Episode Transcript
[00:00:00] Speaker A: ♪ ♪ ♪ 10h01.
Bienvenue à Couture dans le Mid.
Il est avec vous jusqu'à midi. Ouais, Nick, ça va?
[00:00:34] Speaker B: Ça va très bien.
[00:00:36] Speaker A: Brasse sur la colline parlementaire, là.
[00:00:40] Speaker B: Ouais, ben là, il y a l'annonce du fameux remaniement ministériel. J'ai l'impression qu'il y a peut-être des mécontents.
[00:00:46] Speaker A: Là, on commence à voir des noms circulés et des noms qui disent que moi, c'est terminé pour la politique.
[00:00:54] Speaker B: Oh!
[00:00:55] Speaker A: André Laforêt, ministre, qui a annoncé ce matin qu'elle allait quitter ses fonctions.
Elle, elle se présente à la mairie.
[00:01:03] Speaker B: Ouais, c'est ça la rumeur, là. C'est confirmé, là?
[00:01:05] Speaker A: Ben, ça va être annoncé un petit peu plus tard dans la journée, là. Je pense vers 11h, il y a un point de presse. Elle, c'est du côté du Saguenay, hein? C'est ça? Là aussi, là... Absolument. Ben, la mairesse là-bas... Ayoye! Donc, voyez-vous, là, on commence à voir du monde quitter le navire. Caquiste!
[00:01:24] Speaker B: Ouais.
[00:01:24] Speaker A: Christian Dubé a annoncé, lui, qu'il ne se représentait pas.
[00:01:28] Speaker B: C'est ce qu'il avait annoncé il y a longtemps.
[00:01:30] Speaker A: Et ça, il l'a reconfirmé. Il y a Éric Girard aussi, est-ce qu'il va continuer? Lui, c'est comme un rivalant. Mais là, il faut sortir. Il faut le dire. On quitte ou on reste. De toute façon, le remaniement qui aura lieu la semaine prochaine, François Legault pensait faire ça cette semaine, mais là, sa clé continue aussi, là, d'amener des mauvaises... — Décorchés. — Aïe, tabarouette.
[00:01:53] Speaker B: — Tout le monde.
[00:01:53] Speaker A: — Incroyable. Fait qu'on est pas mal là-dedans et on dit que la semaine prochaine, un remaniement à Québec majeur. Là, il va se faire des mécontents, là. Je regarde Geneviève Guilbeault, vice-première ministre, est-ce qu'elle pourrait dégommer des transports, c'est sûr qu'elle va perdre des transports.
[00:02:09] Speaker B: Hier, ça a l'air qu'à la sortie de la rencontre des ministres à l'Assemblée nationale, elle n'a pas dit un mot. Elle avait un visage, dit-on, qui semblait mécontent.
[00:02:24] Speaker A: Parce qu'elle, on l'a vu, la semaine dernière, comme si on galance sa clique, ça n'a pas été bien pour elle. Puis le go, cette semaine, c'est vendredi, le go.
Non, c'était le mardi, le gars, il l'a tiré en dessous de l'autobus.
[00:02:40] Speaker B: Ouais, il a dit les deux. Le ministre des Transports aurait dû poser beaucoup plus de questions.
[00:02:45] Speaker A: Exact. Donc là, les rumeurs veulent qu'elle pourrait perdre son poste de vice-première ministre. Moi, je le sais pas, là. Mais tu me dégommes. Puis moi, j'ai mangé à la marde pour vous dire, parce qu'elle... Tu sais, François, le gars, quand il a vu la soue à cochon, au ministère des Transports, ben, ça clique. Il est nommé Geneviève Guilbeault, là. Tu sais, tu donnes un ministère problématique. Elle a ramassé la soue, là.
[00:03:14] Speaker B: Oui. Elle l'a dit en chambre.
[00:03:16] Speaker A: Oui, pis t'as vu la lettre qu'elle a envoyée Legault au mois de décembre.
[00:03:19] Speaker B: Elle l'a dit en chambre. Ce qui est drôle, c'est que Legault, à ce moment-là, lorsqu'elle a dit que c'était un bordel au ministère des Transports, Le gars a dit wow wow wow pis il a défendu Bonnardel, mais en commission parlementaire, ben la commission d'enquête, il a jeté lui au sens de l'autobus.
