Donc, le moral des troupes, c'est pas mal moyen, je dirais. [00:17:05] Speaker C: Ça va avec l'économie, parce qu'on l'a vu, l'économie a beaucoup ralenti avec l'histoire des tarifs avec Trump. On le sent que l'économie canadienne, ça va prendre peut-être une baisse de taux. Ça, ça serait bien accueilli par vos membres, une baisse de taux d'intérêt? [00:17:20] Speaker F: Bien, tu sais, les pressions sur les coûts des entreprises, les frais d'exploitation augmentent de partout. Et ça inclut évidemment les coûts d'emprunt. Donc s'il y a des baisses de taux, ça peut favoriser certaines PME qui ont besoin d'emprunter pour leurs opérations. Mais quand on regarde la situation actuelle, t'sais, chaque ligne budgétaire d'une PME est à la hausse. Les ventes sont pas nécessairement au rendez-vous, donc les entreprises font pas nécessairement les revenus qu'elles ont besoin de faire pour faire face à l'augmentation des l'augmentation des taxes, le coût de la réglementation, puis tout ça. Puis à ça, bien, on ajoute les tarifs qui font augmenter les dépenses, qui font baisser les profits pour beaucoup d'entreprises. Donc la situation est pas idéale, mettons. [00:18:15] Speaker C: Là, il y a un budget à Ottawa qui s'en vient, on va le voir, et on parle d'un déficit de peut-être 100 milliards, mais c'est quand même une portion qui est très importante, c'est-à-dire la compétitivité au niveau des impôts, des taux d'imposition des entreprises, notamment au Canada. Vous avez fait une étude, puis on a vu les chiffres, puis on a vu Trump bouger, lui, de ce côté-là, du côté américain. On a baissé le taux d'imposition des entreprises aux États-Unis. Mais nos PME, ici, les taux d'imposition sont très élevés, et ça, ça les... ça défavorise nos entreprises dans la compétitivité. [00:18:48] Speaker F: Bien oui, bien oui. On a publié un rapport, là, la semaine passée, puis on démontre qu'il y a un écart considérable entre la fiscalité payée au Canada puis par les entreprises. Puis la fiscalité payée par les entreprises similaires de même taille aux États-Unis. Puis ça, c'est pas bon pour nous parce que... Je vais vous donner un exemple. Une micro-entreprise de quatre employés, selon notre scénario, avec un revenu net avant impôt de 150 000 $, bien, cette entreprise-là, au Canada, elle paye 51 000 $ en impôts. Alors que c'est seulement 42 000 aux États-Unis. Fait qu'il y a un écart entre 20 à 25 % selon nos scénarios sur les impôts qui sont payés par les PME comparables aux États-Unis puis au Canada. Puis ça, c'est pas bon pour nous autres parce qu'on sait c'est quoi l'agenda du président américain. L'agenda du président américain, c'est de ramener des entreprises aux États-Unis, c'est de baisser le fardeau fiscal des entreprises aux États-Unis. Puis si nous, on n'est pas compétitifs de ce point de vue-là, on va voir des entreprises canadiennes quitter pour aller aux États-Unis. C'est ça qui nous gâte si on change pas notre modèle économique au Canada puis on améliore pas la fiscalité des entreprises. [00:20:10] Speaker C: Les fiscalités fédérales, mais aux provinciales aussi. Il faut voir qu'on s'arrime. [00:20:14] Speaker F: Bien oui, c'est ça. Puis c'est pas facile parce qu'il y a les municipalités qui veulent mettre leur main dans les poches des entrepreneurs. Il y a les provinces qui veulent mettre leur main dans les poches des entrepreneurs. puis il y a le gouvernement fédéral aussi qui veut se mettre les mains dans les poches des entrepreneurs aussi. Donc, je pense qu'il y a tous les niveaux de gouvernement. Principalement, les provinces puis le fédéral doivent faire un examen de conscience. C'est pas toutes les provinces qui ont le même profil économique et les provinces où le niveau de taxation est plus élevé. Puis le Québec, bien, Je veux dire, c'est une... non, la province canadienne qui impose le plus les entreprises. Bien, il y a un examen de conscience à faire. Sinon, il y a des entreprises qui pourraient juste piller les bagages. Puis nous, bien évidemment, c'est pas ça qu'on veut. On veut augmenter, on veut améliorer la productivité, on veut que nos entreprises se démarquent, prennent de l'expansion, soient en croissance. Ça, c'est bon pour les entreprises puis les travailleurs. C'est bon pour tout le monde. [00:21:25] Speaker C: Plier bagage ou fermer, parce qu'il y a des entrepreneurs qui n'exportent pas nécessairement aux États-Unis, mais avec les taux d'impulsion qu'on a ici sur les PME, ils se disent, bien, moi, je vais faire d'autres choses. Je veux dire, ça n'a pas l'air à tenter au gouvernement d'avoir des revenus d'entreprise, autre que venir nous socker, venir nous pomper le cash dans nos poches. [00:21:46] Speaker F: Oui, c'est sûr que, là, tu sais, le contexte économique global, rend la gestion des entreprises plus compliquée. Il y a plus de défis, mettons, que je pourrais dire. Puis le niveau d'optimisme, bien, c'est une indication sur comment les gens perçoivent l'avenir de leur entreprise pour la prochaine année. Puis quand il y a juste nous, notre sondage montre que la moitié sont pas optimistes, sont pas optimistes. Et donc, s'il y a le niveau d'optimisme est bas, ça veut dire qu'il y a des gens qui vont peut-être en regarder pour faire autre chose dans un avenir plus ou moins approché. [00:22:33] Speaker C: Et ça, c'est pas bon, là. Je veux dire, on le voit, le taux d'entrepreneuriat au Québec est en baisse, est en chute depuis plusieurs années. Ça, ça veut dire que les conditions sont pas favorables à avoir une entreprise puis à prospérer? [00:22:49] Speaker F: Parce qu'on a fait une étude là-dessus il n'y a pas longtemps, là, puis c'est 7 propriétaires de PME sur 10 qui envisagent de passer le flambeau dans les 10 prochaines années. Fait que là, donc, il va y avoir un transfert de richesses considérable pour passer des entreprises actuelles à une nouvelle génération d'entrepreneurs, à d'autres propriétaires. l'entreprenariat est pas perçu comme étant, tu sais, gratifiant. [00:23:23] Speaker C: Positif, là, ouais. [00:23:25] Speaker F: Puis, tu sais, de ça, bien, il y a du monde qui va se retrouver avec peu d'options quand ça va être le temps de prendre la retraite puis vendre la business, tu sais. Puis comment on peut rendre l'entreprenariat plus attrayant? Comment on peut donner une image plus positive de l'entreprenariat? Bien, c'est de changer les règlements, changer les lois, pour que ça soit plus facile, plus simple et que le taux de fiscalité soit baissé pour que les entreprises puis les entrepreneurs peuvent garder plus d'argent qu'ils génèrent pour réinvestir dans leur entreprise. Mais t'sais, aujourd'hui, là, ça coûte très cher, souvent, de partir d'une entreprise. Puis quand t'as fini de payer les impôts, t'en restes pas tant que ça dans tes poches. Fait que là, il faut changer un peu la dynamique, t'sais. [00:24:16] Speaker C: Je voyais aussi beaucoup d'entrepreneurs qui regardent comment leur municipalité les traite. Et ça, ça revient souvent. Les municipalités qui ne soutiennent pas les PME, ça, ça fait mal aussi à l'entrepreneuriat. [00:24:28] Speaker F: Oui, puis souvent, le niveau de... tu sais, le système de taxation dans les municipalités, là, tu sais, c'est la source de revenus, là, tu sais, l'impôt sur les propriétés. Fait que là, tu te retrouves avec souvent des... des petits magasins de quartier qui ne roulent pas sur l'or puis qui se retrouvent avec des taxes sur la propriété excessivement élevées. Ça fait qu'il faut vraiment revoir la fiscalité des municipalités pour encourager, au fond, les jeunes entrepreneurs souvent à ouvrir une boutique puis à se lancer en affaires. Mais des fois, on a l'impression que... les élus, là, t'sais, ils vont dire des belles choses sur l'entreprenariat, puis ils vont dire qu'il faut encourager, t'sais, nos entrepreneurs et tout ça. Mais en même temps, t'sais, la réglementation de la fiscalité est tellement élevée que ça décourage bien du monde à se lancer en affaires. Donc c'est un peu ça le rapport qu'on a publié, là. La semaine passée, c'est vraiment pour montrer le désavantage fiscal des entreprises canadiennes par rapport aux entreprises américaines. Puis qu'on veuille ou non, les Américains, c'est notre voisin. Puis... on... [00:25:54] Speaker C: Il va falloir travailler là-dessus assez rapidement. Puis l'autre chose, il y a des municipalités, là, tu sais, je regarde, des municipalités qui n'offrent pas d'incitatif, mais qui montent les taxes municipales à chaque année au niveau commercial. Ici, à Québec, on a vu des promesses du maire qui est sortant, là, de baisser les taxes commerciales, mais il les a montées, tu sais. Donc ça, ça fait en sorte que nos... en plus d'avoir un fardeau fiscal imposant, ils ont des taxes commerciales très lourdes au plancher des vaches, là. [00:26:24] Speaker F: Bien oui, bien oui. Puis tu sais, je me répète un peu, mais si on veut vraiment encourager les gens à se lancer en affaires, c'est pas le bon message qu'on envoie. Puis c'est pas le bon message qu'on envoie non plus aux entreprises existantes qui ont de la misère à arriver, là. Tu sais, nous, selon nos sondages, C'est clair, chaque ligne budgétaire d'une PME est en hausse. Les coûts fiscaux réglementaires augmentent, le coût des assurances augmente, le coût des charges salariales augmente, les coûts d'occupation, les loyers, l'hypothèque, les taxes foncières... [00:27:04] Speaker C: Mais on a-tu l'impression que le message se rend? Parce que là, la matin, moi, je lisais la presse, puis là, t'as un journaliste qui dit, lutte contre le déficit, tarifiez davantage les services, une solution. Puis là, il donne une série de taxes puis d'impôts puis de frais que les gouvernements puis les municipalités pourraient imposer davantage aux citoyens puis aux entreprises. T'sais, je veux dire, quand on dit baisser les taxes puis les impôts, c'est pas dire de venir en rajouter davantage, là. Donc, on dirait que le message se rend pas. On dirait qu'il y a des gens déconnectés en haut. [00:27:34] Speaker F: Le premier ministre canadien va présenter son budget dans quelques semaines, son premier, là, t'sais. Puis il dit souvent qu'il veut mettre l'économie comme étant la priorité principale et tout ça, t'sais. Nous autres, on pense que le prochain budget, c'est un budget important puis que c'est l'opportunité de vraiment baisser les impôts. Nous autres, on dit, t'sais, il faut vraiment réduire le taux d'autres entreprises. Actuellement, c'est à 9 % au fédéral. Nous, on dit de le mettre à zéro pour l'avenir prévisible, notamment pour aider les entreprises qui doivent naviguer avec les tarifs puis tout le reste, de réduire les taxes sur la masse salariale. Mais il y a aussi des mesures que tu peux prendre qui vont encourager l'investissement. Tu sais, mettons, quand tu mets en place des mesures pour des passations en charge immédiate. Mettons, détruire des achats que tu viens de faire pour ton entreprise pour que ça te coûte moins cher à court terme. Mais ça, ça encourage les entreprises à acheter des nouvelles machines, à acheter des nouveaux équipements. [00:28:45] Speaker C: Plus productifs, oui, exactement. [00:28:47] Speaker F: Exactement, exactement. Puis je pense que là, on voit avec les déficits accumulés des dernières années, puis là, avec le déficit qui s'enligne pour être très, très élevé dans le budget qui s'en vient. À quelque part, il faut falloir mettre de l'ordre là-dedans. Puis nous, une des recommandations qu'on met de l'avant, c'est qu'il y ait une loi pour limiter les dépenses du gouvernement en dehors de situations de crise mondiale. On comprend que durant la pandémie, la situation était exceptionnelle. T'sais, mais en temps normal, t'sais, que le gouvernement s'assure qu'il dépense pas plus d'argent, qu'il y a de revenu qui rentre, ça pourrait déjà être une bonne chose de commencer par la base comme ça. [00:29:35] Speaker C: Bon, on va suivre l'évolution de ce dossier-là. Jasmin Guénette, vice-présidente aux affaires nationales à la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante, merci beaucoup de vos commentaires, de vos lumières et on va souhaiter beaucoup d'amour pour nos PME dans les prochains mois. Merci. [00:29:51] Speaker F: Merci de nous avoir invités, au plaisir. [00:29:53] Speaker C: À bientôt. Voilà. C'est pas facile. Tu sais quand je dis déploguer, J'ai regardé en presse un matin, il y a un journaliste, il suggère au gouvernement de tarifier davantage les services à une solution. J'ai dit « ouais, je regardais ça ». Finalement, la tarification dans le total des revenus de chaque grand secteur, les ministères c'est juste 2,5 %, le réseau de la santé 4,2, services de garde 11,1, réseau de l'éducation 12,2. Fait qu'on pourrait aller en chercher plus là. [00:30:19] Speaker D: Tu sais? Ah ben oui. Pis t'es vécu... Ben pourquoi pas, hein? [00:30:22] Speaker C: Ouais, ouais, ouais. Pis t'sais, primaire, secondaire, les frais de... Comment t'appelles ça, là? Dans