September 05, 2025

00:13:56

Marc Carney est-il encore aimé des Québécois ?

Marc Carney est-il encore aimé des Québécois ?
Couture dans le mid
Marc Carney est-il encore aimé des Québécois ?

Sep 05 2025 | 00:13:56

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Show Notes

La chronique de François Gariépy: Gary crash le show: LEGAULT RISQUE DE SUBIR L’HUMILIATION
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Episode Transcript

[00:00:00] Speaker A: Gary, ça va bien? [00:00:01] Speaker B: Ça va bien. Tu m'as un peu révolté. [00:00:03] Speaker A: J'ai travaillé dans le monde du vélo. [00:00:05] Speaker B: Oui, presque 25 ans. [00:00:06] Speaker A: Les vols de vélo, dans les dernières années, les gens disent, on appelle, on. [00:00:09] Speaker B: Se fait voler nos vélos. C'est une catastrophe. [00:00:10] Speaker A: Il n'y a personne qui vient. [00:00:11] Speaker B: La valeur des vélos a augmenté beaucoup. Pour se tâcher des pilules à cinq piastres, tu voles 2-3 baissiques et t'es correct pour un Christie's Boot. en recel, c'est devenu un des items les plus faciles à refiler. Oui, il y a un numéro de série toujours au boîtier de pédalier, mais c'est facile de maquiller les vélos, c'est facile de les faire changer de ville, puis il n'y a pas de préoccupation policière, tu as raison de le dire. Ça prend de la violence dans le vol pour que la police débarque. [00:00:33] Speaker A: Ouais, mais mets ça. Vas-tu te faire tuer parce que t'as un vélo électrique, là? [00:00:36] Speaker B: Non, pis t'sais, c'est aussi des vols de cabanon la nuit, je veux dire, OK, y'a pas vraiment de violence derrière tout ça. [00:00:41] Speaker A: Le cabanon... Hé, moi, allez-moi l'où, là. Laisse pas ton vélo dehors, là. Tu te le fais défoncer, là. [00:00:46] Speaker B: Pièce par pièce. [00:00:47] Speaker A: D'après moi, ça prend une nuit. Il est plus là, ton vélo. [00:00:50] Speaker B: Moi je trouve que t'es vraiment optimiste. Une heure, en fait, dans certains quartiers de Québec. Il n'y a pas de cadenas qui sont miraculeux. [00:00:57] Speaker A: Ah non, ils ont des espèces de grosses pinces, des cutters. Ça prend deux minutes. [00:01:01] Speaker B: Même le plus difficile à couper, c'est le Kryptonite. Le modèle, c'est le New York Lock. C'est un cadenas qui se vend à plus de 150 $. C'est un cadenas qui est jaune, qui est tout petit. Même lui, il y a des possibilités de le couper. [00:01:13] Speaker A: Mettre de l'acide. [00:01:14] Speaker B: Non, c'est avec des grinders. Ça va être très long de le couper. Mais il n'y a aucun cadenas dans l'industrie qui peut vous garantir à 100 % que votre vélo est sécuritaire. Tu peux en mettre 2-3. À chaque fois, tu rajoutes du temps. Puis souvent, les voleurs, c'est des lâches. Donc, ils vont choisir le vélo le plus facile à voler. Puis celui qui est le plus facile à voler, c'est pas lui qui a trois cadenas. Donc, même si vous mettez votre vélo... [00:01:35] Speaker A: C'est lui qui n'est pas attaché. [00:01:36] Speaker B: C'est lui qui est pas attaché. Ou qui est attaché avec des cadenas qui ont l'air d'un lacet. [00:01:40] Speaker A: Oui! [00:01:41] Speaker B: T'sais, ça se coupe avec un cutter. [00:01:42] Speaker A: Ah oui, il arrive le gars sans ça. [00:01:44] Speaker B: T'sais, des sécateurs de jardiniers, là. Donc, des histoires de vélo volées, mon gars. J'en ai des milliers à te raconter. Mais on n'aura pas le temps