[00:03:35] Speaker A: Mais non, il a garroché pas à peu près. Fait que moi je sais pas là, mais s'il se règle des comptes de même, là j'aime bien qu'il va à peu près avaler des couleuves là à un moment donné, y'a peut-être une limite là.
[00:03:46] Speaker B: Moi j'ai l'impression qu'avec cette prorogation-là du Parlement et le remaniement ministériel...
[00:03:51] Speaker A: Mais c'est pas fait, il est pas prorogé.
[00:03:52] Speaker B: Non, non, je sais, mais en tout cas, c'est la rumeur qui circule pas mal.
[00:03:56] Speaker A: Oui, oui.
[00:03:58] Speaker B: Je pense qu'il va y avoir beaucoup de mécontents. Est-ce qu'il y a des ministres ou d'anciens ministres qui vont sortir et qui vont dire « le gars a perdu la leadership de la CAQ ».
[00:04:09] Speaker A: Elle pourrait faire du dommage. Si jamais il n'est pas capable de la contrôler, il enlève son poste de vice-premier ministre, donne ça à Mme Fréchette et là il donne un ministère genre l'environnement.
Iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Il y a juste 4 joueurs en liste pis c'est le plus gros tournoi au monde là. C'est le US Open. Il va affronter Sener. Sener c'est une machine là, numéro 1. Pis l'autre bord c'est Alcaraz contre Djokovic. Pis t'as Félix Auger-Aliassime dans le carré d'as.
[00:05:06] Speaker B: Absolument. C'est très bon.
[00:05:07] Speaker A: Félix c'était 25e au monde. Il a eu des problèmes de dos, il a été blessé. Il a pas eu... Tu sais depuis 2 ans là ça...
[00:05:14] Speaker B: Mais as-tu vu ses services, le nombre.
[00:05:16] Speaker A: D'Anses qu'il a réalisés? Ah non, ça passe. Ça passe, mais contre Sénœur, il va avoir de la misère. Parce que Sénœur, j'ai regardé le match hier soir, c'était un compatriote italien. Le gars était pas mauvais, mais il est bien trop fort, Sénœur. C'est une machine. Donc, Félix, je ne sais pas comment il va faire. Il peut le battre. C'est ça, on va y souhaiter bonne chance. Mais écoute, rendu là. Et là lui, il est passé de 25e, il serait 11e ce matin dans le ranking, voire peut-être retomber même 10e. Il a déjà été dans le top 10.
Il faut que tu le fasses, t'es dans le top 10 au monde en tant que joueur de tennis.
[00:05:52] Speaker B: Ah c'est capoté. Pis t'sais, moi j'ai regardé, je te dirais, le match était déjà commencé quand Félix Auger, Eliassime, a remonté la pente. Le premier set était joué. Pis j'ai commencé à regarder à partir de ce moment-là.
[00:06:05] Speaker A: Moi, il a perdu le premier set.
[00:06:06] Speaker B: Moi?
[00:06:06] Speaker A: Ouais.
[00:06:07] Speaker B: Mais c'est toute la remontée, c'est le caractère, beaucoup de bris d'égalité.
[00:06:11] Speaker A: Ben t'as vu comment il cassait le service de l'autre, puis comment il y a eu quoi, il y a eu 7-6, 7-6, il y a eu quand.
[00:06:16] Speaker B: Même... Beaucoup de double faute des deux barres, là.
[00:06:18] Speaker A: Oui, oui. Mais quand même, tu vois là, c'est le club avantage ici à Québec, là.
[00:06:23] Speaker B: Oui, je le suis.
[00:06:24] Speaker A: C'est le gars de Québec.
[00:06:25] Speaker B: C'est malade.
[00:06:25] Speaker A: Capoté.
[00:06:26] Speaker B: Très bon.
[00:06:26] Speaker A: Voilà, ben bravo. On va suivre le reste parce que là, c'est la grande danse, là. Quand tu tombes dans le carré d'as, les contrats rentrent aussi, nouveau publicité, là.
[00:06:35] Speaker B: Tant mieux!
[00:06:36] Speaker A: Il va dans les voiles. Sa carrière va déjà très bien.
[00:06:40] Speaker B: Il va monter au classement aussi.