l'éducation, les frais de scolarité... Ouais, tu... Oui. Ouais, ouais, ouais. [00:30:30] Speaker D: Parce que tu payes quand on... [00:30:31] Speaker C: Primaire, secondaire, 5,9%, seulement, collégial 9,4%, universitaire 30,5%. [00:30:36] Speaker D: On devrait remonter ça, hein? [00:30:37] Speaker C: Ben oui. [00:30:37] Speaker D: Ah oui. [00:30:39] Speaker C: Fait que pas d'idée de dire on va couper pis on va essayer de faire plus avec moins. [00:30:42] Speaker G: Non. [00:30:43] Speaker D: Va en chercher plus. [00:30:44] Speaker C: Exact. [00:30:44] Speaker D: Pis fais grossir encore plus la machine. [00:30:47] Speaker C: C'est rien que ça qu'ils veulent. Ils veulent juste des taxes là, la TPS, ça arrêtera plus. [00:30:51] Speaker D: Faudrait que tout soit gratuit. [00:30:52] Speaker C: Ça arrêtera plus. Regarde. [00:30:53] Speaker D: Donnons tout notre salaire au complet à l'État. Hein? [00:30:57] Speaker C: Moi, je pense qu'on devrait... Qu'il nous. [00:30:58] Speaker D: Reste à peu près, là... mettons 80... mettons qu'il nous reste 10% de notre salaire. Mais tout le reste, là, tous les services, ça va être gratuit. Ça va bien fonctionner, là. [00:31:09] Speaker C: Mais c'est pas gratuit. Tu comprends? Tu voulais aller à la santé, puis ils t'ont envoyé au privé. [00:31:15] Speaker D: Ils m'ont envoyé voir un physio. Comment ça coûte, un physio 100, 120, 150 piastres? [00:31:20] Speaker C: Tu rends du 150 piastres, oui. [00:31:21] Speaker D: Moi, j'ai dit à madame au téléphone, c'est parce que je paye déjà, moi, là. Oui, il y en a des physios publics. Mais oui, dans 4 ans, est-ce que ma blessure va être encore d'actualité? [00:31:30] Speaker C: Il n'y a pas de solution miracle. Là, c'est les PME qui disent, nous autres, les taux d'impulsion, on n'est même plus compétitifs avec les Américains. On est en train de se faire bouffer notre lunch. Après la pause-là, il y a un breaking news. [00:31:40] Speaker D: Oui, Christophe Rieland, ça a été confirmé par Radio-Canada. Christophe Rieland, qui est ministre fédéral des Transports, va quitter le cabinet Carney et elle va occuper un poste diplomatique lié à l'Ukraine. [00:31:53] Speaker C: Ça va où? [00:31:55] Speaker D: Diplomate à l'Ukraine. [00:31:56] Speaker C: C'est le gouvernement qui la nomme diplomate. [00:32:00] Speaker D: J'ai pas plus de détails. [00:32:01] Speaker C: À Kiev. Elle va être à Kiev. Elle va se promener partout sur la planète. Comme s'il y avait pas assez d'argent de l'Ukraine, non? [00:32:06] Speaker D: Plus de détails à venir. [00:32:07] Speaker C: Ouais, c'est ça. Après la pause, Rodolphe Hosny débarque. Lui, il va nous parler de plein de choses. Parce que ça brasse partout, hein, politique. [00:32:14] Speaker D: Partout. [00:32:15] Speaker C: On revient après la pause. [00:32:18] Speaker E: Téléphone, texto, 418-670-9098. [00:32:23] Speaker A: C'est ça, Radio X, Montréal, live. Marcel Bouchard qui est en ligne. [00:32:28] Speaker D: Salut Marcel, ça va toi? [00:32:30] Speaker A: Non, ça va pas bien. [00:32:30] Speaker G: Ça va pas bien parce que quand. [00:32:31] Speaker F: Tu passes ta vie à défendre le mouvement, c'est à faire en sorte que les activités soient bonnes pour les familles, pour les enfants. [00:32:37] Speaker A: Puis tu vois un phénomène comme la. [00:32:39] Speaker F: Municipalité de Lac-de-Lage, Ben quelle vache! [00:32:42] Speaker A: Y'a encore du monde qui trouve le. [00:32:43] Speaker F: Moyen de dire que ça n'a pas. [00:32:44] Speaker A: De bon sens, que c'est pas dans ma cour et qu'il faut pas que ça fasse ça. Pis qu'ils disent que les infrastructures sanitaires mettent de la pression sur les infrastructures de la ville. [00:32:52] Speaker C: Hey! [00:32:54] Speaker F: Y'a des bécoches! Ça va même pas dans l'aise! [00:33:02] Speaker A: Présenté par le maître constructeur Saint-Jacques. Les 13 et 14 septembre, de 10 h à 16 h, assistez à nos portes ouvertes à Saint-Jacques de Leeds. Visitez notre usine et nos maisons modèles. maîtreconstructeurstjacques.com. [00:33:14] Speaker E: Repartez en Toyota avec Charlebourg Toyota. Découvrez le Tacoma 4x4 TR Desports 2025. Un camion puissant parfait pour toutes vos aventures. Disponible en inventaire. Chez Charlebourg Toyota, on ne paie pas juste pour vendre une voiture. [00:33:29] Speaker A: L'embarquement pour le vol 246 à destination de Montréal est retardé de 50 minutes. Ah ben là! On dirait que c'est l'heure d'Oh Joe! [00:33:37] Speaker D: Play Oh Joe? [00:33:38] Speaker C: Bonne idée! [00:33:40] Speaker A: Profitez de tous vos jeux préférés comme Wolf Gold et Joker's Jewels et des jeux exclusifs que vous ne trouverez nulle part ailleurs. [00:33:46] Speaker C: Wouhou! [00:33:46] Speaker D: J'ai gagné! [00:33:48] Speaker E: Sentir le plaisir, play Oh Joe! [00:33:51] Speaker A: L'embarquement commencera dès que les passagers auront fini de célébrer. Ouvert à tous les joueurs de 18 ans et plus. Il ne s'agit pas d'un site de jeu. Veuillez jouer de manière responsable. [00:33:59] Speaker E: Emballage LPOBU, c'est le roi de l'emballage. Pour tes boîtes de déménagement, tes expéditions commerciales, ta machinerie et plus, pense LPOBU. Ouvert au public aux 12 20 rue de l'Escarbot, lpobu.com. [00:34:10] Speaker A: Québec sera encore complètement hockey. Les sénateurs d'Ottawa s'installent au Centre Vidéotron pour la dernière étape de leur camp d'entraînement la saison prochaine. Ils disputeront deux matchs préparatoires, le 28 septembre contre les Devils de New Jersey et le 30 septembre contre les Canadiens de Montréal qui affichent déjà complet. Venez encourager les Québécois David Perron et Thomas Chabot, sans oublier Brady Katchuk, Tim Stutzla et Linus Olmark. Faites vite pour réserver vos billets pour le match contre les Devils du New Jersey sur jstef.com et ticketmaster.ca. [00:34:44] Speaker D: Quelle belle journée pour venir essayer le superbe Kia EV9 chez Kia Lévis. Avec une autonomie toute électrique jusqu'à 491 km, vous roulerez avec le sourire. Grâce à un taux aussi bas que 2,99 % sur 84 mois, le EV9 2026 Wind est offert à l'achat pour l'équivalent de seulement 219 $ par semaine. Passez vite chez Kia Lévis et venez essayer votre Kia EV9. [00:35:13] Speaker B: Joignez-vous au traditionnel parcours Parkinson Volvo Ville de Québec dimanche le 28 septembre dès 9h à la base de plein air de Sainte-Foy. Rendez-vous sur le site pcnca.ca pour vous inscrire et trouver les informations reliées à cette activité de sensibilisation à la maladie. Comme chaque année, l'équipe de Parkinson Capital National et Chaudière Appalaches vous attend nombreux dimanche le 28 septembre à la base de plein air de Sainte-Foy. Et n'oubliez pas, bouger c'est la vie, donner c'est l'espoir. Collaboration Radio X. [00:35:43] Speaker A: Je suis Stéphane Leblond de Leblond &. [00:35:45] Speaker D: Associés, syndic autorisé en insolvabilité. [00:35:47] Speaker C: On ne peut pas régler vos problèmes. [00:35:48] Speaker A: Financiers pour vous, mais avec vous. Vos finances en toute confiance, c'est une. [00:35:53] Speaker C: Expérience en toute confinance. [00:35:55] Speaker D: Leblond & Associés, nous rencontrer peut tout changer. [00:35:58] Speaker A: La quincaillerie Canac était là 17 ans avant le château Frontenac. On était là 44 ans avant le pont de Québec. On était là 101 ans avant le stade. On était là dix ans avant l'automobile. On était là soixante-cinq ans avant l'autre plus vieille quincaillerie. On était même là hier pour conseiller Phil de Lévis avant qu'il construise son deck. Ça s'en allait sacré le camp sur sa piscine, son affaire. Canuck, on aide pour vrai depuis cent cinquante ans. C'est l'événement prix employé chez Desjardins Autocollection Ford. Vous payez ce que nous payons. Obtenez jusqu'à 5 968 $ en ajustement de prix sur le Escape 2025, jusqu'à 18 310 $ sur la Mustang Mach-E 2025 et jusqu'à 9 455 $ sur le F-150 Lightning 2025. Chez Desjardins Autocollection Ford. [00:36:53] Speaker E: David, le plus grand chantier naval du Canada, recrute pour plus de 1000 postes. Peintre, assembleur mécanique, électricien, contre-maître et plus. Avec un carnet de commandes rempli jusqu'en 2040 et des conditions de travail solides, ose le grandiose pour ta carrière. Postule à davirecrute.ca Ça s'en vient? [00:37:14] Speaker D: Réservez votre party des fêtes chez Dooley's avant le 19 octobre pour une soirée entre le 1er et le 16 novembre et profitez du billard à 50%. [00:37:22] Speaker A: On organise votre party à votre goût. [00:37:24] Speaker G: ♪ S'amuser, boire et manger! [00:37:26] Speaker A: Doo-doo-doo-doo-doo-doo-lee! ♪ Oui, allô? [00:37:28] Speaker B: Pierre-Luc, mon cousin préféré, j'ai reçu ton courriel. Quel courriel? Les offres que tu me fais, parce qu'on est dans la même famille, sur. [00:37:33] Speaker C: Le Taos, l'idée 4, la Jetta, l'idée Buzz. [00:37:35] Speaker A: Ah, le VoxFest? Oui, mais ça, c'est pour tout le monde. Des offres à 0% sur les modèles. [00:37:39] Speaker C: Sélectionnés, le Bonnie VoxFest, t'es fou! [00:37:41] Speaker B: Oui, mais t'as compris C'était pas juste pour toi, là, c'est vraiment... OK, Pierre-Luc. [00:37:44] Speaker C: Si tu le dis. [00:37:44] Speaker B: Ouais, bien je te le dis, là. [00:37:45] Speaker A: Volkswagen, c'est pour tout le monde. Profitez d'offres à partir de 0 % et obtenez jusqu'à 1000 $ en bonnie Volkswagen sur certains modèles. Faites vite, les offres se terminent le 30 septembre. Sur approbation du crédit, les conditions s'appliquent. Détails chez votre concessionnaire Volkswagen. On jette pas la pierre à personne. On jette pas l'éponge. Surtout, on jette pas son vieux climatiseur. On le recycle. [00:38:05] Speaker B: Jette un coup d'œil sur gorecycle.com pour. [00:38:07] Speaker A: Découvrir toutes nos solutions. À go, recycle ta clim. Le conseiller municipal indépendant de Charlebourg, Éric Raff Mercier, se joint à la formation politique Respect citoyen et son chef Stéphane Lachance en prévision de l'élection municipale prévue le 2 novembre prochain. Une annonce faite aujourd'hui dans les corridors de l'Hôtel-de-Ville. Élu sous la bannière de Québec 21, devenu Équipe Priorité Québec, Éric-Raph Mercier s'est toujours opposé au projet de tramway. Dans un désir de sensibilisation aux grands excès de vitesse, la Sûreté du Québec informe les citoyens qu'un conducteur de 19 ans, muni d'un permis probatoire, a été intercepté samedi soir dernier sur l'autoroute Henri IV à la hauteur de Chauveau à 167 km heure. Le jeune homme a reçu un constat de 1386 $ et 14 points d'inaptitude sont permis de conduire puis suspendus immédiatement pour 7 jours. [00:39:27] Speaker D: Le problème, c'est qu'il n'y en a pas une chance équitable de se faire valoir. [00:39:29] Speaker C: Viennent s'asseoir, je me tasse, vous posez. [00:39:32] Speaker A: Des questions, ils répondent. [00:39:33] Speaker D: On a une radiopropagande qui va de l'autre côté, puis tous les jours, milite de l'autre côté. [00:39:38] Speaker C: Arrête de bouder, arrête de faire le personnage au-dessus de ses affaires. [00:39:41] Speaker G: Bon, non, non. [00:39:42] Speaker D: Puis les chiffres n'ont pas d'importance, les faits n'ont pas d'importance. [00:39:45] Speaker C: Cette affirmation-là n'est pas débattable, c'est factuel. C'est le maire, je veux qu'il réponde. [00:39:50] Speaker B: À des questions pour vous autres. [00:39:52] Speaker D: Tu vas là, pis après ça, pendant 30 minutes, ils parlent de ton entrevue pis ils disent n'importe quoi. Les auditeurs de Radio X, vous venez. [00:39:59] Speaker A: De l'entendre, vous êtes des débiles légers et des rétrogrades. Il refuse systématiquement toutes les entrevues. [00:40:06] Speaker D: Donc la réponse est quoi? La réponse est... c'est vous les tarés. Dans sa tête! [00:40:10] Speaker A: C'est lui qui vous crache au visage. C'est vous. [00:40:15] Speaker E: C'est vous. [00:40:16] Speaker A: Votre propre opinion. [00:40:18] Speaker E: Votre propre opinion. Couture dans le mid présentée par Ceramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Ceramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [00:40:33] Speaker A: Couture. [00:40:35] Speaker C: Qui est pas parfait. [00:40:36] Speaker A: Dans le mythe. C'est l'homme de la situation, à ce qu'on m'a dit. [00:40:39] Speaker E: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [00:40:42] Speaker A: Radio X. [00:40:46] Speaker C: Oui, bien, l'acteur Robert Redford, décédé, 89 ans. Donc, décédé au cours des dernières heures. Il vivait en Utah, lui, à Sundance. Il en a fait du... Il a quoi? Il a 70 rôles. Il a joué dans 70 films, au moins. Gatsby, le magnifique, les trois jours du condor. Butch Cassidy, le kid, l'arnaque. Il était dans Deep Throat aussi, l'espèce de personnage sur le scandale du Watergate. Il était là-dedans aussi. Les hommes d'honneur, il faisait un des journalistes. Voilà, notre chroniqueur, il est là. Ouais. [00:41:24] Speaker E: Chronique politique avec Rodolphe Hosny. [00:41:28] Speaker C: Rodolphe, comment