September 10, 2025

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Une hausse du permis de conduire prévue à la SAAQ ?

Une hausse du permis de conduire prévue à la SAAQ ?
Couture dans le mid
Une hausse du permis de conduire prévue à la SAAQ ?

Sep 10 2025 | 00:19:23

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Show Notes

L’intro de Couture dans le mid: Geneviève Guilbault a été sauvée par François Legault
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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: ♪ ♪ Couture dans le mid jusqu'à ♪ midi. Ah oui, il y a beaucoup d'actualité. Remaniement. Nick, ça va? [00:00:37] Speaker B: Ça va très bien. [00:00:38] Speaker A: Là, il y a beaucoup de gens inquiets sur la météo. [00:00:40] Speaker B: Ah oui? [00:00:41] Speaker A: Ah oui. Va-tu mouiller? Non, non, il ne mouillera pas. Oubliez ça. On pensait qu'il allait mouiller demain. Mais là, je regarde, ça a viré de bord à peu près. Il n'y a pas de précipitation avant une semaine. [00:00:53] Speaker B: Parfait. [00:00:54] Speaker A: Tout est beau. Tout va bien. [00:00:55] Speaker B: Tout va bien. [00:00:57] Speaker A: Ouais, des petits nuages, mais c'est normal, ça fait partie de la game. Très beau mois de septembre, je sais. [00:01:02] Speaker B: Pas si t'as vu. Ben oui, actuellement, septembre, depuis plusieurs années, c'est toujours un étirement de l'été. [00:01:09] Speaker A: Ben, le printemps a pas été facile, on a commencé tard. [00:01:12] Speaker B: Jamais facile, le printemps. [00:01:13] Speaker A: Y'a comme un déplacement, là, t'sais, au football, y'en a qui jouent avec les buts, là. Ils tassent les buts, ils agrandissent les buts. Mais là, l'été s'étire. Le mois de septembre, habituellement, c'est ce qu'on voit. Regarde, c'est clair, c'est beau. [00:01:26] Speaker B: Et on aime ça. [00:01:27] Speaker A: Là, aujourd'hui, 18 degrés. Il va faire 19. Demain, 20. Vendredi, 18. Samedi, 18. Dimanche, 18. Lundi, 21. Hey, il va faire choix la semaine prochaine. 21, 22, 22. Wow. [00:01:41] Speaker B: On le prend. [00:01:42] Speaker A: On tout prend. Voilà. Hey, les Capitales ont gagné hier. [00:01:46] Speaker B: Ah oui! [00:01:46] Speaker A: Capitale, ça se poursuit là, eux autres sont à Tri-City, deuxième ronde des séries. 3 de 5 et ils ont gagné le premier match hier soir, 4 à 2. [00:01:57] Speaker B: Parfait, on poursuit sur la lancée. [00:01:59] Speaker A: Et là, le deuxième match a lieu à New York, Tri-City. Dans l'état de New York, je pense, sais-tu ça? [00:02:04] Speaker B: Je pense que oui, oui. [00:02:05] Speaker A: Et les matchs 3-4-5, c'est un 3 de 5. La première ronde, c'était un 2-3. Ce que les Capitales ont remporté. Et là, on est dans une série 3 de 5. Donc, Capital, si on gagne le deuxième match, on s'en revient à Québec pour les matchs 3, 4 et 5 de la série. [00:02:23] Speaker B: Ouais, c'est dans l'étoile New York. [00:02:24] Speaker A: C'est ça, hein? [00:02:25] Speaker B: Ouais. [00:02:25] Speaker A: Bon, hé, l'essence. Contre les palécastres. Ouais, l'essence, hier, on avait eu des gens qui nous avaient alertés que l'essence montait, mais effectivement, 1,64,9. [00:02:34] Speaker B: Bon. [00:02:35] Speaker A: C'est un peu ça qu'on voit un peu partout. Hier, moi, j'ai été mettre de l'essence, Costco, t'as 1,48,9. Quand même, c'est 12... plus que ça. [00:02:47] Speaker B: 12... Ça veut dire que les autres vont être à 1,70? [00:02:51] Speaker A: Ben, 1,649, c'est le prix où que ça