aujourd'hui parce qu'il y a plein de choses à dire. Aujourd'hui, c'est le FestiCode. C'est un rendez-vous du vendredi avec Pierre Couture et Nico, les deux réactifs de l'antenne, ici. Donc moi, j'ai sélectionné des moments précieux que j'ai distillés pour vous. Et la messagerie, je vous invite à... [00:02:02] Speaker A: Est-ce que tu les as jouxtés? [00:02:04] Speaker B: Je les ai tous jouxtés. de participer à la discussion avec Pierre, Nick et Gary Épie aujourd'hui. Parce qu'on a des codes vraiment qui valent la peine d'être... d'être commentés. On va commencer peut-être avec... Bon, là, M. Économie est devant moi, là, Pierre Couture, ça va de soi, là. Je vais te faire entendre Mark Carney, qui nous a parlé, en fait, du fameux budget, là, qui est jamais arrivé, là, depuis l'élection du gouvernement libéral actuel. On nous a promis un budget fédéral depuis des semaines, en fait, des mois, on va dire ça comme ça. la première fois ou à peu près qu'il nous faisait en fait miroiter l'avenue qu'il souhaite emprunter pour le prochain budget et il a sorti un mot de son chapeau, un mot qui a vraiment une résonance particulière au Québec, le mot austérité. [00:02:49] Speaker C: Que ce sera un budget d'austérité? [00:02:51] Speaker D: C'est un budget d'austérité et d'investissement en même temps. Et c'est possible si on a une discipline. Il faut avoir une discipline sur les dépenses et c'est nécessaire. On doit cesser cette manière de gestion. à l'échelle fédérale. Mais alors ça c'est responsable, austérité si vous voulez. [00:03:23] Speaker B: Responsable, austérité. [00:03:25] Speaker A: Ben, Macarnay en campagne a fait le même coup, pis les gens disaient « il est donc ben génial, il va couper », mais il a pas parlé beaucoup de compression en campagne électorale, il disait d'investissement, pis il dit de saine gestion des fonds publics. [00:03:37] Speaker B: Oui. [00:03:38] Speaker A: Là, il veut rien dire, là. Je veux dire, on va avoir 100 milliards de déficit pareil, là. [00:03:41] Speaker B: Quand même même qu'on l'optimiserait, là, ici et là. [00:03:44] Speaker A: On s'enligne sur un 100 milliards de déficit cette année, là, à Ottawa, là. 100 milliards ! Dans le trou. Essaye ça, là. [00:03:50] Speaker B: Non, ça me tente pas pantoute. [00:03:51] Speaker A: D'après moi, tu t'offreras pas la game longtemps. [00:03:53] Speaker B: Est-ce que tu penses que la lune de miel, en fait, avec Mark Carney et les Canadiens, principalement les Québécois et Québécoises, est-ce que c'est quelque chose qui achève? [00:04:03] Speaker E: Non. [00:04:03] Speaker B: Où ça va durer encore, passer Noël. On est-tu encore dans les vaps de la Carné Nation, les coudes bien bandés? [00:04:10] Speaker A: Ah oui! [00:04:11] Speaker B: Tu penses-tu les Elbows Up, ça va-tu rester encore longtemps? [00:04:14] Speaker A: Ben là, je regarde les sondages. [00:04:15] Speaker B: Regarde donc ça, les sondages, Pierre. [00:04:17] Speaker A: Pis ça commence à brailler, ça commence à crier. [00:04:21] Speaker E: Ah oui? [00:04:21] Speaker A: Ah oui, le monde commence à pas trouver drôle. Je sais pas si t'as vu le chômage aussi qui monte aujourd'hui. [00:04:26] Speaker B: Ouais, pas pire. [00:04:27] Speaker A: Non, non, là, il va falloir que Elbows Up se réveille. [00:04:31] Speaker B: Est-ce que tu as envie d'entendre ton premier ministre, François Legault, qui, on est à, je pense, 14 mois de