vas-tu? [00:41:31] Speaker G: Bonjour Pierre, bonjour Nick, bonjour Québec, je vais bien. Puis on a plein de nouvelles chaudes, chaudes, chaudes. [00:41:37] Speaker C: Oui, bien là, c'est... Écoute, ça vient juste de tomber, là, Christophe Freeland qui va quitter le cabinet de Mark Carney. [00:41:43] Speaker G: Oui, alors selon le Globe and Mail, Mme Freeland aurait rencontré hier le premier ministre Carney et il devrait avoir une annonce imminente qu'elle deviendrait envoyée spéciale pour l'Ukraine. Alors ce serait une démission pour Mme Phelan qui occupe actuellement le rôle de ministre des Transports et ministre du Commerce intérieur. Donc elle quitterait son poste. Pour l'instant, on dit qu'elle va rester députée, mais ça veut aussi dire qu'il y aura possiblement une élection partielle et qu'elle deviendrait comme ça envoyée spéciale pour l'Ukraine. On se souvient que Mme Phelan a quand même eu beaucoup, beaucoup d'aventures. C'est elle qui a précipité la chute de Justin Trudeau au mois de décembre. On se souvient qu'elle avait refusé de déposer cette fameuse mise à jour économique et qu'elle avait dit à M. Trudeau qu'elle ne voulait pas être bougée, donc elle démissionnait. Et on sait aussi qu'elle a quand même des liens très particuliers avec M. Kearney. Elle est quand même, je pense que M. Kearney est le parent d'un de son fils ou sa fille, et qu'elle s'était aussi présentée contre M. Kearney à la fameuse course à la chefferie. [00:42:47] Speaker C: C'était de bonne aloie. D'ailleurs, il y en avait une des candidates qui était un petit peu tough avec eux autres, puis ils l'ont... ils l'ont éveillée. [00:43:15] Speaker G: Diplomatiques qui sont ouverts, que ce soit bientôt à Londres, à Paris. Stéphanie Dion, on ne sait pas s'il va être renouvelé. En Allemagne, il y avait un poste de disponible. Et à Bruxelles, en Belgique, à l'Union européenne, il y avait aussi un poste de disponible. Donc ça faisait quelques mois qu'il y avait des rumeurs qui disaient possiblement qu'elle aurait un poste diplomatique. Bien, on dirait que non, finalement, ça va être un poste diplomatique, mais pas dans une ambassade comme envoyée spéciale pour l'Ukraine. On sait que Mme Freeland a des origines ukrainiennes. Mme Freeland parle ukrainien. et d'ailleurs, elle était en Ukraine le week-end dernier, la fin de semaine dernière avec Jean Chrétien. C'est un dossier qu'elle connaît bien et ça va peut-être laisser de la place, surtout pour M. Carney, avec cette possible élection partielle, on ne sait pas quand, de ramener peut-être quelqu'un que M. Carney voudrait voir au Conseil des ministres, donc de changer un peu la... Il était un peu pris avec ceux qui s'étaient présentés à la dernière élection. Peut-être que là, il va ramener des gens plus proches de lui pour les nommer ministre. [00:44:11] Speaker C: Oui, et ça, ça veut dire qu'on va continuer à envoyer beaucoup d'argent en Ukraine. Ça, c'est... Avec les libéraux, il n'y a pas de doute. [00:44:19] Speaker G: D'Ailleurs, était en Ukraine. Il faut se souvenir, il y a moins d'un mois, il est parti en Ukraine, il a visité nos troupes canadiennes en Lettonie, puis ensuite, il s'est arrêté en Pologne et en Allemagne. Mais oui, la relation Canada-Ukraine reste très forte. On va voir ce qui va se passer avec Mme Freeland. On attend encore une fois la confirmation. Ce n'est pour l'instant que des rumeurs du Globe and Mail, mais ça a l'air très, très crédible. quque Mme Philon deviendrait enenvoyée spéciale sur l'Ukraine. Il y avait un petit échange de courtoisie au début, comme on veut la tradition. M. Poliev a remercié M. Kearney d'avoir déclenché une élection partielle très rapidement. On sait que normalement, M. Kearney, s'il avait voulu, il aurait pu attendre six mois avant de déclencher une élection partielle. Il ne l'a pas fait. Ça a permis à M. Polièvre de se faire élire cet été et d'être là pour la première journée, la rentrée parlementaire à Ottawa. Et M. Polièvre est tout de suite allé sur l'offensive concernant les promesses brisées, le fait qu'on n'a pas d'accord, bien évidemment, encore avec les États-Unis, concernant les tarifs. Et surtout, surtout, parler de dépenses et de budget, parce qu'on a vu ce papier dans la presse. On en a déjà parlé beaucoup de fois, toi et moi, Pierre. de ce fameux déficit qui serait de 90 milliards et maintenant, la presse parle peut-être de 100 milliards. Donc, est-ce qu'on serait dans ces eaux-là? Ça va être la question. Et un narratif que je pense que les conservateurs vont continuer à marteler, c'est qu'on a un premier ministre banquier, M. Carney, qui va dépenser plus et les chiffres va doubler la déficit qui était déjà énorme de Justin Trudeau à 90 ou 100 milliards de dollars. [00:46:10] Speaker C: Oui, puis là, je sais pas si t'as vu, mais il y a quand même des scénarios sur la table. On pourrait augmenter la TPS à 7 %, donc graduelle, 6 et 7 %. On irait chercher 20 milliards de plus par année dans les poches parce qu'un point de pourcentage de la TPS, je pense, là, 1 %, c'est à peu près 10 milliards. Donc, écoute, si on monte ça à 7, c'est 20 milliards par année à terme. Ensuite de ça, on n'a pas le scénario de vente des arrêts au port. Non, non, c'est une vente de feu aussi, là. [00:46:34] Speaker G: Bien oui, on va voir. C'est pour ça que ce budget va être encore plus important, le premier budget gagné, de voir exactement c'est quoi l'orientation du gouvernement. On va voir aussi ça va être quoi le montant du déficit, le montant de la dette, comment les agences aussi de notation vont réagir par rapport à ce déficit. Mais je pense que M. Follière va continuer. Il a utilisé quand même une bonne ligne hier lors de la rentrée parlementaire en disant Est-ce que vous connaissez un premier ministre qui n'a pas déposé de budget, mais qui a déjà doublé le déficit en moins de six mois? Bien, c'est le cas actuellement de M. Kearney. [00:47:07] Speaker C: Oui, puis là, Kearney, lui, il s'en va au Mexique jeudi. Donc, vite, vite, vite, ça presse. Il faut aller tout de suite sortir. On s'en va au Mexique. [00:47:14] Speaker G: Oui, on dirait que M. Kearney, oui, il était présent hier pour la première journée de la période des questions à la rentrée parlementaire. Selon les informations, il ne serait pas là aujourd'hui, donc il ne croiserait pas le fer pour une deuxième fois contre M. Polievre, en tout cas cette semaine. et oui, comme tu viens de le dire, il va partir au Mexique, je pense, demain ou jeudi, ou il sera jeudi au Mexique. Donc peut-être que M. Carney, la stratégie, ce serait peut-être pas d'être beaucoup, beaucoup au Parlement ou en tout cas à la période des questions. Et il y a une chute aussi qui va se jouer, et puis c'est très important de le souligner, Pierre, c'est qu'oui, à la période des questions, mais il y a aussi tous les comités parlementaires, parce que si le gouvernement veut déposer des projets de loi, Il va devoir négocier avec les conservateurs ou le Bloc québécois parce que, souvenons-nous, le NPD n'a pas le statut de parti officiel, donc ça veut dire qu'ils ne sont pas représentés dans les comités parlementaires. N'importe quel projet de loi que le gouvernement Kani veut déposer doit d'abord aller au comité parlementaire. Et il ne peut pas compter sur le NPD durant le comité parlementaire. Il devra donner quelque chose soit aux conservateurs, soit aux blocs québécois. Sinon, son agenda législatif sera très difficile de faire passer. [00:48:26] Speaker C: Oui, et puis je pense pas qu'on va le faire tomber rapidement. On arrive de d'élections. On en parlait ce matin dans le show de Moray. On recevait Luc Berthold, qui est député conservateur. Lui disait non, non, on pense pas faire tomber tout de suite, mais on va les picosser pareil. [00:48:43] Speaker G: Oui, mais il faut se souvenir quand même que c'est un gouvernement minoritaire, il devra faire très attention. [00:48:48] Speaker C: Oui, exact, exact. [00:48:48] Speaker G: Oui, il peut aller chercher quelques votes au NPD et puis réussir à faire passer, par exemple, son budget, mais pour d'autres projets de loi, il va devoir faire des compromis, donc il faudra faire très attention. Peut-être qu'on verra ce qu'il va se passer plus l'année prochaine, mais le budget sera quand même un gros test. Le Bloc québécois a déjà ouvert la porte qu'il ne supporterait pas en tout cas le budget. Et même M. Blanchet a posé sa première question en période des questions hier. Il demandait quand est-ce que vous allez à Washington parce que c'est vrai qu'on n'a pas vu beaucoup, on a vu qu'une visite à Washington, de Mark Carney, lorsqu'il était premier ministre désigné et non pas encore premier ministre désigné. [00:49:25] Speaker C: Exact, exact, exact. Et là, on passe de la scène fédérale à la scène provinciale. On parle beaucoup de François Legault, mais Pablo Rodriguez, comme chef du Parti libéral, là, il commence à avoir des critiques. On le voit aller, puis on dirait qu'il n'est pas... il n'est pas sur la guerre. Il semble être à côté de la guerre, là. Il n'est pas aligné. [00:49:42] Speaker G: Qu'On en avait parlé, le fameux soi-disant effet Pablo-Rodriguez. Il y a eu des sondages qui montraient quand même une hausse du Parti libéral du Québec. Puis tout le monde s'est excité en disant, regardez, il y a un effet Pablo, il y a un effet Pablo. Moi, j'avais des sérieuses réserves concernant l'effet Pablo. J'avais juste dit, bon, bien, le Parti libéral a juste un chef, là, ça veut dire on va se relaxer. Et Michel David, chroniqueur au Devoir, a écrit une superbe chronique. Honnêtement, je l'aurais voulu écrire moi-même. Et je vais le citer parce que... Très bonne pub, là. [00:50:12] Speaker C: Michel David, il peut être très, très... Ça peut être assassin, là. [00:50:17] Speaker G: Oui. Alors, écoute, je vais le citer parce que j'aurais voulu l'écrire. Puis c'est exactement le sentiment que j'ai envers Pablo Rodriguez et plusieurs analystes et chroniqueurs. Il reste que les réponses évasives et les lieux communs que M. Rodriguez débite dans ses points de presse ou dans les entrevues qu'il accorde donnent trop souvent l'impression d'un homme qui n'a pas grand-chose à dire. Aïe, aïe, aïe, parce que c'est un peu ça, en fait, le sentiment. On n'a pas tellement vu Pablo Rodriguez, on ne l'a pas vu. s'illustrer beaucoup. Puis la seule fois où il s'est un peu illustré, c'est qu'il a fait un point de presse à l'Assemblée nationale et on lui a posé la question de ce qu'on devrait mettre sa clique sous tutelle, qui était la position du Parti libéral et de Monsef Deraji. Puis il a changé la position en disant non, non, on n'a pas besoin de les mettre sous tutelle. Ça a un peu saboté le travail de plusieurs mois de Moncef Deragy, le député libéral. [00:51:06] Speaker C: Moncef Deragy qu'on ne voit plus, là, et c'est comme fait tassé, parce que là, je pense qu'il y a... comment qu'elle s'appelle? [00:51:14] Speaker G: Marois. [00:51:14] Speaker C: Marois... Marois Risky. Faut que je fasse attention, je voulais pas l'appeler Whisky. Mais Marois Risky, qui d'ailleurs, elle, va prendre la pôle, puis là, Moncef s'est fait tasser un peu. Donc effectivement, Pablo Rodriguez, des bits, des sarnettes, puis le gars a l'air déconnecté encore, pogné à Ottawa, là. [00:51:35] Speaker G: Oui, puis le pire, c'est que j'ai comme l'impression que c'est plus Marois Risquet qui va s'illustrer, c'est elle qui est maintenant chef de l'opposition officielle à Québec, c'est elle qui va poser les questions directement à François Legault, donc j'ai comme l'impression qu'elle va plus s'illustrer, puis à la fin, bien, quand Pablo va finalement reprendre le bâton, on va dire, hé, on préférait Marois que Pablo, c'est un peu le risque pour Pablo Rodriguez, parce que pour l'instant, disons qu'il n'en a pas impressionné beaucoup. Il y a encore beaucoup de trottinette à manger, notre ami Pablo Rodriguez. [00:52:02] Speaker C: Voilà. Et là, demain, Commission Gallant, Saclic, Calme à l'enfant, va s'amener à la barre. [00:52:07] Speaker G: Oui. Gros, gros, gros moment demain. Finalement, on va voir combien de jours ça va durer, ce fameux interrogatoire qui va commencer demain de Carles Ballonfant, l'ancien vice-président de Saclic à la SAAQ. Et il y a eu un bon papier de Mme Gagnon dans la presse, qui a fait une entrevue, un long d'entretien avec Calme à l'enfant. Écoute, il paraît qu'il y a un PowerPoint de 1 200 pages qui est prêt à être déposé à la commission. On va voir comment ça va se passer, ce fameux interrogatoire. Parce que si tu lis le papier de la presse, il y a beaucoup à dire. Mais aussi, nous, on a beaucoup de questions à savoir comment ça se fait qu'on est arrivé à ce scandale. Puis lui, il minimise beaucoup en disant... [00:52:47] Speaker F: -"Oui.". [00:52:47] Speaker G: -"Oui, oui, c'était pas si grave que ça, là, ce qui est arrivé et tout." Des gens qui sont faits arrêter par la police, confisqués leur voiture. qu'on presque a été traité de