[00:06:41] Speaker A: Oui, c'est ça que je te dis. 25 à 10, 11. Peut-être top 10 même. Il va peut-être rentrer. Si demain il gagne, ça pourrait l'amener à un autre niveau.
[00:06:51] Speaker B: Le défi c'est de rester là.
[00:06:53] Speaker A: Absolument. Bonne nouvelle pour Québec. Championnat du monde de hockey féminin, ça va être confirmé dans les prochaines heures. En 2027.
[00:07:03] Speaker B: Ah oui, ça, c'est une bonne nouvelle.
[00:07:05] Speaker A: Hockey féminin qui prend de plus en plus de place. Québec veut une équipe aussi. Québecard l'a dit, dans la ligue professionnelle. Montréal est là-dedans. Il y a d'autres équipes canadiennes, américaines. Mais là, je pense qu'il faut aller là. On a fait un match, c'est quoi, c'est... plus tôt cette année, c'était bien plein. Le centre Vidéotron était bien plein. Également, championnat du monde d'hockey junior. 2029, très bon pic aussi.
Ça, le hockey junior, ça pogne au bout. Et je pense que Québec l'avait déjà eu en 2008. Ça avait été un succès sur toute la ligne. Donc, pour l'organisation, c'est Québécois et c'est Martin Tremblay, entre autres. Ben, eux autres, c'est deux grosses acquisitions.
[00:07:48] Speaker B: Ah oui, c'est parfait, ça.
[00:07:49] Speaker A: Et à ce qu'on me dit, la Coupe Memorial 2028 s'enviendra à Québec aussi. On est en liste.
[00:07:54] Speaker B: Oh yeah!
[00:07:55] Speaker A: Ça va être annoncé prochainement aussi.
On est en liste. Est-ce qu'on va l'avoir? Je sais pas.
[00:07:59] Speaker B: Non, non, c'est ça, mais quand même d'avoir les deux championnats mondiaux.
[00:08:02] Speaker A: Donc, tu as 2027, le championnat du monde d'hockey féminin. 2028, tu auras la Coupe Memorial à Québec. Puis 2029, le championnat du monde d'hockey junior. Hein? Ce serait pas pire, ça?
[00:08:12] Speaker B: Ce serait écœurant.
[00:08:14] Speaker A: Ce serait pas pire.
[00:08:14] Speaker B: On passerait beaucoup de temps au Centre Vidéotron, Pierre.
[00:08:18] Speaker A: On y va pas mal, hein?
[00:08:19] Speaker B: On y va déjà pas mal, mais encore plus.
[00:08:21] Speaker A: Encore plus. Mais on a besoin de ça parce que je regarde la rentabilité de ce Centre Vidéotron-là.
C'est entre 100 et 110 soirs par année. À peu près. Les remparts c'est quoi, 40-45 matchs? À peu près là.
[00:08:34] Speaker B: Fin de parenthèse, j'ai vécu l'expérience l'année passée au Rempart, dans une loge. Pis tu peux louer des loges, hein, à la gang, là. Pas tant cher, là. Tu t'organises une vingtaine de personnes.
[00:08:45] Speaker A: On a des spectacles aussi.
[00:08:46] Speaker B: C'est capoté. C'est magnifique, là. Y'a des différents forfaits, là. Mettons que tu prends le forfait de base, t'as quand même une ou deux bières, je pense, par personne. Un peu de bouffe. T'as tout l'espace, là. Les bains, la vue.
[00:08:58] Speaker A: C'est une entreprise, pis t'invites tes clients.
[00:09:02] Speaker B: Ben oui, tu peux faire ça.
[00:09:03] Speaker A: Du corporate, pis quelques employés à travers. Y'a une façon là, c'est le corporatisme.
[00:09:10] Speaker B: Le corporatisme!
[00:09:11] Speaker A: Bon ça, ça dépasse!
[00:09:13] Speaker B: Mais je pense que je vais répéter l'expérience, une dizaine de chums là.
[00:09:17] Speaker A: Ben les shows aussi, tu peux faire ça.
[00:09:18] Speaker B: Ouais, c'est ça.
[00:09:19] Speaker A: Parce que souvent les loges, y'a des loges de vide. Fait que là, tu te cotises, t'es une dizaine, je pense que ça revient à cent quelques piastres.
[00:09:24] Speaker B: À peu près, une centaine de piastres par personne.
[00:09:26] Speaker A: T'as de belles soirées.