l'élection générale, a quand même paru, la semaine a été longue, là, mais il est quand même apparu cette semaine à la commission Gallant pour faire un témoignage marquant. C'était mardi, il y a déjà quatre jours, et il est arrivé avec un mot, en fait, qu'on a presque pas entendu en huit ans de caquisme au Québec, le mot « imputabilité ». [00:04:51] Speaker F: Pour moi, c'est important l'imputabilité. C'est important qu'il y ait des conséquences pour ces personnes-là. Une conséquence, ce n'est pas de transférer une personne dans un autre poste. Je comprends que ce n'est pas simple au gouvernement avec la sécurité d'emploi, mais il devrait y avoir des conséquences. Les Québécois s'attendent à ce qu'il y ait des conséquences. [00:05:15] Speaker B: Est-ce que Pierre s'attend à ce qu'il. [00:05:16] Speaker A: Y ait des conséquences? Ça veut dire quoi? Il va mettre Guilbeault et Bonnardel dehors? [00:05:20] Speaker E: Non, il est en train de parler des fonctionnaires. [00:05:22] Speaker B: Des fonctionnaires, mais aussi peut-être son cabinet. [00:05:24] Speaker A: Ça gagne d'un ministre d'endormi amnésique. [00:05:26] Speaker E: Non, pas de leur faute. [00:05:28] Speaker A: Hey, sérieux là! Ils ont tous eu de la... Hey, j'ai regardé Koskinen, il était sur les réseaux sociaux là, il parlait de NordVault, pis là je sais pas trop, il y a un article qui disait que le risque était... [00:05:37] Speaker E: Calculé. [00:05:37] Speaker A: Calculé, là! Hey, ils se font ramasser! Vous êtes tout une gang d'amnésiques, vous avez l'air d'une gang de clowns, on vous a confié notre argent, vous êtes même pas capables de gérer... Ça va. [00:05:49] Speaker B: Être tough la remontée de la caisse. [00:05:51] Speaker E: Oublie ça. [00:05:52] Speaker A: Mais regarde Gary, Angersweet, tout à l'heure on parlait d'un sondage Angersweet, donc regarde les conservateurs sont en avant là. Angersweet c'est pas une firme, c'est pas mettons Abacus Data là. [00:06:02] Speaker B: Non. Ça me fait rire trop Pierre. [00:06:05] Speaker A: Fait que moi je pense que les conservateurs montent là tranquillement dans les sondages. Mais même ça, Legault, Legault c'est mort là. [00:06:10] Speaker B: Y'a rien à faire? [00:06:11] Speaker A: Ben c'est terminé, moi j'ai... Pis Luc Ouellet... [00:06:13] Speaker B: C'est un zombie politique là, vraiment un mort vivant là, il se promène pis... [00:06:17] Speaker A: Ça va être dur, la prochaine année il va être terré pour son ego là. Mais t'sais, ils vivent dans une bulle, hein. Ils ont des limousines, puis ils font semblant, tout le monde, tous les courtisans, les courbes bêtes devant eux, là, puis ben oui, M. Legault. [00:06:28] Speaker E: Tout l'entourage, là, des bureaux, des cabinets, là, tout va bien, tout va bien. [00:06:32] Speaker B: Je vois plus que le slogan de la CAQ, ça va bien aller, là. [00:06:34] Speaker E: Ah oui, contre Simon, aussi. [00:06:35] Speaker A: Ouais, mais non, non, écoute, c'est pas drôle, là. C'est une fin de régime atroce, là, qui attend Legault, là, dans les prochains mois. À moins qu'il marche dans la neige en décembre, là, puis en janvier... J'annonce mon départ pour une course à la chefferie, suivie d'une élection. [00:06:51] Speaker B: Moi je vois ça dans le radar, ça prendrait un super méga scandale péquiste. Ça prendrait vraiment une débarque péquiste atroce pour qu'on puisse considérer de revenir à la CAQ pour un