criminels parce qu'il y avait un bug informatique, pour lui, c'était pas très, très grave. [00:53:00] Speaker C: Non, mais c'est ça. Puis il y a là à minimiser tout le bordel que ça a engendré dans la vie des Québécois, puis des files d'attente, puis tout, et tout, et tout. Là, au-dessus de ça, M. Malenfant, et même à un moment donné, lui, il voulait devenir procureur. Il voulait poser des questions, faire revenir des témoins à la barre, comme devenir le gars qui mène le show. Et M. Galland, il leur met à sa place, pas à peu près, là. [00:53:21] Speaker G: Oui, bien, écoutez, dans l'article de Mme Sonia Gagnon, elle dit même, on dirait qu'elle est dans un environnement, un univers parallèle, M. Malenfant. Donc ça va être très, très intéressant de le voir, le personnage. On sait qu'il parle beaucoup. On sait qu'il y a beaucoup de termes techniques. On va voir si le commissaire va le rappeler à l'ordre durant son témoignage. Quelle va être cette fameuse dynamique? Et est-ce qu'il va pointer du doigt le politique? N'oublions pas que le coeur de l'histoire... C'est ça, là. Ça veut dire que c'est bien beau, tous les artistes, mais à la fin, on veut savoir est-ce que quand le malenfant, il l'a dit aux politiques, ça allait coûter combien, quand, etc. Ça, ça va être des questions très, très importantes qu'on va avoir à partir de demain. [00:54:03] Speaker C: Oui, parce que là, on veut faire passer le blâme sur le dos des gens de la SAC, mais il y a peut-être des gens de la SAC qui vont se mettre à table aussi, qui vont peut-être raconter des choses qu'on n'a rien su et entendu encore. [00:54:15] Speaker G: Oui, oui, c'est pour ça. On a énormément de questions, là. On arrive vraiment dans le crunch, crunch, crunch. À savoir, là, aujourd'hui, c'est encore l'ancienne présidente, Mme Tremblay, qui témoigne, mais demain, normalement, ça devrait être calme à l'enfant. On a beaucoup, beaucoup de questions. Qui est-ce qui va éclabousser? Qui est-ce qui va attaquer? Les personnels politiques, le conseil d'administration, le premier ministre, la direction fédérale? [00:54:36] Speaker C: Oui, ça peut aller loin. Lui, il peut se mettre à table, puis le lunch va être bon. [00:54:40] Speaker G: On attend ça. Ça va être notre nouveau show. [00:54:44] Speaker C: Excellent, Rodolphe. Merci beaucoup de tes lumières. Salut! [00:54:46] Speaker G: Merci, Pierre. À l'assemblée prochaine. [00:54:48] Speaker C: Bye. [00:54:49] Speaker F: Voilà. [00:54:49] Speaker C: Rodolphe Fosney, notre chroniqueur politique. Oui, demain, ça va être tout un show, ça. [00:54:52] Speaker D: Oui, oui, oui. Absolument. [00:54:53] Speaker C: Lui, s'il décide de parler... [00:54:55] Speaker D: J'ai l'impression que ça va être... Je pense qu'il va débarrer pas mal. [00:54:59] Speaker C: Ça peut être explosif. [00:54:59] Speaker D: Ce sera pas de sa faute. [00:55:00] Speaker C: Non, non, ça peut être explosif. Voilà. Donc, on le rappelle, Christophe Whelan qui annonce son départ. Selon le Globe and Mail, habituellement, les sources sont assez bonnes. [00:55:09] Speaker D: Radio-Canada aussi, là. [00:55:10] Speaker C: Oui, il confirme. Donc, Christophe Whelan qui traite le cabinet. C'est drôle, il vient juste d'être élu. [00:55:16] Speaker D: Oui, j'ai hâte de voir qu'est-ce qu'il y a derrière ça. [00:55:20] Speaker C: Gérer les déficits, ça n'y tente pas. Elle l'a fait longtemps. Elle en a fait, des déficits. [00:55:24] Speaker D: Ben oui. [00:55:25] Speaker C: Hein? [00:55:26] Speaker D: Plusieurs. [00:55:26] Speaker C: Voilà, voilà, voilà, voilà, voilà. Hé, on ouvre les lignes. [00:55:29] Speaker D: Oui, la ligne ouverte. [00:55:30] Speaker C: On va où? [00:55:31] Speaker D: Ben, je pense qu'on voulait parler de l'histoire du sondage sur la souveraineté. [00:55:35] Speaker C: La souveraineté. [00:55:36] Speaker D: Ça, puis l'acceptabilité sociale aussi. [00:55:38] Speaker C: Ben, le tramway aussi. Tu sais, là, on est à 40 %, le tramway, ça bouge pas. Là, à un moment donné, je veux dire, il faut arrêter de rire du monde. [00:55:45] Speaker D: Absolument. [00:55:46] Speaker C: Tramway, on doit-tu écouter les sondages? [00:55:48] Speaker D: On doit-tu aller à un référendum? [00:55:50] Speaker C: Et l'autre chose, souveraineté. Là, on le voit, le monde. Êtes-vous souverainiste? Est-ce que vous êtes favorable à la souveraineté? Là, c'est 65 %, 64 % des Québécois qui disent qu'on veut pas de référendum dans le premier mandat. En voulez-vous, vous? Premièrement, allez-vous voter pour le PQ? Puis deux, est-ce que ça prend un référendum dans le premier mandat? [00:56:08] Speaker D: Est-ce que PSPP va reculer, justement, suite à... Mettons que le Parti québécois devient majoritaire, est-ce qu'ils vont reculer sur la fameuse question du référendum? Moi, je pense qu'ils vont. [00:56:18] Speaker C: Il n'y a pas le choix. Ils ont envoyé sur l'autobus Lucien Bouchard. Lucien Bouchard les a prévenus, là. [00:56:23] Speaker D: Faites pas ça! [00:56:24] Speaker C: Faites pas ça! Faites attention, là. [00:56:26] Speaker D: C'est pas une bonne idée. [00:56:27] Speaker C: Non, vous n'êtes même pas là encore. Vous n'êtes même pas au pouvoir. [00:56:29] Speaker D: Les Québécois ne sont pas prêts. [00:56:31] Speaker C: Parce que là, ce qui arrive d'arriver, c'est que peut-être que le PQ va peut-être devenir minoritaire. [00:56:35] Speaker D: Ça se pourrait aussi. [00:56:36] Speaker C: Quand t'es au pouvoir minoritaire, là t'as les mains... là t'es les mains attachées, pas peu près. [00:56:39] Speaker D: Ah, y'aurait pas de référendum là, là. [00:56:41] Speaker C: Voilà, on revient après la pause. [00:56:42] Speaker A: Couture dans le mid. Radio X, la sex-ploratrice. [00:56:50] Speaker E: Sexualité, amour, relation. [00:56:53] Speaker A: Et beaucoup plus. [00:56:55] Speaker E: Sans tabou. [00:56:56] Speaker A: La sex-ploratrice. [00:56:57] Speaker E: Avec Mel Trudel. Tous les vendredis, 19h. [00:57:01] Speaker A: La sex-ploratrice. Radio-X, présenté par le Salon de l'érotisme. [00:57:08] Speaker E: Il sera de retour les 26 et 27 septembre à Exposité. Prestations aériennes, podcasts live, invités spéciaux et plus. On se donne rendez-vous au centre de foire d'Exposité pour le Salon de l'érotisme. [00:57:25] Speaker C: Courtier qui n'est pas seul, on a une équipe. Si on vend 400 maisons par année, c'est parce qu'on est très, très, très actif et on sait où on s'en va. Si vous voulez aller à un bon port, vous voulez être accompagné, vous voulez vendre avec un bon scénario, bien faites appel à l'équipe numéro Palmarès Via Capital. Pourquoi? Parce que là, c'est important. Les taux d'intérêt baissent. Il y a plus d'acheteurs qui vont se qualifier. Ça prend un plan de match, ça prend un scénario. On veut aller chercher quel prix. On va aller où avec la vente de notre maison? Bien, on va le faire. Le prix médian qui est toujours en augmentation dans la région de Québec. Alors, ce n'est pas compliqué. Il y a une équipe en ville qui peut vendre votre maison. C'est l'équipe de simonlaberge.com. [00:58:06] Speaker E: Découvrir l'inconnu, ça commence par monter dans un véhicule qui surpasse tout ce que vous avez connu. Ce véhicule, c'est le Hotlander PHEV de Paquette Mitsubishi. Polyvalent, hybride et rechargeable, avec super contrôle intégral, il est équipé pour explorer partout où la route vous mène, peu importe les conditions. Financer ou louer votre Hotlander de Paquette Mitsubishi, PHEV ou à essence, à partir de 0% et que l'aventure commence. Détails chez Paquette Mitsubishi à Lévis. Vous vous demandez à quoi ressemble la vie en résidence au quotidien? Passez à la résidence pour retraiter Chartwell de votre région lors de ses journées portes ouvertes les 19 et 20 septembre de 10h à 16h. Pour en savoir plus, visitez chartwell.com dès aujourd'hui. [00:58:51] Speaker A: Avec le groupe Nanook, acceptez votre soumission de Bardot en 10 jours et vous pourrez bénéficier de notre rabais éclair allant de 250 à 1050 $. 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Rendez-vous sur le site pcnca.ca pour vous inscrire et trouver les informations reliées à cette activité de sensibilisation à la maladie. Comme chaque année, l'équipe de Parkinson Capital National et Chaudière Appalaches vous attend nombreux dimanche le 28 septembre à la base de plein air de Sainte-Foy. Et n'oubliez pas, bouger c'est la vie, donner c'est l'espoir. Collaboration Radio X. On partage. [01:03:12] Speaker D: Des renseignements sur un vol à l'étalage. [01:03:15] Speaker C: Oui, salut. Oui, bonjour. [01:03:17] Speaker B: Oui, j'ai des infos sur le vol. [01:03:19] Speaker G: Ok. [01:03:19] Speaker D: Cheveux longs. [01:03:20] Speaker C: Cheveux longs. [01:03:21] Speaker B: Course. [01:03:22] Speaker A: Course. [01:03:23] Speaker B: Asphalte. [01:03:24] Speaker C: Astral, c'est la décision du gars qui a volé? [01:03:27] Speaker B: Ben, moi, c'est les infos que je veux, là. [01:03:29] Speaker C: Pis Astral, c'est quoi le lien? [01:03:30] Speaker A: Et sur toutes les plateformes. La ligne ouverte présentée par Béné et compagnie. L'offre au prix d'amis est de retour chez Béné et compagnie. Pour un temps limité, obtenez le repas 3 filets de poulet à seulement 10$ au comptoir. Des conditions s'appliquent, cette offre est valide jusqu'au 29 septembre. Couture. [01:03:49] Speaker B: Les gens qui veulent pas rien savoir. [01:03:51] Speaker A: De ça, ben allez où j'aime. Dans le mythe. [01:03:53] Speaker E: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [01:04:05] Speaker D: Ouin, ouin, ouin, ouin, ouin, ouin! [01:04:08] Speaker C: Les autobus Lyon ne roulent toujours pas. Capoté, ça, hein? [01:04:12] Speaker D: C'est capoté, tu dis? [01:04:13] Speaker C: Il y a un peu de nous là-dedans, là. Et là, ce matin, c'est Pierre-Olivier Zappa qui rappelle ça. Souvenez-vous qu'il fut un temps où, dans les maisons du Québec, partout dans le monde, on vantait les produits d'autobus Lyon. On appelait les gens d'affaires de partout dans le monde. On disait achetez des autobus électriques. On est rendu un gros joueur dans l'autobus. [01:04:31] Speaker D: On était les meilleurs. [01:04:32] Speaker C: Oui, on était les meilleurs. [01:04:33] Speaker B: Aïe, aïe. [01:04:34] Speaker C: Et là, écoute... [01:04:35] Speaker D: On fait dur en tabarouette. On a l'air d'une gang de cyclins. [01:04:39] Speaker C: Ça valait plusieurs milliards de dollars, la compagnie à la bourse. [01:04:42] Speaker D: Ça fait peut-être. [01:04:43] Speaker C: Ça a été racheté pour 6 millions. La compagnie est encore en vie, mais là, il faut changer les connecteurs. Et là, ça roule pas. [01:04:51] Speaker D: C'est vrai que c'est le système de chauffage le problème, mais déconnecte-le, on n'a pas besoin. [01:04:55] Speaker C: Ben oui, mais je comprends, mais... Non. [01:04:56] Speaker D: Non, vas-tu réparer ça? [01:04:57] Speaker C: Faut qu'il roule cet hiver avec ça? [01:04:58] Speaker D: Ben oui, mais là, ils ont le temps, là. [01:05:00] Speaker C: Ben, ils ont le temps. On dit qu'en 2-3 heures de changement de connecteur par autobus. Donc là, il y a plein d'autobus qui ne roulent pas ce matin. [01:05:08] Speaker D: Ça va mal. [01:05:08] Speaker C: On ouvre les lignes. [01:05:09] Speaker D: Oui, il y a 88, 6, 7, 0, 9, 0, 9, 8. Deux choses. L'histoire du sondage concernant la souveraineté du Québec. Il y a beaucoup, beaucoup de gens au Québec qui seraient prêts à voter pour le Parti québécois. Mais 74 % sont très défavorables... 64. 