monte, là. On est rendu à ça ici, dans la région de Québec. [00:02:57] Speaker B: C'est quoi la raison? L'automne? Ah! Le gaz d'automne, ben oui. [00:03:02] Speaker A: Oui, l'automne et surtout la taxe carbone. Parce que là, la taxe carbone fait en sorte que les gens de la Fédération canadienne des contribuables nous l'ont expliqué. Il y a des paliers de la taxe carbone qui, à chaque année, il arrive le gaz d'automne et effectivement, dans les raffineries, il faut nettoyer les cuves. Et là, on met un nouvel additif. C'est capoté pareil. Parce que le prix du pétrole n'a pas monté tant que ça. Je comprends qu'à matin, ça monte un peu à cause de l'histoire qu'il y a eu. Je sais pas si tu as vu en Russie, l'histoire des drones. Le prix du pétrole monte de 53 cents. Le baril est à 63,16. Il est pas à 100$ le baril. Souviens-toi, en 2008, le baril de pétrole était monté à 150$ le baril. [00:03:48] Speaker B: Oui, oui, oui. [00:03:49] Speaker A: Le monde a capoté. [00:03:50] Speaker B: Capoté berne. [00:03:50] Speaker A: Là, on a un beret à 63$. [00:03:53] Speaker B: Ben, ça nous coûte encore 1,65$. [00:03:56] Speaker A: Là, il y a une S-64-9. Je pense Saint-Lambert. C'est-tu Saint-Lambert? [00:04:00] Speaker B: Ça coûte sur Costco d'habitude. [00:04:02] Speaker A: Ouais, une 48-9. [00:04:04] Speaker B: Ben, c'est parce qu'il faut que tu passes dans le coin, là. Sinon, ça vaut pas la peine. [00:04:07] Speaker A: Non, non, ben, quand tu vas sur la rivière sud, tu passes par là. [00:04:09] Speaker B: Il y a du monde, là. [00:04:11] Speaker A: Ouais? [00:04:11] Speaker B: Il y a du monde à la pompe. Ah oui, oui, oui. [00:04:13] Speaker A: Ben, Costco aussi, il y a du monde. [00:04:14] Speaker B: Ben, je sais. Puis là, moi, à chaque fois, je me dis « Ah, je pourrais aller... » Quand j'ai besoin de remplir mon VR, ça coûte cher. [00:04:21] Speaker A: Comment ça te coûte? [00:04:23] Speaker B: Full, là, mettons de zéro jusqu'à plein, au-delà de 350 piastres. [00:04:27] Speaker A: 350 piastres! [00:04:29] Speaker B: OK, je vais faire à peu près 1000 kilomètres, peut-être même plus, là. [00:04:32] Speaker A: Quand t'arrives au Costco, là, toi, tu bars deux tanks, là. [00:04:34] Speaker B: Je vais pas parce que ma... mon bouchon de réservoir est à droite du côté passager. Fait que c'est hyper compliqué. Fait que j'avais essayé à la Saint-Lambert. Oublie ça, parce qu'il y a pas un sapristi de conducteur qui va comprendre que toi, là, t'as besoin d'espace, pis t'attends. Pis tu peux pas attendre en arrière de l'autre char là. [00:04:54] Speaker A: Non. [00:04:55] Speaker B: Parce que Christy tu vas bloquer tout, je vais tout te bloquer, j'ai 37 pieds là. [00:04:58] Speaker A: Mais moi je vois ça au Costco. [00:04:59] Speaker B: Souvent il y a des gens... Personne te laisse passer, personne. [00:05:01] Speaker A: Il y a des gens qui arrivent avec des... Oui, ils s'en vont à. [00:05:05] Speaker B: La dernière ligne au fond. [00:05:06] Speaker A: Ouais. [00:05:07] Speaker B: Mais moi je peux pas y aller, le réservoir est à droite. Faudrait que je prenne l'avant ligne. Mais là ça prête-tu de problèmes? Où pourrais-je prendre la première, première, première ligne? Je vais tout bloquer tout le monde. [00:05:19] Speaker A: Ou tu sais, il va tard. Juste avant la fermeture, ou tôt le matin, t'as de la place. C'est vrai. Fait que tu pourrais avancer ton camper sur la ligne du bout. Oui, tu dépasserais en avant, mais tu serais correct. [00:05:32] Speaker