troisième mandat. Ça prendrait une catastrophe péquiste, ce qui est très difficile à envisager parce qu'ils ont le vent dans les voiles. [00:07:10] Speaker A: Le PQ dit rien. [00:07:12] Speaker B: Puis ça gagne. [00:07:12] Speaker A: Puis la CAQ se s'auto-détruit devant nous autres comme si c'était un spectacle. La politique c'est ça. Souvenez-vous les libéraux à l'époque de Jean Chrétien. C'était ça aussi, ils se mangeaient entre eux autres. [00:07:24] Speaker B: Oui, ils se cannibalisaient. [00:07:25] Speaker A: La CAQ est en train de se manger entre elles. [00:07:28] Speaker B: Celle qui a succédé à Fitz, ton chum, Christine Fréchette, est revenue en fait sur la débarque de Nordvolt. Je vous rappelle qu'on a appris la nouvelle qu'on tirait de la plaque de Nordvolt en même temps que le premier ministre François Legault était à la commission. C'est quoi la part de hasard? [00:07:44] Speaker A: Non, il n'y en a pas. C'est ça, c'est un éclipse médiatique. [00:07:46] Speaker B: C'est un éclipse médiatique. Donc c'est un sujet qui est arrivé en dessous de la pile. Je vous fais entendre madame Christine Fréchette qui dit que le risque zéro, ça n'existe pas. [00:07:54] Speaker C: Politique de développement économique sans risque. Ça n'existe pas. C'est sûr qu'on n'a pas la fin qu'on avait souhaitée pour le projet Northvolt Amérique du Nord. Maintenant, on va continuer à développer la filière batterie parce qu'il y a des retombées importantes pour le Québec. [00:08:08] Speaker B: On continue de développer la filière batterie, Pierre. [00:08:10] Speaker E: Oui. [00:08:11] Speaker A: On fonce. [00:08:11] Speaker B: Continuons. [00:08:12] Speaker A: Ben oui. Il y a un mur, puis... [00:08:14] Speaker B: Mais là, je me demande de quoi il parle, parce que concrètement, qu'est-ce qu'il. [00:08:17] Speaker A: Reste de la filière batterie? Ben, il y a des investissements, là. J'en regarde avec Canco, là. Il y a Popco, il y a Pomco. Il y a GM, je pense. Il y a d'autres projets, là, mais c'est tough. Ah, c'est tough. Là, je sais pas si t'as vu, Carnet annonce un recul. Ça va être annoncé à 11h sur les quotas de ventes de voitures électriques. Ça, ça veut dire que tous ces joueurs qui étaient venus dans l'espoir d'avoir des quotas augmentés d'année en année au Canada, ça vient de tomber. [00:08:41] Speaker B: Est-ce qu'il nous reste un peu de temps, mon Nico? [00:08:43] Speaker E: Deux minutes! [00:08:44] Speaker B: Je vais te faire entendre Éric Duhem hier. Je suis allé à l'Assemblée nationale, ou plutôt à la tribune de la presse, parce qu'Éric Duhem n'est pas élu, donc il ne peut pas vraiment aller à l'Assemblée nationale, même pour tenir une conférence de presse, donc il est condamné au building juste à côté. [00:08:56] Speaker A: La tribune de la presse. [00:08:57] Speaker B: Tribune de la presse. Donc, durant ce point de presse-là, évidemment, il nous a proposé l'idée que, pour la première fois, en fait, de l'histoire du Québec, on pourrait se passer de la SAAC. Mais il y avait aussi le variat des questions. Puis j'ai osé poser une question sur ce qui se passe à Montréal. On sait qu'il y a des prières de rue à la basilique Notre-Dame. Et j'avais envie d'entendre Éric Duhem sur le sujet. J'ai posé une question comme ça. Je pense que ces propos ont été rapportés dans d'autres médias. On l'écoute. [00:09:21] Speaker G: Des prières de rue devant la basilique Notre-Dame