64 %, très défavorable. En tout cas, un total de... Il me semble que c'est 74 % au total de gens qui ne veulent pas de la souveraineté au Québec. Qui ne veulent pas d'indépendance. [01:05:35] Speaker C: C'est 65-35. C'est ça. C'est 49-15. [01:05:39] Speaker D: Bon, c'est bon. Plus de 60 %. [01:05:42] Speaker C: C'est 65 %. [01:05:44] Speaker D: Qui sont contre l'indépendance. Puis l'autre chose également, c'est au niveau de l'acceptabilité sociale dont on parlait en début d'émission concernant le tramway. Seulement 40 % des gens sont en faveur. [01:05:53] Speaker C: Oui, un nouveau sondage qui est sorti ce matin dans le soleil. Fait que là, l'acceptabilité sociale, c'est pour les autres, finalement? C'est pas pour nous autres, hein? [01:06:00] Speaker D: Bien, pour le tramway, c'est... on s'en sac. [01:06:02] Speaker C: Le choix est ici. On y va. Go! [01:06:04] Speaker D: Allô, Chouard? [01:06:05] Speaker G: Oui, allô! [01:06:06] Speaker C: On vous écoute. [01:06:07] Speaker G: Oui, bien, moi, en fond, première chose, est-ce que le Parti québécois, il a changé son progrès? [01:06:12] Speaker F: Je pense que non. Fait que moi, je voterai pas plus pour lui pareil parce que ça me. [01:06:16] Speaker G: Rejoint pas du tout. [01:06:18] Speaker C: Vous êtes pas souverainiste, donc référendum dans le premier mandat, on oublie ça, là? [01:06:22] Speaker G: On oublie ça. [01:06:23] Speaker F: De toute façon, il y avait un qu'à le faire quand c'était le temps dans la... en quatre-vingt... [01:06:27] Speaker G: Quatre-vingt-quatorze? [01:06:28] Speaker D: Quatre-vingt-quinze la dernière fois, pis c'était pas... Finalement, le chiffre était pas concluant, mais c'était très, très, très serré. [01:06:34] Speaker C: C'était serré, c'était à 49-51. [01:06:37] Speaker F: Et voilà. [01:06:37] Speaker G: Ça fait que moi, c'était tout ce que j'avais à dire sur ça. [01:06:40] Speaker F: Puis le tramway, je n'ai pas changé d'idée. [01:06:42] Speaker G: On n'en veut toujours pas. [01:06:43] Speaker F: Puis je reste dans le quartier Saint-Sauveur. Ça fait que... c'est marrant. [01:06:46] Speaker C: C'est comment ça va, là, la circulation dans Saint-Sauveur? [01:06:50] Speaker G: Bien là, s'ils finissent par finir les. [01:06:52] Speaker C: Travaux, ça devrait bien aller, là. [01:06:53] Speaker F: Mais là, c'est pas dur que c'est beau, là. [01:06:57] Speaker C: OK. C'est bon. Merci beaucoup. [01:06:58] Speaker D: Salut. [01:06:59] Speaker G: Merci, bye. [01:06:59] Speaker D: Salut. [01:07:00] Speaker C: Voilà. [01:07:00] Speaker D: Allô, Chouard. [01:07:01] Speaker C: Oui, on vous écoute. [01:07:03] Speaker G: Salut. [01:07:03] Speaker D: Allô. [01:07:04] Speaker G: Oui. [01:07:05] Speaker C: Oui. [01:07:06] Speaker G: Moi, je suis contre la souveraineté. J'ai voté oui les deux fois. Mais je vais voter non parce que c'est un gouvernement de gauche. Moi, je suis un gars de droite, donc le PQ aura jamais mon vote. [01:07:19] Speaker C: Vous êtes plus de droite économique, j'imagine? [01:07:22] Speaker G: Exactement. Je suis conservateur. Autant Québec que Canada. Moi, je suis contre aussi le tramway parce qu'encore là, il n'y a pas d'accessibilité sociale. il n'a pas respecté sa parole. Mais c'est ça. Mais c'est pour ça que je vais voter contre lui. Puis Stéphane Lachance va avoir mon vote. [01:07:56] Speaker C: OK. C'est bon. [01:07:57] Speaker D: Merci. Merci beaucoup. [01:07:58] Speaker C: Bye-bye. [01:07:58] Speaker G: Salut. [01:07:58] Speaker D: Salut. Bye. Pierre, je viens d'apprendre qu'on a quand même, maintenant, à partir de ce matin, un 100 $ qui est offert chez Benny pour la ligne ouverte. [01:08:07] Speaker C: Ah oui? [01:08:07] Speaker D: Oui. Écoute, ça vient de tomber. [01:08:09] Speaker C: OK. [01:08:10] Speaker D: Allez au choix. [01:08:12] Speaker C: Oui, c'est à vous. On vous écoute. Oui, bonjour. On vous écoute. [01:08:16] Speaker G: C'est moi là? [01:08:17] Speaker C: Oui, allez-y. [01:08:17] Speaker G: C'est dur. Bon, il y a le gars qui vient de parler. Salut les amis. [01:08:22] Speaker D: Bonjour. [01:08:23] Speaker G: Le gars qui vient de parler là. [01:08:25] Speaker F: Il m'enlève les mots de bouche. [01:08:26] Speaker G: Point de vue du référendum du Québec. [01:08:30] Speaker C: Oui. [01:08:30] Speaker G: C'est en bas ce qu'il voulait dire. Moi, comme lui, j'ai voté. les deux référendums, j'ai toujours été parti québécois, même quand j'étais 16, j'aurais voté. [01:08:41] Speaker C: Mais il manquait un an. OK, vous avez voté oui en 80 puis oui en 95. [01:08:46] Speaker G: Parce qu'on avait deux bonhommes, comme Parizeau et M. René Lévesque. Les autres avaient plus de petits défauts. [01:08:51] Speaker C: Lucien Bouchard aussi, là. [01:08:55] Speaker G: Hein? [01:08:55] Speaker C: Lucien Bouchard en 95 aussi. [01:08:58] Speaker G: Ah, bien lui, je sais pas trop. C'est lui qui était contre les syndicats. Aujourd'hui, il a raté 13 ans, mais en tout cas... Bon. [01:09:03] Speaker C: Mais il était là, Bouchard, dans la course du oui, là? [01:09:06] Speaker G: Ah oui, c'est sûr! [01:09:06] Speaker F: Oh oui! [01:09:07] Speaker G: Bon. Mais aujourd'hui, là, moi, depuis après le Marouin, là, j'avais plus de parti, le Prince Howard. Puis aujourd'hui, là, je suis conservateur depuis qu'il existe. Et bien, je veux dire, avec... En tout cas, j'ai des plans, là. Bon. [01:09:23] Speaker F: Et puis... [01:09:26] Speaker G: On peut... bien moi, probablement, je voterais plus parti québécois. [01:09:28] Speaker F: C'est sûr. [01:09:28] Speaker D: C'est sûr. [01:09:29] Speaker G: Et puis, il faut que le sondage n'est pas assez haut pour ceux qui vont voter contre le référendum. On ne peut pas avoir un référendum avec la partie de gauche qui n'a. [01:09:38] Speaker F: Pas de bon sens. [01:09:39] Speaker G: C'était possible. Ça ne peut pas marcher. Ça va être de la merde. [01:09:42] Speaker D: Merci beaucoup. [01:09:43] Speaker G: Merci. [01:09:44] Speaker D: Salut. Bonne journée. [01:09:45] Speaker G: Salut. [01:09:45] Speaker C: Bye-bye. Oui. [01:09:46] Speaker D: Allô, Chouard. [01:09:48] Speaker F: Oui. [01:09:48] Speaker C: Oui. On vous écoute. [01:09:50] Speaker F: Par rapport au référendum, moi, ce que... Dans le temps de René Lévesque, peut-être oui, là, mais aujourd'hui, non. Puis je comprends pas le monde qui voudrait faire un pays avec la province la plus corrompue du Canada. [01:10:04] Speaker C: Donc pour vous, c'est pas... vous allez pas voter pour le PQ, hein? Ou allez-vous voter pour le PQ, puis compte un référendum? Vous allez être conséquent dans vos idées? [01:10:14] Speaker F: Moi, je vais voter pour le Parti conservateur, ça, c'est certain. [01:10:17] Speaker G: OK. [01:10:20] Speaker F: Par rapport au tramway, comme vous l'avez dit, les sondages disent qu'on n'en veut pas. Bono Marchand avait dit qu'il allait respecter. [01:10:30] Speaker C: La... Oui, c'est ça qu'il avait dit. Il l'a dit sans ongles. Il a dit que j'étais là. Il l'a dit. [01:10:35] Speaker F: Puis l'autre affaire, c'est que par rapport à la grève qu'il y a eu pour le transport... [01:10:42] Speaker C: L'RTC, oui. [01:10:43] Speaker F: Il avait dit qu'il fallait respecter le pouvoir de payer des citoyens. Le tramway, on n'a pas les moyens de payer un tramway qui va faire doubler nos taxes, peut-être même tripler. Ça, c'est vrai pour la phase 1 parce que si on fait ça... Ah. [01:10:58] Speaker C: Il y a trois phases de tramway dans les cartons. [01:11:02] Speaker F: Ça va peut-être coûter 50-60 milliards. On n'a pas les moyens d'avoir ça. C'est comme le gars qui est Honda Civic, tu lui demandes pourquoi tu n'as pas un pick-up. Je n'ai pas les moyens. [01:11:12] Speaker C: Ben oui, c'est ça. Un pick-up, c'est 100 000 $. Salut! [01:11:16] Speaker D: Merci! [01:11:17] Speaker C: Bye-bye! [01:11:17] Speaker D: Pierre, on a le temps pour un dernier. [01:11:19] Speaker C: Oui, on y va. [01:11:20] Speaker D: Allô, Chouard? [01:11:20] Speaker C: Oui! [01:11:22] Speaker F: Allô? [01:11:22] Speaker C: Oui! [01:11:23] Speaker D: On vous écoute! [01:11:23] Speaker F: Oui, bien, même chose, un petit peu comme tout le monde, moi, je rajouterais... C'est quelque chose d'aggélérationnel un petit peu, la séparation du Québec. Je veux pas... [01:11:40] Speaker C: C'est-à-dire que les jeunes sont plus favorables, puis en vieillissant, quand on commence à payer des taxes, on est moins favorables? [01:11:45] Speaker F: Oui, oui, parce que... Regardez un petit peu comment fonctionne... Là, tout le monde dit on est à gauche, on est à droite. Moi, ce que je voudrais au niveau de la gauche, c'est que le gouvernement arrête de s'ingérer dans mes transactions. [01:12:04] Speaker C: Dans votre vie de tous les jours. [01:12:06] Speaker F: Oui, c'est ça. Une voiture ou etc. Tu vends quelque chose, c'est un produit qui est taxé une fois, tu as ça sur le même produit. [01:12:15] Speaker C: Ah, c'est une voiture taxée cinq fois. C'est ça. [01:12:18] Speaker F: Donc là, à ce moment-là, regardez ça à l'échelle d'un pays. Nationalisez des banques. Croyez-vous que... centraliser des banques, croyez-vous que c'est une bonne chose? [01:12:29] Speaker C: Non, non, non, non, on va pas là. On va pas là, là. Non, non, on n'est plus là, là. [01:12:33] Speaker F: Moi, pourtant, si on fait un pays, moi, je pense qu'on va s'en aller là-dedans. [01:12:38] Speaker C: On se fait des côtés. C'est ça, c'est ça. On n'aura pas accès à des obligataires. On va se faire des côtés. [01:12:45] Speaker D: Hé, bougez pas. Rappelez-moi votre nom. Louis, bouge pas, reste en ligne, j'ai une super carte cadeau de 100$ à dépasser chez Benny & Co pour toi. Bouge pas, reste en ligne. [01:12:54] Speaker C: Pour vrai, merci. Merci beaucoup. [01:12:57] Speaker F: Salut! [01:12:58] Speaker D: On a plus le temps, Pierre. [01:12:59] Speaker C: Voilà. Mais c'est quand même capoté, pareil. [01:13:01] Speaker G: Hein? [01:13:03] Speaker D: Tu sais, 40% des gens seulement pour le tramway, puis on va dépenser près de 10 milliards. [01:13:08] Speaker C: Ben là, on est rendu à 7. [01:13:09] Speaker D: 8... Ben, ça va être près de 10. [01:13:11] Speaker C: Ah, ça va défoncer. Moi, je m'attends à un projet de tramway. Première phase, c'est du 13 à 14 milliards. Penses-tu qu'on a de l'argent pour ça? On est dans un déficit. [01:13:18] Speaker D: Non, on n'a pas d'argent. [01:13:19] Speaker C: De 13 milliards au provincial. [01:13:21] Speaker D: Un milliard le RTC, un milliard le service du RTC. [01:13:24] Speaker C: 100 milliards de déficit au fédéral. Les municipalités ont de la misère arrivée. Bruno Marchand arrive parce qu'il taxe, puis il taxe, puis il taxe, puis il dépense, puis il taxe, puis il taxe, puis il taxe. Il y a une réserve, là, il met 75 millions de cotés par année pour le tramway, mais il vient chercher parce qu'il monte les taxes de 3,4 % par année, là. Fait qu'on est là-dedans. Voilà. Après la pause, Jordan, les Canadiens, il y a plein d'affaires dans le sport, la NFL. On revient. [01:13:50] Speaker A: Dans le mid. La ligne ouverte présentée par Béné et compagnie. L'offre au prix d'ami est de retour chez Béné et compagnie. Pour un temps limité, obtenez le repas 3 filets de poulet à seulement 10$ au comptoir. Des conditions s'appliquent, cette offre est valide jusqu'au 29 septembre. Tu pourrais gagner ta paire des billets pour un spectacle hommage exclusif présenté par JLC Musique. Cet automne, assiste à des spectacles rock à la salle Dina Bélanger, une salle intime de 500 places. Des spectacles hommage à Queen, Peter Gabriel, Led Zeppelin et plusieurs autres. Achète tes billets sur lacapitaldurock.com Choisir Charlebois. [01:14:36] Speaker C: Toyota pour l'achat d'un véhicule neuf, c'est une expérience d'achat en toute quiétude, dans la transaction, dans la réception du véhicule et dans votre visite au service. Avant, pendant, après. L'événement du mois repartait en Toyota le BZ4XLE2RM 2025 à partir de 99$ par semaine, location 48 mois. 16 000 km par année avec 4700 $ de la compte. 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[01:15:59] Speaker A: L'autre jour, en mettant mon vieux manteau, j'ai trouvé 10 piastres qui étaient restés dans mes poches. C'est-tu le fun de trouver de l'argent ? Ce mois-ci, chez Sainte-Foy-Nissan et Beauport-Nissan, le taux de financement à l'achat du Kicks, du Rogue et de la Sentra est à 0 %. À 0 %, ça, ça met de l'argent dans vos poches. Et quand on sait que Nissan est numéro 1 pour la qualité des véhicules neufs selon J.D. Powers, bien là, c'est le temps de quoi? On vous attend chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. [01:16:28] Speaker C: Depuis que j'ai parlé de mes dettes avec Raymond Chabot, j'ai retrouvé la motivation de m'entraîner trois fois par semaine. Bien, deux, mettons. [01:16:36] Speaker A: Pis de me remettre à cuisiner, genre. [01:16:38] Speaker C: Mon fameux macaroni triple fromage. J'ai même fini par ranger mon cabanon. Il était temps. Ouais, ça fait vraiment du bien de retrouver ses moyens. [01:16:49] Speaker E: Si vous avez besoin d'aide pour régler vos dettes, contactez-nous pour une consultation gratuite. Raymond Chabot, syndic autorisé en insolvabilité. [01:16:57] Speaker C: Depuis plusieurs années, la lunetterie Beland et Marie-France Pro Opticienne vous offrent toujours le meilleur prix avec forfaits verts et montures. [01:17:04] Speaker A: SimpleVision à 99 $ et Progressif à 249 $. [01:17:08] Speaker C: C'est juste incroyable! La lunetterie Beland, service qualité bas prix. [01:17:13] Speaker E: Promo exclusive pour vendeurs, acheteurs et investisseurs. Faites affaire avec Christian Dagenais, courtier immobilier résidentiel et commercial et profitez d'une compensation jusqu'à 1000 $ pour couvrir les frais de notaire ou d'un nouveau certificat de localisation. S'il est déjà à jour, ça s'applique pour les frais de déménagement. Le tout est payable en carte cadeau de votre choix à la signature de l'acte notarié. 