B: Quand ma blonde est là, elle va faire la brigadière. Attendez, on attend nous autres. [00:05:37] Speaker A: Ok, vous faites le... Elle met-tu son petit kit orange avec des barres? [00:05:42] Speaker B: Tout un kit. [00:05:46] Speaker A: Salutations tableau. Mais c'est ça pareil. [00:05:50] Speaker B: Ouais, ben du coup, bref. [00:05:51] Speaker A: Bon, ben c'est ça. Le prix de l'essence monte et les explications on se perd en conjoncture. Là ce matin, le prix du pétrole monte parce que, je sais pas si t'as vu en Russie, la Russie a envoyé des drones vers la Pologne. [00:06:03] Speaker B: Ben oui, j'ai vu ça. [00:06:04] Speaker A: Pis là, la Pologne a répliqué. Ils ont abattu des drones. Là, ils commencent à avoir des provocations parce que l'idée, pis c'est ce qu'on a peur en Europe, c'est que la Russie Là, on est en train de... d'avancer en Ukraine. Mais on essaie... Est-ce qu'on va essayer d'avancer dans d'autres pays en même temps? Là, l'OTAN est là, hein? L'OTAN est parqué, là. Là, la foire pourrait pogner, là. Les Russes provoquent. [00:06:28] Speaker B: Oui. [00:06:28] Speaker A: Pis... [00:06:29] Speaker B: Écoute, est-ce que c'est... Je sais pas, là. Ça a-tu un lien avec l'espèce de parade qu'on a faite avec la Corée du Nord et la Chine? [00:06:38] Speaker A: Ben, c'est sûr qu'on veut provoquer les Américains. Parce qu'ils appellent ça les BRICS. le Brésil notamment, la Russie, l'Inde et la Chine. Parce qu'avant, quand t'achetais du pétrole, fallait que tu payes en US. Ça te prenait le dollar américain. Mais là c'est tard. Les Russes vendent du pétrole en Inde, pis les Indiens payent en roubles. Donc y'a plus l'histoire du dollar américain. Même chose pour la Chine. La Chine va acheter du pétrole aux Russes, ils payent en roubles. Donc là on vient de changer carrément toute la dynamique avec le dollar américain aussi. Et c'est la pression des pays du brique qui veulent avoir une monnaie différente, qui veulent tasser les Américains. Et c'est pour ça que les Américains se sont pitchés dans la crypto-monnaie aussi. Trump, si on regarde la crypto, c'est en US. Souvent, l'étalon est en US, donc on veut ramener un peu la stabilisation du dollar américain. On disait qu'actuellement, les banques dans le monde détiennent, bien surtout des briques, détiennent pour 5000 milliards de dollars américains qui n'ont plus à utiliser dans leurs réserves parce que maintenant on achète du pétrole dans la devise du pays qui te le vend et c'est la Russie surtout qui te le vend. Ça, ça change la game aussi. [00:07:54] Speaker B: Ça change la donne, t'as raison. [00:07:55] Speaker A: Exact. Et les Américains sont devenus producteurs nets de pétrole, ce qui était pauvre il y a quelques années. [00:08:00] Speaker B: En effet. [00:08:01] Speaker A: On achetait notre pétrole du côté de l'Arabie saoudite. Du côté des pays parfois, je vais te dire, louches. On mettait du monde là, tu sais, l'Irak. [00:08:13] Speaker B: Entre autres. [00:08:14] Speaker A: C'est quoi là, Kadhafi, c'était quoi, la Libye? [00:08:18] Speaker B: Ben là, je m'écoute. [00:08:20] Speaker A: Ça a mal fini pour Kadhafi, hein. Il essayait de faire des passes avec les Américains. [00:08:24] Speaker B: Ouais, ça a mal été. [00:08:25] Speaker A: Ça a pas bien été. [00:08:26] Speaker B: Moins marre qu'à la fille. [00:08:28] Speaker A: Ouais, c'est ça. Donc voilà. Donc le pétrole, ben voyez là, on a de l'essence. [00:08:35] Speaker B: C'est la Syrie, la