à Montréal. Je crois avoir été le premier politicien au Québec à être sorti publiquement pour dénoncer ça sur les réseaux sociaux. Pour nous, c'est inacceptable. Puis on ne parle pas de religion tant qu'à moi ici. Je connais bien le monde arabo-musulman. J'ai habité dans deux pays arabo-musulmans pendant quelques années dans ma vie. Ce qu'on voit là, ce n'est pas de la religion, c'est de la politique. Il ne faut pas être naïf, c'est de la provocation, c'est l'islam politique, c'est une dynamique conquérante et il faut avoir une réponse forte par rapport à ça. [00:09:52] Speaker B: Qu'est-ce que t'en penses, mon père? [00:09:53] Speaker A: Il a tout à fait raison. On est un État laïque. On a décidé que la religion, on sortait ça de tous nos symboles et de nos décisions étatiques. [00:10:03] Speaker B: En fait, la séparation de l'État et de l'Église, c'est fait. [00:10:06] Speaker A: C'est terminé. On a passé à autre chose. Ceux qui n'ont pas eu le mémo, les prières de rue, non. Il y a une mosquée pour ça. Restez dans votre mosquée. Moi, on va pas vous écoeurer, vous avez droit à votre religion. [00:10:17] Speaker B: Parce qu'il y a deux avis. Isabelle Haché dans la presse disait cette semaine « Ah, c'est à côté du métro, c'est du monde pacifique ». Oui, oui, ils en veulent. En fait, ils sont épris de la cause palestinienne, mais quand même, il faut résumer la situation. Ce sont des gens qui sont pacifiques de la nana. [00:10:29] Speaker A: Isabelle Haché est complètement déploguée, là. [00:10:31] Speaker B: De l'autre côté, t'as des gens qui disent, comme Éric Duhem, c'est de la provocation, c'est l'islam politique radical. Ils sont pas là juste pour prier, ils sont là aussi pour nous faire chier. [00:10:39] Speaker A: Ah non mais non, moi c'est pas ça... Moi je jugerais pas l'islam radical. Si tu veux aller là, on va se défendre là. Mais, non non, tu pries dans ta mosquée. C'est comme ça ici. Tu viens ici, on t'accepte comme immigrant, tu t'intègres à nos valeurs. Nos valeurs, c'est que l'État et la religion, on a séparé ça là. La rue appartient à tout le monde. Y'a pas d'histoire, je mets mon tapis ici pis là, je fais ma prière là. Non non, va prier chez vous. Y'a des lieux pour ça. La mosquée, nous autres c'est l'Église catholique, c'est quoi, c'est la bonne, tu sais, l'Église. L'Église pis... T'sais on l'a. [00:11:12] Speaker B: T'es baptisé Pierre? [00:11:13] Speaker A: Ben oui, pis... T'es baptisé Nick? [00:11:14] Speaker E: Ouais. [00:11:15] Speaker B: T'as l'air de tenter de répondre à ça. [00:11:17] Speaker E: Ça sert à rien que je le sois. Tu comprends? [00:11:19] Speaker B: Mais t'iras pas en enfer? [00:11:20] Speaker E: Ben non. [00:11:21] Speaker A: T'as des valeurs chrétiennes? [00:11:24] Speaker E: Ben j'ai des valeurs chrétiennes. J'ai des valeurs. Oui, quand j'ai fait mon primaire, j'avais l'enseignement religieux pour le secondaire aussi. [00:11:33] Speaker A: Mais j'y crois pas en tout. [00:11:35] Speaker B: T'en as un. [00:11:36] Speaker A: Toi, les valeurs musulmanes, ça t'enjoint à ça? [00:11:38] Speaker E: Non, ça m'enjoint pas. Moi, j'suis athée. Athée, ça fait-tu? [00:11:43] Speaker A: Oui, tu peux être athée, pis c'est bien correct. Mais t'sais, pourquoi on va chercher des immigrants au Maghreb? [00:11:49] Speaker B: Parce qu'ils sont francophones. [00:11:50] Speaker A: Oui, pourquoi on va chercher des musulmans? Pourquoi