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[01:20:20] Speaker B: Non, mais justement, c'est lunaire. Il y a eu une question. Max a fait jouer un extrait, l'histoire de la Lune, puis l'hologramme, puis Joe Lindigo. [01:20:27] Speaker C: Pouh! [01:20:27] Speaker D: Ah ouais, hein? [01:20:28] Speaker C: Il faut que t'écoutes ça avec un casse d'aluminium, là. [01:20:31] Speaker D: Ah oui, puis il y a un bat aussi. [01:20:32] Speaker C: Ah oui, c'est ça. [01:20:33] Speaker B: C'était vraiment cosmique. [01:20:35] Speaker C: Tout va très bien. [01:20:36] Speaker B: C'était vraiment cosmique. Sérieux, c'était un moment d'anthologie. [01:20:39] Speaker C: Il y avait hier, NFL, puis là, les blessures commencent à tomber. [01:20:43] Speaker B: Oui, vraiment, côté blessures, on a des quarts déjà amochés parce que c'était un peu ça la mode des dernières années. Les quarts ont toutes ces lignes de côté déjà. Ben là, on est quoi? Semaine 3 à peine, pis tout le monde est amoché. J.J. McCarthy, c'est sorti v'là pas long. Du côté des Vikings, va rater 2 à 4 semaines. En torse à la cheville. Vous allez me dire que c'est pas mal moins pire que Joe Cool, Joe Burrow, parce que lui, ça a été confirmé dans les dernières heures. C'est 3! Trois mois confirmés, puis les autres avaient bien parti de leur saison. Ça faisait deux ans qu'ils commençaient à 0-3, ça allait pas bien, ils remontaient la pente, mais c'était toujours tough. Maintenant, on avait un début de saison parfait. Puis là, Joe Cool s'est blessé. C'est trois mois confirmés, c'était une opération à un orteil. C'est une grosse affaire. T'es bon à voir Higgins, puis tout ce que tu voudras, ça va être tough quand même. [01:21:24] Speaker C: Il vient de signer avec Netflix une série de plusieurs émissions. [01:21:28] Speaker B: Oui, qui vont suivre les gars. [01:21:29] Speaker C: 25 millions. Capoté. Capoté. [01:21:32] Speaker B: Donc là, c'est deux quarts qui sont amochés. Puis chez les Commanders, cas incertain dimanche pour qui? Jadon Daniels. [01:21:38] Speaker C: Ben oui, c'est fait tramasser. [01:21:39] Speaker B: En torse, coup de genou. [01:21:40] Speaker C: Coup de casse. Hier, je sais pas si t'as vu, la game des Bucks. [01:21:43] Speaker B: Ouais, les Bucks ont gagné une extrémiste. [01:21:44] Speaker C: À dix secondes de la fin, mais. [01:21:45] Speaker B: Baker, Mayfield... Deux verges qui ont été cherchés, puis ils ont gagné ça contre... Les Texans. Les Texans, 19-20-19. [01:21:52] Speaker C: Mais Baker Memphis en allait avec le ballon tout seul. Il restait quoi? 40 secondes, 50 secondes. Il a fallu qu'il saute. Puis il a fait un tonneau parce que le gars s'en est le cogné dans les pattes, comme Jayden Daniels. Il aurait pu se faire défoncer à la rotule, c'est sûr. C'était fini. C'était fini. [01:22:06] Speaker B: Fait que Jayden Daniels, c'est cas incertain. Il pourrait jouer dimanche, mais j'imagine qu'on va peut-être passer un tour pour être sûr parce que sinon, c'est plus scrapper sa saison complète. [01:22:14] Speaker C: Ça, c'est le type de quart, je sais pas s'il va avoir une longue carrière. parce qu'il regarde pas où est-ce qu'il s'en va. Quand il s'est fait pogner, il était blindside. Il survit la dernière minute, pis le gars, t'as le pogne dans les pattes. Ça a été violent. Il va falloir qu'il fasse très attention, là. L'ancien... [01:22:28] Speaker B: Tu te souviens de toi, t'as govéné l'AOA qui se faisait cogner tout le temps? [01:22:32] Speaker C: Ben l'ancien des Redskins, ben des Commanders, le corps arrière qui était là, qui était obligé de prendre sa traite parce qu'il était blessé aux jambes, justement. [01:22:39] Speaker B: C'est vrai, lui, il a l'air de manger des goûts, lui. [01:22:41] Speaker C: Il se faisait défoncer, lui, avec. [01:22:43] Speaker B: Vraiment, fait que t'as trois blessures assez importantes, fait qu'on va suivre ça, mais qu'un certain pour Daniels, en fin de semaine, t'as parlé des Bucs qui ont gagné ça. [01:22:50] Speaker C: Les Chargers. [01:22:50] Speaker B: Les Chargers qui ont battu les Raiders, 29 ans, pour le Monday Night Football, deux games. [01:22:55] Speaker C: Mais c'était plate. [01:22:55] Speaker B: Je les regardais un peu de la misère, mais c'était assez tough. [01:22:59] Speaker C: Les Raiders, parce que Gino Smith a de la misère. [01:23:02] Speaker B: Oui, c'est ça. Bref, deux gros matchs hier dans le Monday Night Football, puis ça va se poursuivre pour le match de jeudi. Parlons un peu du tournoi de golf du Canadiens de Montréal. Je sais pas si t'as regardé les rondes de golf. Non, c'était pas difficile, c'était entre clients puis les joueurs du Canadiens, il n'y avait rien à regarder là. Mais écoute, on a appris une couple d'affaires. First of all, les séries. Il n'y a plus d'histoire de « faut pas dire le mot après, puis être dans le mix », Tout ce que vous voulez pour se mettre en rejet, pas de moyens. [01:23:30] Speaker C: On progresse, on progresse. [01:23:30] Speaker B: Ouais, ça on l'a entendu. [01:23:32] Speaker D: On progresse. [01:23:33] Speaker B: Mais là, on est passé à autre chose, c'est-à-dire croire au ciré à chaque saison parce qu'on parlera plus de luck pour entrer dans le bal. Ça va devenir une normalité. Faut le dire, le CH est bâti d'un noyau de jeunes assez incroyable. Des bons repêchages comme ça, ça va donner assurément de très bonnes années à venir. Puis là maintenant, la reconstruction n'est pas finalisée à 100%. dans mesure où il y a certains gars qui vont encore venir dans l'organisation dans les prochaines années, genre Jacob Fowler dans un ou deux ans. Même chose pour Michael H. Mais t'sais, l'arrivée de Dimidov vient ficeler les dernières briques ou presque de la reconstruction. Puis surtout, Pierre, il y a un buzz à Montréal, comme rarement j'ai vu depuis plusieurs décennies. Oui, on a eu la conquête de 93, mais on sait que début 2000, c'était très tough, le Canadien. On est comme restés sur cette lignée-là. dans le sens qu'il fallait se fier sur un gardien pour gagner des matchs. On n'avait pas grand-chose à se mettre là-dedans. Là, on a eu un été de malade de Kent Hughes, il faut le dire. L'arrivée de Noah Dobson. N'oublions pas Zachary Bolduc. [01:24:28] Speaker D: C'est vrai. [01:24:29] Speaker B: Un gars de 50 buts, ça, dans le Q. Vous allez me dire que c'est les juniors, mais moi, ce que j'aime de Bolduc, c'est qu'il a levé son jeu d'un cran. [01:24:35] Speaker C: Bien, l'an passé, combien de buts, l'an passé? [01:24:37] Speaker B: Il a 19 buts, mais il était très physique en série contre les Jets de Winnipeg. Oui, ils ont perdu en première ronde, mais j'ai vraiment aimé l'implication de Zach là-dedans. Puis Suzuki puis Caulfield, on a entendu dire qu'ils se textaient au moment où ils ont appris l'échange de Noah Dobson, puis les gars capotaient. Puis on sent qu'ils veulent travailler, monter leur niveau. T'sais, à titre d'exemple, deux semaines avant le début du camp officiel du Canadien, il y avait 21 joueurs du CH qui étaient réunis à Brossard au complexe sportif CN. Pas pour faire acte de présence, pas pour... [01:25:07] Speaker C: Les gars s'entraînent. C'est pour travailler. [01:25:08] Speaker B: C'est pour s'améliorer, pour se préparer une saison, puis rarement on a vu ça, des gars qui sont autant crainqués que ça. [01:25:13] Speaker C: Ben là, notre son est tout le temps sur la glace. Tout le temps, l'été, l'été, l'été, l'été. [01:25:17] Speaker B: Rainbacker, puis des meet-ups, ça se passait à pas qu'à journée longue, là, au complexe. [01:25:20] Speaker C: Pas bon pour rien, là. [01:25:21] Speaker B: Ben c'est ça. Fait qu'on sent que ça passe quelque chose. Les partisans sont crainqués, mais les joueurs aussi, puis ça, c'est une maudite bonne nouvelle. Secondos, Pierre. Pierre Lebrun, je t'en ai jasé il y a pas si longtemps. Il a jasé avec un certain Sidney Crosby, puis depuis... Ouais, là... Non, mais t'es peu, là. Ça fait beaucoup de bruit à travers la ligne nationale, pas juste à Montréal. Puis hier, Renaud Lavoie de TVA Sports a demandé... [01:25:42] Speaker C: Il y a une autre équipe qui est dans le derby. Qui? [01:25:44] Speaker B: Colorado? [01:25:45] Speaker C: Vancouver. [01:25:46] Speaker B: Vancouver. Crosby avec les Canucks. [01:25:48] Speaker C: Oui, oui. Ça a sorti. C'est un insider qui est sorti ça aussi. [01:25:51] Speaker B: Contre quoi? [01:25:52] Speaker C: Je ne sais pas. Crosby, ça sort de partout. [01:25:56] Speaker B: Il va choisir sa destination, ça je peux te le dire. [01:25:59] Speaker C: J'espère. [01:26:00] Speaker B: Mais Renaud a demandé au DG Kent Hughes s'il était dans une position où il doit garder de la monnaie d'échange au cas où il y a un joueur qui devient disponible. Tu sais, concrètement, en tunelant ces lignes... [01:26:09] Speaker C: Il se peut pas nommer de joueur, hein? [01:26:10] Speaker B: Non. [01:26:11] Speaker C: Parce que tu pognes une amende. [01:26:12] Speaker B: L'affaire de maraudage, pis toi t'as pas le droit de faire ça, là. [01:26:14] Speaker C: C'est un choix de premier round. [01:26:15] Speaker B: Mais entre les lignes, on s'entend qu'entre Topimus et Crosby, là, de qui Renaud parlait. [01:26:18] Speaker C: Je pense. [01:26:20] Speaker B: À moins que ce soit Mason McTV, vu qu'il n'est pas signé encore, mais ça sonnait très Crosby dans cette question-là. Puis Yoz a répondu que c'est toujours le cas, qu'il doit garder des atouts et de la flexibilité, fait qu'il est peut-être stand-by à quelque chose. Puis le DG a aussi parlé de l'échange de Carey Price. C'est pas nécessairement un échange pour aujourd'hui, c'est peut-être aussi pour amener de la flexibilité à l'avenir, genre peut-être à la fin de la saison. Dans le cas où le joueur en question, a.k.a. The Kid, pourrait devenir disponible, mettons. Pis là t'as, dans un podcast hier, Michael Russo de The Athletics, c'est un gars qui couvre le wild du Minnesota, mais il est très bien branché aux États-Unis. Pis il a mentionné en fin d'épisode, je te le cite, «Crosby, s'il va ailleurs, ça va être pour jouer à Montréal.» Je dis pas que ça va arriver, mais il y a du bruit présentement. [01:27:06] Speaker C: Mais Brisson, Pat Brisson, qui est son agent, c'est ce qu'il raconte entre les lignes. [01:27:10] Speaker B: Ouais, c'est ça. Puis ça va juste prendre une chose là-dedans, Pete, c'est le go. Le go à The Kid. Ça va prendre le go parce que j'ai l'impression que le prix à payer, m'a donné Dubas, il aimerait ça avoir la lune en retour, mais si Crosby veut partir puis il dit « c'est à Montréal que je veux aller » ou « c'est à Colorado pour jouer avec Nathan McKinnon », Ils n'auront pas le choix de fiscler un prix. Tu sais, souviens-toi de Jérôme Eguinla. Oui, c'est moins gros, mais Eguinla, quand il était avec les Flames, il a passé une décennie là-bas. Il a demandé un échange, puis lui, il voulait échanger à Pittsburgh. Mais Boston avait un offer sheet sur la table. Il avait offert de quoi? Puis les Brones, bien, finalement, il avait le meilleur prix. Mais les Pingouins, c'est quand même eux qui ont gagné parce que c'est Eguinla qui voulait partir à Pittsburgh. Tu comprends? Fait que Crosby, s'il ose offrir de quoi de moins intéressant qu'à Vancouver ou Colorado, si The Kid veut jouer à Montréal, ça se peut qu'il ose offrir de quoi de plus intéressant en retour. [01:27:56] Speaker C: Encore là, tu sais, son agent peut jouer la game pour faire monter les enchères. Il dit, bien là, Montréal, on sait beaucoup du Canadien pour faire monter les enchères, là. [01:28:04] Speaker B: Oui, mais ça a été ça. [01:28:06] Speaker C: Mais je suis pas... là, je suis. [01:28:07] Speaker B: Plus d'accord à 100 %. [01:28:08] Speaker C: Toi, tu penses que ça va arriver? [01:28:09] Speaker B: Non, mais je pense que... [01:28:10] Speaker C: Tu le mets à quoi, ton... [01:28:11] Speaker B: Tu reculves le 5-10 ans, là, tu sais, les joueurs testaient beaucoup le marché, puis... tu sais, c'est encore le cas. [01:28:15] Speaker C: Pareil au niveau des positions. Oui, le Canadien a changé, oui, le Canadien a changé. [01:28:18] Speaker B: Mais c'est parce que là, t'es rendu dans un moment où t'aspires bientôt, je sais pas que ça va être cette année, puis l'an prochain, mais peut-être dans 3-4 ans, à aspirer aux grands honneurs, tu comprends? Fait qu'il y a peut-être plus un buzz autour de ça. Mais j'ai l'impression que ça va commencer à jaser, pis pas juste le CH qui a des chances. Tu parlais des Canucks, je pense que Colorado en a aussi pas mal. Mais après les Jeux olympiques, en Italie, watchez ça aller, Crosby. [01:28:39] Speaker C: On dit que Crosby à Montréal, deux points, la maladie mentale des fafans va être intense. [01:28:44] Speaker B: Mais sérieux, ça va être dingue. Non mais imagine... Ça arrivera pas, ça. Ça peut arriver, pour vrai. [01:28:49] Speaker D: Je crois pas à ça. [01:28:49] Speaker B: Je te dis pas que ça va se faire. [01:28:50] Speaker C: Non, non, moi je pense que ça peut arriver. [01:28:52] Speaker B: Il y a des chances. [01:28:53] Speaker C: Mais ça se peut que ça arrive pas aussi. [01:28:54] Speaker B: Parce qu'au niveau contractuel, les boys, c'est que The Kid, il a de la place pour lui parce que ça va... [01:29:00] Speaker C: Lui, il est à 8,7 millions. [01:29:01] Speaker B: Il est à 8,7, mais il reste deux ans. Puis il faut pas oublier une chose, c'est... [01:29:04] Speaker C: Mais toi, il le ramasse à la date limite des transactions l'année prochaine. [01:29:07] Speaker G: Oui. [01:29:07] Speaker C: Il va rester