Libye, t'as raison. [00:08:37] Speaker A: Ouais. Mais là, on a des gouvernements qui sont très, très, très voraces sur le pétrole. et ils veulent venir chercher de plus en plus d'argent dans vos poches. [00:08:46] Speaker B: Ben ici au Québec, parce que tu vois, j'ai regardé, il y a des gens qui nous envoyaient des... Ah ok, c'est il y a trois semaines à Sandbanks, en Ontario, le gaz régulier était à une et deux. [00:08:58] Speaker A: Ouais, mais eux autres, ils n'ont plus de taxe carbone. [00:08:59] Speaker B: Ben c'est sûr l'affaire. [00:09:01] Speaker A: Ici, t'as une taxe carbone qui est à peu près, quoi, 20-25 cents du litre? Au Québec, de plus. Tu donnes ça à Gagne à Legault, qu'ils mettent ça dans le fond des... [00:09:11] Speaker B: Au printemps, regarde bien ça, on va être à la veille des élections, à quelques mois à peine, pis là ils vont nous arriver avec une twist pour réduire le prix de l'essence. Regarde bien ça. Ouais... [00:09:20] Speaker A: J'y crois pas. Non non, ici on est trop dépendants des taxes. voilà, donc là c'est le remaniement. Y'a des noms qui circulent pas à peu près là. Dans le fond c'est le remaniement... C'est comme j'ai dit ce matin là, à Phil. J'ai dit, il brasse ses cartes avec les mêmes cartes. Tu regardes un peu là, à part Bonnardel qui est écarté, puis la gang qui est partie, t'as André Laforêt aux affaires municipales, t'as quand même Mme Roy, je sais pas ce qu'elle faisait là, mais elle était aux affaires... La Famille? C'était où qu'elle était? Puis André Lamontagne à Culture, ben là écoute, là les rumeurs, parce que ça va être autour de 13h, là Geneviève Guilbeault resterait. Mais elle, elle s'en ira aux affaires municipales. Là, tu sais, tu veux changer la face. Tu veux faire du changement. Pis là, écoute, t'as des élections municipales jusqu'au mois de... Ça va être quoi, au mois d'octobre? [00:10:14] Speaker B: En fait, la date d'élection, c'est le 2 novembre. [00:10:16] Speaker A: Ben, le 2 novembre. Donc là, tu vas avoir la face de la ministre des Affaires municipales partout. [00:10:21] Speaker B: Oui. [00:10:21] Speaker A: Parce que, elle, les municipalités relèvent d'elle. [00:10:23] Speaker B: Oui. [00:10:24] Speaker A: Tu dis que tu veux changer le visage de ton gouvernement, pis là c'est Geneviève Guilbeault qui était pogné dans l'histoire de la Commission Galant pis qu'elle se souvient plus de rien. Bonnardel, lui, tu l'as sacrifié parce qu'il était pas bon. [00:10:35] Speaker B: Je te l'avais dit hier. On a sacrifié Bonnardel pour sauver Geneviève. [00:10:40] Speaker A: Pis là, elle, t'as à l'ESLA. [00:10:42] Speaker B: Ah oui, à l'ESLA. [00:10:44] Speaker A: Incroyable. Y'a Dreynville aussi. [00:10:46] Speaker B: Oui, Bernard. [00:10:47] Speaker A: Dreynville, qui est à l'éducation, lui s'en irait à l'environnement. [00:10:51] Speaker B: Oui. [00:10:52] Speaker A: Mais attention, c'est pas innocent ce qui se passe. Pourquoi? Parce qu'à l'environnement, t'as l'histoire des chars électriques là. [00:10:58] Speaker B: Oui, avec le Canada qui a reculé sur ses cibles. [00:11:00] Speaker A: Entends-tu le camion reculer? Moi je l'entends là. Entends ça là. [00:11:04] Speaker B: Ah ok, tu penses que... Ah non, mais c'est sûr... On envoie Bernard revoir les cibles... Ben. [00:11:10] Speaker A: Bernard c'est pas un doux là. Souvenez-vous l'histoire du troisième lien pis des GES? Qu'est-ce qu'il avait dit? [00:11:15] Speaker B: Ah ben oui, attends un peu là. Qu'est-ce