[00:09:27] Speaker B: J'ai un beau trip. T'as un stationnement inclus.
[00:09:29] Speaker A: Ben plein, tu vas pas l'encharger.
[00:09:31] Speaker B: Ben non, tu te fais ramener. Tu prends le...
[00:09:35] Speaker A: Tolérance zéro.
[00:09:37] Speaker B: Tu prends un de tes jambes là pis tu tires au hasard pis tu te dis bon ben c'est toi qui chauffe.
[00:09:41] Speaker A: Exact. Hey NFL ça commence ce soir aussi.
[00:09:44] Speaker B: Ouais gros match.
[00:09:44] Speaker A: On va parler avec Jordan. C'est Dallas, les Cowboys contre les Eagles. Ça c'est une rivalité très très... Ça fait longtemps là que les autres se tapent sur la gueule.
Et d'ailleurs, si tu vas à Philadelphie avec ton côte des cow-boys, ça se peut que tu ressortes ça.
[00:09:59] Speaker B: C'est vrai?
[00:09:59] Speaker A: Ah oui, tu ressortes ça. Je connais quelqu'un qui...
[00:10:02] Speaker B: En son trintemps, c'est Philadelphie.
[00:10:03] Speaker A: Ah non, à Philadelphie, ils veulent se battre tant que toi, là.
[00:10:05] Speaker B: Ah oui?
[00:10:06] Speaker A: Les partisans des Eagles, c'est pas des doux. À Philadelphie, habituellement, dans le sport, c'est pas...
[00:10:11] Speaker B: Généralement, je pense, Pierre, Philadelphie, c'est tough.
[00:10:13] Speaker A: C'est là que le Père Noël avait mangé une volée. Ah oui, il y avait des fans... Ah oui, il y avait un gars déguisant Père Noël pendant une game, je pense des... Je sais pas qui... Je pense que c'était les Eagles. Pis le Père Noël, il s'est fait ramasser. Ils l'ont plaqué.
[00:10:25] Speaker B: Tabarouette!
[00:10:27] Speaker A: Mais je connais un gars, moi, c'est un partisan des Cowboys qui avait été à un match des Eagles à Philadelphia avec son gelée des Cowboys pis sa veste des Cowboys pis il s'est fait plaquer. Il s'est fait ramasser.
[00:10:39] Speaker B: Ouais, ouais, ça a l'air, c'est tough.
[00:10:40] Speaker A: Ah oui, tu peux te battre facilement, là. C'est comme avec les Flyers aussi, ils sont pas reposants.
Donc voilà, ce soir NFL, Jordan va en parler, on va parler de tout ça. En économie, je vais en parler également. Puis on va essayer d'avoir un gars d'NFL. On avait Jean Carrier, du Soleil. Je pense demain, je vais l'appeler.
[00:10:57] Speaker B: On va appeler Johnny. Pourquoi pas.
[00:10:59] Speaker A: Johnny football. Voilà. Hey, Sam Hamad. D'ailleurs, à 10h20, on va avoir Hugo Langlois qui se présente pour l'équipe de Saint-Mamade, mais il est à Barouat hier encore, conférence de presse difficile. Les jeux d'eau, on parle. Il est installé sur des jeux d'eau. Il savait pas.
[00:11:18] Speaker B: Mais là, je sais pas qui s'occupe d'organiser les points de presse, là. Les publications sur les réseaux sociaux, mais peut-être, faut peut-être bien resserrer la vis, Pierre. Ça va prendre un coup de barre, là. Je sais pas.
[00:11:32] Speaker A: Je sais pas là, mais...
[00:11:34] Speaker B: Comprends que c'est des erreurs de bonne foi.
[00:11:36] Speaker A: Mais là il y a une histoire, il y a des photos encore. Il parlait du tramway, puis il a pris des photos de New York là aussi. Non, ça parait quelqu'un au com, là. Quelqu'un qui screen tout, là. Puis tout ce qui sort, c'est approuver le site, puis...
[00:11:48] Speaker B: Il va falloir.
[00:11:49] Speaker A: Verser les communications. Je sais pas qui fait les coms, là. Mais là, il va falloir donner un coup de barre, là.
[00:11:54] Speaker B: En effet.
[00:11:55] Speaker A: Voilà, c'est dit. Est-ce qu'on va avoir une greffe d'autobus? Demain?