quoi, 2 millions payés sur sa masse salariale pour la saison? Puis 8,7 pour l'année d'après, c'est ça? [01:29:12] Speaker B: Oui, mais là, c'est parce que Demidov n'est pas entré encore parce qu'il va être dans un contrat à moins d'un million de dollars. Fait que t'sais, t'as comme une possibilité d'ajouter un gros nom avant de payer tes petits joueurs, tes rois de franchise. [01:29:22] Speaker C: Des plafonds augmentent à chaque année. [01:29:24] Speaker B: Oui, c'est ça. Mais t'sais, Demidov, il fera pas 6 millions, lui. Il va demander 10 et plus. Lane Hudson, probablement la même affaire. [01:29:29] Speaker D: Bref, ça va être dur. Ça va beaucoup te gère, là. [01:29:31] Speaker B: J'ai-tu encore un peu de temps ou... [01:29:32] Speaker C: Une minute, une minute. [01:29:34] Speaker B: Contrat télé. Jeff Monson, propriétaire du Canadien, qui a aussi glissé un mot sur le nouveau contrat, qui, selon lui, va se conclure bientôt. Tu te rappelles? Qu'est-ce qu'il y a, Pete? [01:29:43] Speaker D: Nick va échanger tout le monde contre Crosby. [01:29:45] Speaker B: Ouais, c'est ça. [01:29:47] Speaker D: Juste Slavkovski. [01:29:49] Speaker C: Il y en a un, débile, sur les réseaux. Le gars, il fait un peu... Ouais. [01:29:53] Speaker B: Le gars qui dit n'importe quoi. [01:29:54] Speaker C: Il dit-tu n'importe quoi, lui? Là, il dit... Vous allez voir, Mike David va venir à Montréal, mais sans papier, parce qu'il s'en va à Pittsburgh. [01:30:01] Speaker D: N'importe quoi. [01:30:01] Speaker C: N'importe quoi. Il raconte n'importe quoi. [01:30:03] Speaker B: Mais le deal télé, la ligue, c'est déjà entendu avec Sportsnet. Je vous rappelle, 12 ans, 11 milliards. C'est du cash pareil. Ils pensent jusqu'en 2038, mais y'a aucune entente en place avec un diffuseur francophone. Ça va se faire un peu à la carte, genre Bell ou Québécois qui vont négocier avec Rogers pour prendre le marché de chaque bar. [01:30:18] Speaker C: TVA Sports, c'est-tu la fin, là? [01:30:19] Speaker B: Pas nécessairement. Je pense qu'on pourrait avoir une division de match. [01:30:21] Speaker C: Ils perdent 50, 30, 40, 60 millions par année. [01:30:25] Speaker B: RDS, ils ont 60 matchs, puis TVA Sports en ont 22 actuellement. On pourrait avoir des modifications là-dedans, genre le repêchage pourrait être RDS avec la classique hivernale, plus de matchs du Canadien, ou peut-être un peu moins. [01:30:37] Speaker C: La façon que ça va être divisé. [01:30:38] Speaker B: Ça va changer, puis on aura peut-être du Crave qui va embarquer là-dedans, qui appartient à Bell, ou peut-être du Amazon francophone. [01:30:43] Speaker C: Puis moi, je pense que le Canadien pourrait avoir 25 matchs, le Canadien-TV, là. Habs-TV, quelque chose de même. Mais les Québécois, ce qui coûte cher, c'est le contrat avec la ligne nationale. Ça, t'enlèves ça, puis t'embarques juste dans le pôle des games au Centre-Belle. [01:30:58] Speaker B: Juste des games du Canadien? [01:30:59] Speaker G: Ouais. [01:31:00] Speaker B: That's it. [01:31:01] Speaker D: C'est tout. [01:31:01] Speaker B: Je sais pas si c'est possible dans ce package-là, mais... Hey, les capitales finales ce soir. Le début de 19h05 contre les Boomers. Non, c'est pas des vieux, c'est le nom de l'équipe. [01:31:09] Speaker D: Boomers. [01:31:09] Speaker B: Les Boomers. 19h05, c'est un 3 de 5. Ça débute ce soir puis on aura un match demain également à Québec. [01:31:15] Speaker C: Merci beaucoup. Après la pause, la bourse, les taux d'intérêt, l'inflation, ça commence à crier. [01:31:22] Speaker F: On revient. [01:31:22] Speaker A: Couture. [01:31:23] Speaker E: Restez là, on revient dans un instant. [01:31:26] Speaker A: Dans le mid, Razio X. Ah voilà, voilà! [01:31:32] Speaker D: Ça roule, ce show-là, hein? Ça roule! [01:31:35] Speaker A: Ça roule! Avec J.F. Black. [01:31:40] Speaker C: Son vibe est incroyable! [01:31:40] Speaker E: Et Louis Gauvin. [01:31:42] Speaker A: I am a machine d'incroyable! [01:31:44] Speaker E: Lundi au jeudi. [01:31:45] Speaker D: Dans mes pieds. [01:31:46] Speaker E: 19H. [01:31:47] Speaker A: Radio X. [01:31:48] Speaker D: Présenté par VapoShop, votre boutique d'articles pour vapoteurs et fumeurs. [01:31:52] Speaker A: Découvrez des produits de qualité pour tous les styles d'utilisateurs. [01:31:55] Speaker D: À Lévis, Montmagny et dans 8 boutiques. [01:31:58] Speaker A: Dans la région de Québec. [01:31:59] Speaker D: VapoShop.ca Aquavilan, ça c'est votre allié en plomberie et plancher. Aquavilan, c'est la nouvelle destination pour vos projets rénovation. Pensez à quoi vilain pour rénover votre salle de bain ou pour changer la robinetterie ou même pour l'évier de cuisine. Pensez voir nos produits et surtout vous inspirez à Québec à notre nouvelle succursale du Carrefour Neuchâtel et à Lévis sur Wilfrid Carrier. 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On vous attend chez Beauport-Nissan et Sainte-Foy-Nissan. [01:34:43] Speaker B: Vivez toute l'intensité du hockey avec le National de Québec. Assurez votre siège pour la saison complète dès aujourd'hui. Procurez-vous votre billet de saison sur notre site web ou sur notre page Facebook. Soyez au coeur de l'action pour la saison 2025-2026 de votre National. Présenté par Bernard Filiatro, gestionnaire de portefeuille et conseiller principal en gestion de patrimoine dans l'équipe de Champlain-Filiatro-Normand de la Financière Banque Nationale. [01:35:10] Speaker A: Salut, c'est moi, votre sommeil. Alors selon le dernier rapport de Dormez-vous que j'ai ici sous les yeux, vous seriez plusieurs à me négliger. Quand vous regardez huit épisodes de L'Amour est dans les tables, ou que vous jouez toute la nuit à Zombie Maximum Apocalypse Extrême Édition, ça m'affecte. Et dormir, vous avez du talent là-dedans. En plus, vous êtes capable de faire ça les yeux fermés. Laissez aller. [01:35:33] Speaker E: Pendant l'événement, votre sommeil mérite mieux. Nous payons les taxes sur tout. Pour un temps limité, seulement chez Dormez-vous. Certaines conditions s'appliquent. Ta situation a changé, tu veux vendre ton véhicule? Va sur VendTonChar.com et rapidement, reçois une offre en ligne. On paie le meilleur prix du marché. Tous les détails sur VendTonChar.com. [01:35:51] Speaker D: On jette pas de l'huile sur le feu. [01:35:53] Speaker A: On jette pas le bébé avec l'eau du bain. [01:35:55] Speaker D: Surtout, on jette pas son vieux frigo. [01:35:57] Speaker A: On le recycle. [01:35:59] Speaker B: Jette un coup d'œil sur GoRecycle.com pour découvrir toutes nos solutions. [01:36:03] Speaker A: À go, recycle ton frigo. Votre cuisine ou votre salle de bain a vraiment besoin de réno? Signature Simard a encore quelques places disponibles pour réaliser vos projets avant les fêtes. Oui, vous signez un contrat en septembre et on garantit la livraison avant Noël. 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[01:37:07] Speaker E: Avec Pierre Couture et Nick Cloutier. [01:37:11] Speaker A: Radio X. [01:37:17] Speaker C: Money, money, money. L'inflation qui augmente au Canada, on a eu les chiffres ce matin pour le mois d'août. C'est pas une grosse hausse. On était à 1,7, puis là, on monte à 1,9. On va se calmer. [01:37:36] Speaker D: Ouais! [01:37:37] Speaker C: Parce que là, je regarde le bœuf. Oui, le bœuf coûte plus cher. La viande, c'est 7,2 % de hausse année sur année. Bœuf frais ou surgelé, 12,7. Et la viande c'est 7.2, le bœuf 12.7, viande transformée plus 5.3. Et la bonne nouvelle, les fruits frais ont baissé de 1.1% année sur année. Ça avait monté au mois de juillet, mais le mois d'août ça a redescendu. L'essence joue beaucoup. 12,7 de baisse par rapport à l'année passée, même prix. Donc le prix de l'essence fait en sorte que, vous le voyez, ça pourrait être plus bas que ça. Pour le Québec, l'inflation est plus élevée que dans le reste du Canada parce que la taxe carbone qui est demeurée, elle, fait en sorte que notre prix de l'essence est plus élevé. Donc ça a joué, c'est sûr que ça joue. On dit que les vêtements Les services cellulaires, notamment, ça a baissé de 1,2 %. Les vêtements montent un peu tranquillement. Mais ça, vous le saviez, il y avait des tarifs, des contre-tarifs de Carnet sur les produits américains qui rentrent au Canada, ce qui était inclus dans l'accord de libre-échange, mais le gouvernement canadien venait surtaxer ces produits-là. Là, depuis le 1er septembre, on n'a plus ça, mais ça, ça a donné un coût au mois d'août encore. Ça fait que peut-être que l'inflation pourrait être encore plus basse que ça en septembre, parce que... Ce qu'on va voir, parce que les contre-tarifs vont être enlevés. Ça, ça jouait, là. Voilà. Je regarde la SAQ. On a eu les résultats financiers premier trimestre. Ça monte un petit peu, mais c'est lié directement à ça. Tu vois, les ventes en volume ont atteint 47,8 millions de litres. sur le dernier trimestre, une baisse de 3,6. Ça, ça veut dire qu'en volume, il y a une baisse de la consommation. [01:39:22] Speaker D: Ils en ont moins vendu, mais ils ont fait plus d'argent. [01:39:23] Speaker C: Ben, tu montres les prix de tes bouteilles. Donc, c'est la mécanique facile pour un monopole. Donc, t'as une hausse du bénéfice net de 0,3 %. C'est pas beaucoup. 307,5 millions, donc t'as moins de consommation au volume, mais tu montes les prix, fait que tu te reprends comme ça, ta belle gang de poissons, eux autres, ils mordent. Tire, tire loin, ton Toronto voir bleu, tire-les loin, puis ramène tranquillement, tu vas voir, ça va mordre. Et je regarde le chiffre d'affaires, c'est 1,1 % de hausse, 913,2, et la SQ, C'est clair, là. Là, je regarde les épiceries, les dépanneurs. Vous aviez développé toutes les ventes de coolers, puis de... Ils appelaient ça des boissons... [01:40:05] Speaker D: Prêtes à boire, là. [01:40:06] Speaker C: Oui, les prêts à boire. Mais là, on est en train de voler le lunch. [01:40:10] Speaker D: On veut... On s'occupe à non plein. [01:40:12] Speaker C: Gary me contait sa fille il y a quoi, 20 ans. Elle, elle achetait toutes ses boissons à l'épicerie pour aux dépanneurs. Puis là, dit, ils ne vendent plus mes produits, c'est rendu à sa cul. Fait qu'on a comme transféré plein de produits qu'on vendait dans les épiceries des dépanneurs. Tu sais, les dépanneurs des épiceries, ils ont besoin de vivre, eux autres ici. Ben là, on a ramassé ça, puis on amène ça dans les succursales. Ben, ils font ce qu'ils veulent. C'est un monopole. Tu sais que quand t'es... T'as une épicerie, t'as un dépanneur, pis t'as des produits alcoolisés qui marchent, ils peuvent venir te le chipper n'importe quand. [01:40:43] Speaker D: Pis tu sais, j'imagine que quand t'as des chiffres positifs de même, là, en montant tes prix, tu vas chercher ton bonus? [01:40:50] Speaker C: Ben oui! Ben oui! [01:40:51] Speaker D: Ah ben c'est ça! [01:40:51] Speaker C: Mais t'es tout seul! T'as un monopole! Voilà, ça va être encore dans l'actualité. La SEQ montre le prix trois fois par année. Ils font ce qu'ils veulent. Vie au travail, les employeurs. Combien ton salaire va monter cette année, Nick? [01:41:06] Speaker D: J'espère beaucoup. [01:41:07] Speaker C: En moyenne? [01:41:08] Speaker D: Oui, plusieurs milliers de dollars. [01:41:10] Speaker C: On a sondé les entreprises. On a sondé 1200 entreprises. C'est l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréé, CRHA. Et on dit qu'en moyenne, vos salaires, les Québécois, vont monter de 3,2 %. [01:41:23] Speaker D: Ah oui? [01:41:24] Speaker C: Donc, on s'attendait à 2,5, 2,6, mais là, c'est 3,2 %. Il y a plein d'affaires là-dedans. [01:41:30] Speaker D: Oui, il y a l'inflation qui diminue. [01:41:34] Speaker C: La hausse salaire minimum, oui, il y a ça, mais il y a aussi le fait qu'on veut retenir les travailleurs. On ne va pas les perdre parce que là, il y a des travailleurs, oui, on arrive sur le bord de la retraite, mais on ne veut pas perdre les travailleurs qui sont essentiels au roulement de l'entreprise. Donc, on est prêt à faire le 3,1. L'inflation, t'es à 1,9. Tu vois, il y a une déconnexion. Je pense que l'année prochaine, on va peut-être revenir sur Terre. Mais au Québec, sur Terre, c'est dur, je pense. [01:41:59] Speaker D: Ah, c'est absolument... C'est dur. [01:42:01] Speaker C: Mais il y a aussi le fait que... [01:42:02] Speaker D: Le coût de la vie est de plus en plus cher au Québec. [01:42:04] Speaker C: Oui, le coût de la vie. Puis là, tu veux garder tes travailleurs, mais il y a moins de... [01:42:08] Speaker D: Tu payes plus d'impôts. [01:42:09] Speaker C: Il y a moins d'entreprises qui se font choper leurs travailleurs parce que là, ça ralentit beaucoup. Les travailleurs étrangers, ça aussi, c'est très difficile. Vous voyez, puis là, la FCI, je voulais en parler avec eux autres, mais les travailleurs étrangers, dans la spécificité des postes, il y a beaucoup d'entreprises qui ont de la misère à recruter, même s'il y a 300 000 chômeurs au Québec, puis il y a 250 000 personnes sous l'aide sociale. Ça