qu'il avait dit donc? [00:11:17] Speaker A: « Lâchez-moi avec les G.E.S. », ça va être de plus en plus des véhicules électriques qui vont rouler dans le troisième lien quand il va être construit. C'est ça. [00:11:25] Speaker B: Voilà. Le ministre de l'Environnement qui dit « Lâchez-moi avec les G.E.S. [00:11:30] Speaker A: » Donc, d'après moi, on va annoncer qu'on recule sur les chars électriques. On n'a pas le choix, il faut s'accoter sur le Canada. Ouais, c'est sûr. C'est du gros recul. La CAQ recule tout le temps. [00:11:38] Speaker B: Ouais, je sais pas. On est habitués. [00:11:41] Speaker A: Le mec qui s'appelait, c'était Benoît Charrette, là. [00:11:43] Speaker B: Oui. [00:11:43] Speaker A: Benoît Charrette, il s'en va où? [00:11:44] Speaker B: Rappelle-toi, il avait posé, là. Dans les journaux, avec l'espèce de pistolet électrique branché dans le véhicule. [00:11:52] Speaker A: Exact. Pis il disait que c'était la fin du pétrole. [00:11:54] Speaker B: Ben oui. [00:11:55] Speaker A: La fin de l'essence. Donc là, Benoît Charette, je sais pas où est-ce qu'il s'en va, lui, on dit... On pensait qu'il s'en allait au transport, mais là, ça a l'air que c'est Jonathan Julien qui ramasserait les transports. Aïe. Il restait juste un ministère que personne veut, là. Pis là, ils ont appelé Jonathan, ils ont dit « Aïe, Jonathan, toi, t'as les bases-oeuvres, t'aimes ça ? [00:12:16] Speaker B: » Ben oui. [00:12:18] Speaker A: Ben on s'y garde. [00:12:19] Speaker B: Il faut vraiment... Écoute, Jonathan Julien, qui voulait de toute façon se retrouver au ministère des Transports avec le bordel de la SAC. [00:12:29] Speaker A: Ben le bordel de la SAC pis surtout l'histoire... [00:12:30] Speaker B: Le troisième lien. [00:12:32] Speaker A: Le troisième lien. [00:12:32] Speaker B: Très moins. [00:12:33] Speaker A: Très moins. Là, SAC... [00:12:35] Speaker B: L'état des routes. [00:12:36] Speaker A: Ça clique, là! Ce qui s'en vient, c'est des hausses de plaques pis des hausses de permis. Là, ton chum Jonathan Julien va annoncer ça, là. [00:12:43] Speaker B: Tu sais, le document, l'article de Radio-Canada qui parle du document de la madame, la commission Galland, elle, c'était l'ex-vice-présidente aux finances de la SAC Francine Lépiné. Elle a montré les stratégies qui étaient envisagées pour remettre de l'argent dans les coffres de la Société de l'assurance automobile du Québec. qui avait, le 4 avril 2024, quelque chose comme 492 millions de déficit. [00:13:12] Speaker A: Oui, non, eux autres, ils ont un milliard de déficit. [00:13:14] Speaker B: Tu vois. [00:13:15] Speaker A: Et eux autres, les états financiers de la SAC ne sont pas encore disponibles parce qu'ils n'ont pas accès au backlog, elle a dit. Donc, tous les états financiers, l'argent, ils ne savent même plus où ils sont rendus. C'est tellement le bordel avec ce nouveau logiciel CASA. Ils ne savent plus où ils sont rendus. Geneviève Guilbeault devait déposer, qui est la ministre des Transports, qui est responsable de la SAC, elle devait déposer à l'Assemblée nationale les états financiers de la SAC. Ça n'a pas été fait encore. [00:13:44] Speaker B: Dans le document, la stratégie, c'est qu'ils veulent revoir la tarification administrative. Quand tu vas renouveler ton permis, Ils vont inviter l'administration. Ouais. Fait que tout le monde là, vous allez payer pour le bordel informatique. [00:14:01] Speaker A: Ben pis qui tu penses qu'ils allaient payer pour ça? [00:14:04] Speaker