[00:12:01] Speaker B: Ben là, on a présenté, je pense... J'ai lu un petit peu... Ben ouais, à date là, je... Je sais qu'on a déposé une offre... Bon c'est ça.
[00:12:12] Speaker A: Il y a une entente de principe. Il y a une entente de principe qui a été déposée par le RTC avec le syndicat, mais le syndicat, demain, leur rencontre est à 9h30. Mais eux autres, ils partent en grève, c'est à 5h du matin. Non, on peut-tu avoir un mot d'ordre là?
Ouais, c'est parce que là, ils vont présenter. L'autre affaire, c'est que si les gars travaillent, ils pourront pas aller à leur rencontre, leur rencontre de syndicat. Pourquoi tu fais pas ça à soir? S'il y a un entente de principe, parce que du côté du RTC, on présente l'entente à 14h du côté des employés administratifs, je pense. Mais là, c'est des techniciens aussi, les mécaniciens. Mais on dit que l'entente va être présentée à 14h du côté du conseil d'administration du RTC sur l'hypothèse de règlement, l'entente de principe. alors que du côté des travailleurs, des salariés d'entretien, ça irait demain à 9h30, après le déclenchement de la grève. En passant, les autobus peuvent rouler.
[00:13:08] Speaker B: Oui, je le sais, mais ils rouleront pas.
[00:13:10] Speaker A: Parce que les chauffeurs sont capables de faire l'inspection juste d'une journée. Parce que là, on s'entend que s'il y a une entente de principe demain à 9h30, on présente ça aux employés pis on vote.
À un moment donné, il n'y a plus de grève.
[00:13:24] Speaker B: Oui, mais non, non, c'est ça. Sauf que si, dans l'espèce d'entente et convention collective, le syndicat dit à un chauffeur qu'il n'a pas le droit de faire son inspection, il roule ça.
[00:13:32] Speaker A: Non, ils ont le droit.
[00:13:33] Speaker B: Ils ont le droit. Oui, oui.
[00:13:35] Speaker A: Mais c'est la direction du RTC qui prend la décision de ne pas faire rouler les autobus.
[00:13:38] Speaker B: Ben voilà.
[00:13:39] Speaker A: C'est le bottom line, là.
Saaklik. Saaklik, hier, on a appris une bonne aussi, parce qu'on avait beaucoup d'élégués en Inde. Tout le contrat informatique SAP, l'LGS. Et là, il y avait des travailleurs en Inde qui travaillaient pour Saaklik, puis ils ne savaient pas c'était quoi Saaklik. Ils n'avaient aucune idée.
[00:13:59] Speaker B: Les autres, ils codaient.
[00:14:00] Speaker A: Eux autres, ils codaient, puis ils envoyaient des offerts. Puis là, un moment donné, les gens travaillaient avec des gens en Inde, des ingénieurs informatiques.
pis on parlait avec ces gens-là pis on disait ben, êtes-vous au courant que telle, telle affaire? Le gars, t'es même pas au courant, l'autre bord.
[00:14:14] Speaker B: Non, non, c'est ça. Eux autres, ils avaient un mandat de livrer de patentes.
[00:14:18] Speaker A: Eux autres, ils travaillent pour une compagnie qui est un sous-traitant d'un sous-traitant pis regarde, écartes-nous pas, sac, saclic, je m'en fous, là. Moi, je travaille pis je vous garde. Un moment donné, il disait, le gars, c'est un des ingénieurs qui a témoigné hier à la commissaire Gallais, il disait, on essayait d'avoir du rendement des gens de l'Inde pis y'en avait pas, là. On voulait un... On voulait 26, mais il arrivait... Il arrivait à 25 Oui, il arrivait à 27, mais on avait dit 26. Je veux dire, c'était pas précis. C'était tout le temps tout croche. Tu sais, de l'impartition, des fois, c'est comme faire faire ton logo en Inde par « Je suis pas qui ». Le logo revient, pis tu dis « voyons ».
[00:14:56] Speaker B: Ça marche pas cette affaire-là.
[00:14:57] Speaker A: C'est ça. Hey, c'est tout croche.
[00:15:00] Speaker B: Ça a l'air qu'il y a beaucoup, beaucoup de compagnies en informatique qui ont de la sous-traitance en Inde. Ça a l'air que ça code là-bas.