fait quand même 500 000 personnes disponibles pour travailler, ça, au Québec. Et on veut aller chercher des travailleurs spécialisés à l'étranger. Ça fait que le gouvernement dit, ben non, on embauche du monde ici avant, mais là, il faut que tu sois spécialisé. Donc ça, les entreprises, ça coûte cher, former des gens alors qu'ils peuvent aller en chercher à l'étranger. Ça fait que je pense qu'il y a un équilibre à aller trouver là. Mais je suis certain que 3,1 % au niveau des hausses de salaire attendues l'an prochain. Là, je regarde les marchés boursiers. Ça plante. Pas beaucoup, mais c'est dans le rouge. Pourquoi? Bien là, la Fed. Parce que là, on va voir la Banque du Canada demain matin à 10 h. La Fed, ça va venir un petit peu plus tard dans l'après-midi. On pense qu'on va baisser les taux. Est-ce qu'on est en train de pricer ça dans le marché? Je pense que oui, parce que le marché le laisse compter. Le S&P et TSX baissent de 150. À Toronto, c'est 153 points de baisse. Le Dow Jones baisse. Le S&P 500 est sur le bord. Le Nasdaq vient de tomber dans le vert. Le pétrole monte. L'or monte un petit peu. Puis les bitcoins, 115 177. Voilà, on revient après la pause. [01:43:33] Speaker E: Quand. [01:43:41] Speaker C: T'Es idéologiquement locked, quand t'es barré. [01:43:45] Speaker B: Dans tes affaires, bien souvent là, tu. [01:43:47] Speaker D: Vas prendre juste pis ça... pis vous. [01:43:49] Speaker A: Savez pourquoi on le fait tout un. [01:43:50] Speaker C: Moment ou un autre de notre vie? [01:43:52] Speaker A: On va prendre juste ce qui fait notre affaire. [01:43:53] Speaker C: Moi, j'essaie de me forcer à... Non, écoute plus large. [01:43:55] Speaker A: J'essaie d'aller voir après, j'essaie de comprendre, j'essaie de... Bon, des fois, y'a rien à comprendre. Ça arrive, mais encore là, on commencera. [01:44:01] Speaker C: Pas à se tuer pour ça, là. [01:44:07] Speaker A: Radio X. [01:44:08] Speaker E: Présenté par l'Entrepôt de la réno. Pour vos réno au meilleur prix, on vous attend maintenant au 9030 rue John Simons, coin Henri IV, et rue Jean H. Kruger, Trois-Rivières. Entrepôtdelareno.com. [01:44:19] Speaker C: OK, je vous parle de Kiyobo Park. Acheter un char neuf, c'est un gros mot. Si tu as besoin d'une équipe solide derrière toi chez Kiyobo Park, on est là pour toi aujourd'hui, pour les prochaines années off du mois. Le Sportage, le très populaire Sportage 2025, à partir de 120 $ par semaine. 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[01:46:32] Speaker A: On jette pas le bébé avec l'eau du bain. Surtout, on jette pas son vieux frigo. [01:46:37] Speaker D: On le recycle. [01:46:38] Speaker B: Jette un coup d'oeil sur gorecycle.com pour. [01:46:41] Speaker A: Découvrir toutes nos solutions. À go, recycle ton frigo. La route. La route. [01:46:47] Speaker B: La route. [01:46:48] Speaker A: L'écran. L'écran. La route. Les crains... La route. La route. [01:46:54] Speaker B: La route. [01:46:56] Speaker A: La route. Les crains. Les crains. [01:46:59] Speaker B: Le piéton qui traverse. [01:47:00] Speaker A: Le pare-brise qui craque. Le piéton à terre. [01:47:02] Speaker C: Le piéton à terre. [01:47:04] Speaker A: Le piéton à terre. Vos yeux ne voient qu'une chose à la fois. Si c'est les crains, ce n'est pas la route. Garder son attention sur la route, c'est juste la base. Un message du gouvernement du Québec. Québec sera encore complètement hockey. Les sénateurs d'Ottawa s'installent au Centre Vidéotron pour la dernière étape de leur camp d'entraînement la saison prochaine. Ils disputeront deux matchs préparatoires, le 28 septembre contre les Devils du New Jersey et le 30 septembre contre les Canadiens de Montréal qui affichent déjà complet. Venez encourager les Québécois David Perron et Thomas Chabot, sans oublier Braddy Katchuk, Tim Stutzla et Linus Olmark. Faites vite pour réserver vos billets pour le match contre les Devils du New Jersey sur jstef.com et ticketmaster.ca. [01:47:49] Speaker E: Escale VR s'installe aux Galeries de la Capitale. Rabais jusqu'à 20 000 $, taux exclusif et vérification de vos joints d'étanchéité plus la fermeture et l'ouverture de votre VR pour deux saisons avec achat. Escale VR aux Galeries de la Capitale jusqu'au 19 octobre face à meubles RD. [01:48:05] Speaker A: Lévy Chrysler, le meilleur concessionnaire de la Rive-Sud, où on s'occupe de vous pour. [01:48:09] Speaker C: Un Jeep, Ram, Dodge ou Fiat. [01:48:11] Speaker A: Wow! Lévy Mazda, c'est là où on s'occupe vraiment de vous pour un CX-3, CX-30, CX-5, CX-50, CX-70, CX-90. Hé, ça va faire les enfants. On est tous dans la même famille, celle d'Auto-Québec. [01:48:25] Speaker C: Et oubliez pas vos petits frères, Thetford Chrysler, Auto-Québec Occasion et Ford Appalaches. [01:48:31] Speaker A: Visitez auto-québec.com. [01:48:33] Speaker G: On s'occupe de vous. [01:48:35] Speaker A: Capsule. [01:48:36] Speaker E: Radio X. [01:48:38] Speaker A: Des ferblantiers ou frigoristes avec des cartes CCQ, chez IceTech, on a du temps plein, un salaire commercial, des chantiers d'envergure avec les grands maîtres constructeurs, du travail à l'année puis une gang vraiment soudée. Viens bâtir du solide. Postule au icetechclimatisation.com Le Los Balderas, resto de cuisine authentique mexicaine à Saint-Étienne, cherche un cuisinier proactif avec plein d'idées. T'es passionné de cuisine? 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Je vous rappelle que la troupe de Pat Scalabrine est invaincue au Stade Canac en série depuis leur arrivée dans la Ligue, soit trois ans maintenant. Trois championnats consécutifs, quatre finales en autant d'années, toujours premiers au classement. On va se souvenir longtemps de ces moments-là. Bonne finale! Let's go Caps! Dans la NFL, grosse victoire à l'arraché hier des Buccaneers. Remontée tardive avec une course de deux verges qui aura fait la différence à la toute fin du quadrant. Texas 19, Tampa 20. Les Chargers ont aussi battu les Raiders 29 hier du côté de Vegas. Les côtés blessures, déjà, on a des quarts arrière amochés. Eh boy, ça a pas été long. J.J. McCarty va rater 2 à 4 semaines chez les Vikings, une entorse à la cheville. Mais c'est pas mal moins pire que Joe Cool chez les Bengals qui va rater 3 mois confirmés pour une opération à un orteil. Et chez les Commanders, un cas incertain dimanche pour Jaden Daniels en raison d'une entorse au genou. Pas alarmant, mais quand même, ça fait du monde à mocher au pied carré. Et dans les majeurs, seul est le premier départ en carrière pour le meilleur espoir des Blue Jays, Trey Savage. Il a retiré neuf frappeurs au bâton en cinq manches, accordant un point, trois coups sûrs et deux buts sur balle. Victoire de Toronto 2-1 contre les Rays. Une cinquième de suite pour la tour de John Schneider. L'action se poursuivra ce soir, 19h35, toujours à Tampa Bay. [01:51:13] Speaker A: Pour plus de sport, ici BPM Sport. 100.9. Couture. [01:51:19] Speaker C: Pierre a livré la marchandise. [01:51:22] Speaker A: Dans le mid. [01:51:23] Speaker E: Avec Pierre Couture. [01:51:25] Speaker B: Pierre a réussi. [01:51:26] Speaker E: Énigme cloutier. [01:51:27] Speaker B: Les chiffres le pauvre. [01:51:29] Speaker A: Radio X. [01:51:31] Speaker C: Là, c'est le festival du non criminellement responsable. Ça commence à s'accumuler. La fillette qui avait été abandonnée par sa mère cet été, sa mère a été... soignée, mais elle a été reconnue non criminellement responsable. [01:51:47] Speaker D: Elle a un trouble de santé mentale. [01:51:49] Speaker C: Oui, mais là, elle veut sortir de Pinel. « Non, non, non, moi je repars. Vous m'avez trouvé non coupable, mais c'est correct, je repars. » Là, je sais pas si t'as vu, cet été à Montréal, il y a un père de famille juif, de confession juive, qui s'est fait donner une reine devant ses enfants. Le gars qui lui a donné la reine, c'est un immigrant, je pense, Cubain, mais non criminellement responsable à Laval. Ça a tombé hier, ça aussi. [01:52:16] Speaker D: Puis celui-là qui a fait le carnage avec l'autobus de Pierre-Nice-Saint-Amant aussi. [01:52:19] Speaker C: À Laval, non criminellement responsable. [01:52:21] Speaker D: Exact. [01:52:22] Speaker C: Mais y'en a-tu d'autres, là? [01:52:23] Speaker D: Ben là, le moins possible. [01:52:25] Speaker C: Là, je veux dire, là, si les... C'est parce qu'il faut... Je comprends qu'il y a des médications à prendre, mais ils ne prennent pas leurs médications. Ils sont dans l'air libre. À un moment donné, ça s'accumule. [01:52:34] Speaker D: Dans le cas de la fillette, je disais que sa mère, qui l'a abandonnée, disait... Dans ma psychose, dans mon état, je pensais que mon patron avait transformé ma fille en démon. [01:52:45] Speaker C: Non, non, je comprends. Je comprends tout ça. C'est parce que là, à un moment donné, on est-tu safe? Là, ça s'accumule, là. Puis là, il y a l'histoire de la bijouterie. L'autre gars dans la bijouterie qui a poignardé à madame, il est rentré dans la bijouterie, lui, il a dit « je la passe ». Lui, ses pilules n'étaient pas bonnes non plus. À un moment donné, ça s'accumule, là. Voilà. Merci beaucoup, Nick. [01:53:05] Speaker D: Plaisir. À demain. [01:53:06] Speaker C: Merci aux auditeurs d'être là, d'être fidèles au poste de Couture dans le Mid. JC, Pat et Max s'en viennent. À demain. Bye. [01:53:12] Speaker A: Couture dans le Mid. [01:53:15] Speaker E: Récoute les meilleurs moments. [01:53:17] Speaker A: Radio X.com. [01:53:19] Speaker E: L'application Radio X. [01:53:21] Speaker A: Radio. [01:53:22] Speaker E: Couture dans le mid présentée par Céramique L'Entrepôt. En ce moment, profitez de gros rabais comme du vinyle clic à 1,79$ le pied carré et du plancher flottant à 99 sous le pied carré. Céramique L'Entrepôt, 850 Pierre-Bertrand. [01:53:42] Speaker A: Le conseiller municipal indépendant d'en Charlebourg, Éric Raff Mercier, se joint à la formation politique Respect citoyen et son chef Stéphane Lachance en prévision de l'élection municipale prévue le 2 novembre prochain. Une annonce faite aujourd'hui dans les corridors de l'Hôtel-de-Ville. élu sous la bannière de Québec 21, devenu Équipe Priorité Québec, Éric Raffmercier s'est toujours opposé au projet de tramway. Dans un désir de sensibilisation aux grands excès de vitesse, la Sûreté du Québec informe les citoyens qu'un conducteur de 19 ans muni d'un permis probatoire a été intercepté samedi soir dernier sur l'autoroute Henri IV à la hauteur de Chauveau à 167 km heure. Le jeune homme a reçu un constat de 1386 $ et 14 points d'inaptitude. Son permis de conduire fut suspendu immédiatement pour 7 jours. [01:54:50] Speaker D: Gold Wanted recherche des représentants sur la route pour agrandir son équipe. Voyage à travers le Canada pour rencontrer nos clients et évaluer leurs plus beaux objets de valeur. Tu es fonceur, débrouillard et t'aimes les gens? L'aventure, ça t'allume? Parcours le pays, toutes dépenses payées. 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[01:55:56] Speaker B: Pour une voiture, c'est Charlebourg Toyota. [01:55:59] Speaker A: Évalue ta com' neuve au comneuve.com Les RTV Kubota repoussent les limites pour que. [01:56:07] Speaker C: Vous puissiez travailler et jouer à votre aise. [01:56:10] Speaker A: Obtenez présentement du financement allant jusqu'à 0 % sur des modèles sélectionnés. Visitez votre concessionnaire Kubota pour plus de détails. [01:56:17] Speaker D: Vous voulez vendre votre maison? [01:56:19] Speaker A: SimonLaberge.com, les courtiers immobiliers numéro 1 au Québec du palmarès Via Capital. [01:56:25] Speaker D: Ils ont les connaissances, l'expérience et le réseau de contact. [01:56:27] Speaker A: Vous voulez vraiment vendre votre maison? [01:56:29] Speaker D: SimonLaberge.com, courtiers immobiliers Via Capital. [01:56:32] Speaker A: SimonLaberge.com. [01:56:34] Speaker D: Quelle belle journée pour venir essayer le superbe Kia EV9 chez Kia Lévis. 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[01:58:15] Speaker B: Oui, mais t'as compris que c'était pas juste pour toi, là, c'est vrai. OK, Pierre-Luc, si tu le dis. Ouais, ben je te le dis, là. [01:58:20] Speaker A: VoxFest, c'est pour tout le monde. Profitez d'offres à partir de 0% et obtenez jusqu'à 1000$ en Bonnie VoxFest sur certains modèles. Faites vite, les offres se terminent le 30 septembre. Sur appro Salut, c'est moi, ton sommeil. Écoute, je profite de la pub de Dormez-vous parce qu'il faut absolument que je te dise que je m'ennuie. Je m'ennuie de nous, je m'ennuie de nos dodos, des marathons qu'on se faisait quand t'étais bébé, des grosses après-midi de ton adolescence. Maintenant, là, tu travailles tard, tu sors tard. Puis tu sais que tout ça, ça va te rattraper un jour quand tu vas t'endormir puis baver un petit peu sur l'épaule de ton voisin d'autobus? Ah, ça faisait longtemps que je voulais te dire ça. [01:58:53] Speaker D: Ça fait tellement de bien. [01:58:54] Speaker A: Merci, Dormez-vous. Ça me donne envie de chanter. Ah, puis j'y vais.