on va pas chercher des latino-américains qui sont beaucoup plus proches de nos valeurs? [00:11:55] Speaker B: Par l'Espagnol. [00:11:56] Speaker A: Non, non, mais c'est pas long, l'Espagnol pis le français c'est pas mal proche. [00:11:59] Speaker B: Au claro que si. [00:12:00] Speaker A: Fait que là, moi je pense qu'on devrait aussi tout réviser. nos valeurs d'immigration, là. Je veux dire, à un moment donné, là, on le voit, là. Moi, si t'es pour venir ici pis prier dans la rue, là, ça marchera pas. [00:12:12] Speaker E: Ben non, pis t'sais, on essaie d'avoir une société laïque aussi, là. [00:12:15] Speaker A: Ben, c'est ça qu'on a dit. [00:12:16] Speaker E: Ouais, ouais. [00:12:16] Speaker A: Fait que, regarde, essaye de te battre de tous les bords, là. Puis des imams radicaux dans la rue qui prêchent pour l'extermination des juifs. [00:12:23] Speaker B: C'est pas le Québec, ça. [00:12:24] Speaker A: Ça, là, c'est out, là. [00:12:25] Speaker B: En terminant, juste vous dire que c'est XP Saint-Roch qui débute ce soir, en fait, avec Jérôme 50, entre autres. En fait, c'est débuté hier soir. C'était Fred Fortin hier soir. Et ce soir, c'est Jérôme 50. Ça coûte 20 piastres au Grizzly Fuzz. Mais il y a d'autres spectacles aussi. Jay Scott, ce samedi soir, oui. Vendredi soir, oui. Élie Sapi aussi qui va être là. Donc, un petit festival, là. C'est comme un side project de la gang du Festival d'été de Québec. Si vous avez le goût d'aller faire un tour en ville en fin de semaine, il y a plein de choses. [00:12:49] Speaker A: Pas en autobus. Merci Gary. [00:12:50] Speaker E: Dernière heure. [00:12:51] Speaker A: Ça vient juste de tomber par rapport à la CAQ. [00:12:53] Speaker E: Ben là c'est le bordel, tu le disais tantôt, Pierre Dufour qui lui exigeait qu'un député de la région de Val-d'Or soit au conseil des ministres pis il lance un ultimatum à Legault. Legault lui a dit... Bye bye mon homme, on t'exclue du conseil des ministres. Sac ton camp. [00:13:09] Speaker A: Ben ça, ça veut dire qu'il démissionne. [00:13:10] Speaker E: C'est sûr qu'il va démissionner. [00:13:11] Speaker A: Il va avoir un autre partiel. [00:13:11] Speaker E: Il va avoir un autre partiel. [00:13:12] Speaker A: Ben ça dépend, il va peut-être siéger comme indépendant. [00:13:15] Speaker B: Ah il peut. [00:13:15] Speaker E: C'est vrai. Ou changer de camp. [00:13:17] Speaker B: Ben là. [00:13:18] Speaker E: Oh. Ben lui, il disait qu'il voulait briguer la mairie de Val-d'Or. [00:13:21] Speaker A: Ben c'est ça, il s'en va. [00:13:22] Speaker B: Un peu comme dans la formule. [00:13:23] Speaker A: Deux partiels, deux claques sa gueule. Le PQ va rentrer dans les deux bars au Saguenay. [00:13:28] Speaker E: Exact. [00:13:29] Speaker A: Pis en Abitibi. [00:13:30] Speaker B: Là c'est les dominos là, ça commence. [00:13:31] Speaker A: Hey le go là, shame on you. [00:13:33] Speaker E: Ah pis c'est pas fini là, le conseil. Une marme animée pas faite. [00:13:37] Speaker B: Bravo. Ça va bien aller. [00:13:39] Speaker A: Après la pause, qui débarque dans le show? [00:13:42] Speaker E: Qui? [00:13:42] Speaker A: Je sais pas. [00:13:43] Speaker B: Marie-Stella. [00:13:44] Speaker E: Renaud Brossard. [00:13:45] Speaker A: Renaud Brossard. [00:13:46] Speaker E: Couture dans le mythe. [00:13:49] Speaker B: Téléphone, texto, 418 670 9098. C'est ça.

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