[00:15:07] Speaker A: Oui, mais je comprends. Et là, tu travailles avec du monde qui savent même pas c'est qui pis c'est quoi.
[00:15:11] Speaker B: C'est parce que si tu as un sous-traitant d'un sous-traitant d'un autre sous-traitant, à un moment donné, c'est sûr que ta commande, elle peut pas être à 100 % comme tu la veux. Il y a trop d'intermédiaires dans la patente.
[00:15:21] Speaker A: Mais l'argent sort du Québec pareil.
[00:15:23] Speaker B: Ben oui, ils ont payé.
[00:15:24] Speaker A: Tu sais, c'est parce que moi, je donne un contrat à une compagnie d'ici qui me dit les contrats vont être faits avec des Québécois, donc tu assures qu'il y a un retour au moins, ils vont payer de l'impôt, etc. Là, c'est une compagnie en Inde, sous-traitant, t'as rencontré dans un congrès, faut pas trop là, pis là, hey, je peux te faire ça pas cher, pis t'sais, il y en a là, du cheap labour, il y en a partout.
[00:15:44] Speaker B: Oui.
[00:15:45] Speaker A: Ben c'est ça, c'est ça que ça donne.
[00:15:46] Speaker B: Cheap labour, ça donne quoi?
[00:15:48] Speaker A: Ben ça donne 5 clés, pis ça fait un site qui devait coûter 458 millions, pis on est rendu à 1,1 milliard, pis la facture continue. Parce que c'est un contrat de 10 ans ça, d'entretien et tout là.
[00:15:59] Speaker B: Ben oui.
[00:16:00] Speaker A: Voilà. Fait qu'on est là-dedans pas mal, du côté. de la SAC. D'ailleurs, la SAC, dans deux semaines, va venir à Québec. Ben, la commission Gallant, là. Ils vont débarquer à Québec. Karl Malenfant va témoigner de Québec. Ah oui? Là, ils sont à Montréal. Ils vont venir.
[00:16:16] Speaker B: Ils vont faire ça de Québec pour lui.
[00:16:17] Speaker A: Oui, entre autres. Puis, il y a Nathalie Tremblay, l'ex-PDG. PDG de la SAC, aussi. Ils vont venir voir du monde ici, à Québec. Il y a des firmes ici, à Québec, qui étaient dans ces contrôles-là. Je pense que c'est le GS, SAP. Donc voilà, hey, Renaud Labrecq hier dans le show de JC, c'est très intéressant ce qu'il a dit, notamment sur le coût d'emprunt du tramway, parce que souvenez-vous, Bruno Marchand va payer 700... parce que la portion de la Ville de Québec pour le projet de tramway, c'est 750 millions de dollars. Et ce que Marchand a fait, il est en train de faire, c'est que lui, il va dire, il a dit là, moi je vais payer cash. 750 millions de dollars. Puis l'argent, je vais la ponctionner en 2021, puis 2029, 2030, par des taxes, sur taxes, aux citoyens de Québec. Et selon Renaud Labrecq, c'est une pratique qui n'est pas reconnue, mais qui n'est pas souhaitable. Parce que dans le fond, les gens qui vont utiliser trois mois après 2029, bien, ils n'auront pas à payer cette surtaxe-là, ils n'auront pas à payer cette surtaxe qui aurait été imposée à des gens de Québec entre 2021 et 2029. Et ça, on dit qu'on ne recommande pas ça, notamment à l'Union des municipalités du Québec, de faire ça de cette façon-là. Il va nous l'expliquer. On doit aller en règlement d'emprunt, on doit emprunter l'argent à un taux X, on lui met des billets obligataires à 3,1 %. Mais au moins, ça fait en sorte que les promoteurs immobiliers qui vont profiter du projet de tramway, eux autres, après 2029, ben, vont payer leur cote-part. Alors que là, le terrain, ils sont pas défrichés, ils payent un petit montant de taxes sur le terrain, mais une fois qu'ils ont fait le projet après ça, eux autres profitent du tramway. Les gens après, qui viennent s'établir au Québec, Profite du tramway, mais la ponction était faite en 2021-2029. Il dit que c'est une pratique qui.
[00:18:12] Speaker B: Est très... Ça pénalise tous les gens qui sont résidents de Québec, là, là.
[00:18:18] Speaker A: Comme moi, là. Moi, je paye une taxe pour un tramway. En 2021-2029, c'est une surtaxe sur mes comptes, mon compte à la ville. Écoutez ça. Absolument.
[00:18:29] Speaker C: Les villes, on a accès à des règlements d'emprunt via le marché financier, via l'émission d'obligations puis de billets. C'est des taux très intéressants. Donc là, de faire une réserve financière seulement avec les résidents de 2021, on va dire à 2029, les deux mandats, vous comprenez où je veux m'en aller, ça va être seulement eux qui vont avoir cotisé au Bas-de-Laine. Et les gens qui vont arriver par la suite, ou les nouveaux arrivants, ou les gens qui déménagent, ne bénéficieront pas de cette infrastructure-là. Le règlement d'emprunt, ce que les ministères de l'Affaires municipales encadrent, c'est de financer via un règlement d'emprunt afin que tous et chacun cotisent de façon égale durant la durée de vie du projet.
[00:19:01] Speaker B: Au long du temps, ben oui.
[00:19:02] Speaker C: Voilà, ça c'est une approche saine et transparente.
[00:19:05] Speaker A: Saine et transparente. Hein?
[00:19:07] Speaker B: C'est ce que... C'est ce qu'on devrait faire.
[00:19:10] Speaker A: Exact. L'autre chose qui est sortie, Renaud. L'histoire du parc à chiens.
[00:19:14] Speaker B: Oui.
[00:19:14] Speaker A: Le parc canin à Duberger qui a coûté 800 000 $. 800 000 $, Nick.
[00:19:21] Speaker B: Ben c'est quoi ça, un espace... Oui?
[00:19:25] Speaker A: J'entends... C'est parce que mon invité est arrivé pis... On va te faire commenter, ça sera pas long. Il bouille.
[00:19:31] Speaker B: Mais non, mais tu sais, ça prenait des clôtures, puis il y avait des clôtures pour un terrain de baseball, puis c'est un terrain qui est quand même un peu plus grave.
[00:19:37] Speaker A: 800 000 $ pour un parc à chiens?
[00:19:38] Speaker B: 800 000, Pierre.
[00:19:39] Speaker A: Écoutez, ce qu'ils ont fait à... B-Saint-Paul. B-Saint-Paul.
[00:19:43] Speaker C: On se rappelle à la Ville de Québec, il y a déjà un bon moment, j'avais décrié le fameux parc canin à pratiquement 800 000 $, qui inclut aussi des clôtures de baseball, mais un n'allait pas sans l'autre. C'est un parc canon qui est pas mal terminé, pour être honnête, puis qui est relativement très, très, très banal. Par contre, où je vais en venir, c'est que c'est un parc banal de la clôture, un abreuvoir, une coupe de roche et tout. C'était à coûter 800 000 avec les clôtures.
[00:20:06] Speaker B: Incroyable.
[00:20:06] Speaker C: La ville de Baie-Saint-Paul, elle, de son côté, s'est tournée... En fait, elle a fait des efforts. Elle a fait des efforts et elle a fait du courage politique. Et elle a bâti un parc canin au Parc du Gouffre, qui est toute proportion gardée à quelques centaines de pieds carrés près. 150, plus ou moins, exactement, selon Google Maps et Google Images. La même dimension que la Ville de Québec. Mais la Ville, et je vous cite l'article de la Ville de Saint-Paul, la nouvelle infrastructure attendue depuis plusieurs années a coûté 35 000 $ à la Ville et a été bâtie par l'équipe municipale et décorée par des artistes locaux.
[00:20:38] Speaker A: Voilà, voilà. Là je comprends, Bézinpast c'est plus petit que Québec, puis Québec c'est pas une binerie. On comprend ça. Mais en 35 000 et 800 000, voyez-vous là comment vos impôts font du chemin à la ville de Québec, vos taxes là. Là c'est pas de la déformation là.
[00:20:55] Speaker B: Non non, c'est des faits là. Vérifié.
[00:20:57] Speaker A: Oui. Parce qu'il y en a un à Ville de Québec, il dit qu'on déforme les... Non, non, c'est vraiment ça là. Hé, mais 800 000$ pour un parc caché?
[00:21:08] Speaker B: Ben écoute, ça doit être de très belles clôtures.