B: Tout monde. le Ben... Moi j'ai lu la chronique de Yasmine Abdel-Fadel ce matin. [00:14:08] Speaker A: C'est une société d'État. C'est comme Hydro-Québec, quand il manque de l'argent... [00:14:11] Speaker B: Faites donc le ménage. [00:14:12] Speaker A: Ben ouais, même s'ils font le ménage, Nick. [00:14:14] Speaker B: Ben faites le ménage. [00:14:15] Speaker A: Même s'ils font le ménage. [00:14:16] Speaker B: Réduisez les dépenses. [00:14:17] Speaker A: Il manque un milliard. [00:14:19] Speaker B: Moi là, en tant que citoyen, je trouve que je paye déjà amplement la Société de l'assurance automobile du Québec. [00:14:28] Speaker A: T'as vu les coûts de permis, ils ont réduit ça. C'est 29$, ça coûte 50$? [00:14:33] Speaker B: Ça coûte à peu près... mettons 50$. [00:14:35] Speaker A: Ben, ils vont te le charger 100$ l'année prochaine. [00:14:36] Speaker B: Et plus. [00:14:37] Speaker A: Pis tes plaques vont monter. [00:14:38] Speaker B: Parce qu'il va falloir qu'ils renflouent les cristites coffres de toutes les erreurs accumulées qu'ils ont faites au fil des années. Moi, ça me tente pas de payer pour ça, je paie déjà une fortune. En plus, je paye même pas pour le droit de circuler, je paye pour l'assurance automobile. La paillette qu'on paye toutes. Le no fault. [00:14:58] Speaker A: Mais ils vont te faire payer. Et c'est Jonathan Julien qui va t'annoncer ça prochainement. [00:15:03] Speaker B: Ah, j'suis tellement écœuré là. [00:15:05] Speaker A: Sonia Lebel! Ça en ira à l'éducation, elle est au Trésor. [00:15:08] Speaker B: Oui. [00:15:09] Speaker A: Donc selon les informations obtenues par, il y a TVA, il y a le Journal de Québec, il y a le Journal de Montréal, il y a La Presse, tout le monde, ils ont coulé l'information à tout le monde. Et là, tout le monde s'échange l'information. Est-ce qu'elle va être nommée vice-première ministre? Parce que là, il va falloir enlever Nanane à Geneviève. [00:15:26] Speaker B: Tu penses? Parce qu'à date, c'est pas annoncé ça. [00:15:28] Speaker A: Ouais, c'est Madame Fréchette. qui est à l'économie, qui va rester à l'économie, pourrait être vice-première ministre ou. [00:15:34] Speaker B: Encore... Parce qu'il n'y a rien d'annoncé concernant le poste... que Geneviève Guilbeault perdrait le poste de vice-première ministre. [00:15:40] Speaker A: Non, non, il faut qu'il enlève quelque chose. Il va y enlever quelque chose, ça c'est sûr. Là aussi, Bonnardel qui part à la sécurité publique, c'est Yann Lafrenière. [00:15:49] Speaker B: Pas un mauvais move, même si ça aurait dû être ça depuis longtemps. [00:15:52] Speaker A: Un ancien policier. [00:15:52] Speaker B: Ben oui, il connaît la game. [00:15:54] Speaker A: Ben un policier, je pense qu'il est au com, lui, du SPVM pendant longtemps. Donc on va voir ça aussi. Fait que c'est ça. Voyez-vous là c'est 4,38$ pour une pièce. [00:16:03] Speaker B: Puis Proue! [00:16:05] Speaker A: Proue elle s'en va où elle? [00:16:06] Speaker B: Mais elle était. [00:16:10] Speaker A: Tourisme? [00:16:11] Speaker B: Oui, ministère du tourisme. [00:16:12] Speaker A: Elle s'en irait quoi, aux années années? [00:16:14] Speaker B: Oui, elle s'en va aux années années. Maintenant, elle fera plus la tournée, mettons, des endroits plaisants à travers le monde pour promouvoir le Québec. Elle va faire la tournée des CHSLD. [00:16:24] Speaker A: Le Biron aussi, hein? Oui. [00:16:26] Speaker B: Ça, c'est ta députée. Oui, elle était aux Affaires internationales. [00:16:29] Speaker A: La cinquième journaliste de Radio-Canada était aux Affaires internationales. Elle s'en irait aux études supérieures. [00:16:33] Speaker B: On dit quoi? Elle était à l'éducation supérieure, elle. [00:16:41] Speaker A: Qui est roi? [00:16:43] Speaker B: C'est Dominique Dumont qui m'envoie ça. [00:16:45] Speaker A: Bon, là, il y a trop d'informations. Trop d'informations, tuues l'information. Bon, Jean Boulay demeurera au travail, qu'on dit, et Éric Girard aux finances, Christine Féchette à l'économie. Et Dubé, Dubé va rester à Santé. D'ailleurs, la chef de cabinet Dubé s'en va. Elle vient d'être nommée chez Santé Québec. Elle s'en va s'occuper des coms. [00:17:04] Speaker B: C'est une Top Gun, là. [00:17:05] Speaker A: Ouais, c'est une Top Gun de Dubé, qui était chef de cabinet. On a vu, c'était quoi les chefs de cabinet, là, pendant la commission Galant? [00:17:12] Speaker B: Hé là là. Je sais pas. [00:17:14] Speaker A: La chef de cabinet d'Éricard, t'as vu, là, la fille, elle répondait... Elle prenait même pas des notes. [00:17:19] Speaker B: Elle ne savait rien. [00:17:20] Speaker A: C'est ça, chef de cabinet à CAQ? [00:17:22] Speaker B: Clairement. [00:17:22] Speaker A: Incroyable. Donc voilà, c'est ça. On dit que Jean-François Simard, aussi, prendrait du galon dans la région de Québec. [00:17:30] Speaker B: Oui, je deviendrai le ministre de la capitale nationale. [00:17:33] Speaker A: Je ne vois pas le nom de Samuel Poulain. [00:17:35] Speaker B: Je ne vois pas beaucoup de nouveaux noms. [00:17:37] Speaker A: Non, c'est 4,38$ pour une pièce. Quand on disait que c'était un exercice qui était très limité au niveau des relations publiques, et ce n'est pas pour rien qu'il coule ça, parce qu'on nous dit que le gars va annoncer dans son discours toutes sortes d'affaires. la réforme de l'État, puis il va revenir à la CAQ, des belles années 2017-2018, là, quand il disait, là... Tu sais, l'histoire du scandale informatique, là, quand il disait que le prochain gros scandale, c'était pas la construction, c'était l'informatique, il disait ça... Il y a une autre chose aussi qu'un gouvernement de la CAQ va faire dès le début du mandat, c'est de revoir tout le gaspillage. Je pense entre autres à l'informatique. Actuellement, c'est un bar ouvert. C'est probablement le prochain scandale après la construction. Actuellement, on dépense beaucoup trop en informatique. Cet argent pourrait être investi, entre autres, pour remettre dans le portefeuille des familles. Oui, c'est ça. Legault joue son voto. Et là, tu vois, il y a un sondage qui est sorti ce matin. C'est le moins populaire des premiers ministres dans tout le Canada. Il est à 22 %. Il est en bas. Alors que Legault, durant la pandémie, il était en haut. Il était le favori des Québécois. Legault était partout. On l'aimait dessus, M. Legault. Bien là, il est rendu à 22 % en termes de popularité. Il est derrière Doug Ford. Hé, Doug Ford aussi, il prend une débarque, là. Il est à 41 %. Et c'est Manitoba, Wab, Kinou, c'est un nouveau qui est arrivé. C'est ça aussi, il y a des runs de même. Mais là, Legault, je pense, a fait son temps, puis il nous le prouve avec son cabinet, son remaniement. Vous avez vu les noms. Ça va disparaître au même. Donc ça va être à surveiller vers 13h, on va avoir la conférence de presse de François Legault, puis blablabla, puis blablabla, là